Behaviorisme et Finance Comportementale

Finance Comportementale :Interdépendance entre le comportement des consommateurs et les dépenses gouvernementales

La finance comportementale explique l’éventualité ou non de déboires liés à la reprise économique d’ici 6 mois

PLUS DE DETAILS EN SUIVANT :

 En finance comportementale, nous nous intéressons au comportement émotif et rationnel du contribuable et des entreprises dans leur processus de décision concernant les dépenses de consommation et d’investissement.
 
Lorsqu’une période de panique généralisée se produit comme ce fut le cas entre septembre 2008 et le début 2009, la consomment baisse et les entreprises investissent moins.  Pour éviter que la récession s’enlise et se transforme en dépression économique, les gouvernements doivent remplacer des retraits de liquidités dans l’économie par de volumineux programmes de stimulation économique, comme c’était le cas à l’échelle planétaire.
 
Toutefois ces programmes économiques ont une durée limitée. 
 
Pour éviter à la croissance économique un W à la fin 2009 et début 2010, le consommateurs doivent graduellement prendre la relève sur les dépenses gouvernementales, d’ou l’importance de suivre l’évolution de l’épargne

Les nouvelles sont favorables, concernant l’épargne, puisque pour un deuxième mois consécutif les américains ont abaissé leur niveau de d’épargne.
 
En tout temps, une économie est fragile puisqu’elle est tributaire d’un niveau de confiance des consommateurs, des banques et des entreprises.
 
Si la confiance poursuit sa lancée, nous pourrons éviter le W dans la courbe de croissance

La situation idéale est une augmentation légère mais graduelle de la consommation. Si les consommateurs s’emballent trop rapidement par excès de confiance, l’inflation sera au rendez-vous ce qui serait défavorable.

William André Nadeau
Gestionnaire canadien de portefeuille

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