Le G20 est loin du Top 20…

Le rédacteur en chef adjoint de la NZZ s’en prend aux «trompeuses illusions de Pittsburgh». Gerhard Schwarz critique la composition du G20, décidée selon des critères hautement discutables et en tout cas pas démocratiques….

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Il s’étonne que seuls 4 des 19 pays figurent dans les dix économies les plus libres. Ils sont également 4 dans les pays les plus compétitifs. En termes de liberté économique, 10 Etats du G20 sont même placés au-delà de la 50e place. Et 9 pays de  ce «club très particulier» ne figurent même pas parmi les 40 économies les plus compétitives. Ce n’est pas le club des plus grandes réussites ni des pays les plus vertueux. Gerhard Schwarz critique surtout l’illusion de l’efficacité des mesures et les faux espoirs qu’elles nourrissent. Les projets semblent concrets, mais leur lecture montre quantité de «devrait», «pourrait» ou de «peut-être».

Le Vieux Continent sera-t-il le seul à les mettre en œuvre? 🙂

EN COMPLEMENT INDISPENSABLE : L’indice 2009 de la liberté économique de l’Institut Fraser (cliquez sur le lien)