Les leaders de l’eurozone ne cherchent pas à résoudre un problème, mais ils mènent une guerre de relations publiques, écrit Wolfgang Münchau dans le Financial Times.
Ils ne s’attaquent pas aux déséquilibres mais aux spéculateurs. Leur populisme est devenu hors de contrôle.
L’éditorialiste propose de créer un marché obligataire unique, ainsi que le propose le think tank Bruegel. Un Etat membre dont le déficit public serait inférieur à 60% du PIB pourrait y lever des fonds. Ce serait une formidable incitation à la discipline.
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