Douce France

Un surcroît de confiance et non d’Etat providence

Devant l’Inspection des finances, Alain Minc a dit à ses pairs qu’«en tant que représentants de l’élite du pays», ils avaient le devoir «de propager un message d’optimisme».

Cette scène incroyable, où le conseiller du monarque demande aux «fermiers généraux» de répandre des mots doux aux oreilles du citoyen a quelque chose de surréaliste, écrit Yves de Kerdrel, dans le Figaro. Les Français n’attendent pas cela, mais ils veulent des réformes. . Ce n’est pas avec un surcroît d’Etat providence que l’on va redonner de l’enthousiasme.

Il faut une société de confiance et non pas une société d’assistance et donc d’aliénation.

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