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Trappe à Dettes : Pour Nouriel Roubini la France est en aussi mauvais état que l’Irlande et la Grèce »

Trappe à Dettes : Pour Nouriel Roubini la France est en aussi mauvais état que l’Irlande et la Grèce »

 

Nouriel Roubini a lancé un pavé dans la mare sur CNBC en déclarant que « La France, par certains aspects essentiels, n’a pas l’air en bien meilleur état que la périphérie » de la zone.

PLUS DE SOCIALCLIENTELISME EN SUIVANT :

L’économiste américain Nouriel Roubini a estimé vendredi lors d’un entretien télévisé que les finances publiques de la France n’étaient pas « en bien meilleur état » que celles de pays surendettés de la zone euro comme la Grèce ou l’Irlande. « La France, par certains aspects essentiels, n’a pas l’air en bien meilleur état que la périphérie » de la zone, a affirmé sur la chaîne CNBC(1) M. Roubini, mondialement connu comme un pessimiste.

« Ils n’ont rien fait d’un point de vue structurel, leur déficit budgétaire est élevé, politiquement ils sont limités dans leur capacité à faire des réformes. C’est juste que, comparé aux autres, ils n’en sont pas encore au même point » que les pays ayant des difficultés à se refinancer sur les marchés de la dette, a-t-il poursuivi.

Interrogé sur la loi de réforme des retraites promulguée au début du mois, l’économiste a dressé un tableau peu engageant de la situation politique française.

« C’est le début d’une politique d’austérité qu’il va falloir mener au fil du temps. Pour un petit changement comme celui-ci, on a une forte résistance politique. Qu’est-ce que ça va donner quand on verra des réformes radicales? C’est une question qui reste posée dans le cas de la France », a-t-il indiqué.

Le président Nicolas « Sarkozy est arrivé au pouvoir en disant: +je vais faire beaucoup de réformes+. Il ne l’a pas fait. Maintenant il est affaibli, il pourrait perdre les élections, et par conséquent il retarde la rigueur et les réformes », a considéré M. Roubini.

M. Roubini s’est prononcé pour une restructuration des dettes publiques européennes. Il a expliqué que les sauvetages par la zone euro ou le Fonds monétaire international ne s’attaquaient pas à la racine du problème, l’excès d’endettement du secteur privé, mais le reportaient d’une entité à une autre.

« Il ne va y avoir personne qui viendra de Mars ou de la Lune pour sauver le FMI ou la zone euro », a-t-il prévenu.

source afp nov10

France : Rien de nouveau jusqu’en 2012…par Marc Touati

Nicolas Sarkozy a beau le réfuter, tous les yeux sont d’ores et déjà rivés sur les élections de 2012. Basé sur le concept « faire du neuf avec du vieux », le remaniement de la semaine dernière confirme d’ailleurs que le gouvernement est déjà en ordre de bataille pour affronter les prochaines échéances électorales. C’est là que réside le drame dans la politique de la plupart des pays occidentaux : elle prime sur les contingences économiques et ce, en particulier dans l’Hexagone où la culture économique est très faible et trop politisée.

Dès lors, à l’exception des neuf mois qui suivent la victoire à une élection présidentielle, il devient quasiment impossible d’engager des réformes économiques de fond. Autrement dit, si ces dernières ne sont pas menées dès le début de son mandat, le Président en exercice est souvent contraint de revoir à la baisse ses promesses électorales. Il finit alors par se contenter de gérer au mieux les affaires courantes, sans trop de dérapages, de manière à augmenter ses chances de réélection. C’est ainsi, que depuis le début des années 70, la France s’est engoncée dans le confort de l’immobilisme et du refus des réformes massives.

Le pire est que cette tentation du statu quo n’est pas toujours efficace électoralement parlant. La défaite de Valéry Giscard d’Estaing en 1981 en est un exemple parfait. Pareillement, et même s’il n’était pas Président, le Premier ministre Lionel Jospin pensait qu’en arrondissant les angles et en ne faisant de tort à personne, il serait élu sans difficulté à la Présidence de la République. Alors que cette période de croissance soutenue aurait pu permettre de baisser significativement les dépenses publiques sans heurt, il s’y est refusé. Cela ne l’a cependant pas empêché d’être battu dès le premier tour. Cet épisode malheureux pour le Premier ministre de l’époque confirme que, parfois, les calculs politiques qui relèguent au second rang les considérations économiques sont particulièrement contre-productifs.

Les mandats de Jacques Chirac sont évidemment un contre-exemple frappant de cette inefficacité de la politique politicienne. Et pour cause : après l’échec cuisant de la tentative de réforme des retraites en 1995, le Président Chirac a très vite compris que s’il voulait rester au pouvoir, il devrait se contenter de ne pas brusquer les Français dans leurs petites habitudes. La réforme des retraites qu’il finît par engager en 2003 n’était d’ailleurs qu’une réforme a minima qui tablait notamment sur économie française dynamisée durablement par une croissance économique de 3 % et un taux de chômage de 4,5 %. Devant une telle audace bien farfelue, il a donc fallu très logiquement engager une nouvelle réforme des retraites en 2010, qui est malheureusement tout aussi illusoire puisqu’elle table sur un taux de chômage compris entre 4,5 % et 7 % jusqu’en 2025…

A NOTE : L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a en effet revu en nette baisse sa prévision de croissance pour la France pour 2010 (1,6%) et surtout pour 2011. Alors qu’au printemps il tablait, pour l’année prochaine, sur une hausse de 2,1% du PIB français, il a revu ce jeudi ses prévisions à seulement 1,6% et à 2% pour 2012.

C’est moins que les prévisions du gouvernement français, qui a inscrit dans son projet de budget une prévision de 1,5% en 2010, 2% en 2011 et 2,5% à partir de 2012. En s’éloignant des prévisions de Bercy, l’Organisation internationale se rapproche du consensus des instituts de conjoncture et économistes. Ces derniers ont, au cours des derniers mois, jugé les prévisions françaises trop optimistes.

Autrement dit, les Présidents changent mais les vieux reflexes conservateurs, c’est-à-dire immobilistes, ne changent pas. Certes, le Président Sarkozy vient d’annoncer qu’avant la fin de son mandat, il allait lancer deux chantiers majeurs sur le terrain économique. D’une part, la mise en place en 2012 d’un système d’assurance-dépendance pour les personnes âgées. D’autre part, la suppression probable du bouclier fiscal et de l’ISF, qui serait remplacé par un nouvel impôt sur les revenus et plus-values du patrimoine, dans le cadre d’une réforme de la fiscalité en juin 2011. Tout à fait louable, le premier dossier apparaît particulièrement épineux, dans la mesure où l’on ne sait absolument pas d’où viendront ses moyens de financement. Cependant, après le trou de la Sécu et celui des retraites, la France n’est plus à un trou près…

Parallèlement et à l’instar de la réforme des retraites, le deuxième chantier risque de faire couler beaucoup d’encre… pour rien. En effet, à quoi bon supprimer un impôt pour le remplacer instantanément par un autre ? On retrouve bien là l’un des principaux défauts des « élites » dirigeantes françaises : par peur de manquer de ressources, elles n’ont jamais réussi à baisser significativement la pression fiscale et encore moins les dépenses publiques. Dès lors, dans la mesure où ces dernières restent élevées et où le courage manque pour les réduire, toutes les réductions d’impôts doivent être compensées par des augmentations d’autres impôts. C’est exactement ce qui s’est déjà produit l’an passé avec la suppression de la taxe professionnelles qui a été plus que remplacée par la CET, qui aggrave d’ailleurs fortement la taxation des entreprises de services. On doit donc se préparer à une mesure similaire l’an prochain mais cette fois-ci pour les ménages : on enlèvera simplement à Paul pour donner à Pierre, ou réciproquement, l’essentiel étant que la puissance publique puisse toujours compter sur une pression fiscale forte pour assouvir ses besoins du quotidien. Et pour cause : les dépenses de fonctionnement ont augmenté de 14,4 milliards d’euros en 2009 et de 87 milliards d’euros depuis 2002, soit des augmentations respectives de 4,1 % et 30 % en valeur et de 3,9 % et 17 % en volume (c’est-à-dire hors inflation).

C’est bien là le drame de la politique économique française depuis trente ans : les dépenses publiques et les impôts ne cessent d’augmenter (atteignant, en pourcentage du PIB, des sommets historiques et rarement dépassés à travers le monde), mais la croissance structurelle ne cesse de reculer.

Et, malheureusement, tant que le cycle politique ou électoraliste l’emportera sur la réalité économique, rien ne changera. En d’autres termes, il n’y aura rien de nouveau sous le soleil français jusqu’en 2012. Le plus inquiétant c’est qu’après 2012, la France devra forcément faire un choix : si elle continue d’opter pour l’immobilisme ou pire pour l’augmentation des dépenses publiques, la note de sa dette publique sera forcément dégradée, avec toutes les conséquences catastrophiques que cela engendrera pour l’économie française et pour la stabilité de la zone euro. Nos dirigeants politiques devraient pourtant le savoir : tôt ou tard, il faut payer la facture…

France : l’emploi reste désespérément mou

 

Conséquence logique de la faiblesse de la croissance dans l’Hexagone, l’évolution de l’emploi reste tout aussi terne. Certes, après avoir progressé de 0,2 % au premier et au deuxième trimestre 2010, l’emploi salarié du secteur marchand a augmenté de 0,3 % au troisième. Si ces évolutions sont évidemment appréciables, il faut néanmoins souligner qu’elles sont très loin de compenser la baisse des trimestres précédents. Et pour cause du deuxième trimestre 2008 au quatrième de 2009, l’emploi marchand a plongé de 3,5 %. Actuellement, le niveau de l’emploi affiche encore une baisse de 2,9 % par rapport à son niveau d’avant crise.

De même, si le glissement annuel de l’emploi est enfin redevenu positif, ce qui ne s’était plus produit depuis le deuxième trimestre 2008, il n’est que de + 0,6 %. Compte tenu d’une variation annuelle du PIB de 1,8 %, cela montre donc une nouvelle fois que la croissance française reste très pauvre en emplois.

Mais ce n’est pas tout. Car si l’emploi a réussi à sauver les meubles c’est uniquement grâce à la résistance du marché du travail dans les services. Ainsi, l’emploi dans le secteur tertiaire a progressé de 0,5 % au troisième trimestre et de 1,8 % en glissement annuel. A l’inverse, l’emploi a continué de chuter tant dans l’industrie que dans la construction : respectivement – 0,3 % et – 0,2 %, soit des glissements annuels de – 2,4 % et – 1,3 %. Depuis le début 2008, l’emploi dans l’industrie s’est effondré de 8,6 %.

En fait, ce mouvement de désindustrialisation n’est pas nouveau, puisque la dernière fois que l’emploi industriel a augmenté en France remonte au premier trimestre 2001. A l’époque, on comptait 4,189 millions de salariés dans l’industrie. On n’en recense plus que 3,291 millions aujourd’hui. Depuis le début 1990, l’industrie a détruit 1,41 million d’emplois nets. Si ces destructions de postes sont logiques compte tenu de la désindustrialisation du pays, elles deviennent aujourd’hui dangereuses dans la mesure où elles ne sont que faiblement compensées par les créations d’emplois enregistrées dans les services.

Et malheureusement, cette faiblesse de l’emploi risque de perdurer dans la mesure où la croissance et surtout l’investissement des entreprises restent et resteront modérés dans l’Hexagone. Et tant que la France ne baissera pas sa pression fiscale et ses rigidités réglementaires notamment sur le marché du travail, cette faiblesse jumelle de la croissance et de l’emploi demeurera notre lot quotidien.

Marc Touati ACDEFI – 18 novembre 2010

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Ce sont les réformes qu’il faut radicaliser ! par Nicolas Baverez

pendant que la France manifeste, les autres nations travaillent et préparent l’avenir. Le prix à acquitter est de plus en plus élevé.

Les démocraties, régimes conservateurs par essence, sont profondément déstabilisées par les chocs en cascade qui caractérisent le début du XXIe siècle.

 Une grande peur du déclin envahit l’Occident, qui a perdu le monopole du capitalisme et affronte la concurrence de pays émergents avides de revanche.

 La gigantesque déflation par la dette qui a éclaté en 2008 se prolonge, paupérisant et précarisant les classes moyennes.

Le fondamentalisme islamique prend pour cible les nations libres.

Enfin, l’allongement de la durée de vie débouche sur une société à cinq générations qui remet en question tant les structures familiales que l’Etat-providence.

Force est cependant de constater que la plupart des démocraties, y compris en Europe, réussissent à engager des transformations fondamentales pour répondre à ces chocs.

L’Allemagne bénéficie de la stratégie de l’Agenda 2010, qui a restauré la compétitivité de son appareil de production et la place en situation idéale pour bénéficier de la reprise, avec une croissance de 3 %, un chômage revenu à 7 % et un déficit public inférieur à 3 % du PIB en 2011. Le Royaume-Uni a lancé une audacieuse thérapie de choc associant une rigueur extrême (réduction du déficit de 11 % à 1,1 % du PIB et suppression de 490 000 fonctionnaires en cinq ans), la dévaluation compétitive de la livre, le renforcement des libertés publiques et la refonte de la protection sociale à travers le projet de Big Society. L’Espagne a réduit de 8 % ses dépenses publiques et de 5 % le salaire des fonctionnaires tout en gelant les pensions de retraite. L’Italie réalise 25 milliards d’économies en 2011, tandis que l’Irlande enchaîne son troisième plan de rigueur en deux ans. Il n’est pas jusqu’à la Grèce qui ne respecte le plan de redressement arrêté avec le FMI et l’Union européenne, dont la clé consiste dans la baisse de 30 milliards d’euros des dépenses publiques en trois ans.

Le nouveau psychodrame politico-social que s’est offert la France à l’occasion de la réforme des retraites n’en est que plus saisissant. Le passage de l’âge légal de la retraite à 62 ans est indispensable compte tenu de l’augmentation de l’espérance de vie et ne marque qu’un effort modeste, puisque ce même âge est compris entre 65 et 68 ans dans les autres pays européens et que subsiste une impasse financière de 16 milliards d’euros à l’horizon 2018. La démesure de la mobilisation n’en est que plus inquiétante. Un nouveau coup dur est porté à une nation qui se délite et à son image internationale, désormais désastreuse.

La France de 2010 donne raison au général de Gaulle, qui remarquait qu’elle ne faisait de réformes qu’à l’occasion des révolutions. L’incapacité à s’adapter aux changements historiques se traduit par un retard économique puis par un blocage de la société ; d’où une crise politique qui ne se dénoue que par des changements de régime à répétition.

 La réforme en régime démocratique lors des périodes de turbulences suppose plusieurs conditions :

dire la vérité aux citoyens ; mobiliser la société par une intense pédagogie ; afficher la cohérence de l’action gouvernementale ; négocier des compromis ; inscrire les réformes dans un projet de moyen terme qui laisse place à l’espoir. Ces préalables, réunis en 2007, ont été emportés par la crise et par le gouffre que Nicolas Sarkozy a laissé se creuser avec les Français. La crise qui va affecter pendant au moins une décennie les pays développés est réputée terminée en France. La concentration extrême du pouvoir présidentiel, doublée de la dissolution du gouvernement, débouche sur la paralysie de l’Etat et la radicalisation de la société. Les réformes deviennent incompréhensibles en l’absence de stratégie de sortie de crise et sont avant tout perçues comme une arme électorale contre l’opposition.

Les Français communient dans la peur de l’avenir et rejouent éternellement une pièce révolutionnaire qui occupe le coeur du théâtre politique national, oscillant entre la passivité et la révolte. Ils sont aussi prompts à s’enivrer des rêves de changement qu’à se lever contre les réformes, dans l’attente de l’homme providentiel supposé remettre le pays en phase avec son temps. D’où des réformes tardives et partielles, aux résultats inévitablement décevants. D’où des stratégies de contournement qui reportent la responsabilité sur les marchés financiers, l’Europe ou l’Allemagne. D’où la mise en cause des bouleversements du monde pour justifier l’inertie et le retard français. Le prix à acquitter est de plus en plus élevé. Car pendant que la France manifeste, les autres nations travaillent et préparent l’avenir. Avec une croissance bridée à 1,5 %, un secteur privé réduit à 44 % du PIB dont la compétitivité ne cesse de se dégrader, une dette publique de 88 % du PIB, un chômage permanent qui touche 2,99 millions de personnes, une nation au bord de la guerre civile, la France est menacée de perdre tout rôle mondial pour être cantonnée à un second rôle européen loin derrière l’Allemagne. Voilà pourquoi la radicalisation doit désormais porter sur les réformes. Voilà pourquoi Nicolas Sarkozy aura d’autant plus de chances d’être réélu qu’il s’occupera moins de 2012 pour renouer le fil brisé de son quinquennat, qui se trouve dans la réinvention du modèle économique et social français.

source le point nov10

EN BANDE SON :

 

8 réponses »

  1. ok pour la dette mais la France à de l’or,
    sachant que dans le futur l’once sera à 10000$, la France peu payer sa Dette, donc elle est solvable en tous cas plus que la Grèce ou l’Irlande, je suis pas d’accord avec Roubini là dessus!
    Gold is good but Silver is Better, More Better!

  2. comment baisser la pression fiscale alors que les revenus de l’etat sont deja largement inferieurs a ses depenses ? Arreter de payer les fonctionnaires ? Les interets de la dette ?

  3. Roubini devrait changer de « lear-di » et arreter de fumer la moquette!
    LA FRANCE EST SOLVABLE!!!
    – 1èrement : concernant le krach cuvé 2007,
    je l’ai annoncé le 12/10/2006!
    roubini n’a rien trouvé!
    je conseillais l’or à l’achat!
    lui ne savais meme pas!
    arretez de le prendre pour un bon, il raconte beaucoup de c…..ies votre roubini!
    dommage que Chou-chou 1er Empereur des francs à soldé une parite de l’or de la France!
    Madame Lagarde, vous avez tous mon respect et ma sympathie pour votre bon sens , à savoir: la finance islamique! dommage que les banksters ne vous aient pas suivi!
    la solution pour sortir de la crise :
    -conserver l’or de la france et en acheter encore (comme les allemands) incroyable ! à croire que seul le DeutchReich à lu mes messages sur  » the-Winner  » en 2006/2007/2008/.
    ET TRES IMPORTANT : LA PARITE 1€ = 1$ = 1£
    sur que cela relancera l’économie! te tous les pays!
    Cordialement,
    PS : Cantona n’as rien compris! lui aussi devrait changer de « lear-di » comme le stupid roubini!!!
    la France est pas la grèce et il devrait plutot s’inquiété des US (californie etc etc …)
    qu’il balaye devant sa porte le gueux
    avant de critiquer la France!
    roubini est un abruti!

  4. les banksters ont payé roubini pour nous emmerder(la france) nous faire reculer le CAC et racheter à bon compte!
    roubini roule pour les banksters ce sont des vipères!
    Francais francaise : Acheter de l’or et surtout surtout de l’argent (métal)
    ma préférée : la Philharmoniker d’une once
    en vente dans le DeutchReich !

  5. les « zétazuniens » on roubini ! nous aussi nous avons notre abruti : touati!
    ses quoi ses économistes et financiers qui voient rien prévoient rien comprennent rien!

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