Behaviorisme et Finance Comportementale

Dans le registre des recherches économiques qui ne mènent et ne servent à rien

Dans le registre des recherches économiques qui ne mènent  et ne servent  à rien

Le référentiel suprême : et si la carte mondiale de la taille des pénis avait un intérêt économique?

 Pour Tatu Westling, professeur dans le département d’études économique et politique de l’Université d’Helsinki, en Finlande, cela ne fait aujourd’hui aucun doute. D’après sa dernière étude, révélée par Slate, il existe une corrélation entre la taille moyenne du pénis en érection des habitants d’un pays donné et le niveau du PIB. Pour son étude, l’homme s’est basé sur les chiffres du PIB durant la période 1960-1985.

Selon Westling, la taille optimale du pénis pour une économie en bonne santé est de 13,5 centimètres. Au-dessus de 16 centimètres ou en dessous de 12 centimètres, il observe une nette chute du développement économique. «Bien que les trouvailles restent indicatives à ce stade, l’hypothèse de l’organe masculin explorée ici résiste à une panoplie de contrôles exhaustifs et s’appuie sur des corrélations étonnement fortes», explique l’économiste dans son étude. «L’organe masculin est associé de manière plus marquée à la croissance du PIB que le type de régime politique d’un pays».

 Comme cela était prévisible, nombreux sont ceux qui se sont émus des résultats de l’étude de Tatu Westling. En effet, alors que ce dernier s’est basé sur la carte mondiale de la taille du pénis mise en ligne en mars dernier par Targetmap, beaucoup n’accordent que peu de fiabilité à celle-ci.

(Sur la carte (cliquez sur le lien ), le pénis des habitants des pays «rouges» se situe en moyenne entre 9,66 et 11,67 cm, les roses entre 11,67 et 13,48, les jaunes jusqu’à 14,88 cm, les verts clairs jusqu’à 16,10 et les verts foncés jusqu’à 17,93). Et pour cause, si elle se base sur les chiffres d’autorités sanitaires, elle repose également sur des études auto-déclaratives beaucoup moins fiables.

Tatu Westling comprend très bien ce scepticisme, mais argue que les corrélations entre les deux indices forcent l’évidence: «Cela avait commencé comme un essai à moitié sérieux, mais je ne m’attendais pas à trouver des corrélations aussi fortes. Je vais peut-être la soumettre à une revue économique. Mais le sérieux ne signifie pas que je crois en un lien de cause à effet pour le moment».

L’étude sur slate :   http://www.slate.fr/lien/41767/taille-penis-pib

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