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  1. Pour pouvoir sauver la Grèce, l’Espagne et l’Italie, le Mécanisme Européen de Stabilité, MES, sera doté d’un capital de 700 milliards d’euros.

    Je recopie Wikipedia :

    « Le MES sera doté d’un capital autorisé fixé à 700 milliards d’euros dont 80 milliards à verser par tranche de 20% sur cinq ans. »

    Quels sont les cinq pays qui donneront le plus d’argent au capital du MES ?

    1- L’Allemagne versera au capital du MES la somme de 190,024 milliards d’euros.

    2- La France versera au capital du MES la somme de 142,701 milliards d’euros.

    3- L’Italie versera au capital du MES la somme de 125,395 milliards d’euros.

    4- L’Espagne versera au capital du MES la somme de 83,325 milliards d’euros.

    5- Les Pays-Bas verseront au capital du MES la somme de 40,019 milliards d’euros.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9canisme_europ%C3%A9en_de_stabilit%C3%A9#Contributions

    En clair :

    La Grèce, l’Espagne et l’Italie sont en faillite.

    La Grèce, l’Espagne et l’Italie sont en train de se noyer, et ils entraînent les autres Etats de la zone euro vers le fond de l’océan.

  2. 2- La France versera au capital du MES la somme de 142,701 milliards d’euros.

    Mais où va t’elle trouver une somme pareil ?

  3. Mardi 24 juillet 2012 :

    Madrid paie toujours plus cher pour emprunter, les marchés fébriles.

    L’Espagne a emprunté mardi 3,05 milliards d’euros à court terme, devant concéder une fois de plus des taux d’intérêt en hausse dans un climat de tension extrême des marchés, qui mettent en doute la solvabilité du pays, fragilisé par ses régions et par ses banques.

    Le Trésor espagnol a rempli son objectif, qui était de lever 2 à 3 milliards d’euros, mais les taux ont monté, passant de 2,362% à 2,434% pour les bons à trois mois, et de 3,237% à 3,691% pour ceux à six mois, par rapport à la dernière émission similaire, le 26 juin, où ils s’étaient déjà envolés.

    Cette opération survient alors que le pays reste fortement chahuté sur les marchés : mardi matin, tandis que la Bourse cédait 2,19%, le taux des obligations espagnoles à dix ans restait au niveau très élevé de 7,567%, un nouveau record depuis la création de la zone euro en 1999.

    La prime de risque, qui mesure le surcoût que doit payer l’Espagne pour emprunter, par rapport à l’Allemagne, était elle à 619 points (6,19 points de pourcentage).

    « L’approbation vendredi par l’Eurogroupe d’une aide financière d’un maximum de 100 milliards d’euros pour les banques espagnoles a été éclipsée par la demande d’aide de la région de Valence, rapidement suivie de celle de Murcie, et par la publication du chiffre de croissance du 2e trimestre (-0,4%), une estimation de la Banque d’Espagne généralement confirmée par les chiffres officiels », souligne dans une note Cyril Regnat, analyste chez Natixis.

    « La situation des régions, qui paraissait sous contrôle en début d’année, s’est donc dégradée et sur les 17 régions espagnoles, près de 6 demanderaient l’aide de l’Etat », ajoute-t-il.

    http://www.romandie.com/news/n/_Madrid_paie_toujours_plus_cher_pour_emprunter_les_marches_febriles48240720121123.asp

  4. Une troisième région espagnole va demander l’aide de l’Etat :

    la Catalogne.

    La crédibilité de l’Espagne sur les marchés financiers a subi un nouveau coup mardi alors que la Catalogne, l’une de ses régions les plus puissantes, a admis qu’elle pourrait demander l’aide du gouvernement.

    La région du Nord-Est du pays, deuxième en termes de contribution au PIB, a l’intention de solliciter elle aussi une aide de Madrid, après une demande similaire formulée vendredi par Valence, a indiqué le responsable de l’économie du gouvernement catalan.

    Interrogé par la BBC sur un éventuel appel de la Catalogne aux finances du gouvernement espagnol, Andreu Mas-Colell a répondu : « Oui. La situation actuelle est que la Catalogne ne dispose pas d’autre banque que le gouvernement espagnol ».

    Une annonce qui survient alors que l’Espagne elle-même est en danger sur les marchés, avec comme enjeu d' »éviter un effondrement financier imminent », souligne le journal El Economista. La plupart des analystes fixent octobre comme date limite.

    Le Trésor espagnol a d’ailleurs dû payer cher mardi pour emprunter 3,05 milliards d’euros, avec des taux passant de 2,362% à 2,434% pour les bons à trois mois et de 3,237% à 3,691% pour ceux à six mois, par rapport à la dernière émission similaire, le 26 juin, où ils s’étaient déjà envolés.

    http://www.boursorama.com/actualites/l-espagne-toujours-bousculee-par-les-marches-la-catalogne-en-difficulte-3dfefad3f9161362591072b60f3d876a

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