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Olivier Delamarche/BFM 26 Février 2013

 Olivier Delamarche/BFM 26 Février 2013

 « Bernanke sait très bien que sans QE, y’a plus de marché »

8 réponses »

  1. Excellent, comme d’habitude. La réflexion de F. Hollande à cet enfant au salon de l’agriculture et la réponse de notre ministre de la « destruction productive » au PDG de TITAN démontrent la dimension de nos dirigeants… La petitesse d’esprit et la médiocrité….!
    Dans ces moments, vous n’imaginez pas à quel point je pense à la potion magique…!

  2. Delamarche explique parfaitement en quoi consiste cette crise d’endettement mais ses conclusions sur l’orientation des marchés sont totalement erronées depuis plusieurs années.

    Il jubile aujourd’hui, prenant la consolidation actuelle pour le début de l’effondrement qu’il annonce depuis longtemps. Ce n’est pas la première consolidation qu’il prend pour un retournement majeur! Chaque fois les marchés lui ont donné tort en repartant vers de nouveaux sommets.

    Je parie qu’il en sera de même cette fois-ci!

    • Peut-être qu’il a tort et peut-être que vous avez raison mais faudrait nous la donner votre raison. C’est quoi au juste votre idée qu’on puisse se faire la nôtre ?

    • Delamarche gère des patrimoines, valeurs héritées ou à transmettre, cad à conserver d’abord plutôt qu’à risquer vers des profits à courts termes. Meilleur même: il transforme des capitaux en patrimoine par sa gestion prudente aux ambitions modestes au milieu des sirènes de profits temporaires et fragiles. Tu crois au Père Noël Astérix …?,…moi pas.

    • C’est sur avec un CAC40 qui se ramasse depuis plus de 10 ans et etant en bear market, cela vous donne du credit, plus qu’à Delamarche… Le sommets de la connerie, oui oui…

    • Il faut dire que le marché qui bat des records alors que l’économie est morose, qu’il n’y a aucune croissance, des déficits, des remises en question des objectifs, une forte augmentation du chômage, alors que de l’autre côté, on fait fonctionner la planche à billets, c’est douteux et lorsque la pointe de la pyramide grossit alors que sa base diminue, on peut certainement parler de bulle.
      Ce n’est pas parce qu’il y a une récession qu’il n’y a pas de bulle.

  3. Mardi 26 février 2013 :

    L’Italie provoque la panique dans les Bourses européennes.

    À l’instar des autres marchés européens, la Bourse de Francfort a flanché mardi, perdant plus de 2 % face aux inquiétudes d’un réveil de la crise de la zone euro à cause de l’incertitude politique régnant en Italie à l’issue d’élections serrées. Nettement dans le rouge toute la journée, l’indice vedette Dax s’est encore davantage enfoncé en fin de séance, pour clôturer en baisse de 2,27 % à 7 597,11 points.

    La Bourse de Paris a plongé elle de 2,67 % mardi, dans un marché effrayé par l’impasse politique qui se profile en Italie et ses conséquences économiques potentielles pour l’ensemble de la zone euro. À la clôture, l’indice CAC 40 a perdu près de 100 points (99,41 points) pour s’inscrire à 3 621,92 points, dans un volume d’échanges nourri avec plus de 4 milliards d’euros échangés.

    Du côté de la City, la Bourse de Londres a clôturé mardi sur une forte baisse de 1,34 %, toujours pour les mêmes raisons, l’indice FTSE-100 des principales valeurs a reculé de 84,93 points par rapport à la clôture de lundi, à 6 270,44 points.

    À Madrid, la bourse termine en baisse de 3,2 %.

    C’est en Italie que la baisse est la plus forte : la Bourse de Milan a connu une journée noire mardi, s’effondrant de près de 5 %. L’indice vedette FTSE Mib a clôturé en baisse de 4,89 % à 16 552 points.

    http://www.lepoint.fr/economie/l-italie-provoque-la-panique-dans-les-bourses-europeennes-26-02-2013-1633178_28.php

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