A Chaud!!!!!

La Réflexion du Jour: Après Chypre à qui le tour?…. Alors Face à la répression financière qui s’accentue… Que faire? par Bruno Bertez

La Réflexion du Jour: Après Chypre à qui le tour?…. Alors Face à la répression financière qui s’accentue… Que faire? par Bruno Bertez

SHUSH

Les prévisions et diagnostics en matière financière sont fondés sur les bilans, les statistiques fournies par les établissements ou les organes de contrôle. il faut s’en méfier car, comme nous l’avons dit, en dynamique, et non plus en statique, tout est faux archi faux.

Pour deux raisons: 

-La première est que la finance est une chaine et que les difficultés sont en boules de neige et  cumulatives; L’interpénétration des systèmes fait que quand il y a une défaillance, cela touche tout le système de proche en proche …. Cela revient en boucle sur le premier défaillant dont la situation se réaggrave. On doit juger globalement de la force d’un système à celle de son maillon le plus faible sachant que quand il y aura défaillance, tout va se multiplier. La Grèce a commencé  à 35 milliards … maintenant tout le système est en faillite, souverain, banques, assurances, fonds de pension, secteur public. L’insolvabilité est une chaine vicieuse. 

-La seconde est que la ligne de partage entre crise de liquidité et crise de solvabilité est très mince, pour ne pas dire artificielle et virtuelle. Tant que le système tient on dit que c’est une crise de liquidité, quand il ne peut plus tenir on dit c’était une crise solvabilité. 

C’est ce qui s’est passé avec la crise Mexicaine en son temps. Les banques étaient en faillite, mais les banques américaines n’ont pas déprécié, elles ont menti envers et contre toute évidence. Puis 5 ans âpres quand elles ont eu reconstitué leurs fonds propres grâce aux cadeaux de la Fed, elles ont déprécié en bloc, extériorisé la faillite qu’elle aurait du faire ! 

Moralité : on ne connaitra jamais la situation du système ou des banques ou on les connaitra quand cela ne servira plus à rien. C’est la raison pour laquelle les citoyens doivent d’ores et déjà se mobiliser contre la confiscation/amputation des dépôts  qu’ils soient petits ou gros. En leur mentant on leur retire la possibilité du choix. 

La menace de confiscation des dépôts complète la répression financière , mais on joue avec le feu de la psychologie des foules . Quand la rumeur ou la peur se diffusent, bien malin celui qui peut les arrêter.

La parade est  de sortir son argent des banques, de prendre le cash , mais souvent les confiscations s’accompagnent de retrait de la circulation des gros billets avec échanges forcés comme en Russie à la fin des années 90. C’est un vol bien organisé et rodé. L’autre solution est d’acheter des valeurs réelles en espérant ne pas les surpayer. L’or sera certainement taxé, mais à notre avis modérément. Les pièces c’est peu probable, mais elles font prime, on les surpaie.

Un total de bilan bancaire n’en vaut pas un autre.

Des pays tres bancarisés comme le Luxembourg n’ont que très peu de risques. Les banques y ont des actifs fantastiques en gestion par exemple et leurs passifs sont constitués de ressouces stables. Elles ne font quasi pas de transformation court/long, très peu de prets, le risque devises est assumé par le client etc. Ces banques ne vivent pas de spreads, mais de commissions. Beaucoup ne font aucun prets. Leurs placements courts terme sont surcollétéralisés. Ce sont des établissements d’investissement.

Aucun rapport avec les monstres en faillite structurelle et sous perfusion.

En revanche la Suisse est mixte.

On trouve en Suisse des banques privées et banques cantonales qui en fait sont des établissements d’investissement ou de family office ou de crédit prudent, sans mismatch, lesquels ne sont pas vulnérables, et des banques universelles type UBS ou Crédit Suisse qui sont tres exposées, aux runs et au blocage du marché de gros du refinancement. Ce sont ces banques qui sont soumises au risque et aux pressions.

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Le secteur bancaire européen se balkanise

« Nous sommes après avoir eu une décennie de convergence, revenu à de fortes divergences au sein de l’Europe. Et peut-être même qu’un euro dans une banque à Madrid n’est plus perçu par les investisseurs comme un euro à Francfort, alors qu’aux Etats-Unis un dollar à New-York a assurément la même perception que le même dollar à Miami!

La fluidité financière transfrontière n’existe plus vraiment entre l’Europe du Nord et celle du  Sud, ce qui a terme si ce phénomène n’est pas rétabli porte en lui les germes de destruction ou d’éclatement de la zone euro. Le mouvement de filialisation au niveau bancaire participe à cette balkanisation financière et les grandes banques internationales hésitent dorénavant à s’aventurer trop au Sud.

Actuellement, les banques de l’Europe du Sud ne peuvent plus vraiment compter sur la manne provenant des banques et des épargnants de l’Europe du Nord (ces dernières ayant retiré une bonne partie de leurs engagements), elles doivent donc faire appel à leur capacité de collecte d’épargne locale alors que les épargnants des pays du Sud ont eu tendance à sortir leur argent en direction du Nord de l’Europe. Ceci est couplé en plus à une difficulté chronique de financement sur les marchés des capitaux. Elles entrent ainsi dans une sorte de cercle vicieux.

Ce mouvement de balkanisation renforce ce que nous pourrions appeler la «répression financière», c’est-à-dire la canalisation de l’épargne locale vers des besoins locaux plus ou moins justifiés. Confrontées au risque de réduction additionnelle de leur source de financement local, les autorités de ces pays en accord avec les banques sont tentées d’inciter par la loi ou la menace les banques et investisseurs à un comportement du type patriotique et pourraient à terme forcer l’acquisition de dette publique.

En conclusion nous pourrions argumenter que la balkanisation pourrait, si elle s’intensifiait, rendre plus probable une sortie de l’euro d’un pays périphérique et en même temps la rendre moins dévastatrice… »

Pierre-yves augsburger Fuchs & Associés Finance/AGEFI Suisse

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BRUNO BERTEZ Le Mardi 26 Mars 2013

llustrations et mise en page by THE WOLF

EN BANDE SON:

EN COMPLEMENT: Chypre:  Onzième jour sans banques à Chypre

Cyprus

Toutes les banques de Chypre ont gardé leur rideau baissé mardi, pour la onzième journée consécutive, et malgré l’annonce tardive de la prolongation de leur fermeture, les Chypriotes ne se sont pas précipités vers les banques mardi matin.

Après avoir initialement annoncé une réouverture mardi, sauf pour les deux plus grosses banques du pays, Laiki Bank et Bank of Cyprus, la banque centrale chypriote a finalement repoussé l’ouverture à jeudi, dans un communiqué publié dans la nuit de lundi à mardi.

Si nombre de Chypriotes avaient prévu de se rendre au guichet, l’information a circulé rapidement et aucune queue ne s’était formée devant les établissements bancaires du centre de Nicosie mardi.

«On finit par s’y habituer», plaisante Paris, gérant d’un salon de coiffure, avant de reconnaître, la mine assombrie, que la fréquentation de son salon a diminué d’au moins un tiers ces dix derniers jours. Les retraits ont été limités à 100 euros par jour, «et quand les gens n’ont pas assez de liquide, ils se concentrent sur l’essentiel», souligne-t-il.

A Nicosie, outre une manifestation devant le parlement, la journée de mardi a été marquée par la démission d’Andreas Artemis, président de Bank of Cyprus, le numéro un du pays.

Selon l’agence de presse chypriote CNA, Andreas Artemis a remis en cause le programme de ­restructuration bancaire négociée à Bruxelles. Celui-ci prévoit l’absorption d’une partie des actifs de Laiki Bank, l’autre partie, c’est-à-dire les avoirs non performants, allant dans une structure de défaisance (bad bank). Le président de Bank of Cyprus conteste cette union forcée, surtout parce que la mariée arriverait avec une dette de 9,5 milliards d’euros.

Une ardoise pour rien? Oui, selon le Cyprus Mail. Le quotidien affirme que cette somme a été ­versée depuis le début de l’année pour maintenir Laiki Bank en ­activité alors même qu’elle n’était plus viable. Bank of Cyprus ne devrait pas faire les frais de l’irresponsabilité de la BCE, qui a continué à financer une structure cliniquement morte, relève le journal.

Décote de 40%?

Les 9,5 milliards auraient été la pomme de discorde entre la délégation chypriote et ses interlocuteurs de la troïka dans la nuit de dimanche à lundi. «Vous rejetez chacune de mes propositions. Voulez-vous que je démissionne? Si c’est bien cela que vous souhaitez, alors dites_-moi», aurait déclaré le président chypriote, furieux. Selon des recoupements, ce dernier aurait été agressif vis-à-vis de Christine Lagarde, directrice du FMI, plus particulièrement lorsque elle aurait proposé une décote de 60% sur les dépôts bancaires.

PLUS DE CHYPRE EN SUIVANT:

Malgré le blocus, sortie en masse des capitaux russes ?

Personne ne sait exactement combien d’argent est sorti des banques de Chypre, ni où il est allé. Les deux banques au centre de la crise, Cyprus Popular Bank, aussi appelée Laiki, et Bank of Cyprus, ont des succursales à Londres qui sont restées ouvertes tout au long du weekend et qui n’ont fixé aucune limite pour les retraits. Bank of Cyprus possède également 80% de la banque russe Uniastrum Bank, qui n’a pas fixé non plus de restrictions sur les retraits exécutés en Russie ».

Dès dimanche, l’un des participants aux négociations a indiqué qu’il ne restait quasiment plus de capitaux dans la banque Laiki, alors qu’elle recelait auparavant 2,5 milliards d’euros de dépôts de clients étrangers

Selon un rapport du BND, l’agence allemande du renseignement extérieur, environ 80 oligarques russes ont obtenu la nationalité chypriote et se seraient ainsi établis sur le territoire de l’UE. Même si leurs comptes étaient bloqués comme ceux des autres citoyens chypriotes dans les banques de l’île, ils pouvaient aisément ordonner des transferts depuis des succursales étrangères de ces banques.

Les responsables de la Banque centrale européenne (BCE) auraient téléphoné aux autorités lettones pour leur signifier que le pays devait fermer les portes aux fonds russes fuyant Chypre, a annoncé mardi le site internet mixnews.lv, citant des sources informées.

Hongkong comme refuge

Les Russes se vexent d’être accusés de blanchir de l’argent à Chypre et rappellent à leur quasi-coreligionnaires orthodoxes qu’ils seront perdants si les liens économiques qui les unissent sont rompus. Les vagues de pétrodollars russes léchant l’île ont largement contribué au boom touristique et immobilier de Chypre, les deux seuls secteurs économiques encore à flot. Echaudés par «l’expropriation», les Russes se trouveront d’autres paradis fiscaux. Hormis les services d’agents chypriotes chargés de faire sortir les liquidités russes de l’île, le thème le plus discuté cette semaine à Moscou est celui des avantages comparatifs des paradis fiscaux. Hong­kong est, paraît-il, LA nouvelle destination.

Les milliards russes encore à Chypre, objet de toutes les convoitises

Attirés par l’argent russe qui dort dans les coffres de l’île, des banquiers genevois s’envolent pour Chypre. Les fonds pourraient également partir pour Hongkong, Singapour ou Dubaï

«Je pars à l’instant pour Limassol, expliquait mardi une gérante de fortune genevoise. Des clients qui utilisaient un compte commercial chez Bank of Cyprus entendent dire qu’il est fort possible qu’ils perdent un tiers de leurs dépôts.» Certains banquiers genevois espèrent faire profiter la clientèle russe de leur savoir-faire en matière de gestion de fortune. «Surtout, la Suisse offre une al­ternative aux yeux de cette clientèle russe maintenant convaincue que Bruxelles peut imposer les mêmes décisions à Luxembourg ou à Monaco», poursuit la gérante, qui préfère garder l’anonymat.

«Depuis quelques jours, tout le monde en Suisse s’attend à un afflux de capitaux russes en provenance de Chypre», confirme l’avocate d’affaires Tetiana Bersheda. Et la Genevoise spécialisée dans la clientèle russophone d’ajouter, en guise d’anecdote, qu’elle «a entendu certains banquiers suisses annuler leurs vacances de Pâques pour se rendre à Moscou démarcher de potentiels clients russes déçus par la crise chypriote».

Mais les Suisses pourraient ne pas être les seuls à profiter de la pause pascale pour partir à la ­recherche de nouveaux clients. «Le premier réflexe [des clients russes, ndlr] sera de rapatrier leurs fonds là où ils ont déjà des comptes. Mais à plus long terme, cet argent partira plutôt vers des places comme Hongkong, moins pointilleuse que chez nous ou que Singapour», suggère Pierre Poncet, associé commanditaire chez Bordier & Cie. Un banquier genevois est d’un autre avis: «Hong­kong est trop liée à Pékin et, après l’épisode chypriote, personne ne souhaite aujourd’hui placer tout son argent entre les mains du gouvernement chinois.» 

«Ici, j’entends parler de Singapour ou de Dubaï… Pour l’instant, les Russes sont dans une position plutôt attentiste», estime pour sa part Elias Neocleous, avocat d’affaires à Limassol. Ce dernier affirme que la Suisse n’est peut-être pas la destination qui sera privi­légiée par les riches Russes qui fuient l’île: «Ils veulent éviter tout ce qui touche à l’Europe…»

6 réponses »

  1. Mercredi 27 mars 2013 : Pourquoi laisser son argent à la banque ?

    Avec les Européens, on peut toujours être sûr que, s’il y a une bêtise à faire, ils la feront. Non seulement parce qu’ils pensent mal, mais surtout parce qu’ils sont plusieurs à penser. Ce qui sort de leurs discussions, ce n’est jamais la sagesse, mais au contraire la décision la plus stupide.

    Ils ont donc réussi à poser la question au niveau mondial de la sécurité des dépôts bancaires. Il fallait véritablement le faire. Tout cela à partir d’un petit problème de quelques milliards, connu depuis de nombreux mois, problème déclenché par les Européens eux-mêmes, à savoir la dépréciation de la dette grecque. Chapeau !
    Un de nos amis et correspondant nous écrit : Pourquoi laisser son argent à la banque ? Pourquoi, en effet. : « Les taux d’intérêt sont à zéro, les frais bancaires augmentent et le système bancaire tangue. De plus, après ce qui s’est décidé pour Chypre, allez savoir si un jour cela n’arrivera pas chez nous, si cela tourne au vinaigre ».

    Notre ami nous envoie un lien que nous vous joignons, il provient du journal suisse Le Matin :
    http://www.lematin.ch/suisse/Ruee-sur-les-billets-de-1000/story/26320705

    Le journal titre sur la ruée sur les billets de banque de 1.000 francs suisses que l’on constate en ce moment. L’euro, nous vous le rappelons, vaut actuellement 1,21 franc suisse. 1.000 francs suisses, c’est donc un très gros billet.
    Les Suisses commencent à garder leur argent chez eux.
    La Banque Nationale Suisse ne s’étonne nullement de ce phénomène. Le billet de 1.000 francs suisses est une réserve de valeur sûre et stable qui permet de conserver ses économies chez soi.

    Comme le dit la BNS : « il est possible de stocker plus d’argent en un espace plus petit ». Une autre personne de la BNS ajoute : « les coûts d’opportunité pour posséder des billets de banque sont très bas » puisque les taux d’intérêt sont quasi nuls.
    Vous trouverez les détails dans l’article que nous vous joignons.

    Notre ami ajoute à cet envoi qu’il préfère pour sa part l’or physique qui, lui, n’est dette de personne et non reproductible à souhait. Il préfère également les billets de banque en dollars depuis que la BNS a décidé le sort du franc suisse à l’euro.

  2. Petite rectification : Les chypriotes n’ont pas attendu les russes pour dynamiser leur économie touristique.C’était d’ailleurs leur principale activité grâce à laquelle ils avaient déjà considérablement amélioré leur niveau de vie. Les russes ont été la « cerise sur le gâteau » dont on surtout profité les financiers… de tout bord et de… toute nationalité. Cherchez à qui profite le crime et renseignez-vous à savoir qui sont ces riches investisseurs qui achètent les belles affaires touristiques de l’île.
    Bonne continuation. Vos articles sont passionnants

  3. Ce que Chypre vient de confirmer, c’est le caractère suicidaire de l’interconnexion bancaire en Europe.

    Nous avons ici une construction qui consiste en un suicide collectif programmé.

    Concrètement : les architectes fous de l’Union Européenne ont construit une espèce d’usine à gaz bancaire.

    A cause de cette interdépendance bancaire, à cause de ces intérêts croisés, à cause de cet enchevêtrement bancaire, l’usine à gaz européenne est EN REALITE un château de cartes.

    Et Chypre vient de nous le confirmer, après cinq exemples précédents.

    Quand la première crise bancaire a fait tomber la Grèce, ça a été la première carte du château de cartes.

    Quelques mois plus tard, la deuxième carte est tombée : l’Irlande.

    Etc, etc.

    Aujourd’hui, la cinquième carte vient de tomber : Chypre.

    Comme dans un château de cartes, cela ne s’arrête pas. Quand ça commence, ça continue, … jusqu’à ce que la dernière carte soit tombée (en clair : la dernière carte à tomber sera l’Allemagne).

    Jeudi 28 mars 2013 :

    Voici les dernières nouvelles de la sixième carte : la Slovénie.

    Slovénie : un conseiller du FMI pressenti pour diriger la Banque centrale.

    Un conseiller du Fonds monétaire international (FMI), Bostjan Jazbec, est pressenti par les autorités slovènes pour prendre la tête de la Banque centrale, alors que le secteur bancaire est au bord de l’implosion faisant ainsi de la Slovénie un pays candidat à une aide d’urgence de l’Union européenne.

    http://www.romandie.com/news/n/_Slovenie_un_conseiller_du_FMI_pressenti_pour_diriger_la_Banque_centrale76280320130038.asp?

  4. Slovénie :

    PIB de la Slovénie : 35,719 milliards d’euros.

    Créances irrécouvrables des banques slovènes : 7 milliards d’euros, soit 20 % du PIB de la Slovénie.

    Parmi les anciens pays communistes, la Slovénie, ex-élève modèle de l’Union européenne et de la zone euro qu’elle a intégrée en 2007, est tombée en récession en 2012 et devrait y rester en 2013. Son système bancaire est confronté à une montagne de créances pourries (7 milliards d’euros, selon un rapport du FMI).

    Lisez cet article :

    Après Chypre, les marchés voient la Slovénie menacée à son tour.

    Si le cas chypriote est présenté par un certain nombre de responsables européens comme « exceptionnel », la gestion du plan d’aide accordé à Nicosie pourrait avoir de lourdes conséquences pour la Slovénie, dont le secteur bancaire montre d’inquiétants signes de fragilité.

    Les rendements des emprunts slovènes à deux ans ont bondi jeudi à près de 7%, dépassant ainsi ceux des emprunts à dix ans, signe que les investisseurs commencent à juger que le risque de défaut est élevé.

    http://bourse.lesechos.fr/forex/infos-et-analyses/apres-chypre-les-marches-voient-la-slovenie-menacee-a-son-tour-866793.php

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