A Chaud!!!!!

Politique friction du Mercredi 29 Mai 2013: Le Parti Socialiste et le Front national ont démenti mercredi toute entente dans le Vaucluse lors des législatives de mai 2012, qui aurait permis l’élection de Marion Maréchal-Le Pen…

Politique friction du Mercredi 29 Mai 2013: Le Parti Socialiste et le Front national ont démenti mercredi toute entente dans le Vaucluse lors des législatives de mai 2012, qui aurait permis l’élection de Marion Maréchal-Le Pen…

Le Parti Socialiste et le Front national ont démenti mercredi toute entente dans le Vaucluse lors des législatives de mai 2012, qui aurait permis l’élection de Marion Maréchal-Le Pen, comme l’écrit lexpress.fr. «Rien de tangible n’accrédite l’idée d’une entente avec le Front national, qui serait inacceptable. Les dirigeants de la Fédération (du Vaucluse) eux-mêmes démentent formellement cette idée», dit-on à la direction du PS.

Selon lexpress.fr, «il y aurait eu échange de bons procédés» dans le Vaucluse entre le PS et le FN. 

Il aurait consisté, selon le site, dans le «maintien de la socialiste (Catherine Arkilovitch, au deuxième tour) dans la circonscription de Marion Le Pen contre le maintien de la candidate FN dans la circonscription voisine, la 5e du Vaucluse, où le socialiste Jean-François Lovisolo avait besoin de la présence du FN au second tour pour l’emporter face à l’UMP». 

Juste une mission d’information 

Catherine Arkilovitch, arrivée 3e au premier tour, derrière l’UMP et le FN, s’était finalement maintenue au second tour contre les consignes nationales du PS. Son suppléant, Roland Davau, s’était retiré pour protester et avait appelé à voter UMP contre le FN.

«Arkilovitch s’est maintenue parce qu’elle détestait (Jean-Michel) Ferrand», le candidat UMP finalement battu par Marion Maréchal-Le Pen, indique-t-on aussi dans l’entourage de celle-ci. Au final, dans la 5e circonscription du Vaucluse, la candidate FN Martine Furioli-Beaunier s’était retirée, contre les consignes de son parti, pour aider le candidat UMP finalement élu. Selon L’Express.fr, Marc Mancel, membre du Conseil national (parlement) du PS, s’est rendu en mars dans le Vaucluse et s’apprête à remettre un rapport «très à charge» au Premier secrétaire du PS, Harlem Désir.

Source AFP 29/5/13

A PROPOS PAR BRUNO BERTEZ

   Cette information est moins troublante qu’il n’y parait. Elle n’est même pas scandaleuse si on se place du point de vue de la morale ou absence de morale qui règne en politique;

En politique tous les moyens sont bons pour gagner ou pour faire perdre les autres. 

Bien entendu, il ne faut pas se faire prendre, les électeurs doivent ignorer ce qui se trame dans les coulisses afin que soit maintenue l’illusion du peuple qui choisit souverainement.

Nous ignorons si dans le cas présent, il y a eu accord occulte, implicite ou autre entre les soi-disant ennemis. Il ne faut pas oublier par ailleurs que ce genre de chose se passe au niveau local et que les relations de personnes sont déterminantes, elles priment sur les relations ou animosités politiques.

En revanche, nous pouvons témoigner de la réalité des accords explicites entre certains milieux d’extrême droite et l’entourage de Mitterrand d’une part et de l’entourage de Bérégovoy d’autre part. 

Non seulement des pactes de non-agression ont été conclus entre les socialistes et certaines organisations d’extrême droite, mais en outre de l’argent a changé de mains. Si, en politique, on pouvait suivre la trace de l’argent, non seulement on aurait des surprises, mais on s’apercevrait que la France n’est pas vraiment coupée en deux comme on le dit. 

Pactes de non-agression électorale et à plusieurs reprises stratégies convergentes afin d’affaiblir dans certains cas , des organisations-soutiens de la droite parlementaire. 

Nous ne parlons pas, des passerelles historiques qui existaient entre l’extrême droite et Mitterrand, elles sont maintenant bien connues, il y a des ouvrages sur cette question. 

Non nous parlons d’accord politiques et para politiques dans les années après 81. 

Les passerelles, les officines, les entremetteurs n’ont pas tous disparu.

1 réponse »

  1. Cette information est moins troublante qu’il n’y parait. Elle n’est même pas scandaleuse si on se place du point de vue de la morale ou absence de morale qui règne en politique;
    En politique tous les moyens sont bons pour gagner ou pour faire perdre les autres.

    Bien entendu, il ne faut pas se faire prendre, les électeurs doivent ignorer ce qui se trame dans les coulisses afin que soit maintenue l’illusion du peuple qui choisit souverainement.

    Nous ignorons si dans le cas présent, il y a eu accord occulte, implicite ou autre entre les soi-disant ennemis. Il ne faut pas oublier par ailleurs que ce genre de chose se passe au niveau local et que les relations de personnes sont déterminantes, elles priment sur les relations ou animosités politiques.

    En revanche, nous pouvons témoigner de la réalité des accords explicites entre certains milieux d’extrême droite et l’entourage de Mitterrand d’une part et de l’entourage de Bérégovoy d’autre part.

    Non seulement des pactes de non-agression ont été conclus entre les socialistes et certaines organisations d’extrême droite, mais en outre de l’argent a changé de mains. Si, en politique, on pouvait suivre la trace de l’argent, non seulement on aurait des surprises, mais on s’apercevrait que la France n’est pas vraiment coupée en deux comme on le dit.

    Pactes de non-agression électorale et à plusieurs reprises stratégies convergentes afin d’affaiblir dans certains cas , des organisations-soutiens de la droite parlementaire.

    Je ne parle pas, des passerelles historiques qui existaient entre l’extrême droite et Mitterrand, elles sont maintenant bien connues, il y a des ouvrages sur cette question.

    Non je parle d’accord politiques et para politiques dans les années après 81.

    Les passerelles, les officines, les entremetteurs n’ont pas tous disparu.

Laisser un commentaire