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Politique Friction du Jeudi 13 Février 2014: Oui, il y a bien un fascisme français! Par Bruno Bertez
Aïe! Cela fait mal, n’est-ce pas?
Les historiens et histrions ont rivalisé d’ardeur depuis la fin de la seconde guerre mondiale afin de trancher sur ce qu’ils considèrent être la question fondamentale: y a-t-il oui ou non un fascisme français?
La France a-t-elle été fasciste avant et pendant la seconde guerre mondiale?
Y a-t-il actuellement une possibilité de développement d’une tendance fasciste en France?
Tout de suite, clarifions, le fascisme ne se confond pas avec le racisme et l’antisémitisme, cela, c’est de la ragougnasse de socialiste ignare ou malhonnête.
Le fascisme, c’est un certain type d’organisation politique et économique, complexe, avec des variantes, mais il ne se définit pas par le rejet raciste ou antisémite: il se définit par un certain Ordre dit Nouveau, qui vise à donner à un pays, une communauté, les moyens de sortir d’une situation d’humiliation historique, le fascisme a à voir avec la revanche et le désir de regagner son rang. Car le fascisme a à voir avec le déclin, la perte du rang.
L’une des caractéristiques du fascisme, c’est le dépassement du clivage droite/gauche, l’appel au dépassement « en avant », les divisions et la lutte des groupes sociaux étant considérées comme l’une des causes de la régression.
Une école autour de René Rémond considère qu’il n’y a pas eu en France de fascisme avant ou pendant la guerre, sauf très marginalement.
Une autre école (voir Zeev Sternhell) au contraire, on s’en serait douté, soutient qu’il y a bien un fascisme français et que, même, ce fascisme français a servi de modèle et de matrice aux autres fascismes européens.
Nous sommes de l’avis de Sternhell, il y a bien une tentation fasciste française et elle tire ses origines du révisionnisme marxiste et de ses prétentions à l’universel. Le socialisme a pour fondement la négation de l’homme réel, la négation de la valeur irréductible de l’individu, la négation des identités, des différences et la réduction de l’homme à sa citoyenneté, laquelle doit être au service du Groupe ou de la Nation. Le sacrifice, la détention de la Vérité par quelques-uns, les chefs, le mythe du fer de lance qui conduit, qui éclaire, tout cela est du marxisme révisé.
Cette tendance socialiste croit à l’homme nouveau, à l’homme universel, qui est le contraire du Surhomme Nietzschéen, n’en déplaise aux commentateurs superficiels de Nietzsche. Pour le penseur allemand, au contraire, cet homme est un sous-homme et non pas un surhomme. Les erreurs et contresens ont la vie dure. Nietzsche n’est pas plus pour la soumission à la religion ou à la morale, qu’au chef qui brandit l’idéologie. L’idéologie est une religion!
Le fascisme est certainement un avatar des thèses révolutionnaires françaises, des thèses révisionnistes marxistes. Il ne peut être imputé, par exemple, aux analyses et travaux de Marx dans la mesure où le Projet de Marx est la fin de l’aliénation et la libération de l’individu. Ceci a été bien analysé par Raymond Aron. Le marxiste, lorsqu’il ne s’arrête pas en route, à l’étape du fascisme nomenklaturien, comme ce fut le cas lors de la Révolution manquée de l’URSS, est une philosophie de la liberté. Marx aurait pu reprendre à son compte, en l’appliquant à toutes les idéologies, et surtout y compris à la sienne, ce cri de Bakounine « et si vraiment dieu existait! Il faudrait s’en débarrasser! ». Marx reconnait que le moteur du progrès, comme nous le soutenons, est l’affrontement, les luttes, il récuse l’idée d’un « ni droite ni gauche ». Ce qui est le credo des fascistes.
La tentation fasciste française, nous la rencontrons chaque jour, mais encore plus ce jour.
Nous lisons que Montebourg vient de déclarer « la concurrence ce n’est pas une politique, c’est l’absence de politique ».
Montebourg rejoint X-Crise et les vrais fachos de la synarchie et de la Cagoule, les futurs collabos, qui voulaient que l’on sorte de la concurrence et que l’on organise des solidarités entre les firmes afin qu’elles puissent mieux affronter les marchés extérieurs.
Montebourg, c’est « O temps suspend ton vol » du fascisme classique avec le ralentissement de « l’innovation pour préserver ceux qui sont en place ».
Montebourg, c’est le plaidoyer pour une entente -les corporations- entre les concurrents afin de faire face à la concurrence extérieure.
En attendant, l’union sacrée du grand capital et du travail que le Medef /CGPF appelle certainement de tous ses vœux.
BRUNO BERTEZ Le Jeudi 13 Février 2014
illustrations et mise en page by THE WOLF
EN LIENS: Politique Friction du Mardi 11 Février 2014: L’homme universel Par Bruno Bertez
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USA:…5e suicides de banquier?
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EUROPE:…drogue et prostitution comptabilisés dans le PIB?
VENEZUELA:…en faillite?
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FRANCE:…vers une réforme en profondeur de l’assurance chômage
FRANCE:..BNP baisse des résultats…chute des ventes immobilières dans le neuf
http://www.europe1.fr/Immobilier/Immobilier-dans-le-neuf-les-ventes-s-effondrent-1800033/
FRANCE:…titres restaurant, compte pay- pal, sources de blanchiment? (= on voit partout du blanchiment/fraude sauf là où il est le plus conséquent)…cac40 et paradis fiscaux
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GRECE:…moitié des immeubles d’Athènes sans chauffage…chômage 28%
http://www.europe1.fr/International/Avec-la-crise-un-hiver-sans-chauffage-a-Athenes-1799977/
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Fracture Nord/Sud de l’Europe
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Google restaure le hangar des dirigeables des années 30….ordinateur quantique arrive
http://www.timemediakit.com/the-infinity-machine/
Essor du paiement biométrique, au métro à Washington, lecteur de puce chez les distributeurs américains,
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Bonjour,
J’ai tendance à simplifier comme suit les principaux types d’organisation politique, à savoir que le fascisme, c’est l’individu soluble dans l’état, le marxisme (ou sa variante soft, le socialisme), c’est l’individu soluble dans les classes, le nazisme, c’est l’individu soluble dans la race et le libéralisme, c’est simplement l’état, les classes et la race solubles dans l’individu. Pour connaître la nature profonde du régime dans lequel nous évoluons, il suffit de regarder à quelle(s) catégorie(s) nous nous rattachons. Le résultat n’est pas nécessairement celui auquel on pense et c’est assez inquiétant pour l’avenir.
Vous soulignez à juste titre le lien de parentalité très fort qui existent entre l’X-crise et la Synarchie et la technocratie qui a pris le pouvoir dans ce pays. La période vichyste a été le marche-pied que l’Histoire a mis en place pour que cette conception de la vie publique s’installe dans notre pays, installation rendu d’autant plus facile que le Colbertisme et le Bonapartisme avaient largement préparé le terrain. Très et trop peu nombreux sont les ouvrages qui soulignent cet état de fait et seul un mensonge institutionnalisé peut et a pu laisser croire que notre actuelle société est sortie telle quelle des réflexions du Conseil national de la résistance, paravent commode à toutes les compromissions de l’Occupation. L’influence de Vichy est restée souterraine mais c’est bien sous Pétain et Laval que les graines ont été semées. On en voit maintenant les conséquences délétères surtout après l’impulsion forte donnée sous Mitterand qui, je le crois profondément, n’a jamais renié ses engagements de jeunesse, son engagement à « gauche » étant du principalement au positionnement de son principal adversaire à « droite » (je vous laisse deviner ce qui ce serait passé dans le cas contraire). En bon opportuniste et fin politique, il a su s’emparer de l’outil indispensable à la conquête du pouvoir. Lui disparu et bien qu’il ait adoubé son pâle successeur, pur produit radical-socialiste, le naturel est très rapidement revenu au premier plan, vos différentes citations en témoignent.
Plus inquiétant est à mon sens l’alignement de plus en plus inconditionnel de notre pays et de l’Europe aux désidérata des USA. Non pas que je critique la politique suivi par ce grand pays (après tout, les pays n’ont pas d’amis, que des intérêts et il est normal que ces derniers soient défendus) mais il est assez pitoyable de voir le chef de l’état allez lui faire allégeance de manière aussi ostensible et se comporter en bon chien fidèle. Finalement, les américains ont fini par installer l’AMGOT 70 ans après le débarquement et à imposer leur monnaie pour mieux contrôler le vieux continent. On doit leur reconnaître une opiniâtreté impressionnante et un remarquable talent de joueur d’échec. Chapeau bas.
Bonne journée
Le ventre immonde c’est celui qui accouche de la masse des hommes universels, abstraits, sans identité.
Le Projet de l’individu est de s’élever vers l’universel, à partir de ce qu’il est, à partir de ses déterminations, Il n’est pas d’effacer ce qu’il est, mais de le dépasser. L’homme qui veut faire l’ange fait la bête: On ne se réalise qu’en sachant qui on est et d’où l’on vient:
L’individu soluble dans l’état, c’est un sujet majeur de réflexion: J’ajoute l’individu soluble dans la République afin de faire un sort à ceux qui mettent l’accent sur la République pour éviter de le mettre sur l’état: Le phénomène de base du fascisme c’est le désordre, contrairement aux idées superficielles reçues: L’ordre , c’est quand chacun est à sa place en fonction de ce qu’il est en fonction de ses caractéristiques, en fonction de son identité.
Le désordre c’est quand tout est indifférencié, fusionnel, on n’y reconnait plus rien dans une gigantesque « Masse ». Le mot est prononcé, le mot clef du fascisme c’est le mot « MASSE ».
C’est en ce sens que les idéologies du socialisme et du marxisme réformiste font le lit du fascisme, ces idéologies massifient, elles nient les déterminations individuelles pour les remplacer par un Projet abstrait qui prétend à l’universel. Ce Projet n’est possible que si d’abord, on a détruit les déterminations individuelles et réduit l’homme concret à une prétendue essence que l’on fait croire comme commune à toute l’humanité. Il faut remplacer, le mot de remplacisme est un bon choix soit dit en passant, il faut remplacer ce qui existe, ce qui est unique, singulier par une équivalence: D’où l’usage par tous ces gens, in finie du terme « citoyen ».
Brecht disait : Le ventre est encore fécond d’où est sorti la bête immonde ». C’était une formule et elle a été utilisée par les nouveaux fascistes: Car que fait Brecht? Il trompe en ne disant pas quel est ce ventre immonde: Il évite de le définir, il ne fait que le qualifier: Or ce ventre immonde c’est celui de la négation des individus concrets, des sociétés structurées par leurs différences, et leur remplacement par la masse de sujets (au sens d’obéissants) ou objets (au sens de manipulés) par les chefs qui brandissent l’idéologie.
Le ventre immonde c’est celui de l’idéologie qui fait se sacrifier les hommes concrets au profit de signes, de page blanches, de sacs à merde dont on fait ce que l’on veut en utilisant pour ce faire une propagande qui n’est jamais désintéressée..
Le ventre immonde c’est le socialisme réformiste, le marxisme réformiste, celui qui vient d’en haut et sait mieux que les gens, mieux que la société civile. Le socialisme constitue une mise en ordre de la société par des idées simples donc attrayantes fondée sur l’égalitarisme, en particulier. Et cette mise en ordre c’est le ventre, le fameux ventre de Brecht.
Oui il y un fascisme Français et c’est bien, pour nous la matrice des fascismes concrets, historiques qui sont venus dans l’histoire. La culture de l’abstraction, de la réduction de l’homme réel , du contrat social bidon façon Rousseau, tout cela fait le lit culturel , structurel, constitutif, du fascisme. Personne n’a jamais signé à ma connaissance un contrat social façon Rousseau, ce sont des mythes de ce genre qui constituent les socles, les ventres, d’où sortent les fascismes. Les racismes, les antis sémitismes sont des produits de cette culture de réduction et d’abstraction et de refus des déterminations individuelles.
Que font les anti sémites ? ils attribuent l’universel, la dictature de l’universel, quelquefois amalgamée à l’argent, aux juifs. Nous sommes en présence d’une recherche de bouc émissaire dont la logique consiste à essayer de trouver dans une représentation concrète un support à sa haine et à son refus d’être « universalisé». D’ou le recrutement antisémite, il se fait dans les couches les plus primaires de la population, les couches les plus archaïques, les plus enracinées. Ces couches qui subissent un phénomène, un laminage, une réduction, mais ne sont pas capables de les verbaliser, de les comprendre, de les assimiler et donc de se déterminer face à lui.
Dans un texte du 30 juillet 1940, Abetz disait » Le climat antisémite au sein du peuple Français est tellement fort qu’il n’a pas besoin de notre part d’être renforcé` » ( source Rossignol, Vichy et les francs maçons Editions Lattès 1981, p 99).
Ce climat, cette culture sont l’avatar des idées du socialisme réformiste qui se sont développées au cours des années 30. Quand culturellement, on a, pendant des années favorisé l’endoctrinement qui nie l’homme réel, concret. et imposé l’homme dit universel, quand on a vidé le sac des déterminations riches et complexes de l’homme vivant, alors quand ce sac est vide, il est facile de le remplir de merde. Merde n’est pas une grossièreté dans l’usage présent, c’est un symbole.
Rien d’étonnant si 96 francs maçons universels sur 116 ont voté les pleins pouvoirs à Pétain.
Rien d’étonnant si les proches de Jaurès comme Compère Morel ont prôné et réalisé la collaboration avec l’Allemand.
Rien d’étonnant si on retrouve à Vichy ou au RNP, les Laval, les Bergery, les Celor, les Challaye, les Déat, les Doriot ou Dumoulin ou Jospin, ou Lagardelle ou de Monzie.
Ce sont des gens connus, voire célèbres, mais on oublie qu’ils sont sortis du ventre immonde de la négation de l’homme concret, ils sont sortis du ventre immonde de l’homme abstrait, universel, celui que veulent depuis toujours imposer les socialistes …de droite comme de gauche.
Le fascisme:c’est LE MAL
Le MAL:C’est « LE DIABLE »
3 mondes
Le monde végétal:il n’en a cure
Le monde animal:il en ferait piètre usage
Le Monde des Humains
(Voilà un profil idéal)
il est une réalité parce que l’Homme existe
Vous voulez adhérer à cette réalité:NON!
Alors mettez vos comportements en accord avec votre Conscience
et commencez par
Ne pas penser qu’à VOUS
Ne pas exister que pour VOUS
Chaque fois que vous vous servez sans penser à « l’autre »
vous le servez
vous servez le mal
vous servez le FASCISME
Il n’est pas indispensable de chercher le fasciste chez l’autre
il s’immiscie en chacun de nous
La vigilance n’est pas un luxe
C’est un combat continuel contre nous même
bien plus âpre que celui qui consiste à » voir la paille dans l’oeil du voisin »
L’Homme est entièrement à « revoir »
tant la manipulation l’a dénaturé
Se soucie-t-on souvent de « son prochain »
Ni de près ni de loin,je suis un « religieux »
seulement un père de famille,et grand-père
qui essaie « quelque chose » pour que votre futur soit HUMAIN
Bruno
le texte ne s’adresse à personne en particulier
le tu ou le vous
c’est chacun de nous
Bonjour,
C’est le philosophe espagnol José Ortega y Gasset qui a le mieux pressenti ce que nous traversons actuellement et ce, dès 1929. Dans son ouvrage « La révolte des masses » disponible dans l’excellente maison « les Belles lettres », il décrit ainsi l’avènement de ce qui l’appelle « l’homme masse »: « Cet homme-masse, c’est l’homme vidé au préalable de sa propre histoire, sans entrailles de passé, et qui, par cela même, est docile à toutes les disciplines dites «internationales». Plutôt qu’un homme c’est une carapace d’homme, faite de simples idola fori. Il lui manque un «dedans», une intimité inexorablement, inaliénablement sienne, un moi irrévocable» (p. 58). » Du coup, cet homme-masse en est réduit, faute de connaître et de comprendre d’où il vient, à critiquer toutes les valeurs de l’Occident lui ayant permis d’accéder à un niveau de vie élevé, et semble prêt à se retourner contre cette civilisation qualifiée de complexe et subtile qu’il ne serait plus capable d’appréhender.
Je ne peux qu’encourager à la lecture de cet ouvrage majeur du XXème siècle. Pas toujours facile d’approche, il donne des clés indispensables à la compréhension de ce que nous vivons. A défaut de lire, Juan Asensio sur son blog Stalker en livre une très bonne critique (http://www.juanasensio.com/archive/2010/11/14/la-revolte-des-masses-de-jose-ortega-y-gasset.html) .
Bonne journée
bonjour,
Fascisme ? Oh la la ! quel vilain mot !
La République française a le fascisme à la française et depuis 1792 = le jacobinisme : pas de pouvoir judiciaire, une séparation pro-forma de ce qu’il reste des pouvoirs exécutif et législatif ! Quant à la garantie des droits : de la propriété, de la sûreté, de la résistance à l’oppression ? Si quelqu’un voulait nous développer cela …
Sous l’aspect que vous évoquez , le fascisme francais a bien débuté avec le Révolution lorsque ces gens ont eu la prétention de constituer le Phare du monde et ont entrepris de dévaloriser tout ce qui ne rentrait pas dans leur conception de l’Universel, c’est à dire dans leur idée de l’essence de l’homme dont ils étaient les détenteurs.
Il ne leur est pas venu à l’idée que le seul homme universel qui existe, c’est l’homme concret que l’on retrouve partout sur terre, à la fois même et différent.
On en voit les ravages dans les « nations building » criminels soit-disant libérateurs et démocratiques qui sont en cours avec la France comme minable supplétif du capital financier dominé par les anglo-saxons. Il faut imposer le grand désordre de la massification.
L’extension du marché mondial par la négation des différences et surtout la construction de nouvelles équivalences réductrices, par la destruction des formes opposées au laminage global est une entreprise fasciste. Elle repose à grande échelle sur l’alliance des classes kleptos qui veulent garder leur statut et leurs richesses malgré l’innovation et le progrès qui les largue, avec les gouvernements du type UMPS, avec les fonctionnaires, avec les marginaux.
Ce qui se propage, ce n’est pas L’Universel , celui de la science, du progrès, de l’asymptote vers la vérité et la dignité de l’homme , non, ce qui se propage c’est le renversement de l’universel à leur profit. Celui des Maître qui savent mieux que ceux qui lui abandonnent leur souveraineté pour un plat de lentilles.
la Grande Bretagne, dit le Maître Viviane Reding, ne peut se déterminer sur un vote pour ou contre l’Europe parce que les anglais sont ignorants!
Quand un nomenklaturiste dit: nous n’avons pas assez expliqué , traduisez: nous n’avons pas assez persuadé, trompé, bourré les cranes.
Samedi 15 février 2014 :
Un sondage explosif :
Question de l’institut de sondage Ifop :
« Vous personnellement, êtes-vous favorable ou opposé à ce que la France remette en cause les accords de Schengen et restreigne les conditions de circulation et d’installation des citoyens européens sur son territoire ? »
Personnes âgées de 18 à 24 ans : 60 % de favorables.
25 à 34 ans : 54 % de favorables.
35 à 49 ans : 62 % de favorables.
50 à 64 ans : 59 % de favorables.
65 ans et plus : 57 % de favorables.
Total : 59 % de favorables.
L’Europe sous le choc : 59% des Français favorables à une restriction des conditions de circulation et d’installation des Européens dans le cadre des accords de Schengen
Les Français se disent majoritairement favorables à une limitation de la circulation des immigrés européens en France, et donc à une remise en cause du traité de Schengen. C’est un des piliers de la construction européenne qui est ainsi contesté par l’opinion publique.
http://www.atlantico.fr/decryptage/59-francais-favorables-restriction-conditions-circulation-et-installation-europeens-dans-cadre-accords-schengen-jerome-fourquet-982672.html?page=0,0