Behaviorisme et Finance Comportementale

Mon Amie c’est la Finance!: DSK « deuxième gauche  » prospère pépère dans les affaires!

Mon Amie c’est la Finance!: DSK « deuxième gauche  » prospère pépère dans les affaires!

EN LIEN: Humeur de Loup du Jeudi 24 Avril 2014: Delah(ouste), Sinclair- Amicalement Votre pour un « Vendredi Saint!  » Par Bruno Bertez

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Retiré de la vie politique, Dominique Strauss Kahn se consacre totalement aux affaires. Il a créé un fonds d’investissement et monnaye son expertise économique à prix d’or.

Foudroyé par l’affaire du Sofitel en mai 2011, l’ex-présidentiableDominique Strauss-Kahn ne s’en est jamais relevé politiquement. Mais DSK l’ex-président du Fonds monétaire international, lui, se porte plutôt bien. Depuis sa première réapparition publique à un forum économique à Pékin en décembre 2011, DSK capitalise patiemment sur son expertise économique et son carnet d’adresse hors norme, qu’il monnaye au prix fort.

Ses activités dans le conseil et l’expertise ont un nouveau nom: le DSK Global Investment Fund. Créé fin mars, ce fonds d’investissement qu’il gérera de concert avec sa fille s’appuie uniquement sur son expertise macroéconomique pour gérer ses actifs. Aux côtés de Thierry Leyne, un banquier avec qui il a co-fondé la banque d’affaires LSK & Partners, il parcourt le monde pour séduire des investisseurs potentiels. Les deux hommes se sont rencontrés en 2012. Ingénieur de formation, basé à Tel Aviv, Thierry Leyne a fondé une banque d’affaires florissante baptisée Anatevka. De son alliance avec DSK naîtra la société «Leyne, Strauss-Kahn & Partners», ou LSK. Cotée en Bourse, la nouvelle structure pèse 81 millions de dollars. Elle est détenue à 26% par Thierry Leyne et à 18% par Dominique Strauss-Kahn via sa société Parnasse.

Retour en grâce?

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Le lancement du fonds DSK Global Investment Fund marque un passage à la vitesse supérieure pour les deux hommes. «Nous n’avons fait que répondre à une très forte demande, assure Thierry Leyne. Notre clientèle veut systématiquement connaître l’avis de Dominique sur la crise en zone euro, la position de telle banque centrale ou la situation financière de tel pays». La stratégie est simple: Dominique Strauss-Kahn distille ses conseils, et Thierry Leyne les traduit en décisions d’investissements. Les deux partenaires voient grand. Ils espèrent lever deux milliards de dollarsessentiellement auprès d’investisseurs institutionnels: Etats, fonds souverains ou fonds de pensions. Si le ticket d’entrée théorique est à 200.000 dollars, les sommes engagées se comptent plutôt en dizaines, voire en centaines de millions de dollars, assure Thierry Leyne. Les clients se trouvent essentiellement dans les pays émergents comme la Chine ou la Russie. «On n’a été chercher personne, ce sont nos clients qui sont venus à nous», assure Thierry Leyne. Ce qui explique pourquoi leurs activités sont beaucoup moins développées aux Etats-Unis ou en Europe, où Dominique Strauss Kahn traîne toujours ses déboires judiciaires comme un boulet. «Mais personne ne nous a dit qu’on était persona non grata», précise le banquier qui n’exclut pas de se développer un jour en France.

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Parler d’un retour en grâce de Dominique Strauss Kahn à Paris serait prématuré. Mais ses sorties savamment distillées dans la presse, où il ne se prive pas d’égratigner François Hollande, sont de mieux en mieux acceptées. Il sera l’invité jeudi de David Pujadas, en sa qualité d’économiste, lors d’une soirée spéciale Euro où DSK ne compte pas s’éloigner du sujet. «Il n’y a que les journalistes français qui parlent des affaires privées de Dominique, lance Thierry Leyne. Ce n’est plus un sujet.» Fini, l’époque où ses interventions à Cambridge ou Bruxelles en 2012 soulevaient l’indignation et s’accompagnaient de protestations d’associations féministes? La réhabilitation médiatique de Dominique Strauss Kahn semble loin d’être acquise. Ses initiales sont encore indéniablement associées à l’affaire du Sofitel, mais aussi du Carlton qui n’est toujours pas soldée. En témoigne la récente sortie de «Dodo la saumure», qui a ouvert une nouvelle «maison de plaisir» en Belgique, sobrement baptisée le «Dodo Sex Klub»… ou DSK.

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http://www.lefigaro.fr/politique/2014/05/14/01002-20140514ARTFIG00218-dsk-prospere-dans-les-affaires.php#xtor=AL-155

Genève au cœur de la galaxie Leyne Strauss-Kahn

 L’ex-ministre des Finances français dirige un groupe financier actif à Genève dans la gestion de fortune. Fondé par Thierry Leyne, l’ensemble contrôle également une petite société vaudoise, Firstcaution SA, qui propose des garanties de loyer. Le grand projet du groupe LSK reste le lancement d’un «hedge fund» nommé DSK, qui espère attirer à lui 2 milliards d’euros de souscription….

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Les locataires romands ont accès à un service exclusif: leur loyer garanti par l’ex-patron du Fonds monétaire international. Il leur suffit de se tourner vers Firstcaution SA, société installée à Nyon (VD) et appartenant au groupe financier Leyne Strauss-Kahn & Part­ners (LSK).

Auparavant nommé Anatevka – nom inspiré du shtetl russe du début du siècle inspirant la comédie musicale Un violon sur le toit –, cet ensemble d’une centaine de collaborateurs a été fondé par le financier Thierry Leyne il y a vingt ans. En France, ce dernier a participé au démarrage de la banque en ligne Consors ou de la Financière de l’Echiquier, firme de fonds de placement. Dominique Strauss-Kahn en a pris la tête en septembre 2013, obtenant 18% de parts via une augmentation de capital. Le cours des actions LSK à la bourse de Paris – sur son segment non réglementé – prête une valeur de 15 millions d’euros à sa participation. Le rôle de Dominique Strauss-Kahn «touche tous les domaines – responsable de la stratégie du groupe, il est, sur le plan opérationnel, l’expert qui oriente la gestion du fonds de placement», explique Thierry Leyne.

L’ancien maire de Sarcelles – ville de banlieue parisienne – préside ainsi aux destinées d’Assya A.M., l’entité de gestion de fortune du groupe au service de clients lui confiant un minimum de 20 millions d’euros. Quinze personnes travaillent dans son antenne genevoise, installée il y a deux ans et demi dans l’immeuble noir de la Chase. «Nous n’avons pas de clients français; historiquement, la patronne de la filiale s’occupait d’une clientèle en Europe centrale», assure Thierry Leyne, joint hier au téléphone à Shanghai.

Ce dernier, qui réside à Tel-Aviv après dix ans passés à Genève, s’est lancé dans la garantie de loyer en 2008 avec Firstcaution, autre filiale du groupe LSK. Affichant 3,5 millions de francs de chiffre d’affaires, la société est sortie du rouge l’an dernier. Ses comptes ont été approuvés «avec réserve», les auditeurs écrivant «n’être pas en mesure de vérifier» une créance de 2,1 millions attendue d’une «banque étrangère».

Basée au Luxembourg, la filiale du groupe chargée de la gestion du fonds de placement «DSK Global Investment» est l’activité qui attire toute l’attention sur la nouvelle vie de l’ex-ministre français des Finances. Enregistrée à Luxembourg, cette Sicav investit l’argent confié en s’inspirant de «l’analyse de pointe de M. Strauss-Kahn en termes de macroéconomie», explique Thierry Leyne. Inventé il y a quarante ans par George Soros, ce type de stratégie est appelé «global macro». Ce produit n’est «en rien un fonds spéculatif», s’empresse de corriger l’ancien patron d’Anatev­ka, précisant qu’il n’y aura, par exemple, pas d’emprunts destinés à décupler les «coups» sur les marchés.

Les montants des souscriptions espérées par ses initiateurs – «démarrer avec plusieurs centaines de millions d’euros» pour atteindre «2 milliards d’ici à un an», selon Thierry Leyne – suscitent l’incrédulité de certains sur la scène des «hedge funds». «Peut-être que les clients pensent que DSK fera tourner son Rolodex pour appeler des banquiers centraux ou des ministres afin d’avoir des tuyaux sur ce qu’ils pensent», glisse Laurent Chevallier, gérant pour Eurofin Capital d’un autre fonds dit «global macro». Soulignant que la vista et l’entregent prêtés à Dominique Strauss-Kahn «ne sont en rien une garantie de succès», il rappelle «les performances mitigées des fonds lancés par des économistes dans le passé». De son côté, un intermédiaire lausannois du monde de la gestion collective rappelle cependant que certaines sociétés financières restent attirées par «des fonds offrant aux clients, en bonus, des conférences – voire des conseils – d’intervenants en vue à leurs souscripteurs».

Exigeant l’anonymat pour s’exprimer, un financier genevois s’étant vu proposer de souscrire au fonds estime pourtant «que DSK ne semble avoir aucun problème à faire entrer de l’argent venant d’Asie, d’Amérique latine et de Russie». Selon ce dernier, ces apports seraient facilités par les «contacts de très haut niveau» ayant sollicité les conseils stratégiques du patron du FMI. Disant «ne pas trop comprendre comment ils mettront leurs idées en application», le financier a décliné l’offre «en leur souhaitant bonne chance».

Genève jouera un rôle important dans la vie de ce fonds DSK. Son directeur opérationnel, Mohamad Zeidan, y est déjà établi. Son CV le présente comme conseiller pour Airbus au Moyen-Orient, enseignant à la «business school» de l’Université américaine de Beyrouth mais aussi, en France, docteur en médecine spécialisé dans «l’immunopathologie». Mais en rien comme un vieux routard des «hedge funds». La recherche du fonds est également installée dans une partie des bureaux occupés rue du Rhône, à Genève. Elle sera dirigée par Vanessa Strauss-Kahn. Fille d’un premier mariage de l’ex-ministre socialiste cette dernière enseigne à l’ESCP, l’une des grandes écoles françaises les plus cotées. Auteur de travaux publiés dans des revues reconnues, elle y dirige la recherche.

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PAR PIERRE-ALEXANDRE SALLIER/ Le Temps 15/5/14

http://www.letemps.ch/Page/Uuid/5d229a80-db9a-11e3-bf49-e55884b592d3/Gen%C3%A8ve_au_c%C5%93ur_de_la_galaxie_Leyne_Strauss-Kahn

Le film le plus attendu de Cannes n’y est pas PAR NORBERT CREUTZ CANNES

«Welcome to New York» d’Abel Ferrara sur l’affaire DSK court-circuite le festival. Non sélectionné, il sera lancé en VoD le samedi 17 mai

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Est-ce juste l’épilogue d’une vieille histoire ou bien le début de quelque chose de beaucoup plus important? Le 17 avril, on apprenait que le très attendu Welcome to New York d’Abel Ferrara avec Gérard Depardieu, film inspiré par les déboires de l’ancien directeur du FMI et candidat non déclaré à l’Elysée Dominique Strauss-Kahn, n’avait pas été sélectionné par le délégué général du Festival de Cannes, Thierry Frémaux. Il ne figure pas non plus dans les sections parallèles de la Quinzaine des réalisateurs et de la Semaine de la critique (auxquelles il n’a pas forcément été proposé). Puis son producteur, Vincent Maraval, a fait savoir que le film connaîtrait quand même sa première mondiale durant le festival, dans le cadre du Marché du film (quelques médias triés sur le volet, dont Variety et le Hollywood Reporter l’ont déjà critiqué lundi), avant d’être proposé au public en VoD à partir du 17 mai.

Que l’affaire DSK, qui avait éclaté en plein festival de Cannes 2011 – au point de l’éclipser en partie –, y revienne sous forme d’un film relève d’une certaine logique. L’an dernier déjà, une mystérieuse bande-annonce avait fait surface sur Internet le jour du début du festival, «fuitée» par un technicien indélicat, puis retirée. Tandis que DSK s’affichait au bras d’une nouvelle compagne, Maraval s’activait en coulisses pour boucler le financement de sa «bombe», plus difficile que prévu. Mais il y a fort à parier que l’issue n’est pas vraiment celle souhaitée par les auteurs, tant le réalisateur new-yorkais que la société de production française Wild Bunch étant des habitués de la Sélection officielle.

En réalité, à en croire des révélations du Nouvel Observateur, ils auraient tout mis en œuvre pour être de la fête. Après tout, Cannes n’a pas la réputation de reculer devant des sujets sulfureux. Et, même si le tournage ne fut pas une sinécure suite à la défection de sa vedette féminine (Isabelle Adjani, annoncée dans le rôle inspiré d’Anne Sinclair, jeta l’éponge après lecture du scénario pour se voir finalement remplacée par la revenante Jacqueline Bisset après un détour par Juliette Binoche), Ferrara semblait bien déterminé à réaliser là son chef-d’œuvre. Car si Depardieu affiche haut et fort sa détestation du personnage, le New-Yorkais, en tant qu’ancien héroïnomane rejeté par Hollywood, ne peut qu’avoir une certaine empathie pour DSK, victime de son addiction au sexe, à l’argent et au pouvoir.

Alors, simple geste revanchard après que le film a été jugé insuffisant, pour prouver qu’on peut très bien se passer du festival? Ou bien est-ce plus compliqué, avec des pressions, des conflits d’ego, des calculs commerciaux ou même des menaces judiciaires qui nous échappent?

Jamais dans la demi-mesure, Ferrara semble persuadé d’un complot orchestré par Anne Sinclair. Thierry Frémaux, lui, a pris le parti de «ne pas parler des films qui ne figurent pas dans la sélection». De son côté, le bouillant Maraval (celui-là même qui avait dénoncé l’an dernier les salaires exorbitants des vedettes du cinéma français) explique qu’il «avait toujours voulu tenter l’expérience d’un film lancé sur VoD» et que Welcome to New York, «finalement financé aux Etats-Unis» suite aux refus des télévisions françaises, était le candidat idéal pour bousculer la sacro-sainte chronologie des médias.

Manière habile de déplacer les enjeux, du terrain trop incertain de la distinction entre art et people crapoteux vers l’économie du cinéma? Car il faut savoir qu’en Europe et en France en particulier – au contraire des Etats-Unis, où tout est négociable –, l’exploitation des films doit encore respecter une stricte chronologie entre la sortie en salles, en DVD/Blu-Ray et VoD et pour finir les diffusions TV – histoire de protéger les premières. En 2006, une première alerte était venue des Etats-Unis avec la diffusion de Bubble de Steven Soderbergh par une chaîne câblée simultanément à sa sortie en salles. Puis les cas se sont multipliés avec l’apparition de la «vidéo à la demande», autrement dit l’offre de visionnement via Internet, des films tels que Get the Gringo (avec Mel Gibson), Marfa Girl (de Larry Clark, Grand Prix au festival de Rome 2012) ou The Canyons (de Paul Schrader et Bret Easton Ellis) sautant la case «salles» pour débuter directement en VoD. En France en 2010, Wild Bunch déjà avait proposé gratuitement Film Socialime de Jean-Luc Godard sur sa plateforme de VoD quelques jours avant sa sortie…

La VoD serait-elle donc en train de devenir l’ultime recours des auteurs et stars trop sulfureux ou en perte de vitesse, mais à terme aussi de tous les indépendants menacés par la disparition des salles art et essai? C’est tout ça qui se joue derrière l’affaire Welcome to New York.

Car, comme Godard, Schrader ou Clark, il y a belle lurette qu’Abel Ferrara ne fait plus recette. Qui peut se targuer de connaître ses derniers films, à peine distribués (et même pas du tout en Suisse)? Pour en avoir vu certains à Cannes, on peut confirmer que le déclin de celui qui fut sans doute l’auteur phare des années 90 (avec des films tels que Bad Lieutenant, The Funeral, The Blackout ou New Rose Hotel) semblait inexorable. Pour ce marginal toujours plus marginalisé par la profession, cette très médiatique affaire est donc du pain bénit. Mais, à 62 ans, un sursaut n’est pas non plus exclu. Et on veut bien croire que son intérêt pour le cas DSK ait été sincère.

Il n’empêche que Maraval et Wild Bunch, qui prétextent à présent la nécessité d’évoluer avec son temps et la crainte du piratage, jouent un jeu dangereux. Vouloir prendre de vitesse les avocats pour décourager d’éventuelles plaintes en diffamation est une chose. Affaiblir le Festival de Cannes en est une autre, pas forcément dans leur intérêt une année après leur Palme d’or avec La Vie d’Adèled’Abdellatif Kechiche. Tout le monde espère sûrement que ce fâcheux parasitage de l’événement restera aussi unique que l’affaire qui lui a donné naissance. Mais en réalité, il ouvre lui aussi une boîte de Pandore.

http://www.letemps.ch/Page/Uuid/a7af00fa-db83-11e3-bf49-e55884b592d3/Le_film_le_plus_attendu_de_Cannes_ny_est_pas

Un financement en partie helvétique PAR BASTIEN BUSS

Le président de Franck Muller aurait versé «un petit pourcentage»

Des Suisses auraient participé au financement du film Welcome to New York. Parmi eux, Vartan Sirmakes, président de la société horlogère genevoise Franck Muller. Selon Le Nouvel Observateur, il aurait versé «un petit pourcentage seulement». Vartan Sirmakes aurait déclaré que Gérard Depardieu «nous fait rire, nous égaie». D’après le patron de l’entreprise, l’acteur français est un «être hors du commun». Depuis la publication de l’article, Vartan Sirmakes ne veut plus s’exprimer sur ce financement. «Il ne souhaite faire aucun commentaire», selon son service de presse. Sassoun Sirmakes, patron de la société horlogère Cvstos, confirme toutefois que son père a bel et bien bourse délié. «Je me réjouis que mon père ait contribué financièrement à la réalisation du film. Et s’il était projeté à Cannes, Gérard Depardieu, ami et ambassadeur de la marque, a promis de porter l’une de nos montres.» Peut-être celle avec un cadran gravé de l’aigle à deux têtes de la Russie, pays pour lequel l’acteur ne cache pas sa sympathie. «Ce serait un maximum de visibilité pour nous», poursuit Sassoun Sirmakes. L’un de leurs amis, un agent immobilier suisse, aurait aussi mis la main au portefeuille, d’après l’hebdomadaire français, qui parle toutefois d’une production à petit budget.

http://www.letemps.ch/Page/Uuid/ae8604e2-db82-11e3-bf49-e55884b592d3/Un_financement_en_partie_helv%C3%A9tique

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7 réponses »

  1. A mon avis, les pauvres clients vont se faire plumer. Faire de l’économie théorique et spéculer sur les marché c’est deux choses trés différent. En fait il joue juste le jeux d’un point de vue publicitaire et est incapable de faire la moindre gains. C’est un politique, l’argent il a juste appri a le piquer dans les poches du contribuable mais pas a le gagner. Et se n’est pas en 2 ans qu’on acquiére les competences pour spéculer sur le marché, surtout dans cette période.
    DSK aprés le macrotage passe de l’autre coté de la scéne il joue la vamp de service 🙂 🙂

  2. La lecture des ouvrages écrits par les (ir)responsables de la conduite es affaires mondiales , Greenspan, Geithner, etc atteste d’une chose: sauf à être malhonnête, c’est à dire à « jouer » les décisions proches ou en cours, il n’ y pas d’initié. Les résultats de Greenspan en tant que conseiller de Pimco n’ont pas été brillants.

    Ils se sont trompé sur tout et ceux , comme Soros qui jouent l’inverse, c’est à dire la non rationalité des marchés et leur caractère imprévisible réussissent mieux que les gens en place. A fortiori si ces gens sont des gens ex-en place.

    Les grands gérants , les géants qui jouent les scénarios macro-économiques ont été échaudés l’an dernier. En particulier les paris sur les évolutions du yen, du Nikkei ou la hausse du dollar de ces gens ont été perdants. Idem, depuis le début du taper, sur les émergents qui se sont redressés. envers et contre tout.

    La période facile, celle des QE et de la contraction des spreads et primes de risque est terminée. Et il faut un véritable génie pour réussir maintenant, un carnet d’adresses ne suffit pas.

    Je pense que contrairement à ce que suggère l’article, DSK descend la pente, il ne la remonte pas. Se lancer dans la gestion , surtout avec Leyne, ce n’est pas monter, mais dévaler. Après l’infamie sexuelle, DSK sombrera dans l’infamie financière. le monde de la finance est très concurentiel, il n’y a pas de place , longtemps, pour les fausses valeurs et les name-droppers. Avant longtemps, on entendra parler de ces gens, mais pas dans le sens qu’ils souhaitent.

    • Bruno, le fait que DSK se tourne plutôt vers la Chine et la Russie n’est pas plutôt un choix opportuniste ????
      Si on en juge par la bipolarisation du monde et l’alliance qui se met en place entre la Chine et la Russie.. Moi, je vois DSK comme un infiltré. Il vient d’un monde de la finance qui s’est embourbé pour se tourner vers un autre monde de la finance qui émerge.

      Je ne comprends pas tout il est vrai… comme dirait l’autre : je suis un peu « à l’Ouest » et je me demande ce qu’il va se passer à l’est…

      Quand à l’histoire du Sofitel… je ne sais pas, mais je n’ai jamais cru une seconde à cette histoire… ça sent le coup foireux à tous les étages ce truc… ou alors DSK serait un gros con au FMI.. aie aie aie !!!

      • il est clair que DSK doit avoir les ricains en horreur, mais cela ne fait pas de lui une personne compétente sur les marchées financier. Tout aux plus il a une bonne connaissance des comptes de chaques pays mais cela ne va pas plus loin. Il ne connait rien au HTF et il ne sait surement pas comment fonctionnent les algorhytme de matching (algo qui gerent les transactions boursiéres, dérivé, actions et monnaitaires. Ce n’est qu’un opportuniste qui tente de vendre des connaissances qu’il n’as pas. Perso je ne ferais obsolument pas confiance a se genre de type, il a la pousse.

      • Des cons il en a partout , ça ose tout …c’est même a ça qu’on les reconnait !

        Quand on se sent invincible , au-dessus de tous (de toutes..sic) on peut commettre des actes infames.

        Maintenant le FMI a Lagarde…..sans commentaire, jaja.

        Un bonjour depuis Madrid

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