Art de la guerre monétaire et économique

A propos de la stabilité de la dette Française, tout cela pour rien : C’est un colossal échec de la politique usuraro-ordo-libérale façon Allemande à la sauce Hollandaise Par Bruno Bertez

A propos de la stabilité de la dette Française, tout cela pour rien : C’est un colossal échec de la politique usuraro-ordo-libérale façon Allemande à la sauce Hollandaise Par Bruno Bertez

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La construction Européenne est une déconstruction. Elle défait les Etats-Nations, elle détruit les systèmes politiques nationaux, elle fragmente les sociétés, elle asphyxie les économies du Sud et de la France, elle met au chômage et au rebut et pire de tout, elle monte les peuples les uns contre les autres.

L’échec de la mondialisation globale attise les tensions géopolitiques et les pouvoirs s’en servent pour fabriquer quotidiennement de nouvelles peurs et de nouveaux ennemis. L’échec de l’européanisation, sorte de mondialisation en modèle réduit, fait renaitre les nationalismes, les xénophobies. Les « dominants » européens ne se cachent même plus, dans leur cynisme ignoble, pour le reconnaître, mais ils ajoutent : « oui, mais on ne peut plus revenir en arrière ».

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Quasi stabilité de la dette en France en cette fin 2015. Rapportée à la richesse nationale, cette dette, mesurée selon les critères de Maastricht, atteint 96,9% du Produit intérieur brut, contre 97,6% à la fin du deuxième trimestre.  Le ratio de la dette à la fin du troisième trimestre est donc supérieur à l’objectif affiché par le gouvernement français pour 2015 (96,3%). Comparée à la fin du deuxième trimestre, la dette a diminué de 2,2 milliards d’euros, a précisé l’Insee dans un communiqué. La dette publique nette, s’établit à 1.894,3 milliards d’euros, soit 87,3% du PIB (contre 87,9% au trimestre précédent).

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Quasi stabilité de la dette en France donc en cette fin 2015. Ce résultat a été obtenu alors que les taux longs sont presque nuls et les taux courts négatifs, les « investisseurs » paient la France pour lui prêter de l’argent! Les prélèvements obligatoires sont à des niveaux quasi records tant au plan historique qu’au plan mondial. Pendant ce temps, le chômage est collé à ses niveaux maximum, les prestations collectives régressent, l’avenir est bradé. Et surtout le « mood », l’humeur des Français est détestable.

lucette3Permalien de l'image intégrée

C’est un colossal échec de la politique usuraro-ordo-libérale façon Allemande à la sauce Hollandaise; les coûts sociaux et surtout économiques sont considérables puisque l’on obère le futur, mais que les bénéfices sont quasi nuls. On use la patience et la confiance de la population sans résultat, en pure perte et cela est grave, on s’en apercevra en 2017.

L’usuraro-ordo-libéralisme façon Merkel et surtout Schauble, cela ne marche pas. Ne confondez surtout pas l’usuraro-ordo-libéralisme façon Merkel avec le libéralisme avec le libéralisme.

L’usuraro-ordo -libéralisme, c’est la Schlag Allemande, c’est un tissus de recettes façon « sagesse des nations », qui n’a qu’un seul but, discipliner, asservir. Cela n’a rien à voir, la partie « libérale » du programme ordo-libéral, en fait on utilise les idées pseudo-libérables comme outils de propagande pour faire passer la régression. Bref c’est le « Macronisme » cher au dit Macron et à son complice Gattaz. Rien n’est authentiquement libéral dans cette politique et c ‘est un comble que les soi disants libéraux qui peut être existent au sein de la droite et du Medef ne le dénoncent pas. C’est un pseudo libéralisme bidon axé sur une seule chose: augmenter le taux d’exploitation! C’est un peu le libéralisme façon « jeux du cirque », on met les travailleurs et les classes moyennes dans l’arène, on leur dit : «  battez-vous, éliminez-vous, que le plus fort gagne, mettez-vous en compétition et au chômage les uns les autres », pendant ce temps les élites sont sur les gradins, bien à l’abri et s’engraissent de la productivité ainsi dégagée.

Le-Pere-Noel-hollande-GattazPermalien de l'image intégrée

L’usuraro-ordo libéralisme façon « Schlag Allemande », c’est le complément du grand retour en arrière qui a été mis en place, qui a été provoqué par l’euro. C’est l’organisation de l’affaissement du pays par le biais de la mise en concurrence des marchandises d’abord, puis des travailleurs ensuite et enfin le pire de tout, c’est la mise en concurrence des capitaux pour le profit et la sécurité maximum.. Cette dernière, cette concurrence serre le cou des économies, les asphyxient, favorisent l’austérité sans fin et paralyse l’investissement.

La première forme du grand retour en arrière a été imposée par la mise en place de la monnaie unique. Elle a eu le contraire des effets promis. Elle a favorisé les divergences au lieu d’être un outil de convergence.

Les taux bas ont eu un effet ravageur, les pays du bloc Allemand n’ont pas investi productivement dans les du sud, ils ont pillé leur demande, exploité leur appétit de consommation à crédit. Ils les ont gorgés dans les facilités de la consommation ! Au lieu de convergences on a eu le développement de ces divergences que devaient précisément faire disparaître l’euro : avec des déséquilibres croissants des échanges extérieurs entre les pays, avec désindustrialisation accélérée dans le sud et en France contre maintien de positions industrielles dans le bloc Allemand ; avec économie de consommation ou de rente dans le sud, contre économie de production dans le nord ! Le tout dans un contexte de croissance beaucoup plus faible que celle du reste du monde. Ah les braves gens! Le bloc Allemand a pillé, c’est le mot, il a pillé la demande des pays du Sud et de la France, il les a ligoté par le crédit fournisseur et ensuite il a serré, comme le fait tout usurier. Et c’est là où commence la seconde phase.

La seconde forme du grand retour en arrière est plus grave. Elle est même à notre sens scélérate, tant elle est cynique. Ils nous gavent, nous appâtent par les crédits fournisseurs et ensuite ils viennent nous dire : « vous vivez au-dessus de vos moyens, vous jouissez trop, vous êtes des cigales, regardez nous, nous sommes des fourmis ». Et ils nous tordent le bras pour que nous mettions en place ce que l’on appelle des « politiques de dévaluations internes ». Bien entendu la conséquence produite par les politiques de dévaluation interne, était connue d’avance, elles allaient considérablement accroître les divergences et des stratégies suicidaires. Confère ce qui est arrivé à la Grèce.

La dévaluation interne, c’est une pression sur les coûts directs et indirects du travail : baisse de la quantité et de son coût. C’est travailler plus pour gagner moins, dans la précarité et l’angoisse. C’est la régression bête, indistincte, qui fait le plus mal aux plus faibles et aux plus jeunes que ce soient des individus ou des entreprises. C’est : malheur aux marginaux, aux moins productifs, aux moins cartellisés, aux moins monopolisés. Bien entendu, elle laisse à l’abri bien au chaud les complices, c’est à dire les « ponctionnaires ». Une telle baisse à des effets favorables trompeurs au niveau micro-économiques en ce qu’elle augmente les marges et la compétitivité des entreprises. Mais elle est globalement, concrètement suicidaire. Le PIB n’est que la somme des revenus des agents économiques, il est contrepartie de la somme des demandes internes et externes de chaque pays !.

La pression sur le coût du travail n’est macro économiquement efficace que si la chute de la demande interne est sur-compensée par un accroissement plus élevé de la demande externe. C’est à dire si on secrète un surplus exportable et qu’il rencontre une demande. Or c’est précisément ce qui est impossible dans la période historique que nous traversons. C’est ce que nous avons expliqué en prenant l’image du tonneau des Danaides de la concurrence, il n’est jamais plein. La compétitivité n’est toujours que relative, mais en revanche, l’austérité est cumulative et absolue.

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L’histoire de ces dernières années a montré que pour tous les pays, depuis 2010, la compensation par les débouchés extérieurs était impossible.

Ceci pour au moins deux raisons :

-La première est que le prix du travail n’est pas suivi dans sa baisse par celle de tous les autres prix. C’est l’imbécile lutte, contradictoire contre la déflation des prix, pour faire plaisir aux kleptocrates en levier. Il y a rigidité dans un nombre considérable de services qui s’attribuent le pouvoir d’achat soit par le monopole, soit par la pression publicitaire. Et, autre aspect, le poids relatif des dettes dans le budget des ménages augmente. La chute de la demande de consommation est ainsi devenue considérable (plus importante en pourcentage que celle du taux de salaire) dans un certain nombre de pays, ce qui explique la baisse des PIB correspondants sur plusieurs années (Grèce, Portugal, Espagne, etc.). Il a fallu longtemps aux idiots inutiles du FMI et de Bruxelles avant de s’en rendre compte. Schauble , lui n’a pas encore compris, normal il est juriste, pas économiste.

-Par ailleurs seconde raison, dans notre image du tonneau des Danaides, tout le monde fait la même chose. Les autres pays mettent en place des politiques du même genre. Le surplus exportable si il existe ne rencontre aucune demande étrangère. La demande externe est elle- même réduite par la politique de dévaluation interne de tous les autres pays.

Comme le fait remarquer l’excellent Jean Claude Werrebrouck « Il n’est pas non plus question de bénéficier d’une élasticité prix des exportations puisque la déflation est beaucoup plus faible que la baisse du coût du travail. Ainsi pour faire diminuer les prix de moins de 5% en Grèce, il a fallu diminuer les revenus de plus de 20% ». Tout ce que ‘l’on gagne, c’est une une baisse mécanique des importations, grâce à l’effet d’appauvrissement. « Ce fait est fortement constaté pour l’Espagne. Mais ce même fait bloque les espérances des autres pays pratiquant également une politique de dévaluation interne ».

Les politique de dévaluation internes sont intellectuellement idiotes, quasi par construction! Elles augmentent le chômage, pèsent sur la demande dans un monde qui en manque, elles tuent l’investissement productif, favorisent la spéculation et l’élargissement des inégalités, elles amputent les recettes fiscales, augmentent les besoins d’assistance et finalement, le comble : elles font monter les ratios de dette. Les politiques ainsi menées sont des politiques de gribouille qui se jettent à l’eau pour ne pas être mouillés.

Il faut cesser ces imbécillités. Il n’y aura jamais convergence dans le système actuel, c’est le mur, c’est l’impasse, masquée par le rideau de fumée de la BCE. Or le problème et les solutions sont politiques.

Il faut, si on est Européiste, avoir le courage de dire aux Allemands une chose simple : cette Europe ne marche pas. Même pour vous. A long terme, c’est une impasse. Si vous voulez l’Europe pour continuer à bien vivre, alors il faut que vous cessiez de rêver que cela va toujours être à nos dépens, il faut que tout le monde en profite.

Il faut abandonner cette idée fascisante d’une Europe imposée par le haut, par l’économie, par la monnaie et les Ponctionnaires, il faut mettre l’Europe sur ses pieds, et les pieds c’est la politique d’abord.

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L’Europe doit être politique, et démocratique. Il faut que les peuples Européens redeviennent souverains, qu’ils choisissent leur destin, leur voie et qu’ils l’imposent aux Allemands. Dans une Europe démocratique, on pourra se débarrasser des Ponctionnaires aux objectifs louches et obscurs, on donnera une voix à chacun et non pas deux aux Allemands. On choisira ou ne choisira pas la vie commune. Mais au moins, on aura choisi.

L’ITALIE SE REBELLE !

« Nous espérons et nous souhaitons assister à un changement d’attitude de la Commission et d’autres pays à l’égard de l’Italie », a déclaré dans une interview accordée à l’agence Reuters un proche allié du président du Conseil, Matteo Renzi.

Ses propos témoignent d’une frustration croissante à Rome face à une série de décisions prises par la Commission sur le dossier de l’immigration, sur le secteur bancaire, sur les aides publiques au secteur sidérurgique ou sur encore la politique budgétaire de  Renzi.

« Si Bruxelles continue de rendre des arbitrages contraires aux intérêts de l’Italie nous examinerons  la possibilité de saisir la Cour de justice de l’Union européenne » affirme Sandro Gozi

Recourant à un langage inhabituellement ferme, le ministre italien souligne que la Commission doit démontrer qu’elle est « le garant de tous les Etats membres, et pas de certains seulement ».

Gozi n’a pas encore compris  qu’il y a deux poids deux mesures en fonction des obsessions de Schauble: aux uns on tord les bras pour l’exemple et autres on passe la pommade un peu comme à l’école on le fait pour lèche bottes. Schauble a une conception de la justice que l’on peut qualifier d’utilitariste, vous savez cette conception de la justice qui cherche non pas l’équité et la réparation mais l’efficacité par l’exemple.

Le mois dernier, le gouvernement Renzi s’est heurté à la Commission européenne dans le cadre du renflouement de quatre banques en difficulté. Rome a consacré 3,6 milliards d’euros au sauvetage de la Banca Marche, de la Banca dell’Etruria e del Lazio, de la Cassa di Risparmio di Chieti et de la Cassa di Risparmio di Ferrara avant l’entrée en vigueur de nouvelles normes européennes en janvier sur le sauvetage des établissements bancaires.

Bruxelles a considéré qu’il s’agissait d’une aide publique directe contraire à la préservation des intérêts des contribuables et à la concurrence! Tiens tiens la Commission se préoccupe de l’intérêt  d es contribuables qu’elle recommande de matraquer en temps ordinaire au maximum! Et puis elle aime la concurrence n’est pas, elle qui s’efforce de constituer une entente monopolistique  fiscale  entre les pays de l’UE afin que  les citoyens n’aient aucune possibilité d’échapper, ou qu’ils aillent,  à la tonte et à la prédation! La Commission veut des états tous unis et tous solidaires, un bloc, face aux contribuables/serfs pour leur ôter toute possibilité de choix.

La réalité est que l’Italie étant le mauvais élève, il doit être brimé : on lui refuse, sur le plan bancaire,   ce  que l’on a accepté pour l’Allemagne et le Portugal. L’Italie croule sous une dette bancaire non performante colossale, son système ne peut créer de crédit car il est asphyxié par les NPL, les non performing loans. La seule solution est de créer une structure de défaisance, une « bad bank », mais les Allemands n’en veulent pas, ce serait une aide indirecte de l’état, qui permettrait au pays de relever la tête.  Ce qu’il faut à tout prix éviter, il faut lui conserver l’échine souple…

CKBWgBGWEAAvHqJ

BRUNO BERTEZ Le 28/12/2015

illustrations et mise en page by THE WOLF

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4 réponses »

  1. Comment meurt une nation ?

    1- Une nation peut mourir de vieillesse, quand elle se disloque.

    2- Une nation peut mourir par meurtre, quand elle est tuée par une autre nation.

    3- Une nation peut mourir par suicide, quand elle accepte de se dissoudre dans un ensemble plus vaste.

    Question :

    Dans les années qui viennent, la France va-t-elle accepter de se dissoudre dans un ensemble plus vaste, l’Union Européenne ?

    La France va-t-elle accepter de devenir une simple région d’un ensemble plus vaste, l’Union Européenne ?

    Les décisions concernant la France seront-elles prises ailleurs qu’en France, à Bruxelles et à Berlin ?

    Déjà, l’indépendance monétaire de la France est morte.

    Déjà, la monnaie de la France est morte.

    Déjà, la monnaie de la France s’est dissoute dans une seule grande monnaie, la monnaie unique européenne.

    Prochaine étape du suicide de la France : l’armée.

    L’armée de la France va-t-elle se dissoudre dans une seule grande armée, l’armée unique européenne ?

    Lisez cet article :

    Le ministre allemand des Finances défend la formation d’une armée européenne.

    http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/le-ministre-allemand-des-finances-defend-la-formation-d-une-armee-europeenne-538829.html

  2. « Les politique de dévaluation internes sont intellectuellement idiotes,

    oui mais elles leur permettent de gagner du temps
    (et elles permettraient de tout annihiler à dessein si besoin, comme en 14/18 comme en 39/45 pour mieux « reconstruire » (humour) ensuite)

    Pour continuer ainsi, le problème va être de trouver de futures justifications pour expliquer que
    vous crevez alors qu’il n’y a ni loup garou ni bombardement (sachant que daech restera un vain pastiche du loup garou hitler: il va falloir trouver autre chose d’ici 6mois . d’ailleurs ce qu’ a aussi fait Trump en fait est juste un génial avertissement envers le cartel: s’il le faut il lui ote son jouet et interdit l' »islam » en 2semaines, à la chinoise )

    Sinon, en ce qui concerne le probleme central de la détection de bulles sur le point d’éclater:
    elles sont sur les deux points ou la buba vient juste précisement d’ accélerer hors du réel:
    le papier souverain
    le papier passeport immigré*

    ce sont deux bulles, qui vont ensemble, et si grosses que PERSONNE, sauf les paysans, n’envisage sérieusement une seconde qu’elles devront éclater.

    NB:
    *1 gros distributeur vw france (porsche holding) est à moins à -20% mini de CA, c’est à dire qu’ils n’en ont plus rien à faire des immigrés, quasi au même moment merkel en décide l’immigration d’un million
    la chine vient de construire 50 ans d’immobiliers en 5ans…=> second round d’hyper deflation

    seuls les politicards ou banquier centraux peuvent avoir un timing aussi mauvais

    auparavant les krachs avaient lieu en octobre suite au remboursement des credits liées au recoltes:
    aujourd’hui cela concerne l’auto , le tourisme pour France, l’oil
    Peut etre vont-ils décaler tout ca mais la bulle souveraine devra être encore plus grosse

  3. « C’est un peu le libéralisme façon « jeux du cirque », on met les travailleurs et les classes moyennes dans l’arène, on leur dit : « battez-vous, éliminez-vous, que le plus fort gagne, mettez-vous en compétition et au chômage les uns les autres », pendant ce temps les élites sont sur les gradins, bien à l’abri et s’engraissent de la productivité ainsi dégagée »

    Bravo, bravo, bravo!
    Et bonne année 2016à vous, année qui pourrait être fort agitée : les planètes commencent à s’aligner pour la crise finale, non?

  4. Bonnet blanc et blanc bonnet.

    Le 14 mars 2005, les deux champions du « OUI » au référendum sur la constitution européenne posaient ensemble en couverture de Paris Match.

    Chose étonnante : les deux champions du « OUI » étaient François Hollande (pour la gauche européiste) et Nicolas Sarkozy (pour la droite européiste), ils tenaient le même discours … et ils avaient les mêmes vêtements.

    On aurait dit deux frères jumeaux.

    Dans cet article historique, François Hollande et Nicolas Sarkozy expliquaient ensemble qu’il fallait voter « OUI » au référendum sur la constitution européenne.

    http://cdn-parismatch.ladmedia.fr/var/news/storage/images/paris-match/actu/politique/hollande-sarkozy-les-coulisses-d-une-rencontre-149880/1459112-1-fre-FR/Hollande-Sarkozy-les-coulisses-d-une-rencontre_article_landscape_pm_v8.jpg

    Douze ans plus tard, ces deux européistes vont-ils être les deux principaux candidats à l’élection présidentielle ?

    En mai 2017, l’élection présidentielle va-t-elle se jouer entre bonnet blanc et blanc bonnet ?

    Samedi 2 janvier 2016 :

    Sondage : 74% des Français ne souhaitent pas la candidature de Hollande et Sarkozy.

    http://www.leparisien.fr/politique/sondage-pour-88-des-francais-la-classe-politique-ne-se-renouvelle-pas-assez-01-01-2016-5415081.php

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