Arabie Saoudite

La France serait-elle devenue sunnite ? : François Hollande a remis la Légion d’honneur au prince héritier d’Arabie saoudite !

François Hollande a remis la Légion d’honneur au prince héritier d’Arabie saoudite !

« Dans un communiqué publié le 4 mars par l’agence saoudienne SPA, les autorités saoudiennes ont annoncé que le chef de l’Etat avait remis la légion d’honneur au prince héritier Mohammed bin Nayef bin Abdelaziz Al Saoud, lors de sa visite à Paris.

François Hollande légion d'honneur prince héritier saoudien

«François Hollande a souhaité la bienvenue au prince héritier et s’est félicité des fortes relations entre le royaume d’Arabie saoudite et la France», explique lecommuniqué publié par l’agence de presse saoudienne SPA

«Au terme de leur entretien, le président français a remis à son altesse la médaille de l’ordre national de la Légion d’honneur qui est la plus haute distinction française pour tous ses efforts dans la région et dans le monde dans la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme», ajoute le communiqué. 

Cet événement n’a absolument pas été relayé par la presse hexagonale. L’Arabie saoudite, connue pour son nombre record d’exécutions par décapitation chaque année, crée régulièrement la polémique pour le peu d’attention qu’elle paie au respect des droits de l’Homme dans le royaume ».

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Rappels :

La République française à genoux devant les monarchies arabes (Ph. Alain)

[Arabie saoudite] Des images insoutenables

L’Arabie saoudite prend la direction du panel du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU

La blague du jour : L’Arabie saoudite forme une “coalition islamique antiterroriste”

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2016/03/05/francois-hollande-legion-honneur-prince-saoudien/

La France serait-elle devenue sunnite ?

Le président français François Hollande reçoit le prince héritier saoudien Mohammed bin Nayef au palais d'Elysée, à Paris, le 4 mars 2016© Philippe WojazerSource: Reuters
Le président français François Hollande reçoit le prince héritier saoudien Mohammed bin Nayef au palais d’Elysée, à Paris, le 4 mars 2016 

La rencontre entre le prince saoudien Mohammed ben Nayef Al Saoud et François Hollande a été ignorée par les médias parce que ce dernier ne veut pas faire plonger sa cote de popularité déjà très basse, estime le chercheur Frédéric Pichon.

RT : Comment voyez-vous les relations franco-saoudiennes ?

Frédéric Pichon (F. P.) : Je pense qu’elles sont à l’image de la visite du prince héritier saoudien Nayef, c’est-à-dire un peu discrètes puisque si on regarde l’agenda du président de la République François Hollande, cette visite a été à peine annoncée.

Elle se produit à un moment où l’Arabie saoudite connaît une situation économique très tendue. Et du point de vue politique aussi puisque l’Arabie saoudite a décidé de suspendre le crédit de 3 milliards de dollars qu’elle avait accordé à l’armée libanaise. L’Arabie saoudite a de gros problèmes en ce moment, d’autant plus qu’il y a toujours cette offensive qu’elle mène au Yémen qui, en France, est passée sous un silence assourdissant. Pour François Hollande essayer de resserrer les relations avec ce partenaire, c’est quand même assez compliqué.

RT : Il n’y a eu quasiment aucun article consacré à cette rencontre. Pourquoi autant de discrétion est-elle de mise ?

F. P. : Effectivement, je crois que la «sainte guerre» qui est menée au Yémen en ce moment, essentiellement par l’Arabie saoudite, est quelque chose qui commence à sortir dans les médias français. Certaines personnalités commencent à s’y intéresser, alors que cela fait six mois qu’elle est fortement engagée. Je crois donc que François Hollande n’a pas envie de rajouter ce facteur aggravant à sa côte de popularité déjà très basse.

RT : Comment, d’après-vous, les élites françaises perçoivent-elles cette rencontre entre le président français et le prince héritier saoudien ?

Il semble que la France ait été parfaitement alignée sur les positions des pays du Golfe

F. P. : Cela fait partie du domaine réservé du président de la République. Malheureusement, en France il n’y a pas vraiment de débat sur les options géostratégiques. C’est l’apanage de l’exécutif.

Je pense qu’en France personne ne s’est offusqué, il y a près d’un an, lorsque François Hollande a été l’invité d’honneur du Conseil de coopération du Golfe. Il y a une vraie dichotomie entre cette diplomatie et puis ce qu’en dit le monde politico-médiatique en France.

RT : L’Arabie saoudite est considérée comme un sponsor du terrorisme international, alors que la France s’est engagée à lui livrer une lutte implacable. Comment ces deux facteurs s’articulent-ils ?

F. P. : Ce n’est pas encore clair, comme d’ailleurs le rôle de l’Arabie saoudite dans ce jeu ambigu par rapport au terrorisme, par rapport aux organisations djihadistes comme le Front Al-Nosra en Syrie. Ce jeu trouble, cette ambiguïté est quelque chose qui a du mal à être énoncé dans le débat politique français. Régulièrement, un certain nombre d’experts, d’universitaires vont allumer des contre-feux en expliquant méticuleusement que ce n’est pas vrai, d’ailleurs l’Arabie saoudite est elle-même la victime du terrorisme, etc. Je crois qu’il y a une partie des élites françaises qui sont stipendiées, à travers un certain nombre d’organismes proches de think tanks néo-conservateurs américains qui s’intéressent à ce que cette alliance saoudienne soit maintenue et qu’on ne puisse rien dire sur l’Arabie saoudite.

On se souvient par exemple des exécutions opérées par l’Arabie saoudite en janvier 2016, et notamment celle du cheikh chiite Al Nimr. Cela a suscité une condamnation très, très molle de la part du Quai d’Orsay. C’est à l’image de notre mansuétude, de notre grande tolérance envers ce pays.

Les petits hommes qui sont aux manettes n’ont aucune vision globale, historique de ce que devrait être une politique étrangère française

RT : Pourquoi cette tolérance ? Serait-ce lié aux contrats commerciaux ?

F. P. : Il y a effectivement de cela. Nous menons très clairement la politique de nos clients dans le Golfe. Cela paraît caricatural, mais c’est la réalité, et l’on peut même s’interroger sur le fait de savoir si la France n’est pas devenue, d’un point de vue géopolitique, une puissance sunnite. Puisque sur les dossiers syrien, yéménite ou iranien, il semble que la France ait été parfaitement alignée sur les positions des pays du Golfe, notamment de l’Arabie saoudite, pour d’une part commencer par refuser l’accord de juillet 2015 avec l’Iran, pour soutenir la guerre au Yémen et pour contester ou critiquer l’intervention russe en Syrie. On retrouvait quasiment les mêmes communiqués entre les deux pays.

RT : Qu’est-ce que cela signifie pour vous ?

F. P. : Cela signifie simplement que la diplomatie française n’est plus dans son rôle. Pendant longtemps, elle a eu un rôle ou en tout cas une réputation d’équilibre, de mesure, de capacité à parler avec tous… Je crois qu’elle a néanmoins d’excellents leviers. On a une histoire, une tradition, mais les petits hommes qui sont aux manettes n’ont aucune vision globale, historique de ce que devrait être une politique étrangère française. Encore une fois, il ne s’agit pas de rompre totalement les relations avec ces pays-là, mais d’essayer de les équilibrer, de jouer notre rôle de moyenne puissance, capable de refuser les confrontations et le manichéisme dans la région.

https://francais.rt.com/opinions/16708-france-sunnite

Les armes françaises destinées au Liban seront livrées à l’Arabie

Le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al-Jubeir (d), serrant la main à son homologue français, Jean-Marc Ayrault, au Quai d’Orsay, le 5 mars 2016. AFP / DOMINIQUE FAGET

SÉCURITÉ« Les contrats seront bien appliqués mais le destinataire sera l’armée saoudienne », déclare à Paris le ministre saoudien des Affaires étrangères.

OLJ/Reuters 05/03/2016

La France va livrer à l’Arabie saoudite des armes destinées à l’origine au Liban qui devait financer ce contrat de trois milliards de dollars grâce à une aide de Riyad, a fait savoir samedi le ministre saoudien des Affaires étrangères.

Les autorités saoudiennes, déçues par l’attitude de Beyrouth dans l’affrontement géopolitique qui les opposent à l’Iran, ont suspendu le mois dernier ces financements, ainsi qu’une autre aide d’un milliard de dollars.

« Nous n’avons pas interrompu le contrat. Il sera mis en oeuvre mais le client sera l’armée saoudienne », a déclaré M. al Jubeir au cours d’une conférence de presse à Paris. « Nous avons décidé que les trois milliards de dollars (d’équipements) cesseraient d’être livrés à l’armée libanaise et seraient redirigés vers l’armée saoudienne », a-t-il dit.

« Nous sommes face à une situation où les décisions du Liban sont captées par le Hezbollah. (Les armes) iront à l’Arabie saoudite, pas au Hezbollah », a poursuivi M. al Jubeir.

Le royaume wahhabite avait promis cette aide financière à l’armée libanaise en 2013 avant de la concrétiser par un accord signé en novembre 2014 à Paris.

(Lire aussi : La France tente de désamorcer la crise saoudo-libanaise)

Une première livraison d’armes et d’équipements militaires français financée dans ce cadre est arrivée au Liban en avril 2015 pour renforcer l’armée libanaise face aux répercussions du conflit syrien et à la menace djihadiste du groupe Etat islamique (EI).

Au total, une vingtaine de sociétés françaises sont censées participer à ce contrat qui porte sur des équipements terrestres, maritimes et aériens, dont des véhicules blindés, des pièces d’artillerie lourde, des missiles antichar et des mortiers et armes d’assaut, précisait-on alors de source proche du ministère français de la Défense.

Le différend entre Beyrouth et Riyad est apparu en janvier, lorsque le Liban a refusé de voter un communiqué arabe condamnant les attaques de représentations diplomatiques saoudiennes en Iran après l’exécution d’un dignitaire chiite par le royaume wahhabite.

http://www.lorientlejour.com/article/973916/les-armes-francaises-destinees-au-liban-seront-livrees-a-larabie.html

Un câble diplomatique dévoilé par WikiLeaks révèle la volonté du Royaume Saoudien de renverser Bachar al-Assad

Par Brad Hoff, le 25 février 2016

[Présentation du traducteur: Le texte ci-dessous est la traduction partielle d’un câble diplomatique saoudien, faisant partie du lot des « Saudi Cables » rendus publics par WikiLeaks à l’été 2015. Il est daté de 2012 et évoque ce qui est perçu comme la nécessité absolue, pour le régime saoudien, de parvenir au renversement du régime en place à Damas, par crainte des rétributions du régime « brutal et violent » de Bachar al-Assad, cherchant à « se venger des pays qui se sont dressés contre lui » – c’est en soi un aveu de culpabilité dans le déclenchement du conflit et de sa perpétuation… Si l’Occident – dont la France – souhaite véritablement vaincre Daesh et trouver une solution équitable aux troubles qui ravagent la Syrie, il s’agirait de demander des comptes à Riyad, ainsi qu’aux pays du Golfe qui sont évoqués dans ce câble…! Comme l’analyse Brad Hoff dans l’article de Levant Report, ce que l’Arabie Saoudite craignait le plus dans cette guerre, c’étaient « une intervention militaire russe et des représailles syriennes »]

Renverser le régime syrien par « tous les moyens mis à disposition »

[…] intérêt partagé, et pense que la position russe actuelle ne représente qu’un mouvement pour faire pression sur lui [Assad] et que la force de sa propre position ne tiendra pas, étant donnés les liens russes aux intérêts avec des pays occidentaux et les pays du Golfe.
S’il plaît à votre Majesté, j’appuie l’idée d’entrer dans un dialogue profond avec la Russie par rapport à sa position vis-à-vis de la Syrie*, la Seconde Conférence Stratégique se tenant à Moscou, pour oeuvrer à orienter la discussion sur le sujet de la Syrie, et d’exercer toute pression qui s’avère possible pour la détourner de sa position actuelle. Je vois également une opportunité pour inviter le chef du Comité des Relations Internationales de la Douma à visiter le Royaume. Comme il vaut mieux rester en communication avec la Russie et d’ordonner aux médias de ne pas s’opposer aux personnalités russes et de s’abstenir de les insulter, afin qu’aucun tort ne puisse advenir aux intérêts du Royaume, il est possible que le nouveau président russe change la politique russe envers les pays arabes dans un meilleur sens. Toutefois, notre position actuellement en pratique, qui est de critiquer la politique russe envers la Syrie et ses positions qui sont contraires à nos principes déclarés, demeure. Il est aussi avantageux d’augmenter la pression sur les Russes en encourageant l’Organisation des Etats Islamiques à exercer une forme de pression en brandissant fortement l’opinion publique islamique, puisque la Russie craint la dimension islamique davantage que la dimension arabe.
En ce qui concerne la crise syrienne, le Royaume est ferme dans sa position et il n’y a plus aucun espace pour reculer. Le fait doit être souligné que, dans le cas où le régime syrien était capable de traverser sa crise présente sous quelque forme que ce soit, son premier objectif sera de se venger des pays qui se sont dressés contre lui, avec le Royaume et certains pays du Golfe arrivant en haut de cette liste. Si nous considérons la brutalité et la violence de ce régime et son absence d’hésitation à avoir recours à tous les moyens pour parvenir à ses fins, alors la situation aura atteint un haut niveau de péril pour le Royaume, qui doit chercher par tous les moyens et biais possibles à renverser le régime actuel en Syrie.
Pour ce qui est de la position internationale, il est claire qu’il y a un manque de « désir » et pas un manque de « capacité » de la part des pays occidentaux, en premier lieu des Etats-Unis, à prendre des mesures fermes… […]

*[dans le texte arabe: Russie, mais il s’agit d’une coquille]

Traduit de l’anglais par Lawrence Desforges

Source: http://levantreport.com/2016/02/25/newly-translated-wikileaks-saudi-cable-overthrow-the-syrian-regime-but-play-nice-with-russia/

https://wikileaksactu.wordpress.com/2016/03/04/un-cable-diplomatique-devoile-par-wikileaks-revele-la-volonte-du-royaume-saoudien-de-renverser-bachar-al-assad/

EN BANDE SON 

4 réponses »

  1. La Triple Alliance: mondialistes, atlantistes et sunnites!

    Dans les années 1870, les Républicains Français ont fait alliance avec les forces vives juives contre les catholiques afin de pousser leur agenda politique. C’est cette alliance, très et peut être trop visible qui a produit les réactions anti-sémites du corps social de l’époque, comme celles de Drumont par exemple. Lisez Drumont, c’est le meilleur moyen de comprendre ce qui s’est noué à cette époque, l’affaire Dreyfus, le scandale de Panama, la montée de l’anti-sémitisme, la marche vers la République.

    Ces « progressistes » , Républicains, ont assimilé « conservateurs », royalistes et catholiques, et ils les ont mis dans le même sac, les désignant comme leurs ennemis. Ce qui explique la laison historique en France entre République et laïcité. A la faveur des erreurs du pape d’alors qui n’a rien compris au combat, ( erreurs que le présent Pape reproduit d’ailleurs), ils ont gagné.

    Les mondialistes d’aujourd’hui incarnent le progès, ils sont sont l’équivalent des Républicains du 19e siècle, leur ennemi c’est toujours les conservateurs, les nationaux, le catholicisme et les catholiques. Et comme au 19e siècle, ces mondialistes ont tendance , une tendance complexe, à faire alliance avec les formes de l’Islam qui, géopolitiquement, offrent une certaine proximité. La marche vers le faux, le pseudo universel, vraie marche vers le servage généralisé, passe par des alliances circonstancielles, cyniques, historiques, contingentes . Et ici l’alliance qui est à l’oeuvre c’est celle là: l’alliance entre les forces mondialistes, marchantes et marchandes , qui se trouvent dans la partie la plus avancée du monde, le monde anglo-saxons et les monarchies sunnites .

    Le lien n’est paradoxal qu’en apparence car il est fondé sur un obJectif commun, la destruction des catholiques, la volonté d’unifier. Il est fondé en même temps sur une arme commune, le pétrole, le contrôle de l’energie. Il faut ajouter, mais c’est un peu complexe, que ceci est encore plus clair si on trace la communauté d’intérêt , non au niveau du pétrole et du gaz qui sont des ressources concrètes, mais au niveau du dérivé abstrait du pétrole, de son équivalent abstrait qui est le dollar.

    Pour simplifier, retenez cette idée: au 19e siécle les progressistes républicains ont fait alliances avec les forces vives juives, jeunes, dynamiques, lettrées, contre le conservateurs/royalistes/catholiques et ils ont gagné. Depuis, la laicité est devenue une arme intérieure dans les mains des « progressistes » lesquels opposaient les Lumières qu’ils représentaient aux « obscurantistes » incarnés par les conservateurs, les royalistes, les catholiques. Mais à l’extérieur , cette laicité n’empêche pas de nouer des alliances avec les franges les plus obscurantistes de certaines religions.

    Ce qui compte à l’échelle de l’histoire ce ne sont pas les contenus, ils évoluent, mais les formes.Et La forme « alliance des progressistes mondialistes, universalistes avec l’Islam dans sa forme sunnite radicale » est maintenant clairement visible. C’est elle et elle seule qui explique le paradoxe des anglo-saxons qui forment, financent, équipent les fers de lance du l’Islam qui font le Jihad.

    Tout cela est complexe et très touffu, mais on voit les lignes de force se dessiner: on prend « les uns » pour frapper sur « les autres », et il n’y a nul besoin d’être d ‘accord avec ces « uns » pour sceller l’alliance contre les « autres ». L’alliance est de circonstance, on fait un bout de chemin ensemble.Et c’est la raison pour laquelle les mondialistes/atlantistes européens se trouvent dans une position tres inconfortable qui donne à voir leur scélératesse; il s sont obligés d’être du côté de l’Islam, du Coran, de l’exonérer de ses horreurs pour satisfaire leur agenda d’extension du mondialisme. Un pays qui donne à voir ces contradictions est la France, bien sur ou on sacrifie les catholiques pour les musulmans, mais aussi la Suède ou on refait la chasse aux juifs pour mieux intégrer les Islamistes. La montée de l’Islam exacerbe les contradictions et provoque des renversement d’alliance!

    Des textes comme le texte ci dessous font ressortir très nettement , en caricature, ce que nous disons de façon abstraite. Ce qui est intéressant, c’est que les juifs commencent à voir clair et les alliances contre l’Islam se soudent. Des gens comme ceux de Gatestone ou Dreuz- info, ne cachent pas leur appartenance juive, ils sont mainteant du coté des catholiques et des chrétiens contre les sunnites. Paradoxe, le nombre de juifs qui votent Front National par réaction contre l’Islamisation est en très forte progression. Le front se fissure, se complexifie.

    Il devient évident que les Nationaux, les Identitaires et les Souverainistes doivent revoir leurs analyses anciennes.

  2. Cela relève-t-il du réalisme commercial, du cynisme ou de l’abjection ? quand j’établis le parallèle avec nos relations avec, par exemple, la Russie, je ne peux que répondre par le dernier choix.

  3. que hollande reçoive un dictateur en france , ce n’est déjà pas trés agréable pour les français , mais bon , nous avons l’habitude n’est ce pas ? mais pourquoi ce crétin lui a t’il remis la légion d’honneur ? c’est s’assoir sur les droits de l’homme sans vergogne ; je suis profondément écoeurée et même révoltée par cet acte ;

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