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La folie migratoire clairement exposée….Sommet UE/Turquie : la Hongrie met son véto au plan d’immigration totale de Merkel !

La folie migratoire clairement exposée

Orban va organiser en Hongrie un referendum sur la question migratoire. Orban pose la question centrale, déjà posée par le débat sur le Brexit: Quels sont les rapports entre la souveraineté européenne que se sont arrogés les élites et les souverainetés nationales ?

Pour trancher il va faire appel à la souveraineté suprême, celle du peuple. Mais à la différence de Cameron, il est du côté de son peuple et non du côté de ceux qui confisquent la souveraineté. Il fait ainsi mieux ressortir la scélératesse de Cameron qui concrètement négocie avec l’UE pour trahir son peuple.

Les Autrichiens et les pays des Balkans vont prendre des mesures draconiennes pour réduire l’arrivée des migrants.

Le premier ministre Grec refuse que son pays devienne un « entrepôt des âmes »

Les Allemands espèrent 3.6 millions de migrants d’ici 2020 !

Merkel nous piétine et nos leaders se couchent

Nous avons honte pour ceux qui se laissent piétiner, qui laissent  leur peuple piétiné par Merkel. Nous sommes dans le cynisme total, la pure relation de force, dans la violence et nos leaders se couchent. Piétinés et bafoués.

Sommet UE/Turquie : la Hongrie met son véto au plan d’immigration totale de Merkel (Censure des médias français)


La Hongrie a mis une fin brutale au sommet entre l’UE et la Turquie en imposant son véto au plan d’immigration illimitée soutenu par Angela Merkel et le gouvernement islamiste turc. La presse française a imposé une censure totale de cette révolte diplomatique spectaculaire, évoquant simplement une “extension des négociations”.
 

La Hongrie sauve l’Europe

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a refusé de céder d’un millimètre. Hier soir, lors du sommet entre l’UE et la Turquie portant sur la crise migratoire, le chef du gouvernement hongrois a pris la tête du front du refus face à une Angela Merkel plus extrémiste et isolée que jamais.

Selon le plan prévu par Berlin et Ankara, la Grèce était censée renvoyer tous les migrants clandestins vers la Turquie. Cette dernière les accepterait… pour mieux les expédier directement en Europe… par avion. Ensuite, les clandestins musulmans seraient répartis de façon autoritaire dans toute l’Union Européenne.

Comme si ce plan d’accueil systématique ne suffisait pas, le gouvernement islamiste turc a accru son chantage en réclamant des milliards d’euros supplémentaires pour les millions de migrants orientaux qui s’entassent sur son territoire.

Des demandes inacceptables pour nombre d’états européens. Fort d’un soutien diplomatique régional patiemment organisé, la Hongrie – notamment soutenu par le Royaume-Uni – a opposé son véto à toute décision impliquant l’importation de millions de clandestins du tiers-monde en Europe.

Un échec retentissant pour Angela Merkel, lancée dans une politique délirante d’accueil systématique des migrants afro-musulmans.

Censure de la presse française

Alors que la presse européenne souligne depuis ce matin la rupture organisée par la Hongrie – et de nombreuses nations d’Europe avec elle – la presse française a imposé une impressionnante censure.

Le journal catalan El Punt Avui titre aujourd’hui “Orban s’impose à Merkel”, tandis que la chaîne britannique Sky News déclare “La Hongrie bloque les propositions de l’UE et de la Turquie”. Même la presse allemande s’est fait sans détour l’écho du véto hongrois, à l’instar de Die Welt qui évoque le “véto hongrois”.

Rien de tel en France où la presse est étroitement contrôlée par le gouvernement. Le Monde ose même affirmer que l’accord est en voie de “finalisation”.

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Le ton triomphant de l’article – qui détaille les négociations – tend à convaincre le lecteur que la position immigrationniste radicale de Berlin et de Bruxelles aurait été adopté par les états européens. Extraits :

L’Union européenne s’est donné un délai de dix jours pour finaliser un nouvel accord avec Ankara visant à stopper l’afflux de migrants vers l’Europe. Le sommet entre les dirigeants des Vingt-Huit et la Turquie, achevé dans la nuit du lundi 7 au mardi 8 mars à l’issue de discussions laborieuses, a donc abouti sur la promesse de nouvelles tractations, avec en point de mire un nouveau rendez-vous le 18 et 19 mars à Bruxelles.

Le succès selon le quotidien français résiderait dans “l’aboutissement” portant sur une “promesse” de “nouvelles tractations”. En somme, c’est le blocage le plus complet et le journal socialiste tente de camoufler l’étendue de la crise en devisant sur des vœux pieux.

C’est à ce point vrai que le journal ne mentionne pas une seul fois le mot “véto”, partout en titre dans la presse européenne. Ce n’est qu’en fin d’article que “Le Monde” daigne évoquer la position hongroise :

Le premier ministre hongrois Viktor Orban, déjà vent debout contre le plan de répartition dans l’UE de réfugiés arrivés en Grèce et en Italie, a clairement fait part de son opposition à tout accord impliquant des « réinstallations » massives depuis le territoire turc.

Le Premier ministre hongrois “n’a pas fait part” de son opposition : il a opposé un véto qui a fait échouer le plan que cherchent à imposer brutalement Merkel, Juncker et Davutoglu.

Le journal Le Figaro n’a pas réagi différemment, titrant lui aussi sur le “délai” de dix jours visant à “finaliser” un accord qui en réalité n’existe pas.

Une vaste coalition vise à renverser Merkel

Dans les coulisses, la Hongrie n’est pas seule. Et l’enjeu dépasse de beaucoup les simples modalités techniques de l’accord abondamment mis en avant dans la presse hexagonale.

La Hongrie a été rejointe par un nombre important de pays d’Europe Centrale et de la région balkanique pour imposer une ligne de défense de l’intégrité ethnique et religieuse de l’Europe. La Bulgarie est par exemple en train de militariser activement sa frontière avec le soutien du groupe de Visegrad (Pologne, Tchéquie, Hongrie, Slovaquie) tandis que la Slovaquie a annoncé sa volonté de construire son propre mur de défense.

L’Autriche a entrepris de défier Merkel en organisant à Vienne un sommet européen visant à fermer la route des Balkans aux masses de migrants afro-musulmans.

Plus révélateur : la révolte s’organise au sein de la CDU, le parti d’Angela Merkel, où le Premier ministre de Bavière, Horst Seehofer, a pris la tête de la fronde. Celui-ci était récemment en Hongrie où il a soutenu la politique de Viktor Orban, mais aussi en Russie où il a rencontré Vladimir Poutine. Qu’on ne s’y trompe pas : c’est une déclaration de candidature pour remplacer Angela Merkel à la tête du gouvernement allemand. Le Premier ministre de l’état de Bavière engrange donc les soutiens internationaux en vue de mettre au point politique européenne cohérente.

En toute logique, une victoire de l’aile droite de la CDU à Berlin terrorise le gouvernement socialiste français.

Mais il y a plus.

La Russie, principal adversaire de la Turquie islamiste en Syrie, voit ses intérêts converger avec ceux des opposants à la politique migratoire de Merkel, étroitement liée à celle d’Ankara sur le sujet. Et Paris pourrait rapidement voir sa politique “orientale” pro-islamiste,menée en lien avec l’Arabie Saoudite, être complètement réduite en poussière si Berlin tranchait en faveur d’Assad.

Sans surprise, Viktor Orban a dénoncé fin février les sanctions économiques contre la Russie, affirmant à mots couverts que la Hongrie ne les soutiendrait plus d’ici peu.

Pour des raisons idéologiques, économiques et sécuritaires mais aussi culturelles, conservateurs allemands, hongrois et russes veulent mettre un terme à l’anarchie dont sont responsables Angela Merkel et Recep Tayip Erdogan. Ce qui suppose d’isoler la Turquie, de fermer totalement les frontières de l’Europe – extérieures et intérieures – et de restaurer les relations euro-russes.

Déclassement français

Avec la fin de Schengen et la montée en puissance du sentiment identitaire et souverainiste en Europe Centrale et Orientale, on comprend que Paris soit soucieuse de masquer les dynamiques en cours et sur lesquelles la France n’a plus aucune espèce d’influence.

La tentative de Manuel Valls de se faire l’écho de cette nouvelle donne lors de la conférence sur la sécurité de Munich, a été accueillie froidement par la presse allemande et contredite par la nomination de Jean-Marc Ayrault au ministère des Affaires Étrangères.

Ce dernier a récemment “salué” la politique d’Angela Merkel sur la question. Jean-Marc Ayrault est unanimement reconnu comme parfaitement incompétent en matière de diplomatie – comme du reste – et a illustré l’incapacité de la présidence française à comprendre ce qui se passe. Et, au surplus, a encore renforcé l’isolement du Premier ministre français, sciemment marginalisé par le président français. Peu étonnant donc que Manuel Valls ne cache plus son envie de claquer la porte.

La chute de Merkel, inévitable, annoncerait l’effondrement du dogme immigrationniste en vigueur à Bruxelles et Paris. Et avec elle, la présidence socialiste française serait définitivement marginalisée en Europe, le centre de gravité des affaires continentales se déplaçant résolument à l’Est à mesure que l’UE se désintègre.

Source : http://breizatao.com/2016/03/08/sommet-ueturquie-la-hongrie-met-son-veto-au-plan-dimmigration-totale-de-merkel-censure-des-mediats-francais/

Rappel : http://civilwarineurope.com/2016/03/08/sommet-ueturquie-sur-limmigration-vers-une-capitulation-des-europeens-avec-la-complicite-dangela-merkel-reponse-le-17-mars/

http://civilwarineurope.com/2016/03/08/sommet-ueturquie-la-hongrie-met-son-veto-au-plan-dimmigration-totale-de-merkel-censure-des-mediats-francais/

Réfugiés: la France absente du débat européen Par Eric Verhaeghe

Les réfugiés seront au centre du sommet UE-Turquie qui doit se tenir ce lundi. Mais quelle sera la position défendue par la France dans ce dossier qui dynamite les uns après les autres les piliers de l’Union? Manifestement, l’exécutif français se préoccupe plus des problèmes intérieurs que des sujets européens, à moins qu’il ne soit dépassé par la situation.

Les réfugiés au coeur du sommet européen

L’essentiel du débat européen, lundi, portera sur l’intention ou non de la Turquie et de la Grèce de jouer aux garde-frontières de l’Union. Comme prévu, des centaines de milliers de réfugiés sont prêts, en 2016, à venir en Europe. Pour les pays situés sur le trajet de la Turquie à l’Allemagne, cette annonce prend des proportions dramatiques. La Grèce, au premier chef, la Macédoine, la Hongrie, l’Autriche, considèrent qu’elles ont fourni un effort maximal en 2015 et qu’elles ne peuvent plus recevoir de nouveaux venus.

Plus que jamais, la situation semble inextricable.

Photo published for Martin Rowson on Greece and Ukraine – cartoon

L’appel grec au secours face aux réfugiés

Comme les frontières se ferment les unes après les autres, la Grèce devient le Calais de l’Union. Pour le gouvernement grec, déjà sous l’eau du fait des mesures économiques imposées par ses partenaires européens, la situation est politiquement intenable. Comment expliquer aux Grecs qu’ils doivent se serrer la ceinture pour rembourser la dette nationale et faire un effort de plus pour accueillir des réfugiés dont leurs créanciers ne veulent pas?

Comme à son habitude, Tsipras s’est donc fendu d’un discours maladroit qui devrait ne pas convaincre les pays concernés:

« L’Europe est en crise de nerfs », a déclaré Tsipras qui s’exprimait lors d’une réunion du comité central de son parti, Syriza. « Est-ce qu’une Europe de la peur et du racisme va supplanter une Europe de la solidarité ? », s’est-il interrogé.

« L’Europe d’aujourd’hui est écrasée sous l’austérité et les frontières fermées. Elle laisse ses frontières ouvertes à l’austérité mais les ferme à ceux qui fuient la guerre », a poursuivi Tsipras.

« Des pays, l’Autriche en tête, veulent imposer la logique de l »Europe-forteresse’ (…) Nous ne montrons personne du doigt, mais nous sommes contre ceux qui succombent à la xénophobie et au racisme. »

L’Autriche ne veut plus de migrants

Tsipras fait ici clairement allusion à l’Autriche dont la position paraît en pointe dans le refus de voir des réfugiés arriver. La tension est même montée d’un cran entre l’Autriche et l’Allemagne sur cette question.

« L’Allemagne doit fournir un nombre de réfugiés qu’elle est prête à accepter en provenance de la région de Syrie et de Turquie. L’Allemagne doit enfin clarifier sa position sinon les réfugiés vont continuer à prendre la direction de l’Allemagne », déclaré Werner Faymann <le chancelier autrichien>.

« Si on reprend les critères autrichiens, l’Allemagne pourrait fixer ce quota à environ 400.000. Tant que l’Allemagne n’annonce pas cela, ce qui va se produire est évident. Les réfugiés vont continuer à croire qu’ils peuvent passer », a-t-il poursuivi. (…)

Werner Faymann estime que le sommet de lundi doit résoudre trois problèmes: améliorer la coopération avec la Turquie dans la lutte contre les passeurs clandestins et dans le retour des migrants refoulés, mettre fin à la libre circulation des réfugiés, s’accorder sur un système permettant aux Etats membres de l’UE d’accueillir les demandeurs d’asile avec l’aide du Haut commissariat de l’Onu au réfugiés.

Dans une autre interview également publiée dimanche, le ministre autrichien la Défense a déclaré que son pays ne prendrait aucune part au système des quotas visant à répartir les réfugiés entre les pays membres de l’UE parce qu’il a déjà suffisamment contribué dans la gestion de cette crise.

Au moins, on sait où vont les Autrichiens dans ce dossier.

La France absente du débat sur les réfugiés

Alors que l’Europe bouillonne sur la question des migrants, la France reste extraordinairement silencieuse, comme si elle était simple spectatrice et totalement suiveuse de l’Allemagne, où Angela Merkel a dénoncé ce week-end les positions hostiles de l’AFD.

On cherche vainement trace d’une position française sur le sujet. Notre brillant ministre des Affaires Étrangères Jean-Marc Ayrault semble beaucoup plus occupé par le dossier ukrainien ou le dossier syrien que par la question des réfugiés. Voilà ce qui s’appelle avoir le sens des priorités!

Quant au secrétariat général aux affaires européennes, il a publié une prise de position sur le sujet (une interview de Bernard Cazeneuve, diplomate bien connu) le 25 février, dont le contenu était:

Je pense que ce que nous devons faire aujourd’hui, c’est appliquer les décisions que nous avons déjà prises. C’est-à-dire aider les Grecs à mettre les hotspots, c’est ce que nous faisons avec l’Allemagne ; continuer à discuter avec la Turquie pour tarir le flux, parce que si le flux s’amplifie nous aurons une difficulté à gérer la situation humanitaire en Europe et nous mettrons les migrants en difficulté. Ce que nous devons faire c’est appliquer le processus de relocalisation et de réinstallation tel qu’il a été décidé ; ce que nous devons faire c’est lutter de façon déterminée contre les filières de l’immigration irrégulière et les passeurs qui sont de véritables acteurs de la traite des êtres humains ; ce que nous devons faire c’est lutter contre les faux documents parce que Daesh a récupéré des milliers de passeports vierges en Irak et en Syrie, et que nous devons assurer la sécurité de l’accueil des migrants en Europe.

Bref, conforme à sa tradition maintenant bien ancrée, la France de Hollande fore droit quoiqu’il arrive.

Combien de réfugiés pour la France ?

Comme je l’ai indiqué récemment, la France, au titre de sa logique de relocalisation, devrait désormais accueillir de nombreux réfugiés, même si ceux-ci ne veulent pas venir. Alors que la Grande-Bretagne ferme ses frontières, que l’Allemagne devrait réduire son effort (probablement à 400.000 accueils en 2016), la France, au nom du sauvetage de Schengen, devra mettre la main à la pâte.

Petit problème: cet accueil ne suscite l’enthousiasme de personne. Près de 3 Français sur 5 sont hostiles à une venue massive de migrants en France.

Pour François Hollande, le dossier des migrants risque de se révéler très très acrobatique.

http://www.eric-verhaeghe.fr/refugies-france-absente-debat-europeen/

EN BANDE SON 

6 réponses »

  1. la france absente du débat…..et pour cause , hollande , tout comme son prédécésseur sont muselés d’office , un coup par merkel , un coup par obama ….la france est dirigée par des laquais , soumis , des laquais qui emmerdent les français mais qui s’applatissent devant une poignée d’individus logés dans les hautes sphères , à l’abris du chaos qu’ils nous imposent ; merkel met l’europe en danger , consciement ou pas ; peut être est t’elle trop vieille , ou trop fatiguée pour prendre de bonnes décision ,mais j’espère que son plan va tomber à l’eau , il en va de notre avenir et celui de l’europe ;

    • le pb est qu’il s ont tout miser à la roulette sur le noir (quatar saoudite) et c’est le rouge qui va sortir
      c’est pour ça qu’ils sont low profile

      il faut que les francais sachent qui est Orban: le president effectif de la France

  2. Résumé de la situation en quelques mots.
    «Les mêmes personnes qui ont encouragé les interventions humanitaires et soutenu les insurrections armées à l’étranger, qui ont conduit à des guerres perpétuelles, générant un flux constant de réfugiés, exigent maintenant que la population de nos pays accueille les réfugiés. Ils commencent par créer le chaos là-bas, puis ils applaudissent le chaos ici.»
    Jean Bricmont

  3. « Orban va organiser en Hongrie un referendum » : avec un résultat qui ne correspondra pas aux « valeurs européennes » ? cela démontre, s’il en était besoin qu’il n’est qu’un dictateur. Une révolution colorée démocratique s’impose d’urgence, il faut reformater le peuple hongrois.

  4. « Jean-Marc Ayrault est unanimement reconnu comme parfaitement incompétent en matière de diplomatie » : la compétence des Français n’est plus vraiment la question ! on lui demande simplement de ne pas être nocif ni nuisible comme l’était la précédente limace du Quai d’Orsay.

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