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L’immigration de masse en Europe, une expérimentation sociale démesurée et déstabilisatrice prenant place parmi celles de Joseph Staline et de Mao Zedong : Le communiqué qui nie la notion d’immigration illégale !

L’immigration de masse en Europe, une expérimentation sociale démesurée et déstabilisatrice prenant place parmi celles de Joseph Staline et de Mao Zedong

Article publié le 29.07.2016 Par Dominique Schwander Les Observateurs.ch

L’ancien roi du Maroc, Hassan II, avait déclaré: « Islam et laïcité sont incompatibles. Nos immigrés ne s’intégreront jamais à votre société » européenne.

Michel Colucci, dit Coluche lui a dit: « Si je dis: l’Algérie aux Algériens, tout le monde dit bravo! La Tunisie aux Tunisiens, tout le monde dit bravo! La Turquie aux Turcs, tout le monde dit bravo! L’Afrique aux Africains tout le monde dit bravo! La Palestine aux Palestiniens, tout le monde dit bravo! Mais, quand je dis la France aux Français, on me traite de raciste.»

Cette idéologie du « Big Other », soit les Autres avant les Nôtres, cette survalorisation des Autres, la culpabilisation de soi puis la sous-estimation et la flagellation de soi, n’est-elle pas une inversion des valeurs à la mode et une escroquerie au chantage?

Les migrations, la mise en valeur de leurs effets positifs, le décompte et la maîtrise de leurs effets négatifs, les attitudes et les comportements de ceux qui les accueillent et de ceux, soit Les Autres, qui sont accueillis, l’amélioration des conditions de vie des immigrants et la détérioration des conditions de vie des autochtones des pays d’accueil sont un des problèmes majeurs de l’Europe du XXI ème siècle. Il nous faut en débattre. Nombreux sont ceux qui estiment que c’est devenu le problème le plus important, que la tension qui en résulte est un grave danger et que cette tension explosera dans une guerre généralisée.

Citoyens prévoyants et clairvoyants de Suisse, achetez une arme et des munitions si vous n’avez pas d’arme de service, achetez des pièces d’or avec vos économies et reconstituez vos provisions de ménage comme pendant la guerre froide!

En matière d’immigration la situation est actuellement hors contrôle dans toute l’Europe. Tous ces immigrants économiques, musulmans militants ou non sont en train de prendre pied en Europe, non pour s’y intégrer et s’y fondre, mais pour s’y implanter, s’en nourrir et changer l’Europe de fond en comble. Ces immigrants, dont la majorité d’entre eux viennent en envahisseurs, sont des « marabuntas » humaines et des pillards qui s’engouffrent en Europe et nous livre une guerre de moins en moins non-violente. L’actuelle immigration débridée et invasive est la nouvelle arme de destruction massive de la fraternité musulmane. Tous ces musulmans se sont jurés, dans un premier temps, la colonisation et la destruction des valeurs de l’Occident. L’Europe du XXI ème siècle s’entre-déchire d’être mélangée. Il y a le feu à la maison. Ce n’est pas parce que le peuple d’un pays, par exemple le suisse, a pu et su intégrer ses nombreux immigrants d’hier, qu’il peut ou veut en faire de même pour les immigrants d’aujourd’hui, surtout s’ils sont d’origine et d’idéologie très différentes, que les agents de l’intégration tels que instruction publique, police, armée, laïcité, religions chrétiennes, travail, marché du logement et accès à la propriété d’un logement, circulation routière, vie dans la cité, sécurité, etc, ont tant perdu en qualité pour les autochtones.

L’immigration de musulmans militants n’est pas un problème politique de droite ou de gauche; elle concerne une nation tout entière, soit tous ses dirigeants élus et le Souverain. L’amalgame classique immigration-islam et Afrique-insécurité-coûts n’est pas une phobie mais est devenue une accablante réalité en Europe. Immigration et terrorisme sont deux problèmes socio-guerriers distincts que nombre de politiciens incapables mettent dans le même sac et cautionnent. Malgré certains recoupements, analyse, stratégies et tactiques pour les affronter sont différentes.

Les institutions européennes disent avoir tenté d’harmoniser leur politique sécuritaire dans l’espace Schengen. Pourtant, ni les immigrants qui utilisent la chaîne migratoire pour pratiquer de plus en plus le « shopping migratoire », ni les Européens des pays d’accueil, sont convaincus de la coordination des politiques et des résultats de cet espace Schengen. Schengen est même devenu un facteur criminogène, ce qui est un comble pour un contrôle des frontières communes de l’UE. Quoiqu’en disent des médias et des gouvernants, en UE la responsabilité du contrôle de ses frontières reste une tâche et un devoir de chaque État souverain et une coordination efficiente des actions entre les diverses polices nationales est vitale, alors qu’elles sont en réalité des plus déficiente. Les Américains ne disent-ils pas: « high fences make good neighbours »? Pire, des polices européennes recevraient des ordres de ne pas affronter les musulmans et les Africains et se rendent coupables de délits de faciès en contrôlant et en arrêtant les autochtones sans autre raison que d’équilibrer les statistiques ethniques et idéologiques.

En ces temps de crise et de dettes des Etats, l’immigration est devenue une charge trop lourde pour les finances publiques. Cela n’empêche pas les angéliques multiculturalistes et autres « useful idiots » de gauche et du centre d’affirmer, sans aucune preuve mais la main sur le cœur, que l’Etat et ses contribuables ont le cœur sur la main. Ces bons sentiments font que la gouvernance de L’Etat endetté devient désastreuse. Cette politique de générosité sur le dos des contribuables se paie par un déficit financier, des coupures budgétaires dans la formation, des plaintes concernant la mauvaise gouvernance et, ce qui est une objectif du terrorisme musulman, une perte de confiance du Souverain dans ses élus et son gouvernement. De plus en plus d’autochtones compatissants, ayant d’autres sentiments plus réalistes, faisant moins preuve de commisération et étant beaucoup plus pragmatiques et clairvoyants, réclament à leurs élus qu’il faut privilégier l’intégration par le travail, plutôt que par l’aide sociale et qu’il faut arrêter que l’Etat subventionne la fainéantise, les profiteurs, les militants et les ennemis de la démocratie, de notre culture et de nos vertus. Ne faut-il pas tenir compte avec soin et réalisme des limites de la capacité d’accueil et d’intégration de chaque nation souveraine, d’autant plus que l’invasion actuelle comprend des immigrants provenant de «cultures » totalement différentes de la nôtre, nous traitant de mécréants et nous haïssant?

Le Secrétariat d’Etat aux migrations (SEM) de Suisse tablait naïvement sur des coûts de l’ordre de 940 millions de francs en 2016 pour l’aide sociale affectée aux requérants d’asile. Dans ce budget sont pris en compte les personnes admises provisoirement et les réfugiés mais pas les réfugiés clandestins ni les milliers de réfugiés déboutés qui disparaissent on ne sait où, ni les coût de leur criminalité. Le budget total du SEM avait été estimé à 1,5 milliard de francs. Les coûts de l’asile devraient plus que doubler en Suisse ces prochaines années. Il est prévu près de 2,4 milliards de francs pour le domaine de la migration en 2018. Et ce sera bien d’avantage; il faut budgéter en plus les frais engendrés par toute la famille d’un immigrant, les regroupements familiaux, les frais scolaires, l’explosion des coûts des assurances maladie-accident, les frais de logement, les coûts de la délinquance, etc. A ces montants en milliards, il faut ajouter que les contribuables des cantons et communes supportent des charges estimées à près de 2 milliards de francs et que l’aide publique suisse au développement coûte quelque 3 milliards de CHF. A moyen terme, tous ces coûts dépasseront et 10 milliards et 250.000 CHF par demandeur d’asile; ces coûts jetteront la Suisse, en particulier ses communes, dans la ruine.

En Allemagne voisine, Hans-Werner Sinn, directeur de l’Institut Ifo de Munich pour la recherche économique, dresse un tableau encore plus sombre des coûts de l’accueil des demandeurs d’asile. Selon les calculs des chercheurs de cet institut, l’Etat allemand va débourser au moins 450 milliards d’euros pour le million de demandeurs d’asile qu’il (ou plutôt elle Multi Mutti Merkel) a laissé entrer en 2015. Cela signifie 450.000 euros par immigré. Mais en vérité, ces coûts pourraient être beaucoup plus élevés; les calculs sont vraisemblablement bien trop optimistes au sujet de l’arrivée des immigrés sur le marché du travail puisque la majorité de ce million d’immigrants n’ont aucune formation professionnelle et plus de 200.000 sont mêmes analphabètes. Déjà aujourd’hui, en Allemagne, les immigrés représentent un quart des dépenses de l’aide sociale. Et cela va être rapidement pire. En 2015, le grand patron de Daimler militait pour le massif accueil d’immigrants en affirmant qu’il allait créer un deuxième miracle économique, « Wirtschaftwunder ». Pour le moment il n’en est rien! Des 1.300.000 immigrants enregistrés que 30.000 ont trouvé du travail ou obtenu un poste subventionné par l’Etat, pas étonnant puisque le gouvernement a découvert, bien tardivement, que les trois quart de ces immigrants n’ont aucune formation professionnelle. Non sans raison le Souverain suisse tout comme l’allemand attendent de l’Etat une révision complète des lois fixant les droits et les devoirs de l’immigrant accepté dans le pays ainsi que le statut des membres de sa famille et de ses enfants nés ou à naître.

Proclamer comme le parti communiste français « L’immigration est une chance fantastique pour le pays d’accueil. C’est la preuve qu’il fait encore rêver, qu’il peut séduire. On ne choisit pas un pays dont on ne veut pas apprendre la langue, dont on n’aime pas l’histoire, les mœurs ou la culture. » (Sauf évidemment pour les immigrés militants). « Plutôt que de refouler aux frontières les immigrés qui s’y présentent, on devrait les remercier de nous avoir choisis plutôt qu’un autre pays. » est pour beaucoup d’autochtones une aberration grandiloquente et une sotte utopie, sauf évidemment pour des autochtones européens  assimilés aux Autres. Et François Mitterand d’enfoncer le clou en déclarant: « Ils sont chez eux chez moi ». Combien en-a-t-il accueilli chez lui, à ses frais, comme de nombreuses familles suisses ont accueilli chez eux des juifs fuyant le nazisme?

Mais il y a pire. Avant de se convertir à l’islam en 2011 et d’épouser, à 52 ans, Yad’mine Tordjman, une étudiante de 24 ans en école d’art et arrière-petite-fille de l’ancienne première dame de Tunisie, Wassila Bourguiba, Éric Besson (ancien Ministre de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du Développement solidaire du gouvernement François Fillon II), a même affirmé: « La France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France du métissage ». (déclaration faite à la Courneuve, une cité emblématique de la Seine-Saint-Denis).

Ces élus français métissés qui rêve de l’Eurabia, ces élus angéliques métissés de gauche et du centre ne sont vraiment pas à l’écoute du peuple. Se sont-ils demandés si eux et leurs proches seraient heureux de s’intégrer dans un pays dans lequel ils se verraient obligés de migrer, un pays affichant des valeurs opposées aux leurs, tels que xénophobie, racisme, « apartheid », « charia », « hadiths », intolérance, autoritarisme, théocratie, corruption, très grande disparités des revenus, polygamie, interdiction aux femmes de conduire, mariage forcé, habillement forcé c’est-à-dire tenue islamique, mutilations sexuelles, meurtres d’honneur, « jizya » ou taxe compensatrice des infidèles « dhimmis », etc, etc?

Les médias et les politiques ont ainsi mis à la mode le terme pluriel pour faire croire aux « useful idiots » qu’un manque d’homogénéité dans un pays serait une qualité. Par exemple ils bassinent nos voisins avec « la France plurielle » que l’on devrait plutôt qualifier de carnavalesque quand on écoute les discours de leur Pepe Manuel.

Il y a tant de dirigeants politiques et de représentants des médias européens qui tentent de convaincre les citoyens que l’islam est une religion comme les autres, que l’islam est une religion de paix et de tolérance, en réalité plutôt de pets et de tollé rance, que « culture » et colonisation islamiques sont formidables et prodigieuses, que c’est une immense chance pour la France plurielle d’être le premier pays musulman d’UE etc. Pour ceux qui manquent encore de lucidité voici quelques déclaration récentes.

En février 2013, Jack Lang, en France, le président du ruineux Institut parisien du monde arabe a affirmé: « Il y a tout un travail à accomplir en faveur de la langue arabe, il faut qu’elle puisse être présente à l’école primaire. » Et le 15 janvier 2015 il enchaîne en affirmant que: « L’islam est une religion de paix et de lumière. »

Barbara Pompli, femme politique française membre d’Europe écologie les verts (EELV) et députée à l’Assemblée nationale a, le 13 janvier 2015, milité à ses côtés en regrettant que: « La place de la langue arabe, de la culture musulmane, dans notre société, est très insuffisante. »

Bruno-Roger Petit, chroniqueur politique au Nouvel Observateur a prédit avec enthousiasme le 16 décembre 2014: « Oui il y aura une jour, avant la fin de ce siècle, un président de la République française dont le prénom sera Mohammed, ou Ahmed, ou Norrédine. C’est une perspective formidable. »

Quand à Vincent Peillon ex-ministre socialiste de l’éducation nationale (2012-2014) nommé en novembre 2014 professeur associé à l’Université de Neuchâtel en Suisse, il a affirmé: « On ne pourra jamais construire un pays de liberté avec la religion catholique. » Et Bernard Cazeneuve, ministre de l’intérieur du gouvernement français de Hollande, clame sur RTL le 5 août 2014: « Ce n’est pas un délit de prôner le djihad. »« Evoquer les racines chrétiennes de la France, c’est faire une relecture historique frelatée qui a rendu la France peu à peu nauséeuse. » Quand au Président François Hollande, il a affirmé le 7 février 2014. « L’islam est compatible avec la démocratie. » Qu’a-t-il appris à l’ENA?

Ainsi les citoyens européens autochtones (auxquels se joignent nombre de citoyens anciens immigrés) se divisent actuellement en deux groupes opposés.

Le premier groupe sur la défense réaliste s’oppose aux risques de l’immigration incontrôlée, tout particulièrement de l’islam, résiste à l’invasion militante, voire même quelques- uns émigrent dans les pays plus démocratiques de l’Est européen en particulier en Hongrie. Pour le sondage Ipsos-Le Monde du 24 janvier 2013, 74% des personnes interrogées par Ipsos estiment que l’islam est une « religion » intolérante , incompatible avec les valeurs de la société française. L’islam, qu’il soit appelé ou qualifié de religion (à tort), d’idéologie ou de système politique, est donc bien peu compatible avec la nature humaine et avec le simple bon sens, puisque trois quart des Français ont exprimé qu’ils sont perturbés par le profond malaise qu’ils ressentent à l’égard de l’islam-idéologie. Ce premier groupe, qualifié de monstres par le deuxième groupe, répète: ne posons plus de questions inutiles. Allons à l’essentiel. Il y a danger. Repoussons ce danger. L’Europe a souffert, depuis trente ans, d’une politique migratoire expérimentale, néfaste et fatale. Non seulement il ne faut pas aggraver la situation tendue actuelle, mais il est urgent de l’inverser en renvoyant chez eux les immigrés qui n’ont pas leur place chez nous, notamment tous ceux qui veulent imposer l’islam et leurs traditions tribales qui ne font pas partie de notre civilisation, de nos valeurs et de nos vertus. La Suisse ne peut pas devenir un pays musulman ou africain. La Suisse est la Suisse. On a bien renvoyé en France un million de pieds-noirs d’Algérie; avec les progrès des transports l’Europe pourrait bien renvoyer chez eux dix millions de musulmans. Le sort de notre pays, de nos enfants, de nos écoliers, de nos petits enfants, de nos retraités, de nos chercheurs d’emploi, de notre mode de vie, de notre civilisation nous importe davantage que celui de ces immigrés qui nous envahissent. Nous n’avons pas envie de vivre un grand remplacement du peuple, d’avoir l’impression de changer de continent quand nous sortons de chez nous faire nos courses, de nous retrouver minoritaires dans nos quartiers, de ne plus y entendre parler nos langues nationales. Nous ne voulons pas subir leurs coutumes, leurs rituels et leurs soit-disantes valeurs qui sont si divergentes des nôtres. Nous n’avons plus aucune envie de vivre l’enfer quotidien du vivre ensemble avec eux dans la cité. La surnatalité et la pauvreté dans les pays en voie de développement n’est pas notre problème, mais le leur. Nous n’en sommes pas responsables et ce n’est pas à nous à subir les conséquences de leur irresponsabilité et de leur corruption. A eux de résoudre leurs problèmes et de se débarrasser de leurs terroristes, de leur racaille, de leurs dictateurs et de leur corruption. Ce premier groupe de citoyens attend que leur gouvernement soit en priorité à leur service, qu’il assure leur sécurité, qu’il empêche, par tous les moyens modernes, les clandestins accueillis à tort en Italie, en Grèce, en Turquie et ailleurs de mettre les pieds dans leur pays et qu’il protège ses propres citoyens avant de leur faire des leçons de morale et de chercher à les culpabiliser. Ces citoyens sont convaincus que la meilleure façon d’éviter les naufrages en Méditerranée est de faire savoir aux immigrés et à leurs milliers de passeurs mafieux qu’ils n’ont aucune chance de mettre les pieds chez nous, et qu’ils devront faire demi-tour, à leurs frais, quoiqu’il arrive.

Les Suisses de ce premier groupe posent les deux questions suivantes.

Répondre oui comme notre Conseil fédéral, Merkel ou Hollande, etc, est un insensé non-vouloir utopique de politiciens qui ne sont plus à l’écoute du peuple, soit du Souverain, le manipule et ont comme objectif de renforcer le pouvoir centralisateur, antinationaliste et antidémocratique de l’UE. La prospérité par l’immigration c’est insensé! Avec plus de 23 millions de chômeurs (sans compter tous ceux qui sortent de la statistique), soit 10 % de sa population, l’UE n’a certainement aucun besoin d’immigrants peu qualifiés professionnellement, sans aucune formation, analphabètes et qui ne pourront même pas remplacer un futur robot. Faire croire aux contribuables que l’immigration de masse va remédier au chômage structurel est le comble de la stupidité et de l’hypocrisie des élites européennes. Notre histoire nous a démontré que la prospérité par l’immigration ne peut s’envisager puis se developper que si les immigrants apportent aux pays les formations, les professionnels qui manquent, les moyens et les innovations dont les habitants du pays d’accueil ne disposent pas et dont leur pays a réellement besoin, comme se fut le cas des Huguenots immigrants en Suisse. Si ce n’est pas le cas, l’Etat et ses contribuables s’appauvriront à coup sûr.

Avons-nous besoin d’une immigration de masse pour des raisons démographiques?

La taille de la population n’est pas du tout essentielle pour qu’un pays progresse et augmente son PIB par habitant. Plus d’habitants au km carré en Suisse n’est certainement pas un enrichissement pour le pays mais bien plutôt une dégradation de la qualité de vie de ses habitants. Répondre oui est une autre stupidité politique manipulatrice et utopique qui amène le chaos et la crise la plus grande en Europe depuis la deuxième guerre mondiale, crise comparable à la chute fatale de l’Empire Romain il y a XV siècles. Si il y a des régions en Europe où la natalité est très faible, cela est du aussi d’une part au retard d’émancipation et à la discrimination des femmes et d’autre part à l’insuffisance des structures d’accueil pour les jeunes enfants des couples qui travaillent, surtout pas au manque d’immigrants; ces facteurs sont corrigibles.

Nous connaissons ces eurocrates incompétents de Bruxelles qui ont prêté des centaines de milliards à la Grèce. Ne leur faisons pas confiance. Les politiciens de l’UE, en invitant puis en accueillant cette invasion immigratrice en Europe qui est déjà le continent avec la plus forte densité d’habitants du monde, se livrent à une expérimentation sociale démesurée et déstabilisatrice, sans même avoir consulté tous les citoyens de chaque nation, ni même en avoir étudié les effets secondaires. Une telle expérimentation sociale continentale, sans aucune étude préalable de ses effets secondaires et de ses effets pervers, prend place parmi celles si meurtrières de Joseph Staline ou de Mao Zedong et sera fatale pour les pays de l’Europe, ce qui convient évidemment aux USA actuels. Ce qui est important ce sont les activités, la production, les capacités, l’innovation, de vrais professionnels dans tous les domaines et à tous les échelons hiérarchiques, une forte proportion de contribuables productifs, des femmes qui travaillent, un haut niveau d’éducation et de formation, etc, surtout pas une immigration économique et/ou militante de masse et encore plus de dettes de l’Etat.

Les moyens concrets propres à ralentir l’invasion migratoire économique et militante de l’Europe sont pourtant bien connus:

  • Lutter contre la fraude identitaire en entrant dans une banque de données centrale toutes les empreintes digitales et le DNA de tous les immigrants. C’est la seule manière d’éviter le shopping migratoire d’immigrants qui déposent plusieurs fois des demandes d’asile en des lieux différents en changeant d’identité et en présentant de multiples vrais ou faux papiers d’identité
  • Faire contribuer les migrants à leurs frais de santé et de justice.
  • Supprimer les subventions étatiques aux associations d’aide aux immigrants.
  • Supprimer tous les avantages particuliers accordés par les Etats aux immigrants
  • Appliquer avec sévérité et rapidité toutes les décisions concernant les déboutés et bien sûr empêcher qu’ils disparaissent dans la nature.
  • Supprimer tous les subsides sociaux qui attirent les immigrants.
  • Abolir le regroupement familial tant que l’immigré ne peut pas couvrir lui-même toutes les dépenses.
  • Ne pas accueillir nos ennemis.
  • Appliquer la règles de la priorité nationale notamment en matière d’emploi, de formation, d’allocations et de subsides
  • Affirmer la souveraineté de chaque pays et refuser que l’UE ou quelques pays que ce soit, tel l’Allemagne ou la France, donnent des leçons, décident de nos charités et dictent la conduite à tenir en matière d’immigration. Que la France, l’Allemagne et l’UE balayent devant leur porte avant d’aller faire la leçon aux autres à tout vent et de s’ingérer dans les autres nations en suivant le mauvais exemple des USA.
  • Ne pas se laisser manipuler par la dite stratégie de tension permanente. En l’absence d’invasion soviétique pendant la guerre froide, la fonction principale des groupes opérationnels de la CIA semblables à Gladio, a été de discréditer tous les groupes et les politiciens de gauche en recourant à la «strategy of tension» comprenant aussi les opérations fausses-banières (« false flag »). Cette stratégie de la tension permanente est régulièrement appliquée de nos jours et a comme objectif de contrôler et de manipuler l’opinion publique, en utilisant l’épouvante, la propagande, des agents provocateurs, le terrorisme, etc, pour instiller la peur dans la population tout en cadrant certains individus soit-disant caractériels, certains dirigeants et les opposants politiques pour les atrocités tant des actes terroristes que des opérations fausses-banières.

Tant de citoyens ordinaires sont contre cette invasion immigratoire mais étrangement, peu de leurs gouvernants le sont. Pourtant, ces derniers devraient savoir que les différences culturelles et les influences du milieu d’origine sont une réalité, et qu’il faut absolument en tenir compte. La politique d’immigration est toujours une question d’individualités, de mesure, de nombre, de sécurité et de coût pour les contribuables. Plus l’intégration de certains immigrants est questionnable voir utopique, plus l’immigration doit être prudente, mesurée et contrôlée. Comme l’Arabie Saoudite, réciprocité, réciprocité, nos gouvernants, nos fonctionnaires et notre industrie du social doivent apprendre à dire non, sans quoi eux et les médias seront incapables de débattre des gigantesques problèmes qu’ils ont créés avec leur gigantesque expérience sociale, ni de les résoudre.

Qui, en Australie est chargé de la politique du refus total d’accueil de tels immigrés? Avec raison, c’est l’armée. L’immigration actuelle est un problème militaire puisque l’islam nous a, maintes fois, déclaré la guerre et que les Autres nous envahissent. Les Australiens l’ont bien compris. Ils réservent leur pitié à leurs concitoyens et se sont cuirassés contre la pitié à l’égard des Autres. En Méditerranée européenne, c’est aussi une armée, mais cette armée italienne ne combat pas ceux qui nous font la guerre, elle inverse les valeurs et se prend pour l’Armée du salut. C’est une armée lâche, ni déterminée, ni efficace, ni rapide, alors qu’il lui serait tout à fait possible, comme en Australie, de mettre fin en quelques jours à cette immigration militante inhumaine et galopante au travers de la mer et d’éviter nombre de noyades. La tolérance de l’intolérance par cette armée, c’est un stratégie de la lâcheté. Tout comme trop d’armées européennes soumises à l’OTAN, donc aux USA, cette armée italienne, pourtant composée traditionnellement de patriotes pas forcément enclins à se laisser attendrir, a fait l’apprentissage des remords et de la culpabilisation à l’égard des Autres. Il n’y a aucune raison à se sentir coupable d’une faute commise par une ou des personnes que nous ne connaissons pas personnellement, par exemple au sujet de la colonisation européenne, du nazisme ou de l’apartheid en Afrique du sud, surtout si elles ont vécu à une époque où nous ne vivions même pas. Cette culpabilisation qui nous est imposée par le politiquement correct fait passer d’une part notre attachement aux racines et au modèle de civilisation de notre propre nation pour un sentiment impérialiste et du chauvinisme, et d’autre part fait passer notre regard critique sur des idéaux différents de ceux de notre propre culture, de nos valeurs et de nos vertus pour de la haine ou du mépris des autres. Autres temps: le pilote de l’avion ayant largué la bombe atomique d’Hiroshima est mort paisiblement à quatrevingt-trois ans.

On a tellement anesthésié et culpabilisé les peuples de l’Europe qu’ils n’ont plus la clairvoyance et la force d’imaginer d’autres types de guerre que celles de 14-18 et de 39-45 que, régulièrement, ces peuples commémorent tout bêtement. Ils sont incapables d’affronter cette nouvelle forme de guerre moderne asymétrique, où l’ennemi attaque peu armé, se cache derrière la misère de ses condisciples, derrière ses femmes et ses enfants, se fait passer pour victime, encadré par des terroristes musulmans et subventionné par quelques riches pays musulmans, qui eux refusent avec obstination d’accepter ces immigrants chez eux, quand ce n’est pas subventionné, aidé et formé par les USA, la France, etc.

Le deuxième groupe multiculturaliste, angélique et idéaliste, qualifié par le premier groupe de bobos compassionnels et de « useful idiots » manquant d’intelligence, de jugement, de réflexion, de clairvoyance et de connaissances historiques, économiques et fiscalistes, postule le « vivre ensemble, vivre ensemble», de plus en plus utopique compte tenu de la prolifération des territoires de non-droit dans les villes, de l’importance de l’économie informelle, de la violence, des terroristes, des trafics, de la corruption et des coûts pour les contribuables, etc. Pour la gauche bien pensante, l’immigration est devenue, aux frais de tous les contribuables, un levier politique remplaçant la lutte des classes qui n’apporte plus guère de voix aux partis. Le scénario de cette gauche islamoafricano-gauchiste est le rêve du « mélangez-vous, mélangez-vous, métissez- vous ». Une significative partie de la gauche européenne et suisse (des hommes évidemment mais aussi des femmes) est même fascinée par l’islam-idéologie.

La plupart des gouvernants européens, des dirigeants politiques et des représentants des médias font partie de ce deuxième groupe et se refusent de participer à la controverse entre ces deux groupes. Pour eux il ne s’agit pas d’un conflit d’idées et de visions égales du monde dont le peuple Souverain doit absolument débattre; pour eux il s’agit d’un conflit entre le bien (ce qu’ils sont) et le mal (soit les autres du premier groupe). Avec arrogance et radicalisme, ils refusent un vrai débat, affirment sans études préliminaires que la migration de masse vers l’Europe est positive (le bien) et refusent de prendre des mesures (le mal) contre l’immigration de masse économique et militante. De plus, ils se persuadent qu’ils sont dans le bien parce que l’immigration est bonne pour leur carrière, leur statut et leur désir de se valoriser et/ou parce que l’immigration offre une excellente occasion de changer le statu quo européen en renforçant le pouvoir centralisé de la dictature silencieuse qu’est devenue l’UE.

Le mécanisme migratoire comprend deux catégories de facteurs. Les facteurs « push » sont ceux qui poussent le candidat à la migration à quitter son pays ; les facteurs « pull » sont ceux qui exercent sur lui un effet d’attraction vers un pays de destination et d’accueil. L’association de ces deux facteurs accélère le désir et la prise de décision d’émigrer. En général (sauf depuis ces dernières années), l’immigré qui a quitté son pays au nom de facteurs « push », (il ne pouvait plus supporter d’y vivre, ni n’arrivait guère à y survivre économiquement), a une attitude positive à l’égard de son pays d’accueil; il est prêt à comprendre les autres, à se remettre en cause, à évoluer avec eux, à apprendre leur langue nationale, à s’intégrer, à ne pas ménager ses efforts pour grimper dans l’ascenseur social. Au contraire, l’immigré qui a quitté son pays, pour des facteurs « pull », parce qu’il a succombé à la société de consommation des feuilletons télévisés, à d’autres tentations, à d’autres incitations et parce que l’UE et Multi Mutti Merkel, etc, l’ont invité à venir, a beaucoup plus d’illusions, exprime des exigences croissantes, revendique des droits, ne s’intègre pas et se soucie guère de ses devoirs envers le pays qui l’accueille. Ses exigences n’étant pas satisfaites, il rejette ce pays d’accueil, ses lois et ceux qui le gouvernent, voire devient un délinquant, fait raid et razzia sur son pays d’accueil, l’exploite, et/ou se laisse manipuler par tout discours démagogique et/ou idéologique.

Si, de nos jours, le métissage des teints et de certains aspects culturel sont plus ou moins acceptés et le métissage social plus souvent un échec qu’un succès, le métissage idéologique et l’oecuménisme entre une religions et une idéologie ne fonctionnent pas. Le vivre ensemble dont parlent tant d’élus, résiste mal à l’épreuve de la vie quotidienne dans la cité. Les affirmations au sujet de différences culturelles qui enrichissent les autochtones sonnent de plus en plus creux. Une minorité musulmane intolérante qui n’accepte pas de se soumettre aux lois du pays d’accueil et qui milite pour/exige que ce soient celles de son pays musulman d’origine qui s’appliquent dans les quartiers et communes où les musulmans sont majoritaires, puis sur l’ensemble du territoire, n’arrange pas les choses. Faute de réciprocité, le scénario de la convivialité multiculturelle a surtout du plomb dans l’aile; le négatif de la fraternité musulmane serait mieux toléré par la population des pays d’accueil s’il y avait réciprocité du côté des pays musulmans d’origine, des pétromonarchies, des théocraties, etc, et si les européens et les européennes, chrétiens ou athées, pouvaient se sentir des citoyens et des citoyennes libres dans tous les pays musulmans.

Malgré les efforts financiers faits en faveur de ce que la novlangue française appelle pudiquement « quartiers sensibles » ou « zones de sécurité prioritaire », qui sont en fait des « quartiers de non-droit » soit la preuve qu’un pays comme la France voisine n’est plus un état de droit, les migrants font de moins en moins ce que souhaitent les États qui les accueillent. Ils ne subissent plus la migration mais choisissent (« asylum shopping ») le pays avec le plus d’avantages, le plus de leurs compatriotes, la meilleure diaspora, le moins d’inconvénients et les meilleures prisons; pire, les fervents musulmans qui appliquent le coran à la lettre s’adonnent au terrorisme musulman. Aujourd’hui en général, émigrer est un choix collectif notamment de la famille élargie, d’un groupe, d’une tribu, plutôt qu’un choix individuel; ce qui a pour conséquence que le déficit économique de l’immigration pour les pays d’accueil se creuse encore d’avantage. Chaque année l’immigration coûte à la France plus de 1 point de son PIB, ce qui est intolérable en temps de crise et d’intolérables dettes. Charité débridée n’est-elle pas d’abord péché contre soi-même? Il en est de même dans tous les pays de l’OCDE où le déficit de l’immigration régulière varie entre 6 à 10 milliards d’euros par pays et par an, à quoi s’ajoutent les gros frais directs et indirects de l’immigration clandestine et beaucoup de frais comptabilisés sous d’autres rubriques. Accepter sans contrôle strict les flux migratoires et les dépenses en milliards qui en découlent, c’est accepter aussi l’immigration militante musulmane et autres immigrations, clandestines en particulier, qui s’infiltrent. L’ancien président des USA Thomas Jefferson n’a-t-il pas rappelé que « Contraindre un homme à subventionner avec ses impôts la propagation d’idées auxquelles il ne croit pas et dont il a horreur est péché et tyrannie »? Toutes ces prestations sociales généreuses et coûteuses (en 2009 déjà, en Suisse, 45,3% des bénéficiaires de l’aide sociale étaient des étrangers) attisent la colère d’une partie croissante des autochtones qui s’estiment trahis et discriminés par rapport à des étrangers qui n’ont jamais ou guère travaillé et cotisé dans le pays d’accueil, qui sont au chômage, qui font des enfants qu’ils ne peuvent pas entretenir et éduquent mal, qui contestent les lois, les constitutions, la démocratie, nos religions chrétiennes et l’identité nationale dont ils bénéficient, bref qui profitent mais qui n’apportent guère ou rien au pays d’accueil et qui, de plus, ne font pas l’effort de s’intégrer. Quoiqu’en dise les angéliques madones Angela Merkel et Simonetta Sommaruga et autres politiques.

En Suisse comme dans tous les pays, les immigrants sont considérés avec une certaine suspicion, à moins que et jusqu’à ce qu’ils prouvent leur valeur. Partout dans le monde, j’ai moi-même été immigrant, les immigrants n’ont pu et peuvent gagner en respect qu’en se réalisant par leur travail, leurs efforts, leur ingéniosité, leur formation, leur intégration et leur apports au pays d’accueil. Ce qu’ont admirablement fait en Suisse au XVII ème siècle les immigrants Huguenots puis d’autres au XX ème siècle. Malheureusement, les musulmans en particulier, ont changé complètement la donne.

La Suisse a toujours été caractérisée par une forte migration bidirectionnelle: Suisses travaillant à l’étranger et étrangers travaillant en Suisse. Que les Suisses cessent de se sous-estimer et de culpabiliser. Actuellement, près d’un tiers de la population résidente de la Suisse est d’origine étrangère, alors que que plus de 700 000 citoyens suisses, soit quelque 10 pour cent de la population totale de la Suisse, sont expatriés à l’étranger. Les Suisses se sont expatriés le plus au XVIII ème siècle, lorsque quelques 350.000 mercenaires suisses servaient à l’étranger. Vu qu’à cette époque la population résidente de la Suisse n’était que de 1,7 millions, ces mercenaires émigrés représentaient un peu plus de un Suisse émigré sur cinq, ce qui est énorme. De même, la Suisse a accueilli massivement des immigrants; ainsi, durant les années 1680, la population de Genève qui s’élevait à 16.000 habitants, a accueilli plus de 30 000 Huguenots, cela sans confisquer des maisons privées ou construire des centres d’hébergement. Actuellement soit en 2015, la population genevoise comprend 490’578 habitants dont 201’983 personnes étrangères soit plus de 40 %.

En Suisse, entre 2003 et 2012, les dépenses du gouvernement fédéral pour l’aide sociale ont doublé pour atteindre 2,4 milliards de francs en 2012, ce qui faisait plusieurs centaines de francs par contribuable et ce qui est en passe de devenir plusieurs milliers de francs. Rappelons quelques chiffres actuels concernant cette coûteuse expansion de l’industrie du social; industrie du social qui en semant de l’assistance, nous fait récolter de plus en plus d’assistés. Parmi les bénéficiaires de l’aide sociale, la proportion des étrangers est très forte: 46,7%. Elle est ainsi deux fois plus élevée que la part des étrangers à la population totale. Pour certains migrants, c’est pire: 91% des Erythréens font partie de ces bénéficiaires de l’aide sociale et après quelques années de cette démesurée expérimentation sociale qu’un minorité de ces Erythréens gagne sa vie. En 2014, 87% des requérants d’asile ont touché l’aide sociale.

Pire, 42% des quelques 250.000 bénéficiaires de l’aide sociale ont moins de 25 ans. Ce n’est certainement pas ainsi que ces jeunes vont être convaincus que seul le travail permet une vie accomplie, libre et indépendante et de s’intégrer en Suisse.

Aujourd’hui, en Suisse et ailleurs, près d’une personne sur deux touchant des prestations de l’assurance-chômage (AC) est un étranger. Un rapport publié en été 2015 par la Confédération helvétique confirme que les immigrants touchent même jusqu’à trois plus d’indemnités de chômage que le montant de leurs cotisations AC. Les premières victimes en seront les salariés suisses qui cotisent davantage à l’AC qu’ils ne touchent de prestations de chômage. Pour tout citoyen-contribuable raisonnable, il est évident qu’une personne immigrée récemment pour exercer une activité lucrative et qui a perdu son emploi devrait quitter son pays d’accueil. Il est tout aussi logique que pour avoir droit à des prestations de chômage, il faudrait avoir cotisé suffisamment longtemps dans le pays d’accueil.

La solidarité prend fin là où les abus et les excès de l’industrie du social, de la Conférence suisse des institutions d’action sociale ou CSIAS et d’angéliques, qui tous font les généreux avec l’argent des autres, conduisent manifestement à des injustices, injustices en particulier pour les citoyens de la classe moyenne en voie d’appauvrissement, qui, par leur travail et leurs impôts, doivent entretenir tant d’autres personnes et pour nombre de rentiers AVS qui se voient prétérités en comparaison avec des condamnés en prison, de jeunes délinquant en maison, de délinquants multirécidivistes (dénommés dans la presse de gentils garçons peu favorablement connus des services de police!) et d’immigrants assistés. A tel point que des étrangers et des requérants d’asile reçoivent des contribuables plus d’argent en poche que des citoyens qui travaillent ou qui sont à la retraite.

En Suisse la rente maximale AVS des retraités est de guère plus que 42.000 CHF/ an pour un couple marié retraité, ce qui fait 58 CHF par personne et par jour. La rente minimale de l’AVS, elle, ne donne que 38 CHF par jour. Avec cette somme, le retraité doit payer ses assurances maladie et accident, son loyer, ses impôts, ses assurances, ses consultations chez le médecin, ses médicaments jusqu’à concurrence de la franchise, ses lunettes, ses appareils auditifs, ses frais dentaires, etc. Un demandeur d’asile qui n’a jamais ni payé ni rien apporté la Suisse lui reçoit 56 CHF par jour et tous les frais annexes sont pris en charge par l’Etat, c’est-à-dire les contribuables. Et des « useful idiots » ont clamé que c’était honteux si peu pour les requérants et pas digne d’un pays riche, etc. La priorité et la justice n’est-elle pas de faire en sorte que nos retraités aient une retraite décente après 44 ans de travail et de cotisations. Est-il normal qu’un retraité devrait vivre avec 36 CHF par jour en payant toutes ses charges annexes et qu’un requérant étranger reçoive 56 CHF en ne payant aucune de ces charges annexes?

Autre scandale et perversion: que va devenir la classe moyenne suisse si en 20 ans, la CSIAS a fait plus que doubler les emplois du social alors que les emplois du secteur productif ont chuté eux de moins 4%? Pourtant l’émergence d’une classe moyenne robuste et son maintien est le but premier de toute économie de libre marché qui fonctionne correctement, alors que justement le citoyen a le sentiment, aujourd’hui, que cette classe moyenne est érodée, et s’appauvrit dans de nombreux pays dans lesquels, d’une part elle est exploitée par l’Etat et d’autre part la culture du gagnant remporte tout, du vainqueur qui gagne la timbale au «winner takes all », sape la démocratie.

Vu le caractère géopolitique des migrations, on ne peut pas déconnecter la situation de ce qui se passe à l’étranger. La géopolitique de « géo » la terre et de polis » la cité, est l’étude de l’influence des facteurs géographiques, économiques et culturels sur la politique des Etats et sur les relations internationales. Elle déchiffre les mécanismes et les rapports de force qui régissent les communautés en liaison avec leur environnement. En matière d’intégration, la Suisse qui, avec quatre langues nationales et plus d’un quart de sa population étrangère, est championne de la diversité culturelle et de l’immigration et constitue un véritable laboratoire de géopolitique dont les pays européens devraient mesurer les avancées, analyser les échecs et respecter les décisions de son Souverain.

De plus, les véritables résultats politiques de la Suisse, soit l’art du compromis, la prévention de la concentration du pouvoir chez les politiques, une gouvernance de bas en haut, le principe de subsidiarité et la promotion disproportionnée de minorités helvétiques, comment n’ont-ils pas encore trouvé un ensemble systématique de symboles qui agissent sur les peuples européens?

Contrairement à certaines idées reçues, ce ne sont pas les plus pauvres qui émigrent. Pour réussir son émigration, il faut disposer d’un bon capital de départ pour le voyage, les voleurs et assassins que sont les passeurs mafieux, un choix de faux documents pour faire plusieurs demandes d’asile et la survie pendant quelques mois dans le pays de transit ou d’accueil, surtout pour la moitié des immigrants qui se perdent dans la nature et autres immigrants clandestins. Les migrants militants obtiennent beaucoup plus facilement, sans devoir s’endetter, ce capital de condisciples, de lieux où ils se prosternent, de guides idéologiques, de pétromonarchies et de califats prêts à financer le « jihad » de leurs guerriers.

Les réfugiés musulmans des califats et autres territoires musulmans relèvent de l’émigration de fuite mais aussi de l’émigration militante, sans oublier les lâches jeunes patriotes qui préfèrent abandonner ou déserter leur pays plutôt que de prendre les armes pour le défendre. La convention de Genève de 1951 définit les premiers comme « ceux qui, craignant avec raison d’être persécutés en fonction de leur race, de leur religion, de leur nationalité, de leurs idées politiques ou de leur appartenance à un groupe social, se trouvent hors du pays dont ils ont la nationalité et ne veulent ou ne peuvent se réclamer de sa protection ». Quel Français peut-il, encore de nos jours, se réclamer de la protection de son pays? En réalité, en Europe on a de plus en plus l’impression que par définition un réfugié est un immigrant fin connaisseur de notre droit qui exige un avocat gratuit, des menus et des femmes à sa convenance et refuse d’être logé comme une recrue de l’armée.

L’immigration militante est une des tactiques actuelles du « jihad » des musulmans en Europe. Ces immigrants musulmans font partie de la stratégie de la fraternité musulmane pour déstabiliser notre civilisation et nos valeurs occidentales et de la stratégie de l’UE pour renforcer son pouvoir centralisateur et sa dictature silencieuse. Cette immigration militante crée des réseaux dormants; elle implante ou mobilise des individus qui reçoivent un endoctrinement et une formation appropriés. Ils se fondent dans leur communauté et dans la population du pays, font les gentils garçons, afin de ne pas se faire remarquer. Au moment choisi, leurs guides les réveillent, leur font parvenir les financements et les armes nécessaires, leur donnent les consignes opérationnelles pour le « jihad » et aussi pour la conduite à tenir après l’opération de « jihad »: soit mourir en kamikaze, soit disparaître dans la nature et la population, soit souvent mais pas toujours revendiquer avec sensationnalisme dans les médias leur responsabilité de l’acte terroriste commis sur des braves gens, tout en rejetant la faute sur les autochtones, les Américains et leurs alliés. Il suffit d’un petit groupe déterminé pour qu’un pays soit désécurisé et qu’il s’incline. De plus, l’immigration militante, quand elle est le fait de familles polygames, profite, à l’exemple de la France, des possibilités erronées et de l’absurdité des lois sociales du pays d’accueil et de son contrôle déficient des habitants.

L’économie informelle est adaptée aux immigrés et fortement adoptée par les immigrés musulmans et/ou africains, tout simplement parce qu’elle correspond à l’économie de leur pays d’origine. L’économie informelle génère un engrenage criminel. Elle déstructure l’économie officielle, gangrène l’économie réelle et finit par la supplanter; cela commence par le travail au noir ou dissimulé et la contrefaçon et finit dans des trafics, des magouilles, de la prostitution et du blanchiment d’argent sale. Avec une économie informelle déjà entre 13 et 28 % du PIB dans les principaux pays d’Europe, c’est toute l’économie formelle que les immigrés vont mettre en crise.

Pour les immigrants accueillis dans un ancien pays colonisateur comme par exemple la France, l’Italie ou l’Allemagne, il y a des interrelations complexes entre victimisation à posteriori des uns et glorification des autres, ce qui compliquent la situation.

Plus la diaspora musulmane est forte dans un pays d’accueil, plus elle attire comme un aimant les migrants du pays d’origine. La diaspora est une des chaînes migratoires, comme l’est la famille élargie et la communauté locale d’origine.

Quoiqu’en disent les immigrationnistes, les statistiques mettent en évidence un taux plus élevé de criminalité parmi les immigrants que dans la population autochtone. Ainsi en Allemagne, les statistiques montrent que le taux de criminalité des immigrés est 4,9 fois celui des Allemands et qu’à Berlin les jeunes immigrants de sexe masculin commettent 3 fois plus de crimes violents que les jeunes allemands. De plus, bien que les non-Allemands représentent seulement environ 9% de la population de l’Allemagne ils représentent le 30% des délinquants emprisonnés.

Le sociologue franco-iranien Farhad Khosrokhavar a estimé que les musulmans représentent entre 50 et 80 pour cent des détenus des prisons de France, alors que les musulmans représentent 10 pour cent de la population française. Ceci signifie soit que les musulmans sont beaucoup plus criminels que les Français, soit que la justice française est horriblement et très régulièrement discriminatoire à l’égard des musulmans; c’est fort improbable puisque que, en France, de nombreux délinquants musulmans ne sont pas derrière les barreaux, mais en liberté conditionnelle, portent des bracelets électroniques, sont en résidence surveillée, sont justes fichés ou encore bien que déclarés coupables, ont bénéficié de la clémence des tribunaux et ne sont pas emprisonnés. En conclusion le chiffre réel pour la part de l’islam-idéologie dans la criminalité en France est probablement plus élevée que l’estimation de ce sociologue.

Les requérants d’asile, en Suisse, sont, ces dernières années, en moyenne cinq fois plus souvent criminels que les Suisses. Cette délinquance se forme sur les ruines de la non-intégration de ces mêmes jeunes, même si les immigrants irréguliers ou clandestins seraient les principaux responsables de la délinquance. Autre source de coûts pour les contribuables, les immigrés et leurs descendants des pays de l’UE ont un taux de chômage environ deux fois supérieur au reste de la population. Ainsi en France, le chômage des immigrants est le double de celui du pays et pour les immigrés de moins de 26 ans il y a 40 % de sans-emploi. L’intégration dans la société et l’insertion dans la vie économiques de ces jeunes ayant la rue pour espace de vie, l’échec scolaire et professionnel comme quotidien, l’économie informelle pour survie, le chômage comme futur, et dans les lieux où ils vont se prosterner l’islam-idéologie comme idéologie, est insoluble. Voilà pourquoi en Occident, sauf quelques exceptions, tout jeune musulman a un profil psychologique de musulman radical et est un terroriste en puissance. Le gouvernement français refuse cette réalité et a inventé dernièrement, pour se disculper, de son absence de stratégies et d’efficience pour lutter contre le terrorisme, la « radicalisation express », par exemple pour le terroriste musulman de Nice. L’Allemagne flagellée par son passé nazi et colonial préfère faire passer un musulman terroriste pour un cas pathologique de l’extrême droite, ce qui convient très bien à DAESH qui a comme objectif de faire en sorte que nous perdions tous la confiance en nos gouvernants.

Il n’en reste pas moins qu’une population souveraine, qui se sent unie par ses valeurs, satisfaite de ses gouvernants et responsable de ses projets, favorise l’intégration de ses migrants et accepte des immigrants qui s’intègrent et même l’enrichissent de leurs différences culturelles, etc. En ces temps de crise où la maîtrise des déficits publics est une condition du rétablissement de la crédibilité de l’Etat et de la confiance du Souverain dans ses élus, la poursuite de l’expérimentation immigration de masse coûte à l’économie et introduit la méfiance; les mensonges des médias et des élus sur les véritables chiffres et coûts de l’immigration font perdre confiance aux citoyens dans leur gouvernants. Une population, comme par exemple la française ou l’italienne, qui a perdu ou perd sa confiance dans ses dirigeants, qui perd sa cohésion nationale, son identité nationale et ce à quoi elle croit et qui de plus voit sa qualité de vie se péjorer, rejette de plus en plus les immigrants coupables à ses yeux de détruire les repères qui lui restent de sa culture, de ses valeurs et de ses vertus.

Les citoyens de l’Europe savent d’instinct, que la minorité visible des musulmans va devenir majorité et, qu’alors, il n’existera plus aucun moyen d’inverser cette tendance. Ce sera foutu. Il y a feu à la maison. L’Europe telle que nous l’avons connue sera perdue à jamais. Avec l’aide de l’UE et des USA, deux mille ans de civilisation seront détruits par les mêmes musulmans fanatiques barbus, sectaires, brutaux, stupides, ces bâtards belligérants qui sont en train d’abattre leur propres concitoyens et les mécréants que nous sommes et de faire exploser notre ancien et irremplaçable patrimoine mondial que se soient des bâtiments, des monuments, des livres, des manuscrits et autres historiques et importants trésors d’art.

Actuellement pour les élus et le Souverain, la seule manière d’agir pour obtenir un résultat, pour maîtriser la tension actuelle et pour éviter une guerre généralisée, est d’être d’une fermeté absolue en matière de loyauté nationale. Dans chaque pays d’accueil, les musulmans doivent faire passer la loi nationale avant la « charia » et les « hadiths », etc, et ne plus créer une nation musulmane dans la nation d’accueil. Il n’y a qu’une alternative à cette soumission des immigrants musulmans à notre nation: retourner dans leurs pays musulmans mécréanophobes, sexistes et tribalistes. A ce jour, les technocrates et la bureaucratie indolents de l’UE et leur politique de l’autruche en ont été incapables. Il est des plus urgent qu’ils s’appliquent à cette tâche; tâche ardue, vu que par exemple aux Pays-Bas plus des deux tiers des musulmans s’y refusent, mais tâche indispensable, urgente et vitale.

Malheureusement, nos élus n’ont plus une volonté déterminée de vaincre le mal et de défendre notre civilisation contre les attaques intérieures et extérieures. Ils se complaisent dans leur naïveté, leur aveuglement, leur culpabilisation, leur auto- flagellation, une totale irresponsabilité politique et leur désir que la dictature silencieuse de l’UE centralise tous les pouvoirs des pays de l’Europe. Il nous faut répertorier et garder en mémoire leurs erreurs de gouvernance et les noms de ces irresponsables, de ces islamo-collabos et de ces traîtres à la nation, pour leur rappeler leurs responsabilités et leur trahison et les faire condamner quand l’existence même de notre nation sera menacée. L’heure est grave. Philippe de Villiers, interrogé par Ruth El Krief, a entièrement raison d’accuser les dirigeants français, en place depuis quarante ans, d’avoir sur les mains le sang des victimes de Charlie Hebdo et du Bataclan. Et la traîtrise continue en France, en Belgique, en Allemagne, aux USA et ailleurs.

En Suisse, l’intégration des musulmans est, pour le moment encore, moins problématique que par exemple en France. La raison n’est, ni mai 1968 qui fut, en fait, une révolution contre le peuple, ni les coûteuses brochures de l’OSCE, ni les principes de base communs du Conseil « justice et affaires intérieures » de l’UE, ni nos dirigeants politiques helvétiques, ni l’UE et ses dirigeants, ni les dépenses des Communes, des Cantons et de la Confédération, ni les angéliques, ni les multiculturalistes, ni l’industrie du social, ni la Conférence suisse des institutions d’action sociale ou CSIAS, ni le politiquement correct, etc. Les raisons sont: les Suisses n’ont pas fait l’erreur de faire venir en Suisse des dizaine de milliers de manoeuvres pour soit-disant sauver des industries pas rentables en Suisse et condamnées à disparaître comme ce le fut le cas par exemple en France avec les aciéries, des constructeurs automobiles, etc, la Suisse est depuis longtemps une championne de l’accueil d’étrangers et de leur assimilation, beaucoup moins de disparités de revenus que chez nos voisins, beaucoup moins de chômage que chez nos voisins, les Suisses sont innovateurs, nous sommes un pays où l’instruction publique reste efficiente, preuve en est que baccalauréat/maturité fédérale sélectionne les candidats et leur ouvre la porte de toutes nos meilleures universités, le pourcentage des jeunes qui font un baccalauréat est parmi les plus bas des pays occidentaux, la formation duale avec son système d’apprentissage puis des passerelles vers des formations supérieures est bien rodée, présente dans tous les domaines d’activité et ouvre le marché du travail aux adolescents qui apprennent à 16 ans à s’intégrer dans le monde du travail, à chercher en entreprises un poste d’apprentissage et cela beaucoup mieux que dans d’autres pays, le fait que tous ces jeunes apprentis soient considérés déjà et aussi comme des « Mitarbeiter », des collaborateurs et pas bêtement des salariés avec un SMIC, en Suisse tous ceux ayant une formation professionnelle, qu’elle soit modeste comme un apprentissage professionnel ou qu’elle soit universitaire et élitiste, sont respectés et se sentent valorisés dans ce qu’ils font et ce qu’ils sont, pour autant qu’ils fassent leur travail vite et bien. Grâce à quoi l’ascension sociale des immigrés leur a été souvent possible, cela en Suisse sans discrimination positive; cette stupide discrimination positive, qui consiste à donner des avantages à une catégorie de la population se prétendant discriminée par rapport aux autres, s’oppose au principe de l’égalité entre les citoyens.

Aucun autre pays de la taille de la Suisse n’a atteint un tel niveau de revenu moyen disponible, tout en maintenant une répartition équitable. Aucun autre pays de sa taille détient une position de premier plan dans tant de nombreuses industries et dans l’innovation. Aucun autre pays développé a, jusqu’ici et aussi bien, évité d’imposer à ses générations futures de folles dettes pour donner l’illusion à ses électeurs de bénéficier d’une future retraite généreuse et de coûteux soins de santé. Concernant les caisse retraites, contrairement aux Américains (!) les Suisses ont tenu compte du conseil éclairé du Président américain Thomas Jefferson (1743-1826): « Il incombe à chaque génération de payer ses propres dettes. si ce principe était respecté, il y aurait moitié moins de guerres dans le monde. » Dans aucun autre pays, individus et citoyens, soit le Souverain, sont si puissants et si certains que leurs voix comptent. À un moment où dans la plupart des démocraties occidentales l’opinion publique sur les politiciens et les organismes du secteur public est tombée à son niveau le plus bas, l’efficacité du système suisse de gouvernance est un indicateur puissant du succès de cette nation.

Le succès suisse qui a apporté aux Suisse paix et prospérité s’explique principalement par la forme propre de son Etat de bas en haut qui a été créé par leurs ancêtres depuis des siècles. Les piliers de ce succès sont l’indépendance, la démocratie directe et participative incluant référendums et initiatives populaires, le fait que l’autorité appartient au peuple, aux citoyennes et aux citoyens, soit au Souverain qui constitue l’instance suprême. C’est le Souverain qui fixe le droit et les lois pas une idéologie ou les gouvernants. En Suisse, les lois sont respectées plus que chez ses voisins parce que c’est le peuple Souverain qui se les donne à lui même, pas le gouvernement, une idéologie ou une religion. A cela s’ajoutent la neutralité permanente et armée, le fédéralisme, le principe de subsidiarité, les droits de l’homme et de la femme, la liberté, l’économie de marché libre.

Les oligarques bruxellisés de Berne, de Zürich, de Bâle, de Genève, etc, ne sont pas meilleurs que ceux de Bruxelles, Berlin ou Londres, etc, mais ils sont moins nocifs parce qu’ils sont mieux surveillés et contrôlés par la démocratie directe, participative et milicienne et son principe de subsidiarité.

Pour conclure, la question prenante et fondamentale que chacun devrait se poser à propos des immigrants musulmans est la suivante. Un bon musulman peut-il être un bon Suisse, un bon Français, un bon Européen, etc ?

Théologiquement: non parce que son allégeance est au seul Allah.

Religieusement: non parce que son Allah n’accepte aucune autre religion que la musulmane et aucun autre Dieu que Allah.

Idéologiquement: non parce que son Allah n’accepte aucune autre idéologie que l’islam-idéologie.

Spirituellement: non parce que, dans notre culture judéo-chrétienne, Dieu est un père bon, qui aime et pardonne, alors que Allah est dur, menace de l’enfer, punit, exige de tuer les mécréants et venge.

Socialement: non parce que son allégeance à l’islam lui interdit de se lier d’amitié avec des chrétiens, des juifs, des athées et tout non-musulman, soit, selon l’islam tous des mécréants.

Quand au milieu du travail et au milieu scolaire: non parce que son allégeance à l’islam l’empêche de se soumettre à une supérieure de sexe féminin et à des non-musulmans et l’oblige à pratiquer suppliques et « ramadan ».

Quand aux lois: non parce que son allégeance est aux cinq piliers de l’islam, au coran, à la « charia », aux « hadiths », au prosélytisme, au « jihad », à l’infériorité des femmes, etc.

Politiquement: non parce que le bon musulman doit se soumettre à ses guides doctrinaires musulmans qui lui enseignent l’extermination des juifs, l’annihilation d’Israël, la destruction du grand satan que sont les USA, la destruction de toute démocratie directe participative, etc.

Quand à la vie de famille: non parce que le bon musulman peut posséder quatre épouses dont des fillettes, les battre quand elles lui désobéissent, épouse souvent une cousine du premier degré et que le mariage et les droits des femmes musulmans sont à l’opposé du mariage et des droits occidentaux des femmes.

Intellectuellement: non parce que le bon musulman ne peut pas accepter et se soumettre à nos constitutions, à nos lois et aux droits de l’homme, ni même jouer aux échecs.

Moralement: non parce que il y a divergence entre nos valeurs judéo-chrétiennes et greco-romaines, notre graduation des erreurs et des péchés et celles de l’islam.

Verbalement: non parce que le bon musulman pratique l’art oratoire dissimulatoire musulman ou « taqiya ».

Géographiquement: non parce que son allégeance est à la Mecque, vers laquelle le bon musulman doit se tourner plusieurs fois par jour et prier.

Philosophiquement: non parce que islam-bunker, Mahomet et coran interdisent la liberté de religion et la liberté d’expression.

Démocratiquement: non parce que islam-bunker et démocratie directe et participative ne peuvent pas coexister. Un gouvernement musulman est soit dictatorial, soit théocratique, soit autocratique.

Quant à la nation: non parce que le bon musulman, lorsqu’il est immigré, tient à être reconnu d’abord comme musulman; il fait partie d’abord de sa « nation » ou de sa tribu musulmanes qui se veut être ou devenir une nation ou une tribu dans notre nation, puis la remplacer. Comme l’a écrit Dalil Boubakeur dans son « Traité moderne de théologie islamique » aux éditions Maisonneuve et Larose en 2003: « La nationalité musulmane est une supranationalité, essentiellement morale et indivisible, fondée sur l’accord des âmes et des cœurs. Elle est au-dessus de toutes les nationalités fondées sur la race, la langue, la politique, l’intérêt, les données de l’histoire ou de la géographie. » Bien que très claire, la prise de position de ce musulman, qui se dit « moderne » dans le titre de son traité, n’est toujours pas comprise par la majorité des dirigeants de l’Europe. Pire, selon les photos de presse, lors de l’investiture du Président (islamo-collabo?) François Hollande, le 16 mai 2012, ce haut dignitaire de la fraternité musulmane en France était à la gauche du président de gauche.

Psychologiquement: non, parce que, pour croire ou souscrire à ce qui est écrit et prescrit impérativement dans le coran, les centaines de milliers de « hadith » de Mahomet et dans d’autres textes « sacro-saints » de l’islam-idéologie, il faut être un individu bien dérangé ou un psychopathe et souffrir en plus d’une soit-disante anxiété sexuelle des plus graves.

Par conséquent, tant que les bons musulmans ne réformeront pas leur islamidéologie, de fond en comble comme nécessaire, nous devons tous nous méfier de tous les musulmans, parce que ces Autres ne peuvent évidemment pas être à la fois de bons et fervents musulmans et de bons citoyens de Suisse, de France, d’Espagne, d’Allemagne, etc. De plus il est très dangereux pour l’avenir de nos démocraties de donner le droit de vote à ces bons musulmans, d’autant plus que les pays musulmans ne nous le donnent pas. Réciprocité. Réciprocité.

Les actes terroristes barbares des fervents musulmans de DAESH et autres groupes, actes faits au nom d’Allah, actes appliquant d’une part fidèlement les prescriptions impératives du coran et d’autre part l’exemple violent de Mahomet et de ses razzias, horrifient des musulmans qui remettent en question leur foi en l’islam-idéologie. De « religieux » guides doctrinaires musulmans avouent que, depuis l’attentat du 9 septembre, plus de musulmans se seraient convertis au christianisme que durant les 14 siècles passés de la colonisation musulmane. Des musulmans deviennent athées, d’autres, craignant pour leur vie, se convertissent en secret au christianisme. Ces anciens musulmans sont en général convaincus que le coran et autres textes « sacro-saints » comme les « hadith » ne peuvent pas être vrais, que l’islam n’est pas une religion mais une idéologie politique autoritaire et barbare et découvrent un Dieu qui aime ou deviennent athées. Mais, tant que des milliers d’occidentales se convertissent à l’islam, que des « useful idiots » admirent et défendent l’islam-idéologie en affirmant, comme Hitler, que « toutes les religions c’est la même chose » et que de nombreux élus occidentaux sont des islamo-collabos, ce n’est pas demain que la « religion » musulmane des pays musulmans et des immigrants en Europe, telle qu’elle persiste à être, va s’effondrer, être domestiquée, réformée et faire enfin son aggiornamento.

Dominique Schwander, juillet 2016

Choix de lectures à ce sujet

Bat Ye’or: Eurabia: The Euro-Arab Axis. Fairleigh Dickinson University. 2010.

Baud Jacques: Terrorisme : mensonges politiques et stratégies fatales de l’Occident. Le Rocher Editions. 2016.

Bernais Edward: Propaganda. Comment manipuler l’opinion en démocratie. Editions H.Liveright. New York. 1928. Réédité chez Ig publishing en 2004 Pour la traduction française. Zones / Éditions La Découverte. 2007.

Caldwell Christopher: Reflection on the Revolution in Europe: Immigration, Islam and the West. Penguin. 2009.

Caldwell Christopher: Comment l’Islam va transformer la France et l’Europe. Edition Toucan. 2011 et 2014.

Camus Renaud: Le Grand remplacement, suivi de Discours d’Orange. Renaud Camus. 2012.

Driant Emile-Cyprien (Capitaine Danrit): La guerre au XXe siècle. L’invasion noire. Flammarion 1895.

Engels David: Le Déclin. La crise de l’Union européenne et la chute de la République romaine – quelques analogies historiques. Toucan. 2013.

Gourevitch Jean-Paul: Les Migrations Pour les Nuls. First. 2014

Hammond Peter: Slavery, Terrorism and Islam: The Historical Roots and Contemporary Threat. Xulon Press. 3ème édition 2010.

Houellebecq Michel: Soumission. Flammarion. 2015.

Kemp Arthur: Jihad: Islam’s 1.300 Year War Against Western Civilisation Ostara Publications. 2013.

Klaus Vàclav et Weigl Jiri: Völkerwanderung: Kurze Erläuterung der aktuellen Migrationskrise. Manuscriptum Verlagsbuchhandlung Thomas Hoof KG. 2016.

Krakhauer Jon: Under The Banner of Heaven: A story of Violent Faith. Pan. 2013.

Raspail Jean: Le camp des sains. Précédé de Big Other. Robert Laffont. 2015.

Sabbath Antoine et Le Roux Hubert: Paroles de soldats – Les français en guerre – 1983-2015: Liban, Koweït, Bosnie, Rwanda, Afghanistan, Libye, Mali… Taillandier. 2015.

Sauvy Alfred: L’Europe submergée. Sud-nord dans 30 ans. Dunod. 1987.

Sternberg Jonathan: Why Switzerland? Cambridge University press. 12 ème édition. 2012.

Tchoudinova Elena: La Mosquée Notre-Dame de Paris : année 2048. Tatamis. 2008.

Valette Mireille: Boulevard de l’islamisme. L’essor du radicalisme islamique en Europe illustré par l’exemple. Xenia. 2012.

Véliocas Joachim: Ces maires qui courtisent l’islamisme. Tatamis 2015.

Warraq Ibn: Why I Am Not a Muslim. Prometheus Books. 1995.

Zemmour Eric: Le suicide français. Les 40 années qui ont défait la France. Albin Michel. 2014.

Le communiqué qui nie la notion d’immigration illégale

Photo published for Dabiq, revue de communication de Benoît XVI ? - Media décryptage investigation journalistique...

FIGAROVOX/OPINION – Une communiqué du ministère de l’Intérieur et du Logement nie de fait la distinction entre immigration régulière et immigration illégale. Alexis Théas redoute l’appel d’air que pourrait suciter cette évolutions de la politique d’immigration française.


Alexis Théas est universitaire et juriste.


Le 1er août 2016, les ministres de l’Intérieur et du Logement ont publié un communiqué passé totalement inaperçu dans la torpeur de l’été mais d’une importance capitale sur le plan de l’évolution des mentalités et de l’idéologie politique française. Ce texte marque une inflexion de la conception française de l’immigration. Jusqu’alors, celle-ci était fondée sur la distinction entre l’immigration régulière et l’immigration illégale. La première, conforme à la loi, était destinée par exemple à accueillir des travailleurs dont la France peut avoir besoin, à former des étudiants dans l’intérêt de la France ou du pays d’origine, ou bien à assurer le principe d’unité familiale. Elle était évaluée à environ 200 000 personnes par an. En revanche, les migrants en situation irrégulière, entrés ou séjournant en infraction avec la loi, devaient impérativement repartir dans leur pays, volontairement ou par la contrainte. Tel était le principe. Cette différence, pour la première fois depuis que l’immigration est devenue un sujet politique au début des années 1980, semble désormais ni par l’Etat. Le migrant en situation irrégulière n’a plus vocation à être reconduit dans son pays, mais à être accueilli en France et pris en charge par la puissance publique, au même titre qu’un étranger en situation régulière ou qu’un citoyen français en difficulté.

Communiqué du 1er août 2016 : «Créé le 25 février dernier à l’initiative de Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, et d’Emmanuelle Cosse, ministre du Logement et de l’Habitat durable, le comité de suivi du plan de mise à l’abri des migrants sans-abri s’est à nouveau réuni mardi 26 juillet 2016. Présidée par Emmanuelle Cosse, en présence de représentants du Ministère de l’Intérieur, du Ministère de la Famille, de l’Enfance et des Droits des Femmes et de la Préfecture du Pas- de-Calais, cette séance a rassemblé une trentaine d’associations engagées dans l’accompagnement des migrants. Les pouvoirs publics ont tenu à saluer leur travail et leur mobilisation pour faire face à cette crise migratoire sans précédent. A cette occasion, le ministère de l’Intérieur et le ministère du Logement et de l’Habitat durable ont présenté aux associations la Charte de fonctionnement des Centres d’Accueil et d’Orientation (CAO). Répondant à un souhait partagé de l’Etat et des acteurs associatifs, et rédigée au terme de plusieurs semaines de dialogue avec les opérateurs des CAO, cette charte édicte des règles claires de fonctionnement et décrit les principales prestations délivrées aux migrants sans-abri qui y sont accueillis: conditions d’accueil et de localisation, taux d’encadrement, restauration, évaluation – juridique, sociale et médicale – de la situation des personnes accueillies et accompagnement adapté, sécurité, etc. La prise en charge en CAO doit ainsi permettre aux personnes migrantes sans-abri de bénéficier d’un temps de répit et d’engager, si elles le souhaitent, une démarche de demande d’asile. Elle leur permet également d’avoir accès à une offre de soins adaptée et d’être orientées rapidement vers des structures qui correspondent à leur situation (CADA pour les demandeurs d’asile, etc.). Depuis le 27 octobre dernier, 148 Centres d’accueil et d’orientation ont été ouverts sur l’ensemble du territoire national pour un total de près de 2000 places qui ont permis de mettre l’abri plus de 4700 personnes dans des délais très resserrés.»

Ce communiqué enterre donc de fait toute notion d’immigration irrégulière. Il abolit le clivage entre légalité et illégalité en matière d’immigration. Il va dans le sens de la loi du 6 mars 2016, dont les dispositions reviennent à rendre très difficiles l’application des mesures d’éloignement. Il proclame que la France a le devoir d’accueillir et de prendre en charge tout étranger sur son territoire, qu’il soit autorisé à entrer et à séjourner ou qu’il ne le soit pas. De facto, le principe ainsi proclamé abroge l’idée de frontière ou de respect du droit de l’entrée et de séjour. Les associations humanitaires, les idéologues, les partisans de la liberté totale d’immigrer en rêvaient depuis au moins quarante ans. M. Cazeneuve et Mme Cosse l’ont fait. La question est de savoir quel sera l’ampleur de l’appel d’air que cette transformation profonde de tous les fondements de la politique d’immigration française est susceptible provoquer à terme. Le communiqué annonce une France ouverte, qui n’éloigne plus ses migrants illégaux mais au contraire les accueille. Le potentiel d’émigration est élevé: des centaines de millions de personnes déshéritées et désœuvrées, dans ce monde en ébullition, ne songent qu’à trouver un point d’accueil. Reste à savoir si la France, qui compte cinq millions de chômeurs, de gigantesques problèmes de logement, des centaines de milliers de personnes vivant sous le seuil de pauvreté, un millier de cités sensibles dévastées par la violence, l’exclusion, le communautarisme, l’islamisme radical, si cette France a les moyens d’accueillir une immigration supplémentaire. Mais pour M. Cazeneuve et Mme Cosse, c’est une autre affaire. Et ce n’est visiblement pas la leur.

http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2016/08/12/31001-20160812ARTFIG00401-la-circulaire-passee-sous-silence-qui-supprime-la-notion-d-immigration-illegale.php

L’Union européenne souhaite étendre le regroupement familial aux frères et sœurs des immigrés

 Alors que l’Europe est déjà submergée par une vague migratoire incessante, un projet de l’Union européenne prévoit que la notion de membres d’une famille soit élargie de façon à étendre la notion de regroupement familial aux frères et sœurs des immigrés autorisés à rester sur notre continent.

Dans la règlementation actuelle, la notion de regroupement familial est limitée aux époux et aux enfants mineurs.

Mais ce n’est pas encore assez pour les autorités de l’UE acquises au grand remplacement.

M. Schuster, chef des chrétiens-démocrates au sein de la commission des Affaires intérieures du Bundestag, a néanmoins mis en garde : « le simple fait de réfléchir à faciliter le regroupement familial et de l’élargir aux familles étendues est inopportun » car les conséquences n’en seraient « pas encore prévisibles – en tout cas cela pourrait provoquer un nouvel appel d’air « .

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22 réponses »

  1. A faire lire, même sous la contrainte, à tous les dhimmis potentiels qui nous entourent
    Cette suite d’articles est une bombe à fragmentation,
    Elle rend enragée.
    Je m’interroge, au-dela de la corruption,des enjeux geopolitiques,économiques,des calculs électoraux,(Terra nova programme)de la lacheté du décérébrage,,etc…qu’est ce qui peut pousser ces « êtres »,je dirais ces entités EU/USA. à détruire L’Europe?
    Notre civilisation?
    Je dirais que c’est un nazisme inversé2.0
    L’éternel retour…de flammes?

    • oui c’est du nazisme (inversé ou pas cela reste du nazisme: soros est un enfant de ww2)

      l’utilité de ceci est la même que l’utilité de la guerre 14/18: surseoir ou régler le pb monétaire et bancaire, déglobalisation…

  2. Ce qui nourrit l’utopie multiculturelle, c’est la pédagogie de la haine enseigné dans notre société envers la droite, de culture chrétienne ( sans pour autant être automatiquement croyante), accusée de tous les maux.
    La détestation de cette Europe blanche chrétienne, car elle symbolise un certains nombres de valeurs que la gauche déteste, justifie la nouvelle croisade gauchiste, l’établissement de sa nouvelle société utopique, le multiculturalisme.
    La haine s’apprend d’abord dans les écoles publiques dès le plus jeune âge, puis sont relayés pour les adultes par les médias et toutes les formes de représentation culturelles, cinéma, théâtre, livres, internet gauchiste où cette intelligentsia anti-chrétienne n’arrête pas de taper sur l’homme blanc et de glorifier l’africain. Regardez les séries télé, les films, les bandes dessinées, les livres classiques, les publicités, les radios, la télévision, les tags sur les murs, etc…Partout on prône le multiculturalisme avec de gentils africains ( qui sont durs à trouver dans la vie réelle) contre le facho, celui de droite.
    Comme le dit très bien François Bousquet dans la vidéo, Hitler est plus utile mort que vivant, puisque tous les jours, on nous agite le risque d’un retour des théories hitlériennes.
    Les gens sont de moins en moins dupes et c’est pour cela qu’ils ont peur que viennent au pouvoir les antimondialistes comme Trump. On tente d’accélérer le grand remplacement en augmentant le nombres d’africains en Europe et en leur donnant tous les droits mais cela ne fera que provoquer le chaos.
    Chaque site résistant comme le blogalupus a son importance et ils se multiplient sur internet montrant qu’une résistance s’organise. Le site http://www.civilwarineurope.com relate tous les jours les incidents avec les immigrés et on peut très bien voir la progression des incidents qui ne cessent d’augmenter chaque semaine et sont de plus en plus violents.
    La société multiraciale est à mon avis de toutes les théories utopistes gauchistes, la plus dangereuse et le chaos qui est en train de débuter sera le plus violent de l’histoire de l’humanité, espérons qu’après cela, nous soyons enfin débarrassés du socialisme.

  3. Alors que les preuves s’accumulent, certains persistent et signent comme ces déclarations fracassantes du président allemand Joachim Gauck :

    « Les élites ne sont pas le problème, les gens sont le problème. »

    https://www.youtube.com/watch?v=Gd5TPWXgOFQ

    http://www.zerohedge.com/news/2016-08-13/german-president-booed-attacked-after-claiming-people-are-problem-not-elites

    Tant que les responsables politiques ne seront pas stoppés, les dérives comme les attentas s’accentueront, voilà la triste réalité. Les coupables sont chez nous, pas là-bas et cet article est éloquent.

    Merci.

    • merci pour ce moment 😉

      pas d’amalgame, c’est à merkel :
      =>de faire arreter soros, saisir ses actifs (avant que trump ne le fasse)
      =>de raccompagner la totalité de ses immigrés illegaux à la frontière
      =>de nationaliser la DB pour 0e (et d’expliquer à ses amis quataris comment s’asseoir), et de répudier suffisamment le passif de DB
      =>de demander a trump le stock d’or à la fed en signe d’amitiés

      sinon elle finira à nuremberg 2 avec hollande

      • @sassy2,

        Pas anal games ?

        Que tes vœux soient exocet…

        http://soros.dcleaks.com/

        Trêve de plaisanteries, les fortes turbulences du réseau ne Trump personne, c’est Hillarant… sauf pour la paix!

        Merci.

  4. https://www.instagram.com/p/BIbaOoEhSn8/?taken-by=alexsoros
    alexsoros avec joe stiglitz
    « alexsorosGreat to catch up with #joestiglitz: >>>>dear family friend<<<<(NDLR), #nobel prize winning economist, and I'm honored to say colleague in trying to solve the fiscal crisis in #puertorico!"

    En 2002, des parlementaires républicains américains, dont les deux futurs candidats à la présidentielle de 2008, John McCain et Ron Paul, dénoncent la politique des GSE (Governement Sponsored Enterprises) Fannie Mae et Freddie Mac, consistant à cautionner sur demande des Démocrates les crédits immobiliers aux ménages insolvables, ceci malgré le danger de défaillance du système bancaire que cela représente. Les deux organismes à caution publique mandatent Joseph Stiglitz pour répondre à ces attaques. Celui-ci publie un rapport15 qui conclut à leur quasi absence de risque de défaillance (1 sur 500 000 à 3 000 000), affirmant qu’ils disposent de suffisamment de capital16.

    hier alex soros avec tim kaine sur instagram (ahahaha)

    il y a bien complot (A SUIVRE)

  5.  » Ce qui nourrit l’utopie multiculturelle, c’est la pédagogie de la haine enseigné dans notre société envers la droite, de culture chrétienne ( sans pour autant être automatiquement croyante), accusée de tous les maux.
    La détestation de cette Europe blanche chrétienne, car elle symbolise un certains nombres de valeurs que la gauche déteste, justifie la nouvelle croisade gauchiste, l’établissement de sa nouvelle société utopique, le multiculturalisme.  »
    Pas d’accord du tout. C’est un schéma dépassé. Méditez les propos du Pape et tirez-en les conclusions.
    Le christianisme, en se retirant, a laissé un dépôt putride : la bienfaisance, la bien-pensance, le droit-de-l’hommisme, l’immigrationnisme, l’internationalisme frère du mondialisme.
    Le péril le plus grand n’est pas, désolé pour les victimes des attentats, le terrorisme islamique. Il est perpétré par des paumés minables qui feraient pitié aux activistes des années 70-80.
    Le péril est le grand remplacement. Parce que les élites le veulent, la mouvance gauchiste y aspire, les chrétiens par encore réveillés l’acceptent; .

    • @ Jean-Louis

      Je suis désolé mais étant dans un milieu gauchiste, j’entends des propos de haine régulièrement contre la droite ou la religion chrétienne et des propos qui prônent le multiculturalisme, donc je pense que c’est encore d’actualité.
      Concernant le pape ; lorsqu’on élit un curé de campagne comme pape pour avoir quelqu’un proche du peuple mais qui n’a aucun sens de la géopolitique car ses propos peuvent être considéré comme un aveu de faiblesse, on obtient le résultat que l’on a : Ce pape est gentil, ce n’est pas quelqu’un issu de la noblesse cléricale, mais quelle naïveté dans les propos…
      Concernant les paumés qui font les attentats, ce n’est pas eux le problème principal. Le problème c’est tous les musulmans qui soutiennent l’extrémisme islamique et ils sont très nombreux, qui ne condamnent pas vraiment les attentats. L’autre problème, c’est aussi cette gauche autiste qui pense que 99,9% des musulmans sont assimilables pour faire le « vivre ensemble » et qui continue de faire fausse route en tapant sur la droite.

  6. Désolée le grand remplacement est un moyen pas une fin ..le but final est l’asservisement..des peuples..
    La Chrétiénté est la base de la culture européenne les racines de l’europe sont chrétiennes c’est pourquoi « ils « ont refusé d’incrire cela dans la contitution européenne
    Un peuple résiste grace à sa culture, si les peuples de l’urss ont pu résister et faire tomber le communisme c’est grace à leur foi en l’eglise Orthodoxe(Tarkovski) et grace aux résistants multiples et créateurs avec évidemment Soljenitsyne qui fut celui qui donna le coup de grace .Grace à UN livre!!!.
    Le mot culture vient du mot culte nous ne somme plus aujourd’hui dans la culture mais dans le culturel
    Pour asservir il faut déraciner déculturer, vu le nombre de gens qui ne lisent plus et ne connaissent même plus leur histoire le travail est bien avancé
    Les livres seront la lorsque tout s’éteindra
    Pour l’anecdote la derniére fois qu’un prêtre fut égorgé en France ce fut pendant le massacre de la Vendée.La révolution Française la matrice de toutes les terrorismes.
    Nous y sommes..

  7. Vous faites de cette culture chrétienne une sorte de but ou de phare. Mais c’est elle qui est à l’origine du déclin de l’Occident. Elle a fait son temps -sa façon de penser est dépassée. Ce n’est pas grâce à elle que l’on évitera la mort de notre civilisation; Elle est devenue le problème.
    Le grand remplacement est un moyen au service de gens qui jouent aux apprentis sorciers, qui veulent la disparition des nations. Mais c’est irresponsable. Or ils s’en foutent.
    Lucius, creusez un peu les gauchistes de votre entourage, remontez à la source, à l’origine de leur engagement, mettez à jour leur foi, car ces gens-là ont la foi, vous verrez.

  8. @ Jean-Louis

    Les gauchistes de mon entourage ont la foi, il croient dans leur utopie collectiviste, car je considère le socialisme comme une religion.
    Je pense que lorsque l’on compare les européens par rapport, par exemple, aux asiatiques non musulmans, force est de constater que nous avons hérité de la chrétienté une culture différente de la leur.
    Ce qui est en déclin, c’est surtout la croyance et le cérémonial qui va avec, complétement obsolète. Si moi je suis non croyant, je m’aperçois en revanche que beaucoup de gens ont besoin de croire.
    Je pense que notre société va continuer à évoluer et il est probable que la chrétienté va encore reculer. J’étais assez hostile à la religion, plus jeune, mais j’ai par la suite compris son rôle unificateur qui permet d’avoir un socle commun.
    Aujourd’hui le danger de l’absence de chrétienté, c’est une progression trop rapide de l’islam qui est un recul aux niveau du droit des individus et aussi une présence trop forte du socialisme qui est humainement parlant autodestructeur puisque le socialisme nie la vraie nature de l’homme pour lui substituer une version utopique née du délire de Rousseau qui croyait pourvoir améliorer la nature de l’homme par l’éducation.
    Si je soutient le christianisme, ce n’est pas parce que je crois dans son avenir, c’est que je pense que c’est un rempart contre l’islam et le socialisme qui sont à mon avis les deux grandes menaces de ce début de 21ème siècle.

  9. « Aujourd’hui le danger de l’absence de chrétienté, c’est une progression trop rapide de l’islam qui est un recul aux niveau du droit des individus et aussi une présence trop forte du socialisme qui est humainement parlant autodestructeur puisque le socialisme nie la vraie nature de l’homme pour lui substituer une version utopique née du délire de Rousseau qui croyait pourvoir améliorer la nature de l’homme par l’éducation. »
    Aujourd’hui, le danger d’une mentalité chrétienne, c’est une progression de l’islam, qui a une autre conception de l’individu, mais une conception aussi délirante que celle du christianisme. C’est le retour du religieux qui signe bien l’état de décadence où nous sommes.
    Le pire ennemi d’un monothéisme n’est pas un autre monothéisme, mais l’absence de foi et la volonté de fonctionner avec son intelligence, ses connaissances et sa raison.
    Que tous ceux qui pensent que le christianisme peut être un socle commun unificateur s’appliquent cette maxime à eux-mêmes pour commencer, et aillent au bout de leur conviction. Souffrez qu’il y en ait qui ne pensent pas comme vous mais qui pensent au contraire que l’obscurantisme, la superstition et le sectarisme sont le socle commun des monothéismes..
    Souffrez qu’il y en ait qui refusent le sentiment de culpabilité et le caritatif communs aux gauchistes et aux chrétiens.

    • Vous ne semblez voir dans le christianisme que les défauts et aucunement les qualités.
      Vous dites que l’absence de foi permet de faire fonctionner sa raison ; Comment expliquer vous que les plus grands progrès de l’humanité aient été fait sous le christianisme. Léonard de Vinci était croyant, Gutenberg aussi, Bell aussi et on peut en citer des centaines d’autres. Cela ne les a pas empêcher d’être brillants.
      Le côté unificateur permet de bâtir une société qui a des connaissances communes, des moyens technologiques communs et de rendre possible la concrétisation d’une idée en une invention qui va améliorer le quotidien des gens.
      Ce n’est pas le fait qu’une religion soit monothéiste qui entraine l’obscurantisme, la superstition et le sectarisme, c’est son utilisation par les hommes pour conserver leur pouvoir. Même si dieu existe, il n’a jamais dicté tous les textes qui règlementent les croyances, ce sont les hommes qui l’ont fait pour asseoir leur pouvoir.
      Pensez vous que l’obscurantisme, la superstition et le sectarisme n’existaient pas avant le monothéisme ? Bien sur que si, car ils font partie de la nature de l’homme et ils existeront après le monothéisme.
      Depuis quelques années, nous assistons à une chute du christianisme et pourtant il n’y a jamais eut autant de sectes, de voyants, de marchand de « bonne aventure » et autres charlatans qui ont toujours profité des périodes troubles de l’humanité pour la rançonner.

  10. Il y a une trés grande différence entre le christianisme et le catholicisme….le catholiscisme est né de Saint Paul .et vatican 2 n’a rien arrangé

    « l’obscurantisme, la superstition et le sectarisme sont le socle commun des monothéismes.. »
    la je suis d’accord avec vous

    Mais le christianisme qui est a l’origine est autre chose, il est présent dans les textes de l’evangile de Saint Jean et des grands mystiques chrétiens et la il y a une continuité avec les connaissances anciennes venues D’Egypte ..et d’ailleurs depuis 5000 ans et qui nous relient aussi à la notion des peuples Indo-européens..
    .
    C’est un continuité de savoir de valeurs et lois qui sont autrement puissantes que les pauvres lois enseignés au bon peuples pour les asservir.par ces monothéisme..ce savoir fut préservé dans ce que l’on nomme les traditions secrétes…!.

    Un synchrétisme bien condensé de tout cela est enseigné dans les loges maçonniques.
    Le savoir pour eux, l’obscurantisme pour les peuples!!.

    De plus toute la culture européenne est née de ce savoir

    L’Europe c’est constituée que vous le vouliez ou nom a partir du Christianisme culte=culture
    Je ne vais pas énumérer ce qu »est la culture européenne et chrétiennne et tous les chefs d’oeuvre qu’elle a produit
    ..
    Une civilisation est fondée a partir d’un culte que vous le vouliez ou non.

    La décandence absolue que nous vivons est issue de la révolution Française en coupant la tête du roi elle à coupé le lien avec le » divin » et toutes les valeurs qui en découlent.

    Ne confondez pas catholicisme et christianisme…s’il vous plait

    Le catholicisme pleurnichard que nous avons aujourd’hui est le fruit d’un long travail de sape
    Le pape actuel a été choisi pour « achever  » le travail …c’est un jésuite et ce n’est pas par hasard.

    Benoit XVI lui le théologien, a été obligé de démissionner (le systéme bancaire a un moment coupé l ‘accés du vatican au transcations intenationnales)ahhahaa !!!Ou on retrouve le mêmes à la manoeuvre.

    Tout ceci n’est pas anodin c’est un combat métapolitique.

    Nos ennemis ont la foi et les masses européenne qui n’ont plus aucune référence n’ont plus de forces parcequ »elles ont perdues les valeurs qui devraient les unir.

    Et la bataille se méne AUSSI sur ce terrain la.
    .
    Avoir la foi n’implique pas forcément d’être relier a ces 3 monothéismes …!!

    Comme disait Jean Cocteau : »je ne crois pas a l’histoire mais a la mythologie »

    Alors souffrez que je vous dise de ne pas tout confondre.

    Et de ne pas réduire le combat à une vision trés réductrice du théatre des opérations.

    Les muslims méne le combat sur ce terrain la avec leur religion bien bornée mais il ont la foi et un projet de conquête et d’égémonie sur le monde

    En face une masse qui n’a plus aucunes valeurs commune…sinon le divertissement et des notions
    creusent qui ne reposent sur un vide abyssal d’un point de vue méthaphysique.

    .

    L

  11. « L’Europe c’est constituée que vous le vouliez ou nom a partir du Christianisme culte=culture
    Je ne vais pas énumérer ce qu »est la culture européenne et chrétiennne et tous les chefs d’oeuvre qu’elle a produit  »
    C’est beau, mais pas vrai;
    Ce qui fait la différence entre l’Occident et les pays musulmans ou l’Afrique, ce qui nous a amené là où nous sommes, et ce que nous pourrions perdre, ce sont plutôt les bienfaits de la Renaissance, de l’avènement de la science, de la victoire intellectuelle relative des Lumières (penser par soi-même) de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, et non pas les racines pourrissantes de la chrétienté.
    A une époque où l’Eglise était maître-d’oeuvre, des artistes et des artisans parfaitement païens, ont contribué à construire des cathédrales ou à écrire des livres ou à composer des oratorios, des requiems etc Ne vous y trompez pas, ils l’auraient fait pour n’importe quelle sorte de commanditaire. .

  12. Intérréssant car nous arrivons au coeur de ce qui nous sépare
    Je vous cite
    « A une époque où l’Eglise était maître-d’oeuvre, des artistes et des artisans parfaitement païens, ont contribué à construire des cathédrales ou à écrire des livres ou à composer des oratorios, des requiems etc Ne vous y trompez pas, ils l’auraient fait pour n’importe quelle sorte de commanditaire. »
    Cela peut -être
    Juste., Pour les peintres,écrivains,dépendants du mécenat des papes ou autre Prince.. accordons leurs, cependant, la grace, d’avoir su choisir les artistes (n’est pas Laurent le magnifique qui veut) Ni le pape qui à confié a Miguel Ange la réalisation de la chapelle Sixtine…

    (voir l’art contemporain entre les mains des parvenus incultes..Jeff Koons and co)

    Mais je refuse cette accusation à l’encontre des batisseurs de cathédrales
    Les maitres- maçons avaient
    la foi et croyez moi les cathédrales sont construites sur des lieux bien préçis qui tous, sont des endroits, qui avaient deja une « fonction » bien avant la Chrétienté et ce savoir, entre autre, Alchimique, leur fut transmis .venant de trés loin
    …..De plus ces hommes admirables savaient que lorsqu’ils commencaient une cathédrale, il ne la verrait pas achevée et plus encore,, leurs noms reste secret parceque caché/gravé dans la pierre de l’édifice /
    Belle leçon d’humilité .et surtout celle d’une vision d’ une conception du monde qui est aujourd’hui quasi inaudible et incompréhensible aujourd(hui.
    .Quant a vos chéres Lumiéres pour moi elles furent justement l’avénement du début de l’obscurité,  » l’humanisme occidental des Lumiéres a produit l’antihomme socialiste du xx siécle.. ».
    Comme Nietzsche le dit « la démocratisation de l’Europe nous prépare une pépinére de tyrans »

    « Les humanistes d’autrefois travaillaient dans l’ombre de la croix,:concilier la culture judéo-chrétienne et la culture gréco-romaine,Jérusalem et Athénes.Le choc de ces deux plaques tectoniques a produit le » feu follet » nommé « Europe »Les humanistes se tenaient toujours sur la ligne de fracture,inclassable,avec en ligne de mire l’universel lequel n’est jamais atteint
    .Hervé Clec in » Dieu par la face Nord »

    Et souvenez vous: »les Lumiéres ont finies dans nuits et brouilards »..!!

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