1984

Islamisation de la France : faut-il brûler les lanceurs d’alertes ?

Quel est le point commun entre Philippe de Villiers et Renaud Camus ? Le second parle du « Grand Remplacement » quand l’autre fustige véhémentement l’islamisation de la France. Certes, cette dernière est la conséquence mécanique de l’autre et d’aucuns estimeraient même que, si la cause doit être endiguée, la conséquence se prêterait aisément à des accommodements prétendument « raisonnables ».

Or, le changement de peuple emporte un changement de civilisation par importation, en l’espèce de l’islam, soit un messianisme d’un type particulier prônant une hégémonie politique, géopolitique, culturelle et, accessoirement, religieuse. De ce fait, il est tout à fait spécieux – à l’instar d’une droite dite « nationale » se targuant, par snobisme intellectuel, d’être plus clairvoyante, en dissociant de manière vétilleuse et chicanière le bon grain islamique de l’ivraie islamiste – de séparer ce contre-colonialisme revanchard maghrébin et négro-africain de son substrat ethno-culturel aux dangereux effets ethnocidaires (en parlant comme Pierre Clastres) pour nos peuples européens.

C’est oublier, au surplus, cette grande « loi » dégagée par Friedrich Engels qui postule qu’« à certains points du changement quantitatif, il se produit brusquement une conversion qualitative. […] Une transformation quantitative change la qualité des choses et, de même, une transformation qualitative leur quantité » (Anti-Dühring, 1878). C’est dire qu’en toute rigueur méthodologique, on ne peut vouloir atteindre le point d’arrivée en évitant le point de départ.

Vous ne croyez plus à la République ? Si l’assimilation des Italiens, des Juifs et des Polonais a marché, pourquoi en irait-il différemment des immigrés musulmans ?

Photo published for Zemmour ne défend pas le terrorisme, il espère la vraie guerre!

Pour trois raisons. La première et la plus fondamentale, c’est le nombre. Comme l’a écrit Engels, « à partir d’un certain nombre, la quantité devient une qualité ». À cela, il faut ajouter cette observation du général de Gaulle : « On assimile des individus, pas des peuples.» Or nous avons fait venir un peuple entier, qui se considère désormais comme un peuple en soi et veut pérenniser son être sur le sol français. D’ailleurs, cela ne marche pas mieux aux États-Unis. J’ai lu cet été deux livres de Samuel Huntington, Le Choc des civilisations et Qui sommes-nous ? Il explique très bien que tout au long du xixe et du xxe siècle, les États-Unis n’étaient pas beaucoup plus multiculturalistes que la France. Et beaucoup plus assimilationnistes qu’on le prétend en France. En revanche, depuis l’arrivée en masse des Mexicains qui ont hispanisé des villes entières de la Floride à la Californie, la diaspora latino est devenue un peuple dans le peuple américain. Selon Huntington, ce processus aboutira à l’horizon de cinquante ans à une nouvelle guerre de sécession entre le peuple mexicain et le peuple anglo-américain.

Le deuxième obstacle à l’assimilation des musulmans est lié à la nature même de l’islam, qui n’est pas seulement une religion, mais aussi, comme le dit Rémi Brague, un droit, une loi, une nation qui demeure absolument inassimilable. Dans l’histoire, l’islam a conquis et soumis des populations mais ne s’est jamais assimilé.

Bref, Camus comme Villiers assènent, à rebours de la doxa dominante, que l’islam est incompatible avec le génome gréco-romano-chrétien de la France, qui lui est aussi ontologiquement étranger qu’historiquement antagoniste. Dans son dernier opus à paraître prochainement, Les cloches sonneront-elles encore demain ?, Villiers, détournant une expression célèbre, affirme sans hésitation que « la France n’a pas vocation à devenir la fille aînée de l’islam ». Elle n’a pas encore atteint cette consécration, mais il est aisé d’observer, avec nos yeux nus, qu’elle est désormais sa fille cadette. Moins par adoption que par séquestration, conformément à cette boutade mitterrandienne de l’immigré chez lui, chez nous.

Le fondateur de la Cinéscénie du Puy du Fou confirme bien que « nous ne sommes plus tout à fait chez nous. Bientôt chez eux.

La colonisation est en marche. La défrancisation aussi. Les “faces de craie” commencent à raser les murs. » Pour preuve irréfutable de cette substitution de population, cette « révolution » – selon le terme de Christopher Caldwell – en train de s’opérer sous nos yeux, il relate une conférence dispensée le 7 février 2016 au Lille Grand Palais « devant un public de femmes voilées et de barbus portant le qamis ». Le petit-fils du fondateur des Frères musulmans, Tariq Ramadan, tenait la tribune, « entouré de drapeaux français » et annonçait fièrement que « la France est une culture maintenant musulmane. L’islam est une religion française. La langue française est la langue de l’islam. Vous avez la capacité culturelle de faire que la culture française soit considérée comme une culture musulmane parmi les cultures musulmanes. »

Il y a quelques années, l’ex-président du conseil général de Vendée publiait Les Mosquées de Roissy. Il y décrivait la propagation endémique de l’islam dans les souterrains de l’aéroport de Paris. Ce mercredi, Le Canard enchaîné faisait état de tentatives de sabotage de vols commerciaux d’Air France, de tags « Allah Akbar » sur des avions, d’agent refusant de guider un avion piloté par une femme, etc. Il y a quelques jours, M6 diffusait un documentaire accablant. Le feu commence à prendre. Va-t-il embraser jusqu’aux lanceurs d’alertes se tenant un peu trop près de la vérité ?

Air France gangrenée par des islamistes ? Les services de renseignement sont sur les dents

cubhoohweaaq-a0Dans les avions d’Air France se multiplient des incidents causés par des employés de la compagnie aérienne, dont au moins une dizaine seraient surveillés par les services de renseignement pour radicalisation, indique le Canard Enchaîné.«Nous avons constaté plusieurs anomalies avant le départ de plusieurs vols commerciaux. Elles s’apparentent à des tentatives de sabotage», a confié un membre des services de renseignement à l’hebdomadaire satirique dans le cadre de son article sur la radicalisation de certains employés de la compagnie aérienne Air France, ainsi que ses sous-traitants.Parmi les incidents les plus emblématiques, un individu est soupçonné d’avoir trafiqué les «moteurs relais» de l’avion permettant un contrôle manuel des réacteurs. Une fois mis sous surveillance, celui-ci «a pris la poudre d’escampette» et probablement quitté le pays pour le Yémen. Deux de ses collègues sont aussi suspectés d’avoir saboté des toboggans d’évacuation, qui n’ont néanmoins jamais été mis en service sur les appareils.On se souvient aussi du prétendu «bug» qui aurait fait disparaître Israël de la carte consultable par les passagers sur leurs écrans. Selon le Canard Enchaîné, il s’agirait en fait d’un piratage – qui s’est d’ailleurs produit à deux reprises. Le Maroc avait ainsi lui laissé place à «Khalifa» dans un autre incident.D’autres phénomènes inquiétants ont aussi été constatés par la compagnie, tels que des inscriptions «Allah Akbar» sur les trappes destinées au remplissage en kérosène des appareils, vues une quarantaine de fois. Un agent de piste aurait aussi refusé de guider un avion, au motif que celui-ci était piloté par une femme.Des mesures préventives de changement de poste ou de licenciement de salafistes ou d’individus ayant dans leur famille des musulmans radicalisés ont d’ores et déjà été prises.L’aéroport parisien Roissy Charles-de-Gaulle s’est doté en juillet d’une cellule dédiée au renseignement, forte d’une trentaine d’agents, afin de récolter des «informations plus sophistiquées» sur la plate-forme aéroportuaire, la deuxième d’Europe. Sous haute surveillance depuis les attaques djihadistes de 2015 à Paris, les autorités ont décidé de passer au crible les quelque 85 000 autorisations d’accès à la zone dite «réservée» de cet aéroport. Au total, depuis janvier 2015, 852 personnes se sont vues retirer ou refuser ce sésame. Parmi elles, 87 étaient soupçonnées de radicalisation, selon le préfet.Source : https://francais.rt.com/france/27236-air-france-islamistes

http://www.bvoltaire.fr/aristideleucate/islamisation-de-la-france-faut-il-bruler-les-lanceurs-dalertes,287510?mc_cid=a29faab73d&mc_eid=b338f8bb5e

Jean-Yves Le Gallou, ancien député européen, essayiste 

♦ Trente-cinq pour cent des femmes musulmanes en France portent le voile ; 60% des musulmans estiment que les collégiennes et les lycéennes devraient pouvoir le porter à l’intérieur de leur établissement scolaire, 65% des musulmans sont de manière générale favorables au port du voile, et 28% au port du voile intégral (niqab, burka).

Tels sont les chiffres révélés par un sondage IFOP, commandé par le très politiquement correct Institut Montaigne.


Ces chiffres ne font que représenter une réalité indéniable : l’occupation croissante de l’espace public par des femmes voilées et même, de plus en plus souvent, « bâchées » : une entreprise de « colonisation visuelle », selon Marion Maréchal Le Pen.

Ce phénomène majeur a trois causes :

–  Les constructions de mosquées financées soit par les contribuables français (dons ou prêts de terrains « aides culturelles ») et les États étrangers ;
–  La présence dans tous les appartements des télévisions arabes qui véhiculent la mode et le modèle de la femme voilée ;
–  L’immigration nuptiale.

Ce phénomène est peu connu mais déterminant.

Chaque année 10.000 conjoints ou enfants d’étrangers obtiennent un titre de séjour au titre du regroupement familial.

Mais – et c’est là le chiffre essentiel – 40.000 conjoints entrent en France au titre du regroupement de « familles de Français ». De qui s’agit-il ? De ressortissants étrangers qui ont été épousés à l’étranger, hors Union européenne, par des ressortissants français. Pour quelques centaines de cas, il s’agit de rencontres entre Français et Chinois, Philippins, Américains, Canadiens ou Australiens. Mais pour l’essentiel il s’agit de bi-nationaux, franco-maghrébins ou franco-africains, généralement inassimilés, qui se marient « au bled » dans le cadre de mariages communautaires souvent « arrangés ». Il peut s’agir de jeunes filles mariées, plus ou moins contre leur gré, avec des cousins. Mais le cas le plus fréquent est celui de jeunes hommes qui vont chercher « au bled » leur promise. Pour ne pas dire leur soumise.

Car dans les deux cas la soumission de la femme est un élément essentiel de la décision. Et comme les pays les plus concernés par ces pratiques sont dans l’ordre l’Algérie, le Maroc, la Tunisie et les pays africains musulmans, toutes ces femmes portent le voile et servent de modèles aux autres.

D’autant que ces mariages ouvrent des droits au regroupement familial pour les parents, pour garder les petits-enfants ou se faire soigner : d’où le nombre grandissant de vieilles femmes voilées arrivées récemment en France.

Il faut évidemment mettre un terme à ces regroupements en France. Un Franco-Maghrébin qui choisit de se marier « au bled » manifeste son absence d’assimilation et doit en tirer les conséquences : y rester pour construire sa famille.

Il n’y a d’ailleurs aucune raison de faire du mariage un droit absolu au séjour. L’Australie est un pays libéral et parfaitement démocratique. Pour autant le mari anglais d’une Australienne n’a aucun droit au séjour permanent en Australie. La règle c’est l’alternance (un an d’un côté, un an de l’autre) et pourtant quoi de plus proche culturellement qu’un Anglais d’un Australien ?

Dans le cas qui nous occupe, des binationaux qui préfèrent le pays d’origine de leur famille – c’est leur droit – n’ont pas à nous imposer leurs mœurs. Comme le disait le général De Gaulle (cité par Alain Peyrefitte) :« Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés, avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. »

La conclusion est claire : il faut mettre un terme au regroupement familial et à l’immigration nuptiale, arme fatale de l’islamisation et du Grand Remplacement.

http://www.polemia.com/femmes-voilees-femmes-bachees-limmigration-nuptiale-grand-accelerateur-de-lislamisation/

Le double discours est bien la caractéristique du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF). Son président, Marwan Muhammad, en a fait une nouvelle fois la démonstration, lundi soir, devant Jean-François Copé, dans un face-à-face (vidéoici) organisé à Sciences Po Paris devant un public composé, pour ses deux premiers rangs, de femmes voilées et démonstratives (compte rendu du Figaro ici).

Affrontant un Muhammad hâbleur et condescendant, Copé a réussi sa démonstration visant à faire passer le CCIF pour « le cheval de Troie du discours islamiste ». Le député-maire (LR) de Meaux, initiateur de la loi d’interdiction du voile intégral, a rappelé que cette association, qui estime que « l’islam a la particularité d’être une religion qui a vocation à régir toutes les sphères de la vie sociale », a déjà compté parmi ses invités d’honneur, dans ses dîners, Tariq Ramadan ou l’iman de Brest qui fait croire aux enfants qu’ils seront transformés en porcs ou en singes s’ils écoutent de la musique. L’imam du Bourget, qui dit que la femme ne doit sortir qu’avec la permission de son mari, a eu aussi son rond de serviette. Copé a fait avouer à Muhammad, coincé dans ses sophismes : « Je ne condamne pas la polygamie ». A propos des caricatures deCharlie-Hebdo, le président du CCIF a déclaré ceci, après avoir fait l’éloge « du dialogue et de l’argumentation » : « Le CCIF n’a jamais collé le moindre procès, n’a jamais intenté la moindre poursuite pour délit de blasphème, ni contre Charlie Hebdo ni contre qui que ce soit d’autre qui aurait une parole critique ». Or il se trouve que j’ai à subir les méthodes du CCIF, qui visent à intimider des journalistes dans l’exercice de leur élémentaire liberté d’expression.

http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2016/10/le-double-discours-marqueur-is.html

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