A Chaud!!!!!

Douce France – Guerilla urbaine : Les policiers au bord de la rupture…et les carabistouilles du ministère de l’Intérieur !

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Une autre guerre a-t-elle commencé en lisière de la cité de la Grande-Borne, dans l’Essonne, ? En tout cas il semble désormais que l’opinion, comme la presse, se soient habituées à voir des policiers ou des gendarmes blessés chaque week-end dans l’exercice de leurs fonctions. «Guet-apens» et «caillassage» sont des mots qui sont entrés le langage quotidien des commissariats situés à proximité de ces ghettos où la loi de la drogue est souvent plus forte que celle de la République. Mais, cette fois, un nouveau seuil a été franchi. Etle moins que l’on puisse dire est que les policiers sont furieux. «Près de la rupture, dit l’un d’eux, celle après laquelle on ne voudra plus mourir pour le pays, faute de se sentir soutenus par l’Etat. Aucun collègue n’ose plus sortir son arme de service de peur d’être emmerdé par l’administration…»

Sécuriser une caméra

Cet après-midi-là, dans ce département de la grande couronne éloigné des centres de décision, bien que le Premier ministre, Manuel Valls, en soit l’un des élus, deux voitures de police sont positionnées pour protéger un poteau au sommet duquel a été installée une caméra de vidéo-surveillance, à l’initiative de la mairie de Viry-Châtillon. Pourquoi mobiliser deux voitures et quatre fonctionnaires pour sécuriser une caméra ? Parce qu’elle filme les alentours de ce carrefour du Fournil, connu de plusieurs générations de flics, depuis la construction de la cité de la Grande-Borne. Un carrefour où les CRS s’étaient déjà fait tirer dessus lors des émeutes de 2005 et où prospèrent, selon un connaisseur, «vols à la portière, agressions, échange de marchandises volées et trafic de stupéfiants». «Dans le coin, soupire un gardien de la paix, on surveille bien les engins de chantier, alors pourquoi pas une caméra ?» Des inconnus ont d’ailleurs tenté une première fois de scier le poteau, manière de sécuriser «leur» territoire. Comme cela n’a pas suffi, une voiture bélier a été utilisée ensuite, sans plus de résultat. C’est depuis ce jour que deux voitures protègent le périmètre, alors que des plots en béton ont été installés autour du poteau et de la caméra.

Samedi, les chefs n’ont rien vu venir, probablement obnubilés par la première préoccupation : le terrorisme. Et c’est en plein après-midi que le commando, composé d’une quinzaine de personnes, est passé à l’action. Un raid «organisé et prémédité», selon un témoin. «Une minute d’extrême violence», confie un autre. Des jeunes cagoulés, venus pour «bouffer du flic», auraient jeté des projectiles pour casser les vitres de l’une des voitures – à l’intérieur de laquelle se tenaient un adjoint de sécurité (ADS) de 28 ans et une brigadière fraîchement débarquée de la région lyonnaise – avant d’y lancer un cocktail Molotov qui a aussitôt incendié l’habitacle, puis la tenue des fonctionnaires. L’autre équipage de policiers aurait juste eu le temps de s’extraire de son véhicule avant qu’un deuxième engin incendiaire n’y mette le feu, et que s’engage un bref face-à-face avec les assaillants, qui vont prendre la fuite en empruntant un souterrain tout proche. Un acte de guérilla urbaine destiné à protéger le «bizness», perpétré par des criminels .

« Il y a des quartiers où on ne peut pas entrer à moins de 30 »

Depuis, les mauvaises nouvelles s’accumulent au sujet de l’état de santé du jeune ADS, le plus touché des quatre, ce qui plonge ses collègues dans une colère noire. Les uns parlent d’un «acte de terrorisme», à l’instar de Denis Jacob (secrétaire général d’Alternative police CFDT), la tentative d’assassinat ne faisant à ses yeux aucun doute. D’autres font le procès des choix de la hiérarchie, comme Nicolas Comte, secrétaire général d’Unité SGP Police FO. «Ce n’est pas un problème d’effectifs, mais d’approche, dit-il.On est employés à des tâches sans rapport avec notre métier. Les collègues veulent faire leur boulot !» «Il faut refaire du renseignement», dit un officier, navré que l’Etat ait lâché sur ce terrain après les émeutes de 2005. «Oui,clame un brigadier, fâché contre les discours de la classe politique, il y a des zones de non-droit. Ce sont des quartiers où on ne peut pas rentrer à moins de 30, où les pompiers et les médecins ne viennent pas sans être accompagnés par des policiers.» Dans les rangs, certains ne cachent pas leur envie d’en découdre avec ces agresseurs, mais ils en resteront (pour le moment) aux intentions.

Les mots forts de Manuel Valls et l’indignation affichée par Bernard Cazeneuve ne sont pas très audibles. Surtout quand le ministre de l’Intérieur parle de «sauvageons» alors qu’ils ont vu, eux, des assassins. «Vous avez raison de réclamer des renforts et du matériel», leur disent-ils, mais l’essentiel des efforts de l’Etat, depuis près de deux ans, porte sur les services spécialisés en première ligne face au terrorisme. Le «service général», comme on appelle la Police Secours, «a toujours été la dernière roue du carrosse», rappelle un fonctionnaire en poste dans ce département du sud de la capitale. Les voitures ont toutes plus de 140 000 km au compteur, quand elles ne sont pas au garage, mais ils feraient avec s’ils avaient le sentiment qu’on leur donnait les moyens de renverser le rapport de forces dans ces cités où ils sont en situation de faiblesse. «On ne tape pas où ça fait mal, l’économie souterraine, se plaint notre interlocuteur. On s’occupe de la surface des choses et on protège des caméras, des personnalités et des édifices religieux. Et, pendant ce temps-là, ils nous attaquent frontalement.»

La machine tourne à vide

A les entendre, ces fonctionnaires ne demandent qu’à travailler, mais la machine tournerait à vide, déconnectée de la réalité du terrain. Sans compter cette justice sur laquelle ils tombent à bras raccourcis, fustigeant ce qu’ils considèrent comme «l’impunité» dont jouiraient ceux qui s’en prennent à eux, et qui renforce encore le sentiment d’abandon qui couve dans les rangs. «Face aux violences que nous subissons, notre parole est systématiquement remise en question par les juges», glisse l’un d’eux. Puis il y a ces ingrédients plus locaux, ceux qu’on se raconte en faisant le guet sur cette D 445 qui traverse Grigny, où les élus de Viry-Châtillon n’ont jamais prisé la vidéosurveillance. Pourquoi les chefs n’ont-ils pas opté pour une protection «dynamique» de ce carrefour, alors que les provocations se multipliaient à l’encontre des statiques ? «Cette attaque est quelque chose que l’on aurait pu éviter en faisant les bons choix sur le terrain», assène Philippe Capon, secrétaire général de l’Unsa Police. Une pierre dans le jardin du préfet de police de Paris et de la direction centrale de la sécurité publique, qui se partagent ce territoire d’Ile-de-France, les effectifs et le matériel pour le premier, l’opérationnel pour la seconde…

http://www.marianne.net/les-policiers-au-bord-rupture-100247124.html

France : le terrible aveu d’un policier « On fait semblant d’intervenir » dans les quartiers

media(…) Le malaise des policiers, ce sont forcément les hommes du terrain qui en parle le mieux. RMC a recueilli le témoignage de Thomas, membre de la BAC (Brigade anti criminalité) de nuit du département de l’Essonne. Et manifestement, le quotidien est devenu un cauchemar. « Il y a une espèce de sentiment d’impunité des délinquants. Ils nous le disent, ils en rigolent même: ‘De toute façon je ne crains rien, qu’est-ce que tu vas me faire ? Je vais en garde-à-vue, et alors, demain je suis dehors’. Ils nous tutoient: ‘Tu le sais très bien, demain je suis dehors’. Ils ne craignent pas la police, encore moins la justice ».« Ils savent très bien que, quand on arrive, on est le seul équipage disponible et qu’on descend à deux. Vous vous rendez compte, face à des bandes qui se baladent toujours à 8, à 10 ou à 20 ? ». Thomas l’avoue, « on fait semblant« . « Quand des gens nous appellent pour du tapage en bas de chez eux à minuit, avec les mecs qui foutent un bordel monstre, on arrive en disant: ‘Bonjour monsieur, vous voulez partir ? Non ? Bon ben bonne soirée’. Et puis on s’en va. On dit qu’on est intervenu mais en fait on n’intervient pas ». Il ajoute: « On est devenu des sacs de frappe. On intervient pour un simple différend de voisinage et le comité d’accueil est là, ils disent : ‘tiens on va les défoncer’, et on se prend un pavé pleine tête. Mais quand on est flic on est flic, on y retourne. Jusqu’à quand ? Je ne sais pas ».Source : http://rmc.bfmtv.com/emission/le-coup-de-gueule-d-un-policier-de-la-bac-on-est-devenu-des-sacs-de-frappe-1046605.html

France : plus de 500 policiers blessés en mission chaque mois depuis janvier dernier

958c0f2c-1d24-11e2-8b6c-ffa59a9acac5-493x328(…) Selon le dernier bilan de la Direction générale police nationale (Dgpn) portée à la connaissance du Figaro, 3267 fonctionnaires ont été blessés en action de police lors du premier semestre 2016. Soit 544 policiers atteints en moyenne par mois depuis janvier dernier. Cela constitue bond d’environ 14% par rapport à l’année précédente, que l’on impute Place Beauvau aux manifestations violentes contre la loi travail et aux heurts liés à la forte pression migratoire du Calaisie (…)Source : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/10/11/01016-20161011ARTFIG00136-pres-de-500-policiers-blesses-en-service-chaque-mois.php

France : le nombre de policiers blessés a augmenté de 25% en cinq ans

telechargement-5Quatre policiers, enfermés dans leur véhicule par des délinquants agissant en bande, sous l’imminence du jet d’un cocktail molotov. Cette scène d’ultra-violence, observée samedi 8 octobre à Viry-Châtillon (Essonne), est le symbole d’une violence croissante à l’encontre des forces de l’ordre, que les statistiques viennent souligner.Ainsi, l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales, chargé d’analyser statistiquement les différents phénomènes criminels, a pu compiler les données chiffrées de cette tendance. Entre 2010 et 2015, le nombre de policiers blessés pendant leurs missions a augmenté de 25%. Ils étaient 4535 à le signaler il y a six ans, contre 5674 l’année dernière.La hausse est encore plus importante pour les gendarmes. En 2010, ils étaient 1408 à avoir subi une agression physique, contre 1807 en 2015.Source : http://www.lci.fr/faits-divers/viry-chatillon-le-nombre-de-policiers-blesses-a-augmente-de-25-en-cinq-ans-2006965.html

Après l’opération de guérilla urbaine de Viry-Châtillon, où un policier a failli trouver la mort et se trouve toujours dans un état critique, l’heure des carabistouilles politiciennes arrive. La novlangue a ses raisons que la raison ne connaît pas. Dans la bouche d’un Cazeneuve, cela donne:

Les quatre agents « ont été confrontés à une bande de sauvageons qui ont agi avec lâcheté », a déclaré le ministre, faisant sienne une expression de l’ancien ministre de l’Intérieur Jean-Pierre Chevènement pour parler des jeunes délinquants. »Dans ‘sauvageon’ il y ‘sauvage’ », a expliqué M. Cazeneuve, sans pouvoir préciser s’il y avait des mineurs parmi les agresseurs. « C’est une véritable attaque barbare, sauvage, qui était destinée à tuer ».

La formule renvoie donc à des actes individuels et « sauvages » et occulte la dimension organisée de ce crime, qui constitue la face émergée d’un iceberg très structuré contre lequel le ministre ne semble pas décidé à lutter.

Dans la bouche de Manuel Valls, cela donne cet autre déni:

« Il n’y a pas de zone de non-droit », a affirmé le chef du gouvernement.

L’exécutif continue donc sa stratégie de refus des réalités sur la gravité de la situation sécuritaire en France. Tous les gens qui vivent dans des quartiers difficiles savent pourtant que ces zones de non-droit existent.

Les carabistouilles sur les effectifs policiers

Si la situation en France se dégrade, la raison est pourtant simple: les effectifs policiers sur le terrain stagnent, contrairement aux affirmations officielles, alors que leurs missions ne cessent de s’alourdir notamment du fait du terrorisme. Un petit retour en arrière sur les effectifs présentés en loi de finances n’est pas inutile:

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Source: entreprise.news avec les données du Ministère de l’Intérieur

Comme on le voit, il faut attendre 2016 pour que les effectifs de terrain de la police nationale (en l’espèce la catégorie d’emplois « Corps d’encadrement et d’application » inscrite en loi de finances) dépassent le niveau auquel ils se trouvaient… en 2011. Le quinquennat Hollande a donc été marqué majoritairement par un maintien des effectifs sous la ligne de flottaison de 101.000 fonctionnaires de la police nationale au contact de la réalité directe.

Seuls les attentats de 2015 ont permis de décider le gouvernement à augmenter le nombre de policiers « actifs ».

Ce petit rappel statistique n’est pas inutile parce qu’il souligne la responsabilité accablante de l’exécutif dans la dégradation de la situation sécuritaire dans ce pays.

Quand l’administration centrale se gave

Le ministère de l’Intérieur n’a pas cherché à dissimuler les dégâts de la politique de gauche en matière de sécurité. En revanche, il est beaucoup moins clair sur les petits arrangements internes auquel il s’abandonne pour gaver les proches du pouvoir.

Ainsi, la justification au premier euro du budget pour 2017 produit ce petit tableau qui divertira le lecteur:

Autrement dit, de l’aveu du ministre, quand il crée environ 1.500 emplois sur le terrain, il en crée 500 dans son administration centrale. Celle-ci absorbe donc à elle seule un quart des créations d’emplois au niveau national. Les flics de terrain seront heureux de savoir que, chaque fois qu’on crée trois postes dans les quartiers, on en crée au ministère pour user des fauteuils de ronds-de-cuir.

On mesure bien quelle paix sociale et quel confort Cazeneuve achète auprès de ses thuriféraires en sacrifiant, une fois de plus, les besoins du peuple français aux appétits voraces de la technostructure parisienne.

Petite partie de bonneteau au ministère de l’Intérieur

À force d’arrêter des joueurs de bonneteau dans les rues de Barbès, les policiers ont été contaminés. Pour dissimuler la croissance exponentielle de l’administration centrale pendant que le terrain végète lamentablement sans chemise et sans pantalon, les services financiers de la place Beauvau ont trouvé un truc génial: ils changent chaque année la méthode de présentation des effectifs, de telle sorte que personne ne peut comprendre la gestion du ministère.

Ainsi, pendant plusieurs années, les « bleus budgétaires » n’ont pas clairement mentionné, durant le quinquennat Hollande (en particulier quand Manuel Valls était ministre de l’Intérieur) les effectifs attribués à l’administration centrale. On en est donc réduit à des recoupements.

En 2011, voici où ils en étaient:

L’administration centrale de l’Intérieur, lorsque Manuel Valls l’a quittée, regroupait environ 7.000 fonctionnaires. En 2014, voici les chiffres que le bleu donne:

La loi de finances initiale pour 2014 avait accordé 7.900 emplois à l’administration centrale, soit 900 créations en trois ans. Pendant ce temps, Valls supprimait à tour de bras des emplois sur le terrain.

Les banlieues comme Viry-Chatillon abandonnées par la gauche

On comprend ce que signifie cette petite comparaison de données budgétaires brutes sous le quinquennat Hollande. Pendant que Manuel Valls appelait à la fin de l’apartheid et encourageait à la construction de logements sociaux, il gavait la technostructure du 8è arrondissement de sureffectifs, et il laissait croupir les policiers de terrain dans leur jus.

Nous payons aujourd’hui le prix fort de cette politique inspirée par l’esprit courtisan et la facilité de la réaction nobiliaire.

France : une centaine d’émeutiers attaquent les forces de l’ordre et tentent de détruire la mairie annexe de Mantes-la-Jolie

mantes-la-jolie-des-emeutiers-ont-tente-de-detruire-l-annexe-de-la-mairieFlambée de violence durant la nuit de samedi à dimanche dans le quartier du Val-Fourré à Mantes-la-Jolie (Yvelines). Une centaine d’émeutiers s’en sont pris aux forces de l’ordre et ont tenté de détruire la mairie annexe dont toutes les vitres ont été brisées par des jets de pierres.Vers 22 h 20 dans le secteur des rues Marie-Laurencin et Paul-Gauguin, une voiture de la brigade anticriminalité a essuyé un jet de cocktail Molotov. « L’engin incendiaire a atteint le véhicule mais ce dernier ne s’est pas embrasé », précise une source proche de l’affaire. Une trentaine de trublions ont jeté différents projectiles sur les forces de l’ordre. Les policiers se sont repliés et ont appelé du renfort. Au total, une cinquantaine de fonctionnaires ont dû faire face à une centaine d’assaillants.« Ils ont bombardé la mairie annexe de pierre et toutes les vitres ont été brisées, ajoute une autre source. Mais les policiers ont réussi à les contenir pour éviter que le bâtiment ne soit détruit ». Fort heureusement aucun policier n’a été blessé. Aucune arrestation n’a pu être effectuée lors de l’affrontement. Le calme est revenu vers 1 heure du matin.Durant la nuit de vendredi à samedi les policiers et les pompiers étaient tombés dans un guet-apens. Vers 21 heures, square du Mantois, les pompiers interviennent pour éteindre un feu de poubelles. En arrivant sur les lieux, quatre hommes leur lancent des bouteilles de verre et des pierres. La police arrive en renfort et essuie aussi des tirs de projectiles lancés dans leur direction et disperse les trublions. Les forces de l’ordre ont constaté que l’appel téléphonique passé aux pompiers était un leurre et qu’il n’y avait pas d’incendie (…)Source : http://www.leparisien.fr/faits-divers/yvelines-flambee-de-violence-dans-le-quartier-du-val-fourre-a-mantes-la-jolie-16-10-2016-6214554.php

France : des parpaings lancés sur les policiers au Val-Fourré

6186573_d9cb6e4c-8d43-11e6-a6a5-6b3a4e1024cf-1_1000x625L’épisode n’a duré que quelques minutes mais il a été intense. Des policiers ont été pris pour cible vendredi soir dans la cité du Val-Fourré, à Mantes-la-Jolie, alors qu’ils protégeaient des pompiers en intervention. Peu avant 22 heures, les fonctionnaires ont été visés par des parpaings jetés depuis les allées du quartier des Ecrivains, un secteur habituellement calme du Val-Fourré. « Il y avait énormément de policiers casqués à l’entrée de la cité, c’était impressionnant », confie un témoin de la scène qui précise que les pompiers ont, eux aussi, été ciblés. Aucun policier ou pompier n’a été blessé (…)Source : http://www.leparisien.fr/mantes-la-jolie-78200/des-parpaings-lances-sur-les-policiers-au-val-fourre-08-10-2016-6186573.php#xtor=AD-1481423553

France : les policiers menacés au commissariat d’Albertville

1610150226010087La nuit de mercredi à jeudi a été « chaude » à Albertville. Vers 23 heures, trois individus n’ont pas hésité à venir au commissariat de police, réclamer la libération d’un de leurs amis, placé en garde à vue.Face aux insultes et aux menaces des intrus, les forces de l’ordre ont fait usage de gaz lacrymogène et ont même sorti leurs flash-ball durant l’interpellation d’un membre du trio.Quelques heures plus tard, sans que rien ne permette pour l’instant de lier les deux affaires, cinq véhicules, en deux endroits différents, ont été incendiés, Plaine de Conflans. Dans ce quartier, on ne compte plus, depuis cet été, les incendies de véhicules, qui exaspèrent les habitants.Source : http://www.ledauphine.com/actualite/2016/10/14/albertville-voitures-brulees-policiers-menaces

France : des policiers lyonnais attaqués lors d’un contrôle doivent prendre la fuite

Les deux hommes de la brigade des mœurs étaient chargés d’identifier les nouvelles filles sur les trottoirs de la zone. Alors que les fonctionnaires avaient repéré un groupe, ces dernières sont parties en courant. L’une s’est engagée dans la rue Champagneux. Elle a finalement été rattrapée. Après avoir essuyé un refus pour obtenir les papiers de la prostituée, la décision de l’interpeller a été prise. La jeune fille s’est débattue et a tenté de mordre l’un des policiers. L’autre, est quand même parvenu à menotter la furie.Mais dans le feu de l’action, les policiers n’avaient pas vu arriver une bande de jeunes dans la rue. Environ quinze à vingt individus, prêts à en découdre. Quelques coups ont été portés, un jeune aurait même tenté de subtiliser l’arme d’un des policiers tandis qu’un autre se serait accroché à une portière ouverte pour retarder les fonctionnaires. Au final, les forces de l’ordre ont réussi à s’enfuir à bord de leur véhicule de fonction (…)Source : https://www.lyonmag.com/article/83557/des-policiers-lyonnais-attaqus-lors-d-un-contrle

France : deux policiers agressés et blessés lors d’une interpellation à Albi

20161013093403322-0Deux policiers ont été agressés et blessés (à la main pour l’un et au visage pour l’autre) dans la soirée du mercredi 12 octobre vers 21 heures lors d’un contrôle dans un hall d’immeuble à Albi.Un des fonctionnaires a été menacé de mort, ainsi que sa famille, dénoncent les syndicats « Alliance » et « SGP Police ». Deux hommes ont été interpellés après cet incident qui se produit dans un contexte tendu (…)Source : http://www.ladepeche.fr/article/2016/10/13/2438547-deux-policiers-agresses-et-blesses-lors-d-une-interpellation.html

France : tombés dans une embuscade les policiers doivent s’enfuir d’un quartier de Brest

Appelée pour interpeller le conducteur d’un véhicule effectuant un « rodéo », une patrouille de police a été victime d’un guet-apens, ce mardi, vers 15h10, rue du Général-Paulet, dans le quartier de Pontanézen, à Brest. Alors qu’elle avait pris le chauffard en chasse, elle s’est retrouvée face à un groupe de jeunes personnes, qui s’était constitué au moment de l’intervention des forces de l’ordre. Plusieurs projectiles, dont une bouteille d’eau et une pierre, ont été lancés en direction du véhicule de police. Le pare-brise de celui-ci n’a pas résisté à la confrontation. Face à la tournure de la situation, la patrouille a préféré se retirer (…)Source : http://www.letelegramme.fr/finistere/brest/brest-un-vehicule-de-police-caillasse-a-pontanezen-05-10-2016-11243430.php

France : des policiers menacés de mort et caillassés à Angers

Dimanche vers 16h40, un rodéo à moto s’est mal terminé, route de Bouchemaine, à Angers. L’un des jeunes qui fonçait sur une moto de cross non homologuée a percuté une voiture. Légèrement blessé, il a dû être secouru par les sapeurs-pompiers.La présence de policiers n’a pas plu au jeune contrevenant. Un attroupement s’est formé. Vers 17 h 30, les policiers ont été la cible d’insultes, de menaces de mort et même de jets de pierre. Du gaz lacrymogène a été utilisé pour disperser les fauteurs de trouble (…)Source : http://www.courrierdelouest.fr/actualite/angers-le-rodeo-finit-mal-un-blesse-la-police-caillassee-cinq-interpelles-03-10-2016-285390

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