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Elections US – Wikileaks : Si elle doit devenir Présidente, vous devez savoir ce que Wikileaks a découvert sur Hillary Clinton !

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Wikileaks a publié en trois fois, à peu près 5 000 emails qui montrent qui est Hillary Clinton en coulisse, et pourquoi 60 % de la population américaine considèrent que cette femme est menteuse et corrompue — et qu’ils vont voter pour elle en se bouchant le nez.

La gravité, l’intensité et l’éventail des premières révélations spectaculaires de Wikileaks — qu’aucun média ne veut publier — montre au-delà du cas Clinton à quel point la gauche est malhonnête au-delà de ce que le commun des mortels peut imaginer, corrompue jusqu’à la corne, profondément méprisante des gens et des valeurs qu’elle dit vouloir défendre, et d’un cynisme qui ne se retrouve dans aucune autre faction politique :

  • En 2008, alors qu’elle se présentait à la présidentielle contre Barack Obama, Hillary Clinton a réuni un groupe d’électeurs démocrates pour tester plusieurs angles d’attaque contre son opposant, le sénateur Obama :
    • Le père d’Obama était musulman, et Obama a grandi parmi des musulmans, dans le premier pays musulman au monde.
    • Il soutient l’adoption par un couple gay.
    • Il veut autoriser les personnes illégalement dans le pays à passer le permis de conduire.

En quoi est-ce intéressant ?

  • Cela montre l’hypocrisie extrême d’une femme qui accuse Trump d’islamophobie, alors qu’en 2008, c’est elle qui est prête à se servir de la carte islamophobe pour discréditer son concurrent.
  • Cela montre qu’elle se présente comme défendant la cause des homosexuels uniquement à des fins électorales, et qu’elle était prête à les dénoncer il y a 8 ans.
  • Cela montre ensuite qu’elle se dit la championne d’un monde open border, mais se disait contre quand Obama soutenait les illégaux.

Avec cela, les emails hackés indiquent qu’il n’existe aucun moyen de savoir si elle pense ce qu’elle dit, entre son opinion en privé, une autre pour un public ciblé, et encore une autre pour les très riches, le 1 %.

  • En 2013, lors d’une conférence privée pour Wall Street où elle a été payée 225 000 dollars, elle a déclaré être déconnectée du petit peuple depuis qu’elle et son mari sont devenus riches, et elle a rassuré les banquiers en affirmant qu’il faut laisser aux gens de Wall Street le soin de réformer… Wall Street.
  • Lors d’une conférence avec une banque brésilienne, elle a déclaré qu’elle rêve d’un hémisphère sans frontières — ça tombe bien, c’est aussi le rêve des soldats de l’État islamique.

L’exécrable hypocrisie concernant les Américains :

  • Des Hispaniques, son équipe de campagne dit que ce sont des « proies faciles » et « des quémandeurs ».
  • La classe moyenne : Clinton n’est plus concernée par elle depuis qu’elle est riche.
  • Les électeurs de Trump : un « panier de gens lamentables, racistes, islamophobes, homophobes, xénophobes, et irrécupérables ».
  • Les catholiques : des bigots arriérés qui ne savent rien de la démocratie, et sont encore à croire aux théories rétrogrades qu’il existe deux sexes.
  • Les évangélistes : une sous religion qui fait de vous un paria social.

Ce qu’elle dit en public et pense en privé :

  • Elle veut augmenter de 550 % le nombre de réfugiés syriens qui seront admis dans le pays — mais dans un email hacké, on apprend qu’elle a déclaré en privé en 2013 que « les réfugiés ne peuvent pas être correctement contrôlés et ils mettent en danger les pays où ils sont acceptés ». C’est-à-dire qu’elle est prête à mettre la vie des Américains en danger, simplement pour pousser une proposition qui est à la mode chez les progressistes.
  • Elle affirme qu’elle veut une zone de survol interdite en Syrie —mais dans sa présentation privée à Goldman Sachs, on sait maintenant qu’elle a dit qu’elle était très sceptique sur cette démarche.
  • Elle est — en public — celle qui fait de la lutte contre le réchauffement climatique et les énergies recyclables sa priorité, maisen privé, elle dit ne pas être certaine que la construction du pipeline Keystone pour importer le pétrole canadien soit une mauvaise idée, et elle fait l’éloge de l’extraction du schiste bitumineux contre lequel les écologistes sont mobilisés.
  • Contrairement à ce qu’elle affirme maintenant en public, où elle déclare qu’il faut strictement contrôler la frontière avec le Mexique, elle dit lors d’une réunion privée, rêver d’un monde sans aucune frontière.

Ensuite…

  • On apprend qu’elle est tellement cynique et indifférente au sort de ses quatre concitoyens assassinés, qu’elle a envisagé de se servir du drame de Benghazi comme écran de fumée pour cacher le scandale de son serveur de mail privé illégal.
  • On apprend que Barack Obama, qui a déclaré n’avoir appris l’affaire des emails par la presse comme tout le monde, a en réalité envoyé et reçu des emails professionnels à Hillary Clinton sur son compte privé : Obama savait, et c’est probablement pour cela que le Département de la justice a décidé de classer l’affaire et que le FBI a décidé de ne pas proposer de poursuites pénales contre Clinton.
  • On apprend que le Département de la justice a laissé fuiter des informations à Clinton concernant l’enquête en cours sur ses emails. Qu’il a informé Clinton, à l’avance — alors qu’elle est sous le coup d’une enquête de la justice — de la date où les emails qui ont été reconstitués par le FBI seraient rendus publics afin qu’elle se prépare à riposter aux attaques.
  • On apprend que l’activiste de gauche John Podesta, son confident et directeur de campagne, a l’intention d’infiltrer l’Église catholique pour fomenter une révolution progressiste et planter les idées progressistes (contraception, avortement, mariage gay…) à l’intérieur de l’Église catholique.
  • On apprend que l’équipe de campagne avait prévu de publier des fausses offres d’emploi d’embauche de jolies femmes faciles qui s’engagent à ne pas prendre de poids dans des sociétés appartenant à Trump pour détruire sa réputation…

Sur la corruption de la fondation Clinton :

Wikileak nous confirme ce que tout le monde soupçonne : que la fondation Clinton est une vaste machine de corruption, où les Clinton ont échangé des faveurs contre de l’argent.

Ainsi, nous apprenons qu’en 2011, Chelsea, la fille des Clinton, lorsqu’elle a pris la direction de la fondation, a soulevé la question de la corruption, émis des réserves sur le fonctionnement de la fondation en raison de pratiques douteuses. Elle a réclamé un audit, qui a conclu qu’il y avait en effet des opérations douteuses qui peuvent être assimilées à de la corruption. Et l’on se souvient que dans son rapport, Associated Press a constaté que 55 % des donateurs privés de la fondation ont été ensuite reçu par la Secrétaire d’État — elle s’appelait Hillary Clinton.

Nous apprenons également que suite au tremblement de terre à Haïti, la Secrétaire d’État a débloqué 10 milliards de dollars d’aide humanitaire. Sauf que Clinton a accordé un « traitement de faveur » à ses amis, qui étaient sur une liste séparée de récipiendaires d’une partie des 10 milliards pour aider Haïti. La fondation Clinton avait nié, Wikileaks vient de produire les preuves que l’enquête d’ABC News qui avait révélé l’affaire était juste.

http://www.dreuz.info/2016/10/15/si-elle-doit-devenir-presidente-vous-devez-savoir-ce-que-wikileaks-a-decouvert-sur-hillary-clinton/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29

WikiLeaks publie des discours de Clinton pour Goldman Sachs

http://www.romandie.com 16/10/16

Le site WikiLeaks a publié samedi trois discours rémunérés d’Hillary Clinton, payés par la banque Goldman Sachs. Cette révélation jette une lumière crue sur les liens de la candidate démocrate à la présidentielle américaine avec les principaux acteurs de Wall Street.
L’équipe de campagne de Mme Clinton n’a pas contesté l’authenticité de ces documents, subtilisés par WikiLeaks dans les courriels de John Podesta, le président de campagne de la candidate démocrate. Elle a cependant accusé le gouvernement russe d’être responsable de ces fuites – un point de vue partagé par le gouvernement américain – et WikiLeaks d’aider le rival d’Hillary Clinton, le républicain Donald Trump, dans la course à la Maison Blanche.
La tonalité de ces discours montre les opinions de Mme Clinton sur les réglementations financières, sur ses relations avec le président russe Vladimir Poutine et sur les effets négatifs de précédentes fuites de WikiLeaks sur la politique extérieure américaine.
Déclarations plus directes
Les déclarations de la démocrate ne sont pas radicalement différentes de ses récentes prises de position, bien qu’elles soient plus directes. Dans un discours prononcé en octobre 2013 pour Goldman Sachs, elle suggère que des actions doivent être menées afin de maîtriser, « pour des raisons politiques », les abus de Wall Street.
« Il y avait aussi une nécessité d’agir pour des raisons politiques. Si vous êtes un élu du Congrès, que des personnes dans votre circonscription perdent leur emploi et que partout dans la presse il se dit que c’est la faute de Wall Street, vous ne pouvez pas rester assis et ne rien faire », a-t-elle dit.
Ces discours pour le géant de la finance ont été prononcés entre le moment où elle a quitté son poste de secrétaire d’Etat et celui où elle a commencé sa campagne présidentielle.
Contradictions
La révélation de ses discours pour Goldman Sachs avait été du pain bénit pour son rival à la primaire démocrate, Bernie Sanders. Ce représentant de l’aile gauche du parti démocrate estimait qu’elle ne pouvait pas réguler les sociétés qui en même temps la rétribuaient.
Donald Trump a essayé d’utiliser contre elle ces courriers volés. Il l’a accusée notamment de ne pas avoir sécurisé des documents internes à l’administration américaine en utilisant un e-mail privé alors qu’elle était secrétaire d’Etat.
Il s’est aussi lourdement appuyé sur les révélations de WikiLeaks montrant que Mme Clinton, lors de discours privés à des géants bancaires en 2013 et 2014, avait pris position pour le libre-échange et l’autorégulation de Wall Street, en opposition avec son discours de candidate.

Wikileaks : Mme Clinton a menacé d’ : encercler la Chine avec des missiles US

Wikileaks: Mme Clinton a menacé d'«encercler la Chine avec des missiles US»

By Sputnik, fr.sputniknews.com

Jeudi, le site Wikileaks a publié le sixième lot des courriels confidentiels du chef de campagne d’Hillary Clinton, John Podesta.

Selon des médias américains, les lettres publiées comprennent des fragments d’archives de discours informels de Mme Clinton. La section sur la Chine porte sur un certain nombre de questions qui ont conduit à un conflit d’intérêts avec Pékin quand Hillary Clinton occupait le poste de secrétaire d’État.

« Nous allons encercler la Chine par nos missiles antiaériens. Nous allons déployer plus de navires dans cette région. Allez, la Chine! Vous les (la Corée du Nord, ndlr) contrôlez, ou nous aurons à nous défendre! », a lancé Mme Clinton en 2013.

Si les essais du missile balistique nord-coréen aboutissent, cela constituera aussi une menace pour les alliés des États-Unis dans le Pacifique, étant donné qu’« ils (les Nord-Coréens, ndlr) seront vraiment en mesure d’atteindre Hawaï et théoriquement la côte ouest (des États-Unis, ndlr) », avait alors déclaré l’ancienne secrétaire d’État.

En septembre 2016, Hillary Clinton a de nouveau menacé Pékin de renforcer la défense antiaérienne américaine en Asie orientale si le gouvernement chinois n’exerçait pas de pression sur Pyongyang. Selon elle, Washington a « beaucoup de moyens de pression » que les Américains vont utiliser malgré le mécontentement de la Corée du Nord, de la Russie et de la Chine.

https://fr.sputniknews.com/international/201610141028190071-wikileaks-clinton-menace-encercler-chine-missiles-americaines/

Méthode d’éducation à la propreté canine : mettre la truffe du jeune chien sur sa crotte mal placée et lui donner une tape sur l’arrière-train pour lui faire comprendre son erreur. C’est brutal, mais ça fonctionne.WikiLeaks est une version 2.0 de cette méthode un peu virile. La publication de certains courriels qui émanent de l’entourage immédiat de Hillary Clinton, candidate auto-proclamée du camp du bien, fait désordre.

Tout y est : les jugements de valeur sur l’Église « dictature du Moyen Âge »et le complot, via la création de mouvements subversifs dans l’Église américaine dans le but d’y susciter des « printemps catholiques », pour l’influencer sur les questions de démocratie, de contraception et de genre (encore ce truc fantôme qui n’existe pas sous forme de théorie).

Ravivons la mémoire de la candidate prétendument démocrate : la dictature de l’Église catholique apostolique et romaine, si c’en est une, est bien antérieure au Moyen Âge : elle date de la période évangélique elle-même, quand le fondateur de cette religion, Jésus, un rabbi juif galiléen, a confié à l’un (et un seul) de ses disciples, Simon, la mission de diriger l’Église. Une fois élu, le successeur de Pierre dispose des pouvoirs les plus étendus pour mener à bien sa mission, mais c’est bien une élection – certes par un collège électoral restreint et qualifié – qui procède à sa désignation. Question : qui imaginerait un instant que l’élection d’un pape donne lieu à un spectacle aussi pitoyable, un consumérisme aussi effréné, une parodie aussi dégradante, un aussi lamentable dévoiement de la démocratie qu’une élection américaine ?

Les structures ad hoc créées comme sous-marins du « camp du progrès » au sein de l’Église américaine survivront-elles à ces révélations ? Un des courriels fuités fait état de leur inefficacité, faute d’une influence réelle et de l’absence de mouvement qui parte de la base pour remonter vers le haut.

En gros : de légitimité. À lire les dénégations du patron de l’une d’elles, il est possible d’imaginer qu’ils aient été instrumentalisés « à l’insu de leur plein gré », à moins que cela ne soit qu’une posture. Ils peuvent invoquer le rasoir d’Hanlon pour leur propre cas (ne jamais attribuer à la malveillance ce que la stupidité suffit à expliquer).Le choix peste contre choléra donne une piètre image de la démocratie, ici comme là-bas. WikiLeaks la sert-il ? En dévoilant les turpides de ceux qui instrumentalisent tout ce qu’ils peuvent pour servir des intérêts (privés et particuliers plus que le bien commun ?), l’ONG use, certes, de méthodes aussi glauques que ceux qu’elle dénonce, mais à tout prendre, tant pis.

Ceux qui s’affichent avec la complaisance de leurs alliés médiatiques comme moralement irréprochables dégagent, dès que l’on gratte un peu, une odeur putride. Comme une déjection canine. Pauvres Américains.

http://www.bvoltaire.fr/remymahoudeaux/wikileaks-le-clan-clinton-projetait-dinfiltrer-leglise,288744?mc_cid=5943fc86e5&mc_eid=b338f8bb5e

L’hebdomadaire révèle que la taxe Chirac (une part du montant des billets d’avion en partance de France était prélevée) aurait servi à remplir les caisses de la fondation. « En donnant votre obole (la taxe Chirac, NDLR) à cette ONG admirable, mais peu transparente, vous avez fait œuvre triplement charitable, explique L’ Obs. Vous avez contribué à sauver de centaines de milliers d’enfants en Afrique. Au formidable rebond de Bill Clinton sur la scène internationale. Et à l’improbable résurrection d’un homme politique […], Philippe Douste-Blazy. »

Des intérêts communs

Alors ministre des Affaires étrangères, l’ancien maire de Toulouse doit faire appliquer cette taxe et trouver une œuvre humanitaire qui recevra les recettes financières. Il rencontre Bill Clinton en 2005. Ils évoquent un vaste projet de « centrale d’achat de médicaments ». L’organisation sera baptisée Unitaid. « Bill Clinton a vu dans Unitaid le gros paquet d’argent dont sa fondation avait besoin », signale à L’ Obs Joe Conason, le biographe de Clinton. La centrale d’achat est lancée en 2006 et Philippe Douste-Blazy en prend la présidence. Concrètement, la fondation négocie avec les labos, achète les médicaments ; Unitaid signe les chèques.

La Cour des comptes épingle le manque de transparence

« Tout a été fait dans les règles, avec appels à projets, même au début », se défend le désormais candidat à la présidence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Car, selon l’hebdomadaire, dès les premiers mois, « le représentant brésilien au conseil d’administration s’interroge sur le très haut niveau de fonds qu’Unitaid donne à la Fondation Clinton, par rapport à d’autres institutions plus installées comme l’Unicef ». Cependant, la fronde va prendre de l’ampleur. La Cour des comptes note en 2011 qu’en quatre ans la Fondation Clinton « a reçu 541 millions de dollars », Unitaid « n’a pas de contrôle direct sur les fonds qu’il attribue ». « Rien n’indique que ces aides sont exactement employées comme le souhaite l’organisme ni que les médicaments initialement choisis […] sont bien ceux livrés », poursuivent les auditeurs de la Cour. « Je faisais tout pour obtenir plus de transparence, mais c’était difficile », répond l’ancien ministre de la Santé français.

L’ Obs explique enfin que la relation intime qu’ont nouée Douste-Blazy et Clinton pourrait être favorable à ce premier dans sa quête du prestigieux poste de patron de l’OMS. Et l’élection à la tête des États-Unis d’Hillary Clinton pourrait bien profiter au Français…

http://www.lepoint.fr/sante/fondation-clinton-les-liens-troubles-entre-bill-clinton-et-douste-blazy-12-10-2016-2075534_40.php?utm_medium=Social&utm_campaign=Echobox&utm_source=Twitter&utm_term=Autofeed&link_time=1476305870#xtor=CS1-32-%5BEchobox%5D

Garrison - March of Hillary

Hillary Clinton and FBI Director James Comey | Photo: Getty Images

Hillary Clinton et le directeur du FBI, James Comey | Photo : Getty Images | « Merci mon petit James! » — « À votre service, maîtresse… »

Révolte au FBI — des initiés dénoncent la corruption qui a permis à Hillary Clinton d’éviter les accusations criminelles dans l’affaire du scandale des courriels

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Enfin, des initiés ont le courage de dénoncer la corruption politique qui a conduit le FBI et le département de la Justice des États-Unis à renoncer à poursuivre la candidate à la présidence Hillary Clinton dans l’affaire des courriels officiels et confidentiels gérés à l’aide d’un serveur privé et non sécurisé alors qu’elle occupait le poste de secrétaire d’État (de 2009 à 2013).

hillary_witch4Si cela ne met pas un terme à la campagne à la présidence de la vilaine sorcière Hitlary, rien ne le fera. Même les grands médias presstitués ne peuvent pas se permettre de passer sous silence ces derniers développements. Le site The Free Thought Project titre que « des personnes haut placées au FBI dénoncent la corruption massive qui a permis aux crimes de Clinton de glisser sous le tapis », tandis que le New York Post déclare sans ambages que des agents du FBI sont au bord de la révolte en raison du « confortable » traitement dont Clinton a profité.

De son côté, le réseau Fox News cite une source anonyme au sein du FBI qui déclare que la réputation du FBI et celle du département de la Justice sont toutes deux ternies par la décision de Comey et de Loretta Lynch, qui a permis à Clinton de se sortir indemne de ce scandale. Certains disent que si Richard Nixon avait été accusé de telles choses, il serait mort en prison…

Soit dit en passant, les récents développement semblent confirmer ce que plusieurs affirment dans les médias alternatifs américains, à savoir qu’une guerre de pouvoir est en cours entre diverses factions de l’Establishment en place à Washington. Toutes ces révélations et déclarations ne surviennent pas au hasard. Il sera « intéressant » de voir la suite… ■

Etats-Unis: Les dernières révélations de WikiLeaks relancent le cas pour un recours collectif concernant le DNC

Observer Politics, par Michael Sainato, 13/10/2016

Les dirigeants démocrates ont subverti la démocratie pour assurer que Clinton soit leur candidate

Peu de temps après les primaires démocrates, les avocats Jared Beck et Elizabeth Beck, diplômés de Harvard et de Yale Law School, ont déposé un recours collectif contre le Comité national démocrate [DNC] et disgracié l’ancienne présidente du DNC, Debbie Wasserman Schultz, pour les millions de supporters de Bernie Sanders qu’ils auraient réprimés et réduits au silence. Les dernières révélations de Wikileaks d’emails du président de campagne de Clinton, John Podesta, ont donné une preuve supplémentaire que la balance a été fortement penchée en faveur d’Hillary Clinton à la fois par le DNC et les médias traditionnels.

« Les derniers documents fournis par Wikileaks confirment et ajoutent beaucoup de détails à ce que les fuites antérieures ont révélé: que le DNC a travaillé activement à miner la campagne de Bernie Sanders faisant collusion avec la campagne d’Hillary Clinton en coulisses », a déclaré Jared Beck à l’Observer. « Ceci est une preuve supplémentaire à l’appui de notre procès, qui vise le DNC et Debbie Wasserman Schultz comme responsables en vertu de la loi pour leur incapacité à assurer un processus de nomination présidentielle équitable et neutre. »

Lire la suite: http://observer.com/2016/10/latest-wikileaks-releases-boost-case-for-dnc-class-action-lawsuit/

https://wikileaksactu.wordpress.com/2016/10/15/etats-unis-les-dernieres-revelations-de-wikileaks-relancent-le-cas-pour-un-recours-collectif-concernant-le-dnc/

7 réponses »

  1. Killary est capable de défendre tout et son contraire, adapte ses propos en fonction des interlocuteurs, ment comme elle respire, manipule, manigance, n’a aucune empathie et se pose systématiquement en victime… Ces quelques traits de personnalités sont propres aux pervers narcissiques.
    Les citoyens US qui voteront pour elle s’illusionnent totalement sur le fait qu’elle puisse oeuvrer dans l’intérêt général si elle estime que cela va à l’encontre de son intérêt.
    Américains et non américains, il nous reste à espérer que ses multiples casseroles la rattrapent et qu’elle ne puisse jamais être élue.

  2. le problême avec ce type d’individu , homme ou femme , c’est que leur folie , leur égoïsme ,leur  » intélligence  » bas de gamme qui est mise au service du mal , entrainent dans le chaos des miliions de gens qui ne demandent qu’à vivre en paix ; la clinton est une folle au regard vide et son élection sera la perte des électeurs américains ;

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