1984

Douce France : La dernière d’Anne Hidalgo !

La dernière d’Anne Hidalgo !

« L’époque autorise les esprits les plus conformistes à se croire subversifs et les puissants à se proclamer opprimés. » Philippe Muray

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By Brunobertezautresmondes, brunobertez.com octobre 19, 2016

La folie de l’ancien maire noctambule festif se transmet.

Je vous conseille de lire Philippe Murray qui a mis en plein dans le mille quand il a analysé l’homo festivus. Il y a de quoi vomir face à ces pseudo initiatives de la boboitude quand on voit les problemes sérieux à régler dans Paris. Murray montre bien que tous ces bobos ont une conception de la ville comme d’un gigantesque Disneyland, bien entendu financé par les tiers-payants puisque tous ces gens ne produisent rien. Au moins chez Disney on n’affiche pas la perversité…

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Ce matin, la dernière de notre Maire :

Anne Hidalgo en appelle aux fêtards pour constituer un « conseil des noctambules », chargé de façonner la nuit parisienne !

Les 95 % des parisiens qui veulent dormir la nuit (*) parce qu’ils ont travaillé le jour ne sont pas sollicités. Pour que leur avis soit pris en compte, ils devront rejoindre les autres 5 % dans une quelconque boite de nuit.

Cordialement

«le réel est reporté à une date ultérieure», Philippe Muray

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7 réponses »

  1. Muray est sur ma table de chevet depuis longtemps…. bien-sûr il n’est pas à la mode! L’excellente revue « Causeur » qui s’est beaucoup intéressée à cet écrivain, peut aussi être consultée avantageusement.

    • Le socialisme, c’est la massification, la dictature du nombre qui s’exerce sur l’un , sur l’individu. Le socialisme dépasse largement les catégories partisanes, il est inhérent à la politique; toute politique est un socialisme .

      Muray dans son étude sur Soljénitsyne suggère que les camps ne sont pas marginaux dans le système, ils sont le sytème, ils en sont le symbole. Camps de la mort, camps de vacances, camps de rééducation. Parquer, même pour la « fête » , c’est toujours parquer.

      Ils , le grand « ils », veulent de la masse, pas du pluriel, de la masse, « ils » veulent du regroupement, du même, du fusionnel. Du fusionnel sous la dictature de l’unifiant, de son Pouvoir et de sa parole.

      Et l’apparition de l’homo festivus, s’inscrit dans cette nécessité de massifier, de regrouper, de fournir à larges doses au peuple son opium bidon qui permet les fausses comunions.

      Les festivals couvrent toute la France. Hidalgo , elle, jalouse de Philippe De Villiers veut que sa ville soit un festival perpétuel,

      Qui n’a ressenti la tristesse qui pèse sur la fête de la musique de Jack Lang? Corvée de rigolade, dont les seuls points saillants sont l’alcoolisation et les violences. A un point tel que les Parisiens s’en vont ou se calfeutrent pour échapper à ce qui n’est qu’une sinistre nuisance

      Qui n’a lu le vide terrible qui habite le regard de ceux qui déambulent dans les allées de la « fête » homosexuelle quotidienne que constitue le quartier de l’Hotel de Ville à Paris?

      .

      Marx disait que la politique c’est Dieu, moins la religion nous rappelle Muray

      • « veulent de la masse »: dont les elements sont interchangeables, donc sans valeur, donc inoffensifs et sans risque pour le systeme

  2. sans rire, il est surealiste que le maire de paris s’occupe de sexualité, de l’afrique, de peuplement, de geopolitique alors que son mandat concerne la voirie.

    c’est la raison pour laquelle il est nécessaire de licencier sur le champs et dès que possible 80/90% des fonctionnaires europeens: qui ne servent à RIEN une fois l’implementation du cadre europeen effectué

  3. Il suffit de visiter l’ex union-soviétique pour y voir l’organisation du système collectiviste. Tout y est fait pour collectiviser les relations humaines et détruire la sphère privé. Tout ce qui peut conduire à l’isolement et à l’individualisme est proscrit. Il y avait de très nombreuses manifestations festives destinées à procurer une culture commune au peuple et l’habituer à ces réunions de masse. Tout le monde sortait pour participer à ces fêtes. On trouve des parc et espaces pour enfants partout. Les transports en commun sont surabondants. L’individu n’existe plus, il fait partie d’une masse. Au final, à l’exception des apparatchiks du parti, le gros de la population n’avait rien et vivait dans une grande pauvreté.
    Hidalgo vent essayer de transformer Paris en un gigantesque Boboland. Suppression des voitures, fêtes à gogo et après on oublie les problèmes du quotidien, l’insécurité qui ne cesse d’augmenter, comme les embouteillages. Beaucoup de familles fuient la capitale comme elle l’ont fait à Londres. Il reste de plus en plus des célibataires fêtard adeptes d’une certaine superficialité existentielle, essentiellement des bobos et la racaille de banlieue qui s’infiltre progressivement aux abords de la ville.
    Paris n’est plus une ville sûre et attire de moins en moins les gens.

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