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Calais en feu, les incendiaires ont des complices …
#Calais Officiellement, le #démantèlement de la jungle se passe très bien.
Dans les faits, ce bout de France ressemble à une zone de #guerre pic.twitter.com/vklG9eR5PD— Napoléon (@tprincedelamour) 26 octobre 2016
La « Jungle » de Calais était en feu au cours de la nuit. Le camp de prétendus migrants s’apprête à vivre mercredi son troisième jour d’évacuation et la poursuite des destructions d’abris.
Un migrant a été légèrement blessé et hospitalisé pour « une blessure aux tympans », ont indiqué les autorités locales du nord de la France. De nombreux pompiers ont été mobilisés en prévention.
Ces incendies sont une « tradition, notamment pour certaines communautés qui mettent le feu à leur habitation au moment de la quitter », ont expliqué les autorités locales. Le même phénomène avait été constaté en mars lors du démantèlement de la zone sud de ce vaste bidonville. On croit rêver, comme si cette soi-disant coutume constituait une excuse ou diminuait la faute de ceux qui mettent le feu.
Dès le début de soirée mardi, plusieurs incendies avaient été allumés au sein du bidonville en cours d’évacuation depuis lundi. Les foyers se sont « intensifiés entre minuit trente et trois heures du matin, notamment dans la ‘zone des commerces’ » à l’entrée du camp, a détaillé la préfecture, qui est censée représenter l’Etat dans la région.
Tradition: désigne la transmission continue d’un contenu culturel à travers l’Histoire depuis un événement fondateur ou un passé immémorial. pic.twitter.com/SnwIgugkMH
— Un Cygne (@UnCygne) 26 octobre 2016
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Pompiers caillassés
Au moins deux bonbonnes de gaz ont alors explosé, obligeant plusieurs personnes du campement à s’éloigner sur la « bande des 100 mètres », une zone franche à l’ouest du camp et en bordure de la rocade portuaire. Encore une coutume ! Un peu explosive.
Les commentaires des soi-disant autorités sont une ratification implicite de la situation de non-droit; on banalise, on minimise.
Dans cette affaire contrairement à ce que l’on veut faire passer, il n’y a nulle intervention de l’idéologie ou du clivage droite-gauche, tout ce qu’il y a c’est le couvert de l’incurie et de la lâcheté.
D’un problème délicat mais gérable, les incompétents font un problème insoluble et ensuite ils en reportent la responsabilité sur le peuple, c’est un processus général, on le voit en économie également.
Il est honteux d’une part d’être aussi nul alors que l’on est à la tête d’un grand état moderne, de rejeter les responsabilités sur les citoyens et de les salir : les Français ne sont pas racistes, on les fait passer pour racistes pour les besoins de la cause c’est à dire pour exonérer la responsabilité des dirigeants. Honte à ceux qui salissent leur peuple et le rabaissent pour se maintenir au pouvoir.
Les Français voient que l’ordre public est bafoué, que des ressources colossales sont gaspillées, que l’on prélève leur argent pour distribuer à des gens qui n’y ont aucun droit. Le bien commun, le patrimoine commun et les deniers publics sont ceux des Français, pas ceux des migrants ou de la communauté internationale, ils sont l’héritage de tous ceux qui nous ont précédés, ils ont rapport au droit de propriété et au droit à la sécurité, voilà ce qu’il faut oser dire, et non pas rapport avec le racisme dont la plupart des gens, spontanément, si on ne fait pas exprès de les exciter, se fichent.
De plus en plus les français s’indignent de la discrimination positive; du sort de leurs sans abris, du sort de familles qui attendent un logements depuis des années et qui ne voient venir aucun alors que leur municipalité débloque logement et ressources pour adultes en pleine forme, mâles qui vivent ensuite à nos crochets.
De plus en plus on entend ce genre de réflexion, (nous l’avons entendue) quand les Français ne parviennent pas à obtenir aide et compassion : « je vais aller faire un tour à l’étranger, détruire mes papiers, ainsi je serai peut être aidée. »…, « les migrants sont peut-être une chance pour la France, mais pas pour moi »
Aussi bien la question des migrants que celle des clandestins ou celle des réfugiés, tout a été et est mal géré, dans la paresse, l’incompétence et le laisser-aller, et l’idéologie ou la compassion n’ont rien à voir avec les problèmes causés. Les Français sont contre les migrants, les clandestins et les réfugiés simplement parce que les autorités sont nulles et incapables de gérer le problème. C’est d’ailleurs la position de repli de Merkel qui, contestée sur tous ces points admet : Oui nous avons failli nous n’avons pas fait ce qu’il fallait faire en son temps.
Ces incendies ont été maîtrisés par les pompiers, accompagnés par des forces de l’ordre. « Nous avons été caillassés et avons dû intervenir protégés par les forces de police », a expliqué un pompier sur place.
Les associations avaient prévenu que ce genre d’incidents allaient se produire et avaient distribué en amont plusieurs dizaines d’extincteurs à des migrants. Plusieurs d’entre eux ont d’ailleurs éteint les feux aux côtés des pompiers. Une fois encore on croit rêver, on prévoit les incendies et on distribue des extincteurs ! La distribution devrait être assimilée à de la complicité.
Les autorités ont commencé mardi la destruction des cabanes et abris de la « Jungle », qui est le plus grand bidonville de France. Le camp abritait jusqu’à lundi entre 6000 et 8000 migrants selon les sources, rêvant tous de passer en Angleterre. Les chiffres réels sont de plus du double.
Explosion du nombre des demandes d’asile en France en 2016 : 100.000 demandes soit 25 % de hausse !!!
le 26 OCTOBRE 2016)
«Nous aurons 100 000 demandeurs d’asile en France cette année». Mardi matin sur Europe 1, Pascal Brice, directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) a donné une première estimation précise du nombre de demandes d’asile dans l’Hexagone pour 2016. Un chiffre qui, s’il est confirmé en fin d’année, entérinera une hausse de près de 25% par rapport à l’an dernier, où 80 075 demandes avaient été déposées.
L’année 2016 deviendrait aussi la seconde année consécutive à afficher une hausse supérieure à 20%. Entre 2014 et 2015, le nombre de demandeurs d’asile avait déjà progressé de 23,6% (…)
La majorité des migrants hautement qualifiés se concentre sur ces 4 pays : États-Unis, Grande-Bretagne, Canada et Australie
fr.express.live octobre 26, 2016
La majorité des migrants hautement qualifiés finissent par trouver un nouvel avenir aux États-Unis, en Grande-Bretagne, au Canada et en Australie, indique un rapport de la Banque mondiale. Les principaux pays d’origine sont l’Inde et la Chine.
Entre 1990 et 2010, 28 millions de migrants hautement qualifiés se sont installés dans des pays membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), soit une augmentation de 130 % par rapport au début des années nonante du siècle dernier.
Parmi eux, 17,6 millions sont issus de pays non membres de l’OCDE, soit une hausse de 185 % par rapport à 1990. Ces fortes progressions sont liées à la baisse des coûts de transport, mais aussi à la plus forte concurrence des entreprises pour attirer les meilleurs talents.
Selon les chercheurs, elles sont aussi d’autant plus remarquables que les coûts de communication ont baissé de façon significative et que l’on aurait pu penser que cela aurait incité les entreprises comme les candidats à la migration à préférer le télétravail.
« Les membres hautement qualifiés de la génération suivante semblent être moins liés à un endroit ou à une identité nationale particuliers, mais ont au contraire des mentalités et des relations qui sont bien plus internationalisées», écrivent les chercheurs.
Les femmes
Ils notent que les femmes sont particulièrement concernées par ce phénomène. Le nombre de migrantes hautement qualifiées a atteint 14,4 millions à la fin de la dernière décennie au sein des pays membres de l’OCDE, soit une augmentation de 150 % par rapport à 1990.
L’Afrique et l’Asie en ont été les principales régions pourvoyeuses. Les chercheurs expliquent ce fait par les inégalités des marchés du travail de ces régions.
Caglar Ozden, économiste à la Banque mondiale, pointe les désagréments qui en découlent pour les pays d’origine de ces migrantes : « La perte de ces femmes très instruites et ouvertes d’esprit est un problème pour ces pays. Les mères sont celles qui ont l’impact le plus important sur le développement de leurs enfants, du taux de fécondité et du niveau de courtoisie de la société. »
EN BANDE SON :
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La seule tradition que je connaisse concernant l’incendie volontaire de bien ayant appartenu aux incendiaires est celle des criminels qui détruisent ainsi les preuves pouvant les incriminer. S’ils ont détruits leurs habitations, c’est qu’ils avaient quelque chose à cacher.
J’ai entendu un homme politique affirmer qu’il estimait le nombre de clandestin vivants en France à au moins 500 000, je pense que l’on se rapproche peu à peu de la vérité, celle que vivent les français moyens au quotidien, loin des Boboland sécurisés où prolifèrent journalistes et politiciens.
Je m’aperçois néanmoins que dans la majorité des pays d’Europe ( j’ai vu sur le net un cas qui se passait en Suède), les migrants s’en prennent aussi aux journalistes, ca se dégrade un peu plus chaque semaine. Je pense que la fête du vivre ensemble ne va pas se passer tout à fait comme certains le souhaitaient.