Vendredi soir, 12 jours avant l’élection aux USA, le FBI à la stupéfaction générale annonce par la bouche de son directeur général James Comey qu’il a décidé de rouvrir l’enquête en forfaiture contre madame Clinton. Voilà qui confirme au delà de tout ce qu’il pouvait espérer les accusations de Donald Trump qui n’a cessé d’appeler sa rivale « corrupt Hilary « (voir le précédent article : les casseroles de madame Clinton).

Voilà aussi qui risque de faire basculer l’élection.

Revenons en arrière pour mieux comprendre. 

L’ explication officielle du changement d’attitude du FBI  est qu’une autre enquête, également confiée au  FBI portant sur un politicien démocrate de NY, pédophile notoire ( ce pourquoi il y avait enquête) avait vu les ordinateurs de ce sinistre personnage saisis  et que le FBI avait trouvé dans ses serveurs des dizaines de milliers d’emails envoyés par sa femme. 

Rien de bien anormal me direz-vous. 

Si ce n’ est que sa femme est l’amie de cœur et la principale collaboratrice depuis des années …. d’Hilary Clinton.

 Il semble bien que cette jeune personne ait gardé copie des emails de madame Clinton dans ses ordinateurs à elle (on sait que madame Clinton avait installé chez elle un serveur parfaitement illégal et qu’elle avait fait détruire tous ses emails par des professionnels APRÈS que le Congrès lui ait donné l’ordre de tout livrer, ce qui constitue une double forfaiture). 

Rien ne prouve que cette jeune personne ait été aussi diligente dans la destruction de ses documents à elle et comme elle est d’origine Saoudienne et d’une famille très liée aux frères musulmans, il est peut être légitime de se demander si nombre de gens au Moyen Orient n’ avait pas eu accès à toutes les décisions de la diplomatie US en temps réel…hypothèse  embarrassante à tout le moins et qui expliquerait en partie peut être les foudroyants résultats de monsieur Obama au Moyen- Orient ou en extrême orient. 

L’ enquête menée par le FBI avait cependant été conclue à la stupéfaction générale en Juillet 2016 par une demande de non lieu par monsieur Comey qui avait souligné que madame Clinton avait à peu près commis tous les crimes que l’on pouvait lui reprocher mais qu’il ne demandait pas d’inculpation …car elle ne se rendait pas bien compte des conséquences de ses actions. 

Voilà une nouvelle un peu inquiétante si elle venait à occuper la fonction présidentielle aux USA. 

La découverte de milliers d’emails de madame Clinton chez sa collaboratrice préférée risque de  prouver au delà de tout ce qui est raisonnable la culpabilité de madame Clinton.

Et donc faire tomber tout l’appareil crapuleux qu’avaient monté  les Clinton pour contrôler le parti démocrate  depuis trente ans, à grand coup de corruption. 

 D’où sans aucun doute le revirement rapide du directeur du bureau, peu enclin à se sacrifier.

 Quand le bateau coule, les rats quittent le navire.

Depuis cette date fatidique de Juillet, beaucoup de choses se sont passées  en sus de ce coup de tonnerre, qui commençaient à faire un peu désordre,  et je les mentionne sans ordre d’importance particulier.

• En premier lieu, nous avons eu une véritable révolte de tous les cadres dirigeants du FBI contre cette décision, les mêmes cadres faisant passer dans la presse de plus en plus d’informations montrant les pressions que le ministère de la justice avait exercé contre le FBI pour bâcler et fermer le dossier. 
• –Ensuite, il a été appris que celui qui menait l’enquête au sujet des turpitudes (le numéro 2 du FBI) avait une épouse qui se présentait comme candidate démocrate en Caroline du Nord, dont le gouverneur est le plus ancien ami des Clinton. Rien d’anormal  jusque là. Ce qui est plus étonnant est que  les Clinton avaient subventionné la  candidate à hauteur de $.. 650 000 , ce qui n’est pas rien. La femme du directeur qui mène l’enquête reçoit 650 000 dollars de la personne sur laquelle son mari enquête ? Voilà qui ressemble fort à une corruption et le directeur général adjoint aurait dû à tout le moins se désister.
•  Enfin, nous avons appris grâce à Wikileaks que le parti démocrate payait des mauvais garçons pour créer des incidents raciaux et violents lors des réunions organisées par monsieur Trump, ce qui est passible de prison et monsieur Podesta le Président du parti risque de se retrouver à l’ombre d’ici peu, lui aussi.
• Toujours par Wikileaks, nous apprenons que Bill Clinton a touché plus de 30 millions de dollars de » speaking fees » payés par des entreprises du style UBS qui avaient des ennuis avec la justice américaine. Curieusement, ces ennuis s’atténuaient une fois les Clinton payés.
• Rajoutons que la ministre de la justice dans l’administration Obama, très vieille alliée des Clinton a refusé de témoigner devant le Congrès sur les pressions qu’ elle a exercé sur le FBI de peur de s’ inculper elle même (utilisation du cinquième amendement pour les spécialistes).
• Et donc l’administration Obama et Obama lui-même sont compromis jusqu’au cou dans toute cette galère, et on le sait puisque le Président envoyait des emails sur le serveur illégal d’Hilary sous un pseudonyme, a ;ors qu’il a toujours soutenu qu’il ne savait pas que madame Clinton avait son propre server (merci encore Wikileaks).

Tout cela confirme ce que j’explique depuis des années : une classe criminelle sans aucune considération pour la Loi avait pris le pouvoir aux USA et contrôlait ministère  de la justice, FBI, parti démocrate, une bonne partie des media officiels et que sais je encore… 

Les États- Unis étaient en fait rapidement en train de devenir une république bananière.

Bien entendu Obama fait partie de cette clique puisque c’était le candidat du parti démocrate de Chicago, de loin le plus corrompu aux USA et donc madame Clinton se croyait vraiment au dessus des lois puisqu’elle tenait le Président lui même. 

Grâce à Dieu, mais surtout  grâce à Wikileaks et à des hommes et des femmes honnêtes au FBI, la vérité l’emporte, les crapules sont démasquées, comme à la fin du Tartuffe et j’en suis fort aise. 

La question suivante doit maintenant être abordée:

Que va-t-il se passer maintenant?

Jamais les milliers d’email ne pourront être traités dans les jours qui viennent et donc l’élection va avoir lieu dans la plus grande incertitude juridique. Si des preuves certaines sont trouvées, madame Clinton ira en prison, certainement. 

Si les citoyens sont assez bêtes pour voter pour quelqu’un qui risque d’aller en prison à peine élue (ce que je ne crois pas), ou si la machine électorale démocrate réussit à voler l’élection comme pour Kennedy,  alors nous aurons une crise de régime aux USA , de nature constitutionnelle.

Le Président nouvellement élu sera traduit devant un tribunal constitué par le congrès et sera sans doute ‘ impeached » par la chambre des représentants qui laissera au sénat la responsabilité de destituer le Président. 

Voilà qui rendra les US quasiment ingouvernables pendant au moins deux ans, jusqu’à l’élection suivante.

Si monsieur Trump est élu, ce qui me parait de plus en plus probable,  madame Clinton et sans doute son Bill de mari iront en prison où ils risquent de retrouver une grosse partie de l’administration Obama, en commençant par la ministre de la justice. 

Et je ne pense pas que le Président Trump sera particulièrement généreux pour ceux qui l’insultent depuis plus d’un an. 

Il va vouloir faire des exemples et il l’a promis au Peuple. 

Pour éviter tous ces ennuis, le Président Obama peut choisir de pardonner madame Clinton, monsieur Clinton, son ex ministre de la justice et peut être le précédent ministre de la justice, ce qu’il a le droit de faire. 

Mais on imagine l’impact sur le peuple si toutes ces crapules échappaient au châtiment qu’ils méritent. 

Et le Président sortant en sortirait complètement déshonoré,  ce qui pour un homme aussi vaniteux que monsieur Obama serait difficile à accepter

Et cela voudra dire aussi la mort des élus démocrates à l’élection suivante et peut être la disparition du parti… 

De toutes les façons, il va falloir que le parti démocrate se purge de toutes les créatures des Clinton, plus corrompues les unes que les autres.  

Et croyez-moi, les couteaux commencent à sortir chez les démocrates « honnêtes », et il y en a beaucoup. 

Bref, nous rentrons dans des temps intéressants et je deviens de plus en plus optimiste. 

Après le Brexit, la chute du gang Clinton aux USA.

Ma foi en la Démocratie remonte à vue d’œil. 

Le monde va de mieux en mieux

 USA PRESIDENTIELLE : LE CAILLOU HUMA ABEDIN DANS LA CHAUSSURE D’HILLARY CLINTON…

Huma Abedin, une proche des Frères Musulmans pourrait-être impliquée dans le Fals Flag de Nairobi de septembre 2013, qui a occasionné la mort de  68 personnes, faisant plus de 200 blessés. La question lancinante « que faisait-elle » ce jour la au Centre Commercial de Nairobi, est restée à ce jour sans réponse !

Bref, à l’heure ou Paul Ryan (Président de la chambre des représentants) est sur la sellette auprès de ses pairs, suite à la remontée subite de Donald Trump dans les sondages (1 point le sépare désormais d’Hillary), semant ainsi  un vent de panique chez les Républicains, l’on apprend que le FBI rouvre l’enquête des e-mails, qui pourrait obliger Hillary Clinton à limoger sa principale conseillère Huma Abedin (ci-dessus), laquelle se terre depuis samedi soir chez elle.

 Les faits sont « gravissimes », car outre le fait que Hillary, comme une vulgaire « Mafieuse de bas étage », a sciemment ordonné la destruction de pièces à convictions(portables, ordinateurs…) réclamées par le FBI, mais il se trouve que sa collaboratrice la plus proche « Huma Abedin » est désormais accusée d’avoir menti lors de l’enquête fédérale, ou elle a affirmé sous serment ne rien savoir sur les « e-mails », ce que semble contredire les déclarations de son époux Anthony Weiner, qui pour échapper à 20 ansd’emprisonnement suite à ses actes sexuels répréhensibles, aurait lui même remis aux autorités le matériel prouvant que sa compagne Huma Abedin était impliquée jusqu’au cou.

Suite à ces évènements l’écart entre Hillary Clinton et Donald Trump se resserre, moins d’un point les séparant désormais, un tiers des électeurs déclarant que l’annonce du FBI de rouvrir l’enquête affecterait leur soutien à Hillary Clinton.

Les amis et alliés de Hillary, la presse de se débarrasser au plus vite de Huma Abedin,qui ironie de l’histoire se défend plutôt mal, arguant « qu’elle ne sait absolument pas »comment ces mails ont pu atterrir sur ses portables et ordinateurs…   

La situation de Huma Abedin est « gravissime », car elle a juré sous serment, qu’elle avait remis tous ses appareils (téléphones portables, ordinateurs…) pouvant contenir dese – mails pertinents pour l’enquête sur le serveur de messagerie privée de Hillary Clinton.  

 

En effet, si elle est accusée d’avoir menti , elle pourrait encourir jusqu’à cinq ans de prison.

 

Maintenant, que va faire Hillary Clinton, qui considère Huma Abedin comme sa fille(selon sa propre expression), avouant même un jour, que c’est grâce à elle, qu’elle s’était ouverte avec Bill aux merveilles de l’Islam, c’est toute la question qui va certainement la déchirer au plus haut point dans les heures qui vont suivre…

 

 

Huma Abedin est resté à sa maison de New York samedi, après que les habitudes de sexting en ligne de son mari, Anthony Weiner, aient bouleversé la campagne présidentielle de sa patronne.

 Des rapports contradictoires indiquent que les e – mails pourraient avoir été envoyés de Abedin à Hillary, afin qu’elle puisse plus facilement les imprimer,.

 

Ce samedi soir, le FBI n’a toujours pas reçu le feu vert du ministère de la Justice (Et pour cause…) pour un mandat permettant à l’agence de lire les e – mails nouvellement découverts, pour déterminer s’ils contiennent des informations classifiées… Info Yahoo Nouvelles.

LA CLINTON EMAIL CONTROVERSE

 

13 janvier 2009 : l’aide de Hillary Clinton Justin Cooper met en place domaine clintonemail.com. Huma Abedin signe.

 

21 janvier : Hillary Clinton est assermentée comme Secrétaire d’État.

 

 

18 Mars : Hillary Clinton cesse d’ utiliser son compte et les commutateurs de messagerie BlackBerry pour le compte hdr22@clintonemail.com nouvellement créé. Le domaine est hébergé sur son propre serveur de messagerie privée, mis en place par son assistant Bryan Pagliano.

 

11 septembre 2012 : Quatre Américains sont tués dans l’ attaque d’une base américaine à Benghazi, en Libye , y compris l’ ambassadeur Chris Stevens.

 

1 février 2013 : Hillary Clinton démissionne comme Secrétaire d’État.

 

28 octobre 2014: Le Département d’ État exige la correspondance liée au travail de Clinton dans le cadre d’une enquête du Congrès sur Benghazi.

 

Automne 2014 : L’entourage (Avocats ?…) de Hillary Clinton supprime 33.000 e – mailsqu’ils prétendent «personnels».

5 décembre 2014 : l’ équipe juridique de Clinton fournie environ 30 000 courriels au Département d’ État quand ils sont demandés par une enquête du Congrès sur Benghazi.

 

2 mars 2015 : Le New-York-Times annonce que Hillary Clinton a utilisé un compte de courriel personnel, pour mener les affaires du gouvernement, alors qu’elle était Secrétaire d’État.

 

25 juillet : Hillary Clinton dit qu’elle n’était pas consciente que les « e – mails » sur son serveur de messagerie privée, étaient « classifiés » au moment de l’ envoi et de la réception.

 

4 août : Le Washington Post révèle que le FBI a commencé à chercher dans la sécurité du courrier électronique privé set-up de Clinton.

 

10 septembre : Bryan Pagliano (ci-dessus) affirme formellement son droit au Cinquième amendement contre l’ auto-incrimination, plutôt que de répondre à des questions d’un comité de la Chambre des Républicains.

 

6 juillet 2016 : Le ministère de la Justice ferme le dossier Clinton des « e – mail » et le directeur du FBI James Comey annonce que le FBI ne poursuivra pas. La décision a été prise par Comey parce que le procureur général Loretta Lynch a dû se récuser après une réunion secrète avec Bill Clinton.

 

7 octobre : WikiLeaks commence la libération de milliers de courriels piratés à partir du compte Gmail de John Podesta, le président de la campagne de Clinton.

 

28 octobre : Le FBI rouvre son enquête sur le serveur de Hillary Clinton.

 

 

 Le serveur privé d’Hillary Clinton

 

 Chappaqua !

Juin 2008 : Un serveur Apple Power Mac, acheté par l’entremise de Bill Clinton, est installé dans le sous – sol de la maison des Clinton à « Chappaqua », New York. Il gère d’ abord le trafic pour Bill Clinton mais est bientôt utilisé par Hillary et son personnel.

 

Automne : Le matériel informatique de la campagne présidentielle d’Hillary est exploité sur un Windows Server Dell Power Edge 2900 et Microsoft Exchange et sur un serveur Black Berry Enterprise Server. Bryan Pagliano commence à travailler sur la construction du système, pensant qu’il sera utilisé par le personnel de Bill Clinton.

 

Janvier 2009 : Il est décidé que le serveur d’ Apple doit être remplacé car il ne supporte plus le volume du trafic.

 

Mars : Pagliano installe le serveur qu’il a fabriqué au sous – sol de la maison de Chappaqua, avec l’aide de Cooper. Pagliano, qui est administrateur pour le nouveau dispositif, transfère les « e – mails » du serveur d’ Apple sur le nouvel appareil. Le nouveau serveur est sauvegardé une fois par semaine sur un disque dur externe Seagate. Le FBI n’a jamais pu obtenir le serveur Apple pour examen.

 

Janvier 2013 : le chef du personnel de Hillary Clinton, Cheryll Mills (ci-dessus),recommande la Denver entreprise informatique, basée à Colorado Platte River Networks (PRN), pour gérer le serveur.

  

 Paul Combetta, left, and Bill Thornton, both employees of Platte River Networks, take their seats on Capitol Hill in Washington on Tuesday. Bryan Pagliano, a former State Department worker and campaign staffer for Hillary Clinton, declined to attend the hearing before the House Oversight and Government Reform Committee. Photo: Molly Riley/Associated Press 

 

 

 23 juin : Un employé de « Platte » supprime le serveur de la maison Chappaqua, pour migrer vers un centre de données à Secaucus, New Jersey, géré par Equini.

 

30 juin : les comptes de messagerie de Hillary Clinton sont transférés vers le nouveau serveur.

 

18 juillet :  »Platte » signe un accord pour gérer le nouveau troisième serveur, un Dell PowerEdge R620. « Platte »  configure ensuite un périphérique de sauvegarde à partir de Datto, Inc, une société basée dans le Connecticut, et prend plusieurs clichés du système pour stocker les informations pendant 60 jours. Le dispositif prend égalementdes copies du serveur Pagliano entre Juin  et Décembre.

 

Décembre 2013 : Le serveur Pagliano est désinstallé.

 

Décembre 2014 : Clinton et Abedin commencent à utiliser le « hrcoffice » de domaine et cesser d’ utiliser « clintonemail.com ».

 

3 octobre 2015 : Le serveur Pagliano (désinstallé ?) est volontairement remis au FBI.

Source Le NOUVEAU JOURNAL DE JACKTURF Le 30 Octobre 2016

https://actucourses.blogspot.fr/2016/10/usa-presidentielle-le-caillou-huma.html?view=classic