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Election de Trump : Que les journalistes ferment leur gueule et acceptent la démocratie, Trump a écrasé Clinton , point final ! Le New York Times s’excuse et reconnaît avoir été malhonnête. A quand en France ?

Election de Trump : le New York Times s’excuse et reconnaît avoir été malhonnête. A quand en France ?

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PUBLIÉ PAR JEAN-PATRICK GRUMBERG LE 13 NOVEMBRE 2016

Dans une lettre à ses lecteurs, l’éditeur du New York Times Arthur Sulzberger Jr. s’excuse que l’icône emblématique du journalisme de gauche a été malhonnête dans sa couverture de la campagne de Donald Trump.

«Nous entendons nous recentrer sur la mission fondamentale du journalisme du Times promet Sulzberger, et qui consiste à rapporter honnêtement ce qui se passe en Amérique et dans le monde, sans crainte ni faveur.»

Michael Goodwin, journaliste au New York Post ajoute, dans une rubrique, ce samedi :

«Parce que le New York Times a diabolisé Trump du début jusqu’à la fin, il n’a pas été capable de se rendre compte que Trump avait mis la main sur quelque chose de réel. Et parce que le quotidien avait décidé que ceux qui soutiennent Trump étaient des tas de beaufs racistes et homophobes, il n’avait pas la moindre idée de ce qui se passait dans la vie des Américains qui l’ont élu

Dans sa lettre, Sulzberger le reconnaît, en promettant à ses abonnés que désormais son «journal va s’efforcer de comprendre toutes les perspectives politiques».

Jusque là, les directeurs de rédactions pensaient qu’ils «pouvaient décider de renoncer aux standards d’honnêteté et de neutralité sans en subir la moindre conséquence»

La lettre aux abonnés est signée par Sulzberger et le directeur exécutif du journal, Dean Baquet, car le quotidien new-yorkais a été durement touché dans sa réputation et au portefeuille lorsqu’il a, par exemple, inventé les premières histoires de femmes se plaignant de Donald Trump, lesquelles, dès le lendemain, téléphonaient aux radios du pays pour dire qu’elle n’avaient jamais dit ça au journaliste, et qu’au contraire avaient couvert Trump  de compliments !

Sulzberger conclut en promettant «vous pouvez comptez sur le New York Times pour couvrir avec honnêteté et indépendance le nouveau président et son équipe.»

Cependant, avoue Goodwin, «Trump a mis en cause notre langage, et nous a forcés à «transformer le journalisme», car jusque là, les directeurs de rédactions pensaient qu’ils «pouvaient décider de renoncer aux standards d’honnêteté et de neutralité sans en subir la moindre conséquence.»

Goodwin ajoute que le NYT «subit une hémorragie de lecteurs —et d’argent», ce qui lui fait «de la peine», parce qu’il a «jeté un mauvais œil sur l’ensemble de la profession.»

Pour qu’il redore son blason, ce qui profitera à l’ensemble des journalistes du pays, «Sulzberger devrait insister que le journal s’ouvre à la diversité, et recrute des journalistes qui désapprouvent l’inclination gauchiste du journal» conclut Goodwin.

«De là dépend sa survie,» dit Goodwin. «S’il ne change pas maintenant, les jours de la dame grise [gray Lady est le surnom du NYT] seront comptés.»

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Conclusion

De toute ma vie, c’est la première fois que je vois un journal reconnaître avoir été malhonnête. Et quel journal ! La tête de pont, le modèle que suivent Le Monde et The Guardian.

Il faut, d’un point de vue humain, une forte dose de caractère pour trouver la force de présenter des excuses publiques. Ce n’est jamais facile. Du point de vue professionnel, c’est encore plus difficile d’avouer qu’on a triché : le journaliste n’a rien d’autre que sa réputation à vendre.

Pour ces raisons, je doute qu’aucun journaliste français ne présente d’excuses pour la campagne anti-Trump qu’ils ont lancée : ils n’ont tout simplement ni l’estomac ni le panache.

 © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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 QUE LES JOURNALISTES FERMENT LEUR GUEULE ET ACCEPTENT LA DÉMOCRATIE, TRUMP A ÉCRASÉ CLINTON , POINT FINAL

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Le Nouveau Journal de Jackturf Le 13 Novembre 2016 

Ceux qui remettent en cause l’élection de Donald Trump, sont les « fachos »d’aujourd’hui et seront les « fachos » de demain, faites très attention, ne vous laissez jamais voler une victoire acquise démocratiquement !

Avec la consolidation des chiffres du Michigan et de l’Arizona, l’écart se creuse entre le nombre de grands électeurs gagné par Trump : 306 contre232 (contre 290 précédemment compté). Comme l’a déclaré Hillary Clinton, c’est le seul chiffre qui compte.

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Trump gagne le vote populaire !

 
Mais c’est surtout le nombre — secondaire, mais auquel se raccrochent les grincheux journalistes — de votes populaires, qui fait sourire : Donald Trump passe provisoirement devant Hillary Clinton :
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  • Trump a maintenant et provisoirement 62 972 226 votes. Clinton : 62 277 750, soit 700 000 voix de plus pour Trump.
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  • Mercredi dernier, Clinton avait 59 755 284 votes, selon CNN, soit 219 762 de plus que Trump. Mais CNN précisait que 92 % ont été comptés seulement — et ça, les journalistes s’étaient empressés de l’oublier.

Et cela va encore changer…

 
Selon David Wasserman, éditeur du Cook Political Report, « il reste probablement encore à peu près 7 millions de votes à compter, » qui n’ont aucune influence sur le résultat de l’élection, car Trump est trop en avance avec le nombre de grands électeurs.
Si vous consultez les médias américains, ils continuent de mentir comme ils l’ont fait — en vain — pendant toute la campagne, et ils refusent d’afficher les derniers résultats du nombre de grands électeurs, car ils avantagent trop Donald Trump.
 
Jean-Michel Apathie, même sur la mauvaise foi du mauvais joueur, vous êtes battu à plates coutures. Il ne vous reste qu’à acheter un petit seau et une petite pelle et d’aller démolir le Château de Versailles qui incarne la France que vous détestez, comme vous l’avez suggéré.
 
Lorsque je vois la tête déconfite d’Apathie, je me dis que décidément, l’argent ne fait pas le bonheur. Celui qui a honte de révéler ses « très gros salaires » parce qu’il veut faire croire qu’il est de gauche, alors que s’il l’était, il partagerait sa richesse avec les pauvres, ne semble pas très heureux de sa fortune.

© Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

EN BANDE SON : 

2 réponses »

  1. Le résultat obtenu est l’exact contraire de celui annoncé par les sondages et les journalistes.
    A propos du nombre de voix, je trouvais étrange qu’en ayant gagné autant d’états, Trump ait moins de voix, cela semblait mathématiquement difficile.
    Comme vous le dites, la claque prise par les médias mondialistes n’a pas entamé la mauvaise foi et l’arrogance des médias français qui continuent à mentir et continuent aussi à nous ressortir des sondages, dont tout le monde à bien compris, a part ceux qui refusent de comprendre pour des motifs idéologiques, qu’ils sont aussi bidons que ceux qui donnaient une large victoire à Clinton alors que c’est le contraire qui s’est produit.
    Le sondage est l’arme continuellement mis en avant par ces journaleux, menteurs, corrompus et extrémistes leur permettant d’affirmer les pires mensonges avec la justification d’une enquête d’opinion faite sur un nombre faible ( souvent 1000 personnes voir moins), par des organismes de sondage encore plus corrompus qu’eux, qui seraient représentatifs de l’opinion nationale. ( et dont on voit bien qu’ils ne le sont pas)
    J’avais écouté une émission radio sur les sondages ou l’animateur indiquait que pour un événement donné, des élections présidentielles, les sondages s’étaient tous trompés et tous dans le même sens, c’est à dire en surestimant le candidat de gauche et sous-estimant le candidat de droite, ce qui est d’un point de vue des probabilités impossible à moins de le faire exprès.
    Ce matin, j’ai vu à la télévision des journalistes affirmer que les sondages ne se trompent pas, ( alors que c’est toujours le contraire, ils se trompent systématiquement) et de nous ressortir de nouveaux sondages encore plus bidons que les autres prouvant que les gens détestent Trump et que sa victoire est un miracle.
    Les journalistes des médias français officiels en sont arrivé au même stade de ridicule qu’Hollande qui lorsqu’il dit que le chômage baisse ou que ca va mieux, tout le monde constate en France le contraire, donc tout le monde voit bien qu’il ment parce qu’il n’arrive pas à accepter la réalité de son échec.
    Aujourd’hui tout le monde voit que les journalistes mentent et que les sondages sont truqués pour justifier leurs mensonges.
    Les pseudos-élites mondialistes sont devenus de plus en plus agressifs, leur monde d’illusion s’écroule lentement. Le peu d’arrogance qui leur reste est basé sur leur capacité à mentir, ils ne vont pas s’arrêter là.

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