Art de la guerre monétaire et économique

Mondialisme-Néocon-Fascisme 2.0 : La campagne anti-Trump continue ! Pourquoi ? Par Bruno Bertez

Mondialisme-Néocon-Fascisme 2.0 : La campagne anti-Trump continue ! Pourquoi ?

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Par BrunoBertez.com Le 13 Novembre 2016

La campagne anti-Trump continue. Pourtant l’élection est passée. Trump a été élu sans contestation possible. Depuis son élection il n’a rien fait ou rien dit de choquant. Au contraire il a évolué dans une direction conciliante, plus politiquement correcte ; certains disent déjà qu’il se rapproche ou cherche à se rapprocher de l’establishment. Nous considérons que Trump a entrepris une sorte de recentrage.

Cela est conforme à la tradition et à la pratique Présidentielle, une fois élu il faut changer d’habits, endosser celui de représentant de tous les citoyens. Les premiers temps, en régime démocratique-même perverti- il est toujours bon de sacrifier au rite de la réunification, à l’appel à l’union. Il faut tenter de faire taire les divisions. Trump sacrifie à cette obligation rituelle.

Poursuivre la campagne ne sert donc à rien, en tous cas , cela ne parait guère justifié et encore moins motivé par le comportement de Trump.

Pourtant que les marginaux américains financés par Soros et les néo-cons tentent de semer l’agitation et la violence aux Etats-Unis ne nous étonne pas, car ces gens ont un Projet géopolitique qui va bien au-delà du choix du président. Ils ont une stratégie mondiale de déstabilisation, de chaos et de dislocation. Et ils répètent les expériences qu’ils ont menées ailleurs, en Ukraine, en Macédoine, au sein de la Communauté Noire aux Etats-Unis, à Hong Kong, voire localement en France etc.

Ces gens, cette force souterraine mondiale est à l’origine de ce que l’on appelle les Révolutions de couleur, dont la plus célèbre est la révolution Orange. Ces derniers jours on a beaucoup parlé d’une révolution “purple” aux USA, d’une révolution violette, non pour désigner une révolte du peuple, puisque celui-ci a voté Trump, mais pour s’opposer au peuple et à ses choix.

Le paradoxe n’est qu’apparent, car tous les spécialistes savent que les révolutions de couleur ont une origine louche, presque fasciste, comme en Ukraine sur la place Maidan , et que ceux qui les financent et l’encadrent ne sont pas des amis des peuples, mais des partisans d’un Système, d’un Ordre qui est plus proche d’un monde à deux vitesses, fabien que d’un monde démocratique. Ce mouvement, qui dispose à la fois de moyens financiers considérables, de médias, d’organisations, d’associations et de mercenaires, avance masqué, il accepte de faire alliance avec n’importe qui et dans n’importe quelles conditions, du moment que cela sert la stratégie de dislocation, de déstabilisation. C’est ce qui le rend très difficile à la fois à démasquer et à analyser, il part en apparence, dans tous les sens. Il s’adapte aux conditions locales en jouant sur les forces de contradiction.

Ron Paul prétend reconnaitre dans toutes ces émergences, la main du Deep State allié aux néo-cons américains ou anglo saxons.

Nous ne partageons pas cet avis, selon nous Ron Paul tombe dans le piège de la complexité, le piège des apparences, le piège des circonstances. Le Deep State américain, les élites qui ont financé Hillary, qui ont construit la coalition des médias, qui manipulent Obama, qui ont noyauté les institutions, ces élites sont alliées aux forces de déstabilisation/recomposition mondiale, c’est évident, mais à notre avis alliées seulement. Elles ne font qu’un bout de chemin ensemble et selon nous les divergences sont profondes. Le Deep State américain reste enraciné dans la Nation américaine, dans l’exceptionnalisme américain et le statut impérial. Or le statut impérial est incompatible avec le Projet. C’est même un obstacle au Projet.

En Europe, on essaie, c’est étonnant de jouer les prolongations de la campagne ! Regardez les médias MSM, ils ne lâchent pas. Nous avons été partiellement censuré sur un média public européen il y a quelques jours, rien que pour avoir exprimé une vision optimiste de la victoire de Trump; rien que pour avoir expliqué que ce choix allait dans le bon sens, arrivait au bon moment historique, car il soulevait le couvercle de plomb du cercueil dans lequel la politique économique et monétaire avait enfermé nos sociétés. Ce choix avons-nous expliqué libérait des forces de vie.

Notre hypothèse est que les médias Européens sont prisonniers de leurs positions passées d’une part mais que d’autre part ils font un travail local de propagande : ils pilonnent sur la thématique de Trump, en la déformant. En la tronquant avec d’autant plus de facilité que personne ne prend la peine de lire les programmes de Trump. Ils pilonnent, comme leurs gouvernements et leurs élites, dans la perspective de leurs consultations électorales domestiques à venir. C’est, sur une échelle plus grande ce qui s’est passé, ce qui a été tenté au lendemain du vote Brexit, mais là, cela a été un échec car le Brexit a eu des premières conséquences positives qui ont forcé les critiques au silence. Il est tellement facile de multiplier les mensonges sur Trump: c’est loin, plus cela est gros plus cela passe et puis les excès du personnage s’y prêtent.

Il serait temps que les forces d’opposition dans nos systèmes prennent conscience de cette réalité et y réagissent.

BRUNO BERTEZ  Le 13 Novembre 2016

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EN BANDE SON : 

4 réponses »

  1. Mauvais perdants. On voit maintenant qui sont les MINABLES et ce ne sont pas les électeurs de Trump.

  2. oui c’est de la propagande pour europe

    il faudra refuser le passport europeen a soros

  3. PARTIE D’ECHEC ENTRE 5ème COLONNE ET 6ème COLONNE, QUI PERD…GAGNE:

    « Le Deep State américain, les élites qui ont financé Hillary, qui ont construit la coalition des médias, qui manipulent Obama, qui ont noyauté les institutions, ces élites sont alliées aux forces de déstabilisation/recomposition mondiale, c’est évident, mais à notre avis alliées seulement. Elles ne font qu’un bout de chemin ensemble et selon nous les divergences sont profondes. Le Deep State américain reste enraciné dans la Nation américaine, dans l’exceptionnalisme américain et le statut impérial. Or le statut impérial est incompatible avec le Projet. C’est même un obstacle au Projet. »
    C’est tout à fait juste et cela constitue le gouffre infranchissable qui sépare ces 2 courants.

    Voyons plus loin, et posons une hypothèse:

    Dans cette lutte, je pense que les mondialistes pro-city sont plus malins que le deep state US.
    Ils ont avancé leur pion Trump au devant, réussissant un coup somptueux que le deep state a en travers de la gorge… mais la partie n’est pas finie, le deep state réagit avec sa grosse bertha: Soros!. Puis, comme il dispose de petits soldats aux ordres dans les structures clés du pays, cela va lui permettre de préparer la venue de Trump aux commandes du pays, dans une situation rendue inconfortable. Du coté républicain la 5ème colonne (donc pro deep state) est déterminée, elle jouera le jeu de Trump un temps pour mieux lui savonner la planche par la suite. C’est donc à Trump de faire les bons choix… la 6ème colonne trumpiste et mondialiste version anti-impériale (cf https://leblogalupus.com/2016/11/12/de-la-revolution-a-la-contre-revolution-par-master-t/ ) a certainement un autre plan..

    Comme aux échecs, on laisse reprendre à l’adversaire l’initiative de l’action (Soros et son orchestre révolutionnaire façon Maidan appuyée des médias pour la soufflerie sur les braises chaudes) puis on se sert de l’énergie qu’elle va de nouveau déployer en lui laissant l’initiative d’envenimer suffisamment la situation pour que l’électorat trumpiste commence a bien le sentir passer. Ce qu’il s’était pris dans les dents pendant l’inquisition électorale réapparait de nouveau… les esprits s’échauffent de nouveau, mais à hauteur de l’enjeu: le vol et le viol de leur bulletin de vote.
    La cocotte sociale monte en pression et là ou on ne l’attend pas, trump se fait assassiner!

    L’action peut venir de la 5ème colonne comme de la 6ème, peu importe finalement puisque cette opération signifierait la guerre civile dans le pays, son affaiblissement à l’extérieur et l’effondrement de l’empire et du dollar par un effet de panique sur les marchés et des investisseurs.
    Ainsi donnerait on à la célèbre citation de Lincoln devenue prophétique: «…Si la destruction devait un jour nous atteindre, nous devrions en être nous-mêmes les premiers et les ultimes artisans. En tant que nation d’hommes libres, nous devons éternellement survivre, ou mourir en nous suicidant.»

    Le grand gagnant serait alors la 6ème colonne, c.à.d la City et les globalistes qui sont ses relais aux Etats Unis… Etats Des-unis puisque la sécession sonnerait le glas de l’Union.

    « Le roi est mort » à Washington et avec lui les reves du deep-state… échec et mat!. En abattant la pièce maitresse du jeu on peut basculer dans le Nouvel ordre mondial. Vive le nouveau roi!: le DTS et bye bye l’empire exceptionnel et sa nation indispensable.

    L’idée d’abattre Trump ressemblera à ce qui eu lieu en 1914 avec le meurtre de l’archiduc d’Autriche… une étincelle dans une usine à poudre.

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