1984

Mondialisme vs Souverainisme- Etats Unis : Paul Joseph Watson – Le complot des grands électeurs pour saboter Trump

ALERTE – Le complot des grands électeurs pour saboter Trump (Vidéo VOSTFR)

cy0jcw0xeaa1cvkcynjnpmuaaamgub

Mitt Romney, 45e président des États-Unis ?

cytsohjwiaarz6hcyzv7rjucaekst3

 Donald Trump a songé à céder le département d’État à Mitt Romney. Pourquoi ? Depuis le 8 novembre, il doit en effet se battre sur trois fronts : le recrutement de son cabinet ministériel, la nomination de 4.000 fonctionnaires clés sans lesquels le système ne lui obéira pas et le dossier de son futur licenciement que sont en train de monter les amis de monsieur Soros. Un dossier visant à saboter son investiture du 20 janvier, ou du moins à construire un plan d’impeachment (révocation) pour la suite. Pièces à produire : corruption et intelligence avec l’ennemi.

Avant le 20 janvier, il y a le 19 décembre, date juridique de l’élection du président par le collège électoral. L’idée étant d’intimider ce collège électoral et de faire basculer son vote. La contre-attaque a commencé dès le 13 novembre, lorsque George Soros a rencontré à Washington quelques élus ainsi qu’un aréopage de donateurs, avec un objectif : « reprendre le pouvoir » (Politico 14 novembre).

Trump est d’abord campé en danger totalitaire : des manifestations spontanées de résistance sont organisées quotidiennement par moveon.org, sous une pluie de menaces islamophobes « trumpistes » tout aussi spontanées, accompagnées de graffitis racistes en quête d’auteurs. Pas de chance : la popularité de Trump monte au zénith, comme la Bourse.

Place, alors, à un procès en légitimité contre ce « candidat du Klan » qui est à plus de deux millions de voix derrière Clinton (vote national). Pétard mouillé : seul un délégué du Texas a démissionné du collège afin de ne pas voter pour Trump.

Surviennent ensuite les Martiens – autrement dit les Russes – qui auraient non seulement inondé les médias sociaux de fausses informations, mais dont les hackers auraient truqué les machines à voter du Wisconsin, de Pennsylvanie et du Michigan – autant de fiefs ouvriers normalement démocrates. Et madame Jill Stein, la candidate des Verts sans un kopek en poche, lève miraculeusement 5 millions en quelques jours afin de financer un recomptage des votes. Résultat : faute des certifications envoyées à temps du fait du comptage en cours, le scrutin du 19 décembre peut devenir techniquement problématique, voire illégitime.

Plus délicat, il y a l’après-élection, avec un risque monumental de conflits d’intérêts potentiels entre le président Trump et la Trump Organization. Et, donc, celui de se faire accuser de corruption à la moindre occasion, considérant que les affaires de Trump sont multinationales, et donc sensibles aux influences… comme dans le cas de la fondation Clinton ! La seule façon, pour lui, de neutraliser ce risque serait de céder son entreprise à un mandataire indépendant qui liquiderait les actifs pour le compte de la famille. Donc risquer une vente à vil prix…

Les démocrates enjoignent maintenant au Congrès de lancer une enquête sur les intérêts de Trump avec l’étranger (traduction : la Russie et la Chine). Le leader parlementaire républicain Kevin McCarthy n’est pas en reste, confirmant ainsi, le 29 novembre, que les règles s’appliquent à tout le monde, y compris à Donald Trump (The Hill).

Au moment où sont écrites ces lignes, Trump a donc un choix difficile : se séparer de la Trump Organization ou bien abandonner les Affaires étrangères, fonction régalienne par excellence, au faucon incorruptible Mitt Romney, son pire ennemi, ce qui éliminerait toute apparence de conflits d’intérêt avec son entreprise.

Autre tour dans son sac ?

http://www.bvoltaire.fr/andrearchimbaud/mitt-romney-45e-president-etats-unis,296885?mc_cid=df3fe67f0a&mc_eid=b338f8bb5e

Soros organise la guerre contre Trump

cycilgpw8aikupg

Michel Garroté Politologue, blogueur Article publié le 22.11.2016

 George Soros et d’autres riches gauchistes qui ont dépensé des dizaines de millions de dollars pour tenter de faire élire Hillary Clinton se rassemblent à Washington pour une réunion de trois jours à huis clos en vue de mobiliser les riches gauchistes dans la lutte contre Donald Trump (extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page).

La conférence, qui a débuté dimanche soir au luxueux hôtel Mandarin Oriental de Washington, est parrainée par l’influent club des donateurs de la Democracy Alliance, avec la participation des dirigeants de la plupart des syndicats et groupes libéraux, ainsi que des chouchous de la gauche tels que la leader du Parti démocrate à la Chambre, Nancy Pelosi, la Sénatrice Elizabeth Warren et le co-président du caucus des progressistes du Congrès, Keith Ellison.

Cette conférence est le premier grand rassemblement de la gauche institutionnelle depuis la victoire de Trump et, vu son ordre du jour, les gauchistes planifient une guerre de tranchée totale contre Trump dès le premier jour. En clair, ses sessions visent à contrecarrer le programme des ‘100 premiers jours’ du Président élu Trump (fin des extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page).

Georges Soros se considérant lui-même comme un « chef d’État sans État », son intérêt pour les médias comme outil métapolitique n’est pas nouveau, il remonte même à sa prime jeunesse (extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page). Selon l’un de ses biographes, le journaliste du New York Times Michael T. Kaufman, auteur de « Soros: The Life and Times of a Messianic Billionaire », Georges Soros a toujours été fasciné par le journalisme et les médias. Jeune homme, ses centres d’intérêts principaux étaient principalement « l’histoire, le journalisme et certaines formes d’écriture ». Encore étudiant, il a ainsi été le rédacteur en chef, l’éditeur et le vendeur de son propre journal le « Lupa News » dans sa Hongrie natale.

Jamais il ne se départira de cet intérêt pour le journalisme et sa capacité d’influence sur les sociétés. Dans les années 80, il appuiera ainsi les libéraux d’Europe de l’Est en faisant parvenir des photocopieuses aux cercles d’étudiants dissidents grâce à son « Open Society Foundations » (à l’époque « Open Society Institute »). Matériel leur permettant la publication de journaux clandestins et de samizdats grâce auxquels ils purent influer sur l’opinion publique des régimes communistes finissants.

Il financera ainsi des fondations et des associations dans toute l’Europe centrale dans le but de former des étudiants et de leur permettre de faire de l’agitation idéologique dans les universités comme dans la société civile afin de diffuser une autre information que celle de l’État et du parti communiste. En leur distribuant des bourses pour leur formation il s’assurera une influence majeure auprès des élites libérales une fois ces étudiants en poste après la chute du communisme.

À l’heure du numérique et de l’information en temps réel, sa méthodologie est restée la même mais adaptée aux outils de communication contemporains. Cela à une échelle bien plus vaste qu’au temps des régimes communistes. Régimes qui étaient devenus après 1945 des régimes nationaux-communistes et donc des adversaires de l’idéal politique de George Soros : une société planétaire intégrée, régie par la finance et par une société civile mondiale sans États.

Pour appréhender l’influence que Georges Soros exerce sur le paysage médiatique américain, il faut sonder autant le champ des médias de masse que celui d’internet et des médias réticulaires qui foisonnent sur la toile mondiale. L’un des objectifs de la stratégie média de l’Open Society étant justement la formation et le soutien d’une myriade de journalistes présentés comme indépendants et aptes à créer un réseau d’influence médiatique informel partout où cela est nécessaire politiquement. À un niveau local certains journalistes de ces groupes étant même inconscients de leur rôle réel en tant que maillon d’une vaste chaîne transnational de relais d’influence.

Non content d’avoir appuyé le parti démocrate puis la candidate Hillary Clinton pour au moins 25 millions de dollars au cours des dernières années, George Soros a surtout injecté plus de 100 millions de dollars entre 2000 et 2014 dans des groupes médiatiques proches du parti démocrate, de son agenda et de ses objectifs politiques. Ces sommes sont à mettre en perspective avec la fortune personnelle de Soros estimée à 24 milliards de dollars selon le classement Forbes.

Le seul budget officiel de l’Open Society Foundation pour l’année 2016 est de plus de 930 millions de dollars. Ses dépenses totales depuis sa création sont estimées à plus de 13 milliards de dollars pour ses 33 années d’activité. George Soros a aussi directement aidé des centaines de médias, d’associations, d’écoles de journalisme aux États-Unis et à l’étranger avec des dons allant de 5000 $ à 32 millions de dollars. Comme nous le verrons plus bas, certains de ces groupes comme « New America Media » ou le « Media Development Investment Fund » sont ainsi eux-mêmes constitués de centaines d’autres médias plus petits qui n’existeraient pas sans Soros.

Sur ces 103 millions investis dans les médias libéraux-libertaires, 61 millions financent neuf groupes médiatiques qui ont soutenu directement la candidate Hillary Clinton. Voyons de plus près certains médias du camp démocrate que finance George Soros (fin des extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page).

Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté

http://www.politico.com/story/2016/11/democrats-soros-trump-231313

http://www.breizh-info.com/2016/11/20/53217/dossier-linfluence-de-georges-soros-medias-americains

http://lesobservateurs.ch/2016/11/22/soros-organise-guerre-contre-trump/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter

cyyvhqhw8aajo-trecount-nrd-600-287x208derangement-600ab-la-287x208

EN BANDE SON : 

2 réponses »

  1. Tout est possible, et, j’en suis atterré.
    Quelle sera l’attitude de Poutine ? Il ne reconnaîtra pas ce nouveau président fabriqué par cette mafia. Cela laisse présager de lourdes conséquences.

Laisser un commentaire

En savoir plus sur Le blog A Lupus un regard hagard sur Lécocomics et ses finances

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Continue reading