1984

Comprendre le mal : du globalisme au Pizzagate Par Brandon Smith

Comprendre le mal : du globalisme au Pizzagate

c0bh2f0xuaaqu-8czamtwhuaaa_2ru cz9r9_-uaauzvm1


Par Brandon Smith – Le 8 décembre 2016 – Source alt-market.com / Le Saker Francophone


J’ai passé la plus grande partie des dix dernières années à travailler avec diligence pour enquêter et relier des informations sur l’économie et le discours géopolitique pour le mouvement de la Liberté. Cependant, bien avant d’avoir approfondi ces sujets, mes principaux intérêts d’étude étaient l’esprit humain et l’âme humaine (oui, j’utilise un terme spirituel).

Ma fascination pour l’économie et les événements sociopolitiques a toujours été enracinée dans l’élément humain. C’est-à-dire, alors que l’économie est souvent traitée comme un domaine mathématique et statistique, elle est également guidée par la psychologie. Connaître le comportement de l’homme, c’est connaître l’avenir de tous ses efforts, bons ou mauvais.


Le mal est précisément ce pourquoi nous sommes ici en train de discuter. J’ai abordé la question dans divers articles dans le passé, y compris Les globalistes sont-ils diaboliques ou seulement incompris ?, mais avec les tensions extrêmes prenant forme cette année à la lumière de l’élection américaine ainsi que l’enquête explosive de la communauté en ligne sur le « Pizzagate », je suis contraint d’examiner ce sujet à nouveau.

Je ne m’attaquerai pas à cette question d’un point de vue particulièrement religieux. Le mal s’applique à tout le monde, indépendamment de son système de croyance, ou même de son manque de conviction. Le mal est laïque dans son influence.

La première et la chose la plus importante à comprendre est ceci : le mal n’est pas simplement une construction sociale ou religieuse, c’est un élément inhérent de la psyché humaine. Carl Gustav Jung a été l’un des rares psychologues de l’Histoire à oser écrire abondamment sur la question du mal d’un point de vue scientifique ainsi que dans une perspective métaphysique. Je recommande fortement un livre rassemblant ses travaux sur ce sujet, intitulé Jung sur le mal, édité par Murray Stein, pour ceux qui sont intéressés par une vue plus profonde.

Pour résumer, Jung a constaté que la plupart des fondements du comportement humain sont enracinés dans des contenus psychologiques innés ou des  « archétypes ». Contrairement à la position de Sigmund Freud, Jung a soutenu que si notre environnement peut affecter notre comportement dans une certaine mesure, il ne fait pas de nous ce que nous sommes. Plutôt, nous sommes nés avec notre propre personnalité individuelle et nous grandissons avec nos caractéristiques intrinsèques, au fil du temps. Jung a également constaté qu’il existe des éléments universellement présents de la psychologie humaine. C’est-à-dire que presque chaque être humain sur la planète partage certaines vérités et certaines prédilections naturelles.

Les notions de bien et de mal, morales et immorales, sont présentes en nous dès la naissance et sont la plupart du temps les mêmes indépendamment de l’endroit où nous sommes nés, de l’époque à laquelle nous sommes nés et de la culture où nous sommes nés. Le bien et le mal sont des expériences subjectives partagées. C’est ce fait psychologique observable (entre autres) qui me conduit à croire à l’idée d’une conception créative – un dieu. Encore une fois, cependant, parler sur Dieu est au-delà de la portée de cet article.

Pour moi, cela devrait être plutôt réconfortant pour les gens, même les athées. Car s’il y a des preuves évidentes de cette conception créatrice, il s’ensuivrait qu’il pourrait bien y avoir une raison pour toutes les épreuves et les horreurs que nous expérimentons en tant qu’espèce. Nos vies, nos échecs et nos réalisations ne sont pas aléatoires et sans signification. Nous nous efforçons de tendre vers quelque chose, que nous le reconnaissions ou non. cela peut être hors de notre compréhension du moment, mais c’est là.

Le mal n’existe pas dans le vide. Avec le mal, il y a toujours le bien, si on le cherche dans les bons endroits.

La plupart des gens sont aisément équipés pour reconnaître le mal quand ils le voient directement. Ce pourquoi ils ne sont pas équipés et doivent apprendre de l’environnement, c’est de savoir comment reconnaître le mal déguisé en droiture. Les actes les plus odieux de l’Histoire sont presque toujours présentés comme une obligation morale – un chemin vers un « plus grand bien ». La conscience inhérente, cependant, est le plus grand bien, et toute idéologie qui s’éloigne des frontières de la conscience conduira inévitablement à la catastrophe.

Le concept de globalisme est une de ces idéologies qui traverse la ligne de conscience et pontifie sur une « méthode supérieure » de vie. Il repose sur des tabous, plutôt que sur un compas moral, et il y a une grande différence entre les deux.

Lorsque nous poursuivons un « plus grand bien » en tant qu’individus ou en société, les moyens sont tout aussi vitaux que les fins. Les fins ne justifient JAMAIS les moyens. Jamais. Car si nous abandonnons nos principes fondamentaux et commettons des atrocités au nom de la paix, de la sécurité ou de la survie, nous avons abandonné les choses mêmes qui nous rendent dignes de la paix, de la sécurité et de la survie. Un monstre qui dévore au nom de la paix est toujours un monstre.

Le globalisme nous dit que le collectif est plus important que l’individu, que l’individu doit à la société une dette et que la fidélité à la société à tous égards est le paiement de cette dette. Mais les archétypes et la conscience inhérents nous disent un message différemment. Ils nous disent que la société n’est jamais aussi saine que les individus la composant, que la société n’est jamais aussi libre et dynamique que ses participants. Quand l’individu est humilié et asservi, le collectif s’effondre dans la médiocrité.

Le globalisme nous dit aussi que le plus grand potentiel de l’humanité ne peut être atteint sans collectivisme et centralisation. L’affirmation est que plus une société est axée sur ses objectifs, plus elle est susceptible d’atteindre efficacement ses objectifs. À cette fin, le globalisme cherche à effacer toute souveraineté. Pour l’instant, ses partisans affirment qu’ils ne veulent que supprimer les nations et les frontières de l’équation sociale, mais un tel collectivisme ne s’arrête jamais là. Finalement, ils nous diront que l’individualisme représente une autre « frontière » néfaste qui empêche le groupe de se réaliser pleinement.

Au cœur du collectivisme, il y a l’idée que les êtres humains sont des« ardoises vierges », que nous sommes nés vides et complètement dépendants de notre environnement pour apprendre ce qui est bien et ce qui est mal et comment être de bonnes personnes ou de bons citoyens. L’environnement devient l’arbitre de la décence, plutôt que la conscience, et celui qui contrôle l’environnement, par extension, devient dieu.

Si les masses sont convaincues de ce récit, alors la relativité morale n’est plus qu’à quelques pas. C’est l’abandon de la conscience innée qui aboutit finalement au mal. À mon avis, c’est précisément pour cette raison que les soi-disant « élites » poussent le globalisme au sommet. Leur fin de jeu n’est pas seulement la centralisation de tout pouvoir dans un édifice mondial, mais la suppression et l’éradication de la conscience, et donc, tout ce qui est bon.

Pour voir où cela mène, nous devons regarder les comportements des élites elles-mêmes, ce qui nous amène à « Pizzagate ».

L’exposition par Wikileaks pendant le cycle électoral de ce qui semble être des e-mails codés envoyés entre John Podesta et ses amis a créé un courant sous-marin brûlant dans les médias alternatifs. Les e-mails utilisent régulièrement des références étranges et hors contexte à des « pizzas » et des enquêtes indépendantes ont découvert un large éventail de liens entre les élites politiques comme Hillary Clinton et John Podesta à James Alefantis, propriétaire d’une pizzeria à Washington DC appelée Comet Ping Pong. Alefantis, pour des raisons qui font peu de sens pour moi, est répertorié comme le numéro 49 sur la liste des gens les plus puissants de GQ à Washington.

L’affirmation selon des preuves circonstancielles, y compris les collections d’art choquantes mettant en scène des enfants et du cannibalisme des Podesta, a été que la Comet Ping Pong est en quelque sorte au centre d’un réseau de pédophilie pour enfants qui sert les personnes politiquement connectées. Les deux, le Comet Ping Pong et une autre pizzeria à deux pas de là, appelée Besta Pizza, utilisent des symboles dans leurs logos et leurs menus qui sont énumérés sur la documentation non classifiée du FBI sur le symbolisme de la pédophilie, ce qui n’aide pas les choses.

Quelques-uns des meilleurs documents du scandale Pizzagate que j’ai vu jusqu’ici a été fait par David Seaman, un ancien journaliste grand public devenu un escroc. Voici sa page YouTube.

Je recommande à tout le monde au moins de regarder la preuve que lui et d’autres présentent. Je suis arrivé sur ce sujet plutôt sceptique, mais j’ai été surpris par la quantité incroyable de bizarreries et de preuves concernant Comet Pizza. Il y a un problème avec ce Pizzagate qui est difficile à surmonter, cependant. À savoir le fait qu’à ma connaissance aucune victime ne s’est présentée. Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas eu de crime, mais quiconque espère convaincre le grand public d’une faute dans ce genre de scénario va avoir beaucoup de mal sans présenter une victime qui puisse servir de référence.

Le problème est doublement difficile maintenant qu’un homme armé a été arrêté dans les locaux de Comète Ping Pong « recherchant » des aveux de traite d’enfants. Sans aucun doute, les grands médias vont qualifier l’enquête même de dangereuse « théorie du complot ». Que ce soit pour persuader le public de l’ignorer ou pour les contraindre de regarder, cela reste à voir.

 

Je réalise pleinement la confusion entourant le Pizzagate et les affirmations de certains selon lesquelles il s’agit d’une « pysop » conçue pour miner les médias alternatifs. C’est une notion stupide, à mon avis. Les médias traditionnels meurent, c’est inévitable. Les médias alternatifs sont un réseau de sources basées sur le pouvoir de choix et cimentées par le concept de recherche et d’investigation. Le lecteur participe aux médias alternatifs en lisant différentes informations et positions disponibles et en décidant par lui-même quelle est la conclusion la plus valable, s’il y a une conclusion à tirer. Les médias traditionnels disent simplement à leurs lecteurs ce qu’il faut penser et ressentir en se basant sur des données proposant une image déformée.

Les élites ne seront jamais en mesure de déconstruire ce genre de mouvement avec quelque chose comme un faux Pizzagate. Ils seraient plutôt plus enclins à essayer de coopter et de diriger les médias alternatifs comme c’est le cas pour la plupart des institutions. Et si les élites utilisent le Pizzagate comme argument pour tromper les médias alternatifs dans une recherche ridicule, alors pourquoi permettre aux médias élitistes de demander aux médias sociaux comme Facebook et Reddit de fermer la discussion sur cette question ?

La raison pour laquelle je suis plus convaincu que sceptique à ce stade, c’est parce que cela s’est déjà produit. Et dans les scandales passés de pédophilie à Washington et dans d’autres foyers politiques, certaines victimes se sont présentées.

Je vais d’abord faire référence aux événements du scandale de Franklin entre 1988 et 1991. Discovery Channel a même produit un documentaire complet sur le sujet avec des interviews d’enfants, victimes présumées, vendus aux élites de Washington en échange de faveurs et de chantage. Destiné à être diffusé en 1994, le documentaire a été annulé et enfin jamais montré au public. La seule raison pour laquelle il peut maintenant être trouvé est qu’une copie de l’original a été publiée sans permission par des parties inconnues.

Je voudrais également faire référence au cercle de pédophilie de Westminster, largement prouvé, au Royaume-Uni, dans lequel le gouvernement des États-Unis a perdu ou détruit au moins 114 dossiers liés à l’enquête.

Enfin, il est déconcertant pour moi que les entreprises criminelles de l’ancien financier de Bear Sterns, condamné pour pédophilie, Jeffrey Epstein et son Lolita Express soient de notoriété publique, mais que le public sache si peu de chose à ce sujet. Bill Clinton est cité dans les journaux de bord de ces vols pour avoir voyagé sur le jet privé d’Epstein au moins 26 fois. Le même jet qui a été utilisé pour procurer des enfants, dont certains n’avaient que 12 ans, pour divertir des célébrités et des milliardaires sur son île de 72 acres appelée « Little Saint James ». Le fait que Donald Trump était aussi parmi les amis proches d’Epstein devrait faire lever quelques sourcils – c’est drôle comment les médias mainstream ont attaqué Trump sur chaque aspect cosmétique sous le soleil mais pour une raison inconnue se sont bien gardés de le poursuivre sous l’angle Epstein.

Où en est la vaste enquête fédérale sur les gens qui fréquentaient les misérables parties d’Epstein ? Il n’y en a pas, et Epstein, bien que reconnu coupable d’avoir molesté une jeune fille de 14 ans et de l’avoir vendue à la prostitution, a seulement été égratigné par une peine de 13 mois.

Les accusations de pédophilie semblent suivre les mondialistes et les politiciens élitistes partout où ils vont. Cela ne me surprend pas. Ils présentent souvent des caractéristiques de narcissisme et de psychopathie, mais leur idéologie sur la relativité morale est ce qui les conduirait à de tels crimes horribles.

Le mal provient souvent de personnes qui sont vides. Quand on abandonne la conscience, on renonce aussi à bien des égards à l’empathie et à l’amour. Sans ces éléments de notre psyché, il n’y a pas de bonheur. Sans eux, il ne reste que le désir et la gourmandise.

Les narcissiques en particulier sont enclins à utiliser les autres comme des formes de divertissement et d’accomplissement sans se soucier de leur humanité. Ils peuvent être vicieux par nature, et lorsqu’ils sont pris au niveau de la psychopathie, ils sont enclins à cibler et à abuser les plus impuissantes des victimes afin de générer un sentiment de pouvoir personnel.

Ajoutés à la dépendance sexuelle et aux agressions, les narcissiques deviennent des prédateurs extrêmes. Rien ne les satisfait véritablement. Quand ils se fatiguent de la normale, ils se tournent rapidement vers l’anormal et éventuellement le criminel. Je dirais que la pédophilie est une progression naturelle de la mentalité élitiste. Les enfants sont la source de victimes la plus facile et la plus innocente, sans parler de la plus aberrante et interdite, et donc la plus souhaitable pour un déviant psychopathe embrassant les impulsions du mal.

Au-delà, il y a la perspective encore plus inquiétante de l’idolâtrie. Ce n’est pas que les globalistes soient simplement le mal en tant qu’individus. Si tel était le cas, ils présenteraient une menace plus faible. La plus grande terreur est qu’ils sont également organisés. Quand on confronte le problème de la racine du mal, on se rend vite compte que le mal est en nous tous. Il y aura toujours une bataille intérieure dans chaque individu. Le mal organisé, cependant, est en fait le danger ultime, et c’est le mal organisé qui doit être éradiqué.

Pour que le mal organisé soit vaincu, il doit y avoir une version du bien organisée. Je crois que le mouvement de la Liberté en particulier est cette face visible du bien. Existant à un stade précoce, il n’est pas encore complet, mais c’est le bien néanmoins. Notre défense du principe de non-agression et de la liberté individuelle est propice au respect de la vie privée, des biens et de la vie. La conscience est un principe fondamental de l’idéal de la liberté et le contre-pied exact de l’élitisme organisé fondé sur la relativité morale.

Reconnaître et accepter le réconfort que si nous vivons dans des temps sombres où les hommes mauvais vagabondent librement, nous sommes également là. Nous sommes la bonne réponse au mal, et nous avons été placés ici à cette époque pour une raison. Appelez-cela destin, appelez-cela la destinée, appelez-cela coïncidence, appelez-cela Dieu, appelez-cela ce que vous voulez, mais la réponse au mal est nous.

c0nwnxpxaaamiqj

Brandon Smith

Traduit par Hervé, vérifié par Wayan, relu par Cat pour le Saker Francophone

http://lesakerfrancophone.fr/comprendre-le-mal-du-globalisme-au-pizzagate

Detail image of the painting SATURN by the Spanish artist GOYA.

Detail image of the painting SATURN by the Spanish artist GOYA.

 

USA : BILL CLINTON ET LE LOLITA EXPRESS 

st-thomas-little-st-james-island-the-island-of-sin

St Thomas Little St James Island « the Island of Sin » (Photo: Chris Bott)

telechargement

« Lolita Express » et les vieux démons des Clinton !

Le Nouveau Journal de Jackturf 11 Octobre 2016

« Lolita Express » est le nom, que le financier et milliardaire américain, Jeffrey Epstein, ami intime de l’ancien président Bill Clinton, a donné à son Boeing 727 privé.

Il est de notoriété publique que Mr. Epstein, à l’instar de son ami Bill, a une préférence pour les femmes jeunes. Qui lui en voudrait ? Après tout, passé 50 ans, l’égo est plus sensible aux flatteries. Un problème se pose toutefois quand ces jeunes femmes sont vraiment très jeunes, 14 ans d’âge en moyenne.

telechargement
Stephen Hawking à côté de Jeffrey Epstein !
Jeffrey Epstein a la chance d’être à la tête d’une fortune colossale, d’avoir des amis influents et de posséder une île privée dans l’archipel des « Iles Vierges Britanniques » du nom de « Little St. James ». Sa fondation philanthropique, la « Jeffrey Epstein Foundation », domiciliée et enregistrée à St. Thomas (BVI) pour des raisons pratiques de proximité, y invite régulièrement d’éminents scientifiques, comme le britannique Stephen Hawking, pour participer à des colloques. Mais pas que.
Sir is it true you have an egg shaped penis ?
« Est-il vrai, monsieur, que vous avez ce qui a été décrit 
comme un pénis en forme d’oeuf? « 
Interviewé par le journal britannique à sensation « Daily Mail », un couple sud-africain, engagé en 1995 par Jeffrey Epstein pour gérer son domaine sur « Little St. James », décrivait l’activité débordante qui y régnait, en la comparant à celle d’un hôtel cinq étoiles où « personne ne paie la note ». 
Clinton Snared In Pedophile Ring

De nombreuses personnalités politiques, scientifiques et artistiques y ont séjourné, tel que l’ancien président Bill Clinton, à plusieurs reprises entre 2002 et 2005 comme le montre le journal de bord du « Lolita Express », dans le cadre de ses actions humanitaires, mais également le prince Andrew, membre de la famille royale anglaise, ainsi que Lord Mandelson, ancien membre du gouvernement socialiste de Gordon Brown.

Inquiets de voir défiler sur l’île des femmes de plus en plus jeunes, quelques-unes visiblement mineures, se promenant nues dans la maison et autour de la piscine, le couple décide finalement en 2007 de se séparer de Mr. Epstein.

En 2005, Jeffrey Epstein est accusé par la mère d’une adolescente de 14 ans, d’avoir attiré sa fille dans sa luxueuse résidence à Palm Beach pour qu’elle y effectue un striptease privé et un massage particulier.

Au mois de juin 2008, il est condamné, par un tribunal de Palm Beach en Floride, pour détournement de mineurs, à 18 mois de prison, dont il ne purge finalement que 13 mois en semi-liberté, pour un délit qui serait, normalement, sanctionné avec 10 à 15 ans d’emprisonnement.

flightlogpic1
 
Les carnets de vol doivent être déposés auprès de la Federal Aviation Administration.

On se souvient du thème majeur de la campagne présidentielle de Bill Clinton en 1992, « tough on crime », quand, pour démontrer sa détermination de vouloir s’attaquer sérieusement à la criminalité, il avait tenu à assister, pendant sa campagne présidentielle, à l’exécution d’un prisonnier, handicapé mental, à Little Rock, dans son état d’Arkansas. 

Résultat de recherche d'images pour "little saint james + bill clinton"
And so the charmed life of wealthy-old-man-about-town Epstein continued breezily, or as breezily as the life of any registered sex offender can, until the charges of “Jane Doe no.3,” or Virginia Roberts, were assigned in the last weeks of 2014, and proceeded to blaze through the headlines on both sides of the Atlantic.  Because these charges included not only Epstein, but also Bill Clinton, Alan Dershowitz, and the Royal Family’s own Prince Andrew.  Here’s a picof Roberts, Andrew, and the ever-present Ghislane Maxwell on Little St. James. 


En 1994, avec le soutien actif de son épouse Hillary, Bill Clinton, président des Etats-Unis, introduit la législation pénale la plus dure et la plus controversée de l’histoire du pays, le « Violent Crime Control and Law Enforcement Act », qui a pour conséquence que les prisons américaines se remplissent de détenus,majoritairement de couleur, ayant commis des délits mineurs, tels que la possession de marihuana. 

Les électeurs de couleur, qui plébiscitent actuellement la candidate Hillary Clinton, ne semblent pas se souvenir. Entre 1992 et 2000, la population carcérale aux Etats-Unis a augmenté de 60%. 


Actuellement, la candidate Hillary Clinton déclare : « Il est temps d’en finir avec les incarcérations massives ». Ce n’est pas un secret que Bill Clinton compte jouer un rôle majeur dans la future administration Clinton & Clinton, car une présidence Clinton est disponible en « duo-pack » seulement.

Résultat de recherche d'images pour "Le lolita express"


Selon le journal new yorkais, « New York Post » Mr. Epstein a fêté sa sortie de prison dans sa résidence new yorkaise, l’ancienne « Birch Wathen Lenox School » transformée en manoir de 50’000 pieds carrés, située à la « Cinquième Avenue », en présence de quelques amis choisis, tels que George Stephanopoulos, ancien directeur de communication du président Clinton, Charlie Rose, présentateur vedette de la chaîne de télévision PBS, le metteur en scène Woody Allen, qui s’y connaît en matière de lolitas, ainsi que le prince Andrew, Duc de York, membre de la famille royale anglaise, encore lui… 

Résultat de recherche d'images pour "Le lolita express"
 

Donald Trump,  ami « éloigné » de Jeffrey Epstein, a déclaré récemment sur CNN que « Cette fameuse île posera encore quelques problèmes à Bill Clinton, comme le suicide inexpliqué de son ami et conseiller juridique à la Maison Blanche, Vince Foster, trouvé dans un parc public en Virginie en 1993. 

Résultat de recherche d'images pour "Le lolita express"
cyuzbaauuaa5bpp

EN BANDE SON : 

6 réponses »

  1. Bonjour, en complément des informations de Lupus, nous vous proposons avec son autorisation notre Revue de presse quotidienne :

    Revue de presse du jour comprenant l’actualité nationale et internationale de ce jeudi 22 décembre 2016

    Est disponible dans la section Revue de presse de Crashdebug.fr
    https://www.crashdebug.fr/revue-de-presse

    Et toujours l’information en temps réel des principaux sites mainstream & alternatifs.
    https://www.crashdebug.fr/defcon-room

    Merci Lupus,

    Amicalement,

    f.

  2. Gang international sévit depuis trés longtemps

    Explosion du systéme…

    Beaucoup de témoins morts

    France:affaire du coral
    Affaire: Alégre
    Afaire: du pasteur Doucet
    Non résolues

    La justice doit passer

    Ne pas les lacher merci pour cet article

    • c’est juste un hobby pour des détraqués illuminés, pas une fin en soi
      (moloch dans la bible)

      Tatcher aussi a gouverné ainsi.
      il est possible que la dereglementation bancaire achevée en 1999 fut rendue possible par des chantages à la videotape sur les clinton (pas pedo)

      si bill clinton, trop compromettant, meurt d’ici fin 2017 alors vous saurez que tout ceci (pizzagate lolita express) est EXACT

Laisser un commentaire