Julian Assange (WikiLeaks) : le journal Le Monde nous a trahi et a censuré nos informations
www.dreuz.info 4 Janvier 2017
Julian Assange s’entretenait avec Sean Hannity depuis son lieu d’asile politique à l’ambassade équatorienne à Londres.
Assange accuse plusieurs journaux, dont Le Monde, avec qui il a signé un accord de partenariat pour rendre publics les câbles et emails divulgués par WikiLeaks, d’avoir censuré certaines informations pour des motifs politiques— et non, comme le quotidien du soir l’a affirmé— pour protéger la vie de quelqu’un.
Extrait :
«Contrairement aux autres médias, qui censurent certaines informations— sans expliquer pourquoi ils le font— WikiLeaks publie ce qu’il reçoit.
Je peux vous dire que par expérience, pour avoir travaillé avec plus de cent dix médias avec qui nous avons développé des partenariats, très souvent, l’information [que nous leur transmettons] est cachée pour des motifs politiques, alors qu’ils prétendent que c’est pour protéger des personnes.
Cette censure révèle un profond degré de corruption.
Fox News: Vous parlez du New York Times, d’ABC, CBS, Politico. Vous parlez des principaux médias américains !
Nous avons des problèmes similaires avec The Guardian, Le Monde, El Païs.
Ils ont de bons journalistes qui ont fait du bon travail, ce n’est pas tous les journalistes, mais il y a eu des cas critiques où l’information que nous avons partagée [avec eux], avec des accords de partenariats qui stipulaient que les informations ne seraient censurées [par eux] que pour des raisons de droit de l’homme, de trahison, c’est à dire pour protéger des vies humaines, alors qu’elles ont été censurées pour protéger des compagnies pétrolières qui opèrent au Kazakhstan, ou encore concernant Yulia Tymoshenko, l’ex-leader accusée de meurtre en Ukraine.
Voilà le problème basique de la censure [par ces médias] : ils créent un système opaque où les gens ne peuvent pas voir quel est le motif derrière cette censure.
© Alain Leger pour Dreuz.info.
AFP 4 Janvier 2017
Donald Trump a désavoué à nouveau mercredi les services américains de renseignement qui ont conclu à une interférence de la Russie dans la présidentielle, et apporté du crédit au site Wikileaks selon lequel Moscou n’est pas à l’origine des piratages informatiques dans la campagne électorale.
Le fondateur du site Wikileaks «Julian Assange a dit qu’un ado de 14 ans pouvait avoir piraté [John] Podesta alors pourquoi le parti démocrate a-t-il été si négligent? [Assange] a aussi dit que les Russes ne lui avaient pas transmis les informations», a écrit mercredi matin dans un tweet le futur président des Etats-Unis.
Les services américains de renseignement, mais aussi des entreprises privées de sécurité informatique à priori indépendantes, affirment – sans pour l’instant avoir donné publiquement des preuves tangibles – que Moscou est à l’origine de fuites de courriels du parti démocrate et de John Podesta, le directeur de campagne de Hillary Clinton.
La CIA est convaincue que ce sont les Russes qui ont donné les courriels à Wikileaks. Julian Assange a toujours démenti avec véhémence et se défend d’avoir été manipulé par la Russie pendant la campagne américaine.
L’équipe de M. Trump avait aussi rejeté les conclusions de la CIA, jugeant que les analystes qui y sont parvenus «sont les mêmes que ceux qui disaient que (l’ancien président irakien) Saddam Hussein disposait d’armes de destruction massive».
Mardi soir, Donald Trump a encore douté des conclusions des services de renseignement, suggérant qu’un briefing avec eux avait été reporté.
«Le briefing du ‘Renseignement’ sur le prétendu ‘piratage russe’ a été reporté à vendredi, peut-être faut-il plus de temps pour construire un dossier. Très étrange!», avait tweeté le président élu sans plus de détails.
WikiLeaks accuse l’administration Obama de destruction de documents
L’organisation dirigée par Julian Assange estime que de nombreuses données ont été supprimées depuis novembre, et offre une récompense de 20.000 dollars à tout informateur pour le prouver.
WikiLeaks en est persuadé : l’administration Obama détruit des documents avant de laisser les rênes à Donald Trump. Aussi, l’organisation dirigée par Julian Assange a promis mardi 3 janvier une récompense pour tout renseignement fuité de la Maison Blanche avant le départ du président américain.
« Avis aux administrateurs informatiques : ne laissez pas la Maison Blanche détruire à nouveau l’histoire des Etats-Unis! Copiez (les documents) maintenant, et envoyez (les) à WikiLeaks quand vous voulez ! », a annoncé sur Twitter l’organisation spécialisée dans les révélations de documents secrets.20.000 dollars pour une preuve
« Nous offrons une récompense de 20.000 dollars pour toute information permettant l’arrestation ou la mise à l’index de tout agent de l’administration Obama ayant détruit des dossiers importants », poursuit le site.
Une mise à prix justifiée par la disparition de deux Terraoctets de données en novembre dans le cadre de l’affaire des emails d’Hillary Clinton, comme l’explique Wikileaks sur Twitter.
https://www.youtube.com/watch?v=FPyWp4DtzSg
Sous l’aile de l’ange..
dans il était une fois l’amérique, j’avais toujours trouvé que j Woods assurait mieux que De Niro
A reblogué ceci sur josephhokayem.