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Propagande et Manipulation : Les journalistes version Coluche VS La communication selon Trump

[Vidéos] Les journalistes – Coluche

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 » La presse libre n’existe pas. Vous, chers amis, le savez bien, moi je le sais aussi. Aucun de vous n’oserait donner son avis personnel ouvertement. Nous sommes les pantins qui sautent et qui dansent quand ils tirent sur les fils. Notre savoir faire, nos capacités et notre vie même leur appartiennent. Nous sommes les outils et les laquais des puissances financières derrière nous. Nous ne sommes rien d’autre que des intellectuels prostitués « .

John Swinton, l’éditeur du New York Times, lors de son discours d’adieu.

http://arretsurinfo.ch/videos-les-journalistes-coluche/

Surprise! (pour moi, à tout le moins) : Le Washington Postappartient au PDG et fondateur d’Amazon, Jeff Bezos

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English abstract

Something I did not know:
The Washington Post belongs to Amazon founder & CEO
Jeff Bezos, 4th richest person on the planet
jeff_bezosIf you’re like me, maybe you did know that this den of fake news and disinformation know as The Washington Post was sold back in 2013 to the founder and CEO of Amazon, Jeff Bezos. Wikipedia mentions that the rag was sold for a mere $250 million US in cash by its longtime owners, the Graham family, to Nash Holdings LLC, a society formed by Bezos for the purpose of this acquisition. Something else I did not know: Wikipedia states that Bezos is the 4th richest  person in the world, with an estimated net worth of $66.7 billion US as of December 2016. Someone definitely worth being aware of. And someone president-elect Donald Trump is definitely aware of: Trump has repeatedly said that Amazon has “a huge antitrust problem” and that it ought to be paying more taxes. He’s also routinely criticized The Washington Post, denying its reporters press credentials, saying it was merely a mouthpiece for Amazon, and threatening to sue it for reporting on him. Trump’s infamous quote about how he will “open up our libel laws” specifically called out the Post, also notes. – HT

Le Washington Post appartient au PDG et fondateur d’Amazon, Jeff Bezos

  • Quatrième personne la plus fortunée sur la planète

J’en apprends définitivement tous les jours. Si vous êtes comme moi, vous ne saviez peut-être pas que cet antre de désinformation connu sous le nom de Washington Post avait été vendu en 2013 au fondateur et PDG d’Amazon, Jeff Bezos. Wikipédia mentionne que la feuille de chou a été vendue à la société Nash Holdings LLC (créée par Bezos exclusivement pour cette transaction) pour la modique somme de 250 millions $ US par la famille Graham*, qui la possédait depuis 1933. En passant, Wikipédia mentionne qu’un membre éminent de cette famille, Donald E. Graham, est membre du conseil d’administration d’un autre tentacule de Big Brother, Facebook Inc.

Donald E. Graham est né en 1945

Donald E. Graham, né le 22 avril 1945

Et si, comme moi, vous ne connaissiez pas Jeff Bezos, vous serez sans doute tout aussi surpris d’apprendre que, toujours selon Wikipédia, il serait la quatrième personne la plus fortunée sur notre planète, avec des actifs actuellement estimés à 66,7 milliards de dollars US (décembre 2016) — ce qui en fait certainement une personne dont les faits et gestes méritent d’être surveillés. Selon Wikipédia, le « philanthrope » (sic) George Soros fait « seulement » partie du cercle des 30 personnes les plus riches sur la planète…

jeff_bezos_amazonBezos, BOSOs, ça rime, non? BOSOs est l’acronyme de “Benevolent” Occult Satanist Overlords (nos « bienveillants » maîtres occultes satanistes), expression que je privilégie pour décrire ces gens qui manipulent dans l’ombre les ficelles du pouvoir, alias l’élite, les illuminati, la cabale, les banksters, les mondialistes, etc.

Jeff Bezos n’a cependant pas échappé à l’attention du président élu Donald Trump, qui a déclaré à plusieurs reprises qu’Amazon aurait des comptes à rendre en matière de concentration d’entreprises, et que cette société devrait payer plus d’impôts.

Henri Thibodeau RiderInBlack Henri’s Web Space


C'est un club, et vous n'en faites pas partie

C’est un club, vous n’en faites pas partie, et « Nous aimons ça comme ça! »

https://henrithibodeau.wordpress.com/page/2/

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France-Presse – Donald Trump a souvent dénoncé en public la couverture « malhonnête » des grands médias à son égard, accusant notamment CNN de mentir.

Juste un jour après avoir organisé un sommet avec les principaux dirigeants des médias grand public à la Trump Tower qu’il a défini comme «malhonnêtes, menteurs et trompeurs, » Trump , ce matin , a continué sa rivalité avec les médias en annulant une réunion prévue avec le » New York Times en déroute »  Un tweet envoyé par Trump , ce matin , a indiqué que la réunion a été annulée après que le New York Times a essayé de changer les » termes et conditions « de la réunion que Trump  a jugé« pas gentil ».

Washington — Le président élu américain Donald Trump a annoncé mardi sur Twitter qu’il annulait un entretien prévu avec le New York Times,  un journal qu’il accuse sans cesse de le traiter de façon trop partiale, dans un nouvel épisode de sa guerre ouverte contre certains médias.

L’influent quotidien new-yorkais a rapidement réagi en affirmant sur son site n’avoir appris l’annulation qu’en lisant les tweets du milliardaire.

« J’ai annulé la réunion prévue aujourd’hui avec le @nytimes en déroute quand les termes et conditions de la réunion ont été modifiés au dernier moment. Pas bien », a écrit le milliardaire sur son compte personnel en début de matinée.

« Peut-être qu’une nouvelle réunion sera organisée avec le @nytimes. En attendant, il continue de me couvrir de façon inexacte et avec un ton désagréable ! » a poursuivi Donald Trump.

Dans un troisième tweet, il a lancé une pique sur le nombre record de plaintes de lecteurs visant le journal depuis 15 ans, annoncé par le quotidien lui-même.

« Nous n’avons pas changé les règles de base du tout et n’avons pas tenté de le faire », a assuré une porte-parole du New York Times, Eileen Murphy, citée dans un article paru en ligne peu après la salve du magnat de l’immobilier. C’est au contraire l’équipe de Trump « qui a tenté hier, en demandant qu’on ne fasse qu’une réunion privée, sans partie « on the record » [pouvant être publiée], ce que nous avons refusé », poursuit-elle.

La porte-parole ajoute que le journal a appris l’annulation « en lisant les messages de M. Trump sur Twitter », le média favori du milliardaire pour réagir à l’actualité.

Cette nouvelle salve suit une réunion en coulisse lundi avec plusieurs hauts responsables des grandes chaînes de télévision américaines et de présentateurs vedettes. Le président élu a profité de cette rencontre, pas inhabituelle en soi pour un président élu américain, pour sermonner les représentants des chaînes sur leur couverture qu’il trouve injuste envers lui, selon les fuites dans les médias américains. Il a souvent dénoncé en public la couverture « malhonnête » des grands médias à son égard, accusant notamment CNN de mentir.

Alors que Trump n’a jamais eu une excellente relation avec le New York Times, la situation est devenue nucléaire en Octobre quand ils ont obtenu et publié une copie de sa déclaration de revenus 1995 avec un titre sans fondement impliquant qu’il n’avait pas payé d’impôts en 20 ans. En réalité, la déclaration d’impôt révélait simplement l’utilisation de Trump des pertes nettes d’exploitation pour compenser le revenu ordinaire , ce qui est une pratique assez courante employée par de nombreux propriétaires d’entreprises.

Certes, le début de sa présidence semble indiquer que Trump va continuer à avoir une relation assez controversée avec les médias pour les quatre prochaines années …. et nous soupçonnons que ses partisans sont très bien avec cela.

Avec Zero Hedge


Alors que notre site, Voltairenet.org, prouve qu’il est possible depuis longtemps déjà de communiquer sur des sujets politiques en passant outre les anathèmes des grands médias, Donald Trump s’est engagé sur la voie que nous avons ouverte et que bien d’autres ont déjà prise. Pour avoir des nouvelles de la prochaine administration états-unienne, il ne faut plus lire le New York Times qui cherche à la caricaturer, mais des sites Internet comme Breitbart.com. Le président ne répond plus aux questions de la grande presse, mais s’exprime sur twitter.com/realdonaldtrump.

| DAMAS (SYRIE) | 15 DÉCEMBRE 2016

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Les règles régissant la communication politique moderne ont été imposées par les États-Unis, qui étaient jusqu’à présent dominés par l’idéologie puritaine (expression politiquement correcte, excuses publiques de ses fautes valant absolution, croyance d’avoir été choisis par Dieu pour éclairer le monde, séparation entre les WASP et les minorités, croyance dans la richesse comme un don de Dieu à ceux qui le servent, etc.). En renversant l’idéologie puritaine incarnée par Washington en général et la dynastie Clinton en particulier, Donald Trump a également mis fin aux règles actuelles de la communication politique.

Il n’a pas fondé sa campagne électorale sur de grands shows mi-divertissements/mi-politiques. Alors que les autres candidats se mettaient en scène aux côtés des stars du show-business et utilisaient des budgets pharaoniques, il s’est focalisé sur son message et a dépensé 10 fois moins d’argent que ses concurrents.

Considérant que les médias en général lui étaient hostiles, il ne leur a presque pas donné d’interviews et n’a pas cessé, dans chacun de ses meetings, de dénoncer leur parti-pris. Sa porte-parole n’a jamais tenté de séduire les journalistes, au contraire, elle s’est appuyée sur des sites Internet contestataires, qu’ils disposent déjà d’un public ou pas ; son directeur de campagne animant lui-même un de ces sites, Breitbart.com.

Orientant sa campagne contre la classe politique de Washington, il n’y a pas loué de locaux de campagne et est resté dans sa Trump Tower à New York. Logique avec lui-même, il n’a pas plus loué de locaux à Washington pour y installer son équipe de transition. De fait, tandis que l’administration Obama gère les affaires courantes à Washington, le futur se décide à New York.

Une fois élu, il n’a donné ni conférence de presse, ni interviews, mais s’est adressé directement aux États-uniens via Twitter et YouTube. C’est la première fois qu’un chef d’État s’adresse ainsi à son peuple en court-circuitant les grands médias.

Comme si la campagne électorale n’était pas terminée, il a entrepris une tournée de remerciements en tenant de nouveaux meetings, dont la presse évite de parler. Dans ses discours, il remercie d’abord les électeurs des minorités (femmes, hispaniques, afro-américains et gays) qui ont voté pour lui malgré l’image raciste que les grands médias lui avaient collée. Il répète son message, non pas contre les élites, mais contre le mode de fonctionnement qu’elles ont adopté à Washington et l’idéologie puritaine qu’elles incarnent. Enfin, il annonce ses premières décisions. En matière de politique étrangère, il confirme ainsi mettre fin au Traité Trans-Pacifique qui a été conclu contre la Chine, mettre fin aux changements de régimes (y compris en Syrie), substituer partout où cela est possible de la coopération à l’actuelle confrontation (y compris avec la Russie), et réformer les services secrets dont l’unique fonction aujourd’hui est d’assassiner des leaders du tiers-monde.

(Voir à partir de la 46ème minute)

Jadis, la presse présidentielle disposait de confortables locaux à la Maison-Blanche et décidait les thèmes qui devaient être discutés. Aujourd’hui, la plupart de ses membres ont déserté Washington et attendent toute la journée au pied de la Trump Tower que « le » Donald veuille bien descendre, accompagner un de ses hôtes à sa voiture et jeter au passage quelques mots à la volée.

Les grands médias, écrits et audio-visuels, persistent à brocarder le président élu, à l’accuser d’incompétence et d’extrémisme, mais lui n‘en a cure. Il est parvenu à passer au-dessus de leur tête et à communiquer directement avec ses compatriotes.

http://www.voltairenet.org/article194505.html


« First Draft News » : un réseau de médias pour lutter contre la « désinformation » (Humour)

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Breitbart News se préparerait à s’implanter en Allemagne et en France. Pour ne pas se retrouver démunis devant ce type de fausses infos, de grands médias français comme France Télévisions, Radio France, Le Monde, France 24, des quotidiens régionaux et l’AFP ont décidé de rejoindre Google, Twitter et Facebook au sein d’un réseau, First Draft News, qui vise à vérifier ce que l’on appelle les fake ou les hoax, c’est-à-dire les canulars d’actualité.

Le réseau qui regroupe déjà 300 rédactions dans le monde a été créé en septembre, en pleine campagne américaine. Il a accouché d’une plateforme collaborative, Check, qui permet de vérifier les rumeurs et dont il n’est pas impossible, qu’elle ne débouche en France sur un site à destination du grand public. L’idée : permettre à chacun de se rapporter à la vérité alors que la France craint d’être la prochaine cible de ces faiseurs de fausses infos lors de la campagne présidentielle.

Il ne s’agit pas seulement de vérifier les faits. Il s’agit aussi d’échanger des connaissances entre rédactions, de signaler comme faux ou douteux des contenus, voire de faire incarner des faits par des vidéos d’experts. […]

http://www.fdesouche.com/808459-first-draft-news-un-reseau-de-medias-pour-lutter-contre-la-desinformation#

Face à Gilbert Collard, une journaliste admet sans s’en rendre, et tente ensuite de se reprendre, que les journalistes brouillent le message du Front national :

Elle ne va pas faire long feu, dès que le petit flicaillon de la pensée Patrick Cohen va s’en mêler.

 © Christian Larnet pour Dreuz.info.

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EN BANDE SON :  

Sunday Papers
Mother doesn’t go out anymore
Just sits at home and rolls her spastic eyes
But every weekend through the door
Come words of wisdom from the world outside
If you want to know ’bout the bishop and the actress
If you want to know how to be a star
If you want to know ’bout the stains on the mattress
You can read it in the Sunday papers
Sunday papers
Mother’s wheelchair stays out in the hall
Why should she go out when the TV’s on?
Whatever moves beyond these walls
She’ll know the facts when Sunday comes along
If you want to know ’bout the mad punk rockers*
If you want to know how to play guitar
If you want to know ’bout any other suckers
You can read it in the Sunday papers
Read it in the Sunday papers
Sunday papers, don’t ask no questions
Sunday papers,

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