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World Government Summit à Dubaï : le sommet des gouvernements du monde prône le globalisme !

World Government Summit à Dubaï : le sommet des gouvernements du monde prône le globalisme

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Reinformation.tv évoquait la semaine dernière le World Government Summit de Dubaï : sorte de Davos version arabe mais avec les mêmes protagonistes et les mêmes objectifs. C’est ce que vient confirmer un article d’analyse du New American qui a regardé de près nombre d’interventions au Sommet des gouvernements du monde ou la Banque mondiale, le FMI, l’OCDE, et bien d’autres gouvernements nationaux et responsables de multinationales et de très gros médias qui côtoyaient le secrétaire général de l’ONU pour prôner le globalisme.
 
Peu couvert par les grands médias, le sommet qui mobilise pourtant les plus grands de ce monde s’est révélé assez bavard sur ses présupposés multiculturels et étatistes, sans compter bien sûr son adhésion sans faille aux Objectifs du développement durable de l’ONU. Il est avant tout intéressant de noter que tout cela est organisé annuellement par des responsables islamiques qui s’inscrivent parfaitement dans le Nouvel Ordre Mondial « multipolaire » mais finalement univoque.
 

Le World Government Summit de Dubaï : le pendant de Davos

 
Le fondateur du Forum économique mondial de Davos, Klaus Schwab, a profité de l’occasion pour rappeler aux participants qu’il était urgent de mettre en place un régime de régulation globale pour répondre aux problèmes globaux – « réels ou imaginaires », commente Alex Newman du New American. « Nous devons unir nos efforts nationaux et globaux pour surmonter les défis de l’énergie nucléaire et du changement climatique qui menace l’humanité, nous devons promouvoir l’identité nationale et la citoyenneté globale », a déclaré Schwab, annonçant qu’il fallait trouver une nouvelle « harmonie » entre ces deux facteurs, avant de saluer l’exemplarité des Emirats arabes unis « qui ont adopté trois valeurs centrales. Le respect de la dignité humaine et de la diversité culturelle, le service à la communauté, et la responsabilité de chacun envers ses enfants et sa famille ». Un sens de la responsabilité si facile à manipuler en brandissant la peur : celle du « changement climatique » par exemple.
 
« Le rôle des gouvernements pour ce qui est de façonner l’avenir de leurs citoyens n’a jamais été aussi important qu’aujourd’hui », a-t-il ajouté, ce qui renvoie bien sûr à toutes les expériences d’ingénierie sociale en cours mais aussi à l’organisation de la cité.
 
Cette organisation de la cité mondiale suppose la fin des indépendances nationales. C’est ce qu’a suggéré le nouveau secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, se lamentant de nouveau de la mauvaise presse actuelle du globalisme qui a pourtant apporté tant de bienfaits – dit-il – dans de nombreux pays. C’est l’absence de réponses justes et coordonnées face à la crise des migrants de la part de l’Europe, par exemple, qui a alimenté selon lui la défiance à l’égard des institutions internationales, selon lui. « C’est le meilleur terreau possible pour que les populistes, les xénophobes, tous ceux qui développent des formes de haine anti-islamique ou l’antisémitisme… jouent un rôle dans nos sociétés. Et je crois qu’il ne suffit pas de condamner la xénophobie, il ne suffit pas de condamner le populisme, je crois que nous devons être capables de nous engager dans la réponse aux causes profondes qui font qu’il est si simple d’être populiste dans le monde d’aujourd’hui », a-t-il dit.
 

Le sommet des gouvernements du monde met à nu son globalisme

 
Interrogé sur le choix de la nouvelle administration des Etats-Unis de promouvoir « l’Amérique d’abord », Guterres a répondu  : « Dans un monde où tout est global, où les problèmes sont globaux – depuis le changement climatique jusqu’aux mouvements des peuples – il n’y a aucun moyen pour que les pays y arrivent seuls. Nous avons besoin de réponses globales, et les réponses globales ont besoin d’institutions multilatérales capables de jouer leur rôle. »
 
Le socialiste Guterres – ex-président de l’Internationale socialiste, pas moins – emploie beaucoup cette rhétorique du monde « multipolaire », chère aux membres de l’ex-bloc communiste et volontiers employé par la Chine et la Russie. Ainsi a-t-il plaidé pour une réforme du Conseil de sécurité de l’ONU et celle de la redistribution des « votes dans les institutions financières internationales ».
 
Sans surprise, Xi Jinping, qui était présent à Davos en personne, l’était dans tous les esprits à Dubaï : le président chinois est devenu le champion toutes catégories du mondialisme. Il a été très largement cité au cours des interventions : « Le discours de Xi Jinping à Davos a été fréquemment évoqué comme l’exemple d’engagement à l’égard de la globalisation et de la citoyenneté globale », commente un blogueur du Huffington Post. Ne jamais oublier que Xi est le secrétaire général d’un parti communiste au pouvoir dans un pays communiste soucieux de son adhésion au marxisme et de sa fidélité à son histoire maoïste…

Mondialisme et globalisme avec Xi Jinping comme référent

 
Bien avant ce discours révélateur, affirme Alex Newman, « Xi et le parti communiste chinois qu’il dirige, et qui a tant au sang sur les mains, ont ouvertement fait la promotion de ce qu’ils nomment, avec leurs alliés occidentaux – George Soros, Kissinger, et David Rockfeller par exemple – le “Nouvel Ordre Mondial”. » Et il en déduit : « Si les communiqués officiels et les déclarations faites par Pékin et ses alliés aux visées totalitaires constituent un indicateur précis, le nouvel ordre qu’ils travaillent à imposer à l’humanité comporte une ONU aux pouvoirs nouveaux, régnant sur l’humanité. L’assemblée générale des Nations unies servira d’“ emblème de la souveraineté globale”, tel que l’ont désigné la dictature chinoise et d’autres régimes totalitaires lors d’une récente déclaration à propos du Nouvel Ordre Mondial. » Cette déclaration,on peut la trouver ici, commentée par le même journaliste.

Aujourd’hui, celui-ci pointe l’ironie de la participation du premier ministre japonais, Shinzo Abe, venu exalter un monde qui devient « plus divers sur le plan culturel » alors même que son pays possède des lois anti-immigration parmi les plus strictes au monde.

On notera, pour finir, qu’outre Elon Musk venu vanter l’idée de la fusion entre êtres humains et robots, un sociétaire du National Geographic, Dan Buettner, l’homme du « Projet Zones Bleues » est venu parler à Dubaï de ses travaux sur l’allongement de la vie humaine : une entreprise visant à régenter tous les aspects de la vie, depuis la taille des assiettes de votre déjeuner jusqu’à la matière de votre matelas et ce qu’il est convenable d’y faire. S’appuyant sur l’expérience des pays où l’on vit le plus vieux, le projet, qui fait l’objet d’un enseignement spécifique dans nombre de collèges américains, recommande même que l’on délaisse chaises et fauteuils pour s’asseoir par terre – histoire de brûler davantage de calories. Cerise sur le gâteau, le programme recommande de choisir ses amis selon leur style de vie ; et à l’inverse d’éviter ceux qui sont trop gros, ou déprimés, car « ces personnes tirent presque certainement votre comportement de santé vers le bas ». Le tout, c’est de bien choisir sa « tribu ». Une fois les belles promesses de santé mise à l’écart, le programme apparaît comme purement collectiviste.
 
Tout cela va bien ensemble.

http://reinformation.tv/world-government-summit-dubai-sommet-gouvernements-monde-globalisme-dolhein-66444-2/

Dubaï : l’autre rencontre mondialiste du Sommet des gouvernements du monde

Sommet gouvernements monde Dubaï mondialiste

Quatre mille participants, 150 intervenants, 139 pays représentés : la rencontre internationale de Dubaï, dans les Emirats arabes unis, est comme le pendant islamo-arabe de Davos, avec à peu près les mêmes thèmes mondialistes et une participation qui mobilise la majorité des pays de la planète. Le « sommet des gouvernements du monde » (World Government Summit ne se traduit pas par « gouvernement mondial ») a ses vedettes semblables à celle de la station suisse. Mais se vante d’être implanté dans un lieu par essence ouvert au monde, à l’inverse de Davos qui sombre dans la torpeur lorsque les élites mondialistes ont repris leurs nombreux jets pour rejoindre leurs pénates à grands coups de CO2…
 
L’édition 2017 a vu défiler, aux côtés des princes locaux, Elon Musk, Christine Lagarde du FMI, le président de la Banque mondiale Jim Kim, Mme Irina Bokova, l’ex-communiste bulgare chargée de l’Unesco, d’autres responsables de l’ONU, des politiques, des psychologues, des élus locaux, Joseph Stiglitz, et des ex : José Zapatero, Jorge Quiroga, sans compter la doyenne des maîtresses de yoga, Mme Tao Porchon-Lynch, et une très jolie professeure d’Ikebana. Et Jeffrey Sachs, bien sûr : comme le Vatican, Dubaï se focalise sur le changement climatique…

Le Sommet des gouvernements du monde parmi les keffiehs de Dubaï

 
N’oublions pas Mme Ohood al-Roumi, ministre d’Etat pour le bonheur (si, si !) dans les Emirats. Elle s’est adressée aux participants en conférence plénière sur le thème : « Le bonheur : une affaire sérieuse pour le gouvernement. » « Les gouvernements du monde entier reconnaissent de plus en plus que l’un de leurs objectifs fondamentaux est de promouvoir le bonheur de la société. Le bonheur, en tant qu’objectif de développement, est une étape importante vers la mise en place du progrès holistique », annonce le site du WGS.
 
« Le bonheur est-il affaire d’Etat ? » Il y a quelques dizaines d’années, c’était un sujet de philosophie au bac français. On imaginait encore qu’il était possible de répondre « non ». L’eau a coulé sous les ponts : aujourd’hui, le gouvernement se mêle de tout et tout le monde est d’accord…
 
Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial de Davos, s’est adressé au Sommet dès son ouverture, dimanche. Toujours pour défendre la globalisation et le libre-échange. A Dubaï, un journaliste anglophone, Frank Kane, s’amuse du télescopage dans Arab News : pas besoin, ici, de s’en remettre à Xi Jinping ni de vanter les mérites du système chinois. Klaus Schwab a pu être « plus efficace ». Loin de Davos et de ses extravagances élitistes, il a pu – assure Kane – apporter la preuve que la globalisation profite à chacun, notamment « en tirant des centaines de millions de personnes, notamment en Asie, de la pauvreté ».
 

Le World Government Summit, l’« autre » sommet mondialiste

 
« Dubaï – ville cosmopolite toute l’année, plutôt que quelques jours de janvier comme Davos – est un lieu qui convient mieux pour entendre ce message. Accueillant plus de 100 nationalités, toutes les religions peuvent s’y pratiquer ouvertement, les normes du libéralisme et de la tolérance sont les plus élevées du Golfe arabe et parmi les plus élevés au monde. L’Emirat est un exemple de globalisation en pratique », écrit-il.
 
Est-il permis de sourire ? Quelle que soit la volonté d’adapter l’islam au monde post-moderne, reste que la charia inspire encore le droit pénal émirati et que l’apostasie – la conversion d’un musulman à une autre religion – y est toujours punie de mort, comme en Arabie saoudite, en Iran… ou sous le régime du Califat islamique. Dubaï sait certes attirer les hommes d’affaires internationaux, et employer des sikhs, des hindous ou des chrétiens du bout du monde pour les tâches inférieures, mais sa tolérance s’arrête là. La jolie mondialisation que voilà !
 
On s’est inquiété à Dubaï de l’émergence de mouvements politiques opposé à la mondialisation : « Nationalistes, adeptes de l’esprit de clocher, protectionnistes et xénophobes » – vous aurez reconnu Donald Trump et le Brexit. Schwab a évoqué « la crise identitaire des travailleurs de quelque part au centre des Etats-Unis qui ont vu l’industrie traditionnelle détruite par les nouvelles tendances globales, et dont la communauté est frappée par les problèmes sociaux et économiques d’un environnement post-industriel ». Il semblerait qu’on doive passer tout cela par pertes et profits…
 

L’élite mondialiste fait des courbettes aux Emirats lors du Sommet des gouvernements du monde

 
Kane n’a pas été convaincu par la réponse apportée par Schwab, notamment à propos de la Quatrième révolution industrielle et de ses effets qui bouleversent profondément les systèmes économiques et des sociétés – cette révolution qui a davantage provoqué la « réaction Trump », selon Schwab, que la concurrence d’une main-d’œuvre bon marché étrangère. Le fondateur du Forum économique mondial propose désormais une sorte de « compromis entre le nationalisme et la globalisation », une « humanisation du changement technologique » afin de venir à bout de la peur de l’avenir. Paroles creuses, commente Frank Kane.
 
A Dubaï, un journaliste bien en cour comme lui croit davantage la réponse émiratie face au protectionnisme. « Dans une société tournée vers l’avenir, la diversité et la tolérance, il se pourrait que l’on trouve les racines d’une nouvelle formule de gouvernement “responsable et réactif” adaptée au monde post-global. Cela semble être un meilleur incubateur pour ce nouvel ordre mondial que les vieux clichés fatigués de Davos », conclut-il.
 
Après la Chine, c’est le monde arabe qui se met sur les rangs de la gouvernance globale, dishdash et keffieh compris.

http://reinformation.tv/sommet-gouvernements-monde-dubai-mondialiste-66239-2/

Temple Baal World Government Summit

C’est la presse israélienne qui a été la plus choquée de la manière dont s’est déroulé le Sommet des Gouvernements du monde ou « World Government Summit » à Dubaï la semaine dernière : c’est elle qui dénonce le symbolisme très évocateur du choix des organisateurs d’ériger une réplique aux 2/3 de l’arche du temple de Baal pour l’occasion à Madinat Jumeirah. Impression 3D réalisée par l’Institute for Digital Archeology, l’édifice a été créé dans un geste de défi à l’égard de l’Etat islamique qui a détruit l’arche originale à Palmyre en octobre 2015. La copie de l’arc de triomphe romain des premiers siècles après J.-C. a été élevée en divers endroits du globe, à New York notamment et dans Trafalgar Square à Londres où il doit être installé de façon permanente. Non sans être passé par le sommet du G7 en Italie à la fin mai 2017.

Le premier élément du symbolisme est à chercher dans la personnalité de ceux qui ont assisté à l’inauguration officielle du monument dans les Emirats arabes unis le 12 février dernier. Outre les autorités locales, Irina Bokova de l’Unesco et Christine Lagarde du FMI étaient présentes, flanquées de cheiks arabes en habit traditionnel.

Signe du Temple de Baal, ou simple sauvetage archéologique ?

 
La sauvegarde d’une merveille archéologique comme celle-là n’est pas en soi un sujet le scandale. Une banque de millions de photos a permis de réaliser la réplique en marbre d’un monument détruit à jamais. Où est donc le problème ?
 
Pour certains juifs la réponse est évidente. Baal est l’idole païenne souvent évoquée dans la Bible, dont l’imposant temple se dressait à Palmyre – dans la Syrie d’aujourd’hui – dans la ville jadis nommée Tadmor. Le dieu Baal était avide de sang et en son nom, on sacrifiait des enfants.
 
Selon le rabbin Pinchas Winston, spécialiste de la fin des temps selon les croyances judaïques, sa présence dans une métropole arabe moderne a un sens caché, rapporte Breaking Israel News. Il voit en effet un lien entre Rome et les Emirats, lien spirituel et idéologique qui transcende le temps et l’espace.
 
« La tradition parle de quatre exils, le dernier étend l’exil romain. Israël est aujourd’hui assailli par les Arabes mais nulle part, on ne parle d’un cinquième exil, arabe ou d’“Ismael”. Cette arche romaine à Doubaï les relie symboliquement : Ismael, les Arabes, et Edom, incarné par Rome », estime ce rabbin.
 

Le World Government Summit fait inaugurer l’arche de Palmyre par Bokova et Lagarde

 
Construite à l’origine par l’empereur romain Septime Sévère, l’arche fut érigée devant un temple déjà existant utilisé par les Mésopotamiens, évoqué dans le livre des Rois.
 
« Tout comme les Romains, les Arabes essaient de contrôler le monde, et ils y parviennent. Même si ce sont les Arabes contre les juifs, ce sont en réalité les Arabes qui poursuivent la mission d’Edom de conquérir le monde. Cette connexion entre Dubaï et Rome montre qu’Edom ne s’est jamais arrêté. Il se contente de porter un autre masque », assure le rabbin. Il en réfère à un sage juifs du premier siècle, Jonathan ben Uzziel évoquant la réapparition de l’alliance biblique entre Ismaël et Esaü aux derniers jours. Pour le rabbin Winston, elle passe aujourd’hui par Rome, représentée par le pape François, et l’autorité palestinienne, le président de l’Iran et d’autres représentant le monde arabe, qui l’ont rencontré.
 

Baal et ses fêtes qui idolâtrent la Terre mère…

 
On peut s’interroger sur le sérieux de l’interprétation judaïque, qui annonce une poussée vers le gouvernement mondial – la même que du temps de la tour de Babel – visant Israël comme l’ennemi et partant de Rome avec la complicité arabe, s’appuyant sur l’« Intellect humain » plutôt que de se soumettre à « l’Unique qui règne sur chacun d’entre nous ».
 
Mais quoi qu’il en soit, on peut noter que la première apparition de la réplique de l’arche de Baal a eu lieu le 19 avril dernier à Londres au cours de la semaine du patrimoine de l’Unesco : c’est la date des festivités traditionnelles celtiques de Beltane, non sans lien avec celles du début de l’été en Mésopotamie où Baal était célébré au moyen d’orgies bisexuelles et de sacrifices d’enfants brûlés vifs, dans une commune idolâtrie de la Terre mère.
 
Aujourd’hui, les célébrations de Beltane, avec les fêtes de l’arbre de mai notamment restent en vogue parmi les conservateurs des traditions populaires ; mais aussi les néo-païens et les adeptes de la sorcellerie, les « wiccans » qui les prennent très au sérieux.

Anne Dolhein

http://reinformation.tv/temple-baal-world-government-summit-dolhein-66434-2/

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EN BANDE SON : 

3 réponses »

  1. C’est bien la preuve qu’à travers le concept du « Nouvel Ordre Mondial »,
    et de ses serviteurs zélés, nous sommes gouvernés par des psychopathes et par des adorateurs de cultes satanistes, incluant peut etre aussi des sacrifices humains….
    On voit aussi très bien la connivence des pays arabes avec les engences satanistes du Supra Gouvernement Mondial.
    Comment a-t-on pu en arriver là ??
    Et on voit bien se profiler en filigrane derrière tout celà, le destin redoutable
    que les dirigeants du « Nouvel Ordre Mondial » voudraient nous imposer.

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