Aristote contre Platon

Donald Trump, comme Périclès sur la Pnyx !

Donald Trump, comme Périclès sur la Pnyx !

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Publié le 19 février 2017 Hildegard von Hessen am Rhein.

Pour mémoire, il a dû vaincre, pour arriver dans le bureau ovale, toutes les forces du N.O.M. liguées contre lui. Ces forces sataniques globalistes, dépensaient sans compter des centaines de millions de $ ! Ce sont les neocons idéologues démocrates et républicains, dont John McCain, le politicien sans avenir, qui servent les intérêts particuliers des grands groupes industriels, agro-alimentaires et le complexe militaro-industriel réunis. Sans oublier que les pressetituées sont à leur service. Et last but not least, Georges Soros qui a perdu 1 milliard $ sur sa pouliche vaincue …

Seul contre tous, le Donald. Je le comparais à Gargantua de notre Rabelais. Quand le monde le donnait mort et enterré, j’observais le Gargantua américain en train de créer un mouvement populaire massif, que les pressetituées et leur rouleau compresseur niaient, ridiculisaient, moquaient, insultaient, humiliaient.

Gargantua président, le rouleau compresseur des pressetituées et de la candidate vaincue, persistent et signent pour non seulement faire dérailler la nouvelle administration, mais la faire couler, purement et simplement. Obama, qui ne supporte pas, que son « héritage » globaliste, islamo-collabo ne soit perpétué, a installé 250 bureaux, qui comportent 3000 agitateurs à travers le pays pour miner l’administration Trump. Il a revêtu son habit d’origine, celle de l’agitateur gauchiste.  Une des ses réussites post-présidentielle, est, que le très estimé Général Flynn, nommé Secrétaire d’Etat à la Sécurité, le meilleur choix du monde, a dû donner sa démission, pour « soi-disant » collusion avec un ambassadeur de Russie. Ce qui est faux. Les arguments avancés, sont ceux que j’écrivais déjà il y a quelques temps, donc, Flynn est accusé sur des éléments connus, qui n’avaient rien à voir avec une éventuelle collusion. En lien. Mais, il fallait que Trump soit habile et semble faire, pour une fois profile bas devant l’ennemi intérieur. Ce qu’il a fait, en acceptant la démission du général, sacrifié sur l’autel « d’intérêts supérieurs ».

Avant cela, encore Président, Obama sabotait la politique étrangère de son futur successeur. Du jamais vu dans l’histoire de la politique des Etats Unis. Expulsions manu-militari de diplomates et industriels russes, sans aucune raison, que celle, qui prétendait faussement, que la Russie avait piraté les serveurs DNC (Democrat National Convention). Nous savons par Wikileaks que tout cela n’est que mensonge. Obama espérait au dernier moment une réaction émotive de Moscou qui aurait provoqué une guerre réelle, alors qu’il avait déjà installé une seconde guerre froide et encerclée la Russie par l’OTAN interposé, espérant lancer une vraie guerre avant l’investiture officielle de Trump. Ce qui lui aurait rendu la présidence pratiquement ingérable.  La Russie, sagement, n’a pas réagi à ces provocations. Les européens eurent le trouillomètre à zéro et ne bougèrent pas.

Dans l’administration US restent encore des « résidus » d’Obama qui lui sont fidèles, d’où ces fuites illégales aux pressetituées concernant le Général Flynn. Ces fuites organisées par les fidèles d’Obama encore en poste, sont des actes criminels, qui vaudront à leurs auteurs des années de prisons. Le Président Trump vient de faire ouvrir l’enquête et les félons ne devraient pas échapper à la justice. Ajouté que, depuis son investiture, Donald Trump tient ses promesses, ce qui défrise le tout Washington, le tout monde et les pressetituées à leur service. Elles vont donc bon train, les pressetituées, à mentir, manipuler, inventer de fausses informations pour faire croire au peuple américain qu’il s’est trompé de candidat.

Et c’est bien là que le Président Trump est incroyable. Il se passe des pressetituées, en twittant régulièrement sur ses actions. Et il est moqué et contesté dans la rue par quelques stars d’Hollywood et les ONG financées par Soros, pour fomenter des troubles et autres émeutes dans les villes américaines. Tout cela c’est heureusement calmé, car aucun impact sur le Gargantua et son peuple.  Il continue de twitter et de contourner les pressetituées menteuses.

Avant-hier, le Donald a fait très fort. Lors d’une conférence de presse qu’il donnait à la Maison Blanche, les pressetituées en ont prit plein la gueule, permettez moi cette expression familière qui convient parfaitement à la situation. Particulièrement CNN, la Clinton News Network, qu’il n’accable plus de diffuser de fausses informations, mais de « très fausses informations ». Cris d’orfraies dans le monde des pressetituées suite à cette conférence de presse, ou le Président des Etats Unis a remis en place la fange. Il s’est même payé le luxe de faire le « watch dog » de la presse de son pays. Une presse dévoyée, idéologique et anti-américaine. C’est bien la raison pour laquelle, je les intitule « pressetituées ». Pire pour ce ramassis de journaleux, est que le Président hilare leur déclare à la face qu’il prend plaisir à les remettre en place ! Mis à part Fox News et son émission : Fox News Friends, qui eut droit aux compliments du Président, le reste fut balayé d’un revers de manche méprisant. C’est bien ce qu’ils méritent. Le Président, en outre a fait preuve d’un grand humour, c’est ce qui a rendu cette conférence amusante, malgré le sérieux des sujets. En lien et ne boudez pas votre plaisir. 

Suite à cette conférence de presse à la Maison Blanche, ou il a fustigé le ramassis de ne pas rapporter qu’il tient ses promesses électorales, le Gargantua fait encore plus fort. Il prend la décision de se rendre à Melbourne en Floride, pour rendre compte au peuple, directement, sans le filtre des pressetituées, qu’il tient ses promesses et que le peuple qui l’a conduit à la Maison Blanche pourra toujours compter sur lui.

Ses ennemis jurés de la pressetitution, le moquent en déclarant qu’il est en perpétuelle campagne électorale. Ce qui prouve leur déni, leur bêtise, leur incompétence, leur manque de réflexion. Car si la presse était honnête, le Président ne sortirait pas de son bureau ovale, car elle rapporterait ce que fait le Président. Aucun Président avant lui n’a lancé autant de projets de campagne en si peu de temps que Donald Trump. Ça leur écorcherait les doigts de le reconnaître. Cependant, petit à petit, des « mea culpa » se font entendre ici et là. Ce n’est que le commencement. Car, lorsque Trump aura accompli ses promesses, les humiliations, insultes et autres moqueries cesseront d’elles-mêmes. Il faut avouer qu’une telle hystérie contre un Président US est du jamais vu et à la hauteur des enjeux pour certains, qui risquent de perdre gros. A savoir la fange neoconienne, corrompue, démocrate et républicaine de Washington.

Il faut voir ce rassemblement massif en Floride, en lien. Je mets 2 vidéos, une sur le discours, ou l’on ne voit que le Président constamment filmé en gros plan pour éviter de balayer la foule immense. La liesse populaire pour son Président est à son comble, lorsque le Président fait monter un homme du peuple, au grand dam des services de sécurité, cet homme, totalement dévasté par l’émotion d’être invité à se tenir auprès de son Président, lequel l’invite même à tenir quelques propos devant une foule en délire et reconnaissante au Président de tenir ses promesses.

Par la cupidité, la corruption, la collusion, la mauvaise foi, la malhonnêteté des médias, le Président Trump est contraint de rendre compte directement à son peuple pour détourner les mensonges des pressetituées. Court-circuitées elles couinent dans tous les sens. Elles n’ont qu’à s’en prendre à leur bêtise.

Finalement, le Président Trump n’est-il pas l’héritier direct de Périclès qui haranguait les athéniens sur la Pnyx ?

http://hildegardvonhessenamrhein.over-blog.com/2017/02/donald-trump-comme-pericles-sur-la-pnyx.html

Trump et Poutine partagent la croix de la déposition. Le plan est simple : pour Poutine, la Cour internationale de justice (crimes contre l’humanité) et, pour Trump, le procès en haute trahison. Avis aux souverainistes européens : les crocodiles ont la dent dure.

Côté Trump, les innombrables fuites et sabotages organisés par le marécage washingtonien, ou encore les récentes campagnes individuelles d’intimidation des élus, ont visé à séparer de Trump le Congrès républicain… au point que le président ne parvenait pas à recruter assez vite ses collaborateurs, les candidats devenant soudain frileux. La rumeur de la démission forcée de Trump s’embrasait…

Ainsi, l’on observait que les ministres de Trump, son vice-président ou encore son ambassadrice aux Nations unies faisaient tous le grand écart sur la scène internationale, à la limite de contredire leur chef, tandis que le vénérable McCain se comportait comme « le patron » devant les frileux courtisans européens qui participaient au Forum de Munich.

McCain, ni plus ni moins, a « fascisé » Trump, rompant avec la tradition (on ne critique jamais son président à l’étranger). Le vice-président, lui, recevait des compliments… de Bono, ce dernier espérant sans doute le voir bientôt remplacer Trump, une fois le programme législatif (santé et économie) de la Maison-Blanche mis en branle par le Congrès. Bref, Trump disposait d’une marge de survie de 2 ou 3 mois.

Il fallait réagir. Il l’a fait lors de sa conférence de presse du 16 février en réussissant le prodige de convertir l’opinion (derniers sondage Fox News) à l’idée que la vérité provient plus de Trump que des médias.

Le lendemain, il précisait : « Les médias (NBC, ABC, CNN, CBC, NY Times) ne sont pas mes ennemis. Ils sont les ennemis du peuple américain ! » Et le surlendemain, il organise son bain de foule en Floride devant 9.000 personnes (sans parler de celles amassées à l’extérieur du bâtiment) afin de mater les parlementaires républicains tentés par le séparatisme. Démonstration de force…Avec le clin d’œil de Melania Trump à la communauté des chrétiens. Le meeting de Melbourne (Floride) a, en effet, commencé comme une cérémonie, Melania disant le « Notre Père » avec une foule qui s’est impliquée. Pas mal, pour cette First Lady que l’on présente épisodiquement comme la « Première Catin » du pays ! Et qui s’est montrée très ferme à la tribune. L’eau qui dort…

La situation est surréaliste : entre Munich et la Floride, il y a eu la réunion à huis clos de la commission du Congrès sur les relations de Trump avec Poutine, et les nouvelles sanctions contre Poutine… La tâche est donc immense : fonctionnaires, juges, médias, professeurs, artistes, services secrets, cartels étrangers – tous œuvrent pour la mort civique de Trump. Ils ne lâcheront pas…

Mais les atouts sont là, et la Bourse en forte hausse l’a compris : en 16 semaines, Trump a fait annoncer par 14 entreprises la création ou le maintien de 213.000 emplois, 10 de ces entreprises s’engageant à investir 80 milliards de dollars dans le pays. Reste à « encadrer » les républicains du Congrès pour qu’une bonne fois pour toutes son plan fiscal, sa réforme du plan de santé et son plan d’infrastructure se mettent en branle. Un citoyen avait mis une pancarte devant sa maison spécifiant : « Les parlementaires sont comme deux ivrognes contestant l’addition au bar du Titanic. » Bien vu…

http://www.bvoltaire.fr/andrearchimbaud/trump-chasse-crocodile-floride,315192?mc_cid=2c5493a5b1&mc_eid=b338f8bb5e

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2 réponses »

  1. Bonjour, en complément des informations de Lupus, nous vous proposons avec son autorisation notre Revue de presse quotidienne :

    Revue de presse du jour comprenant l’actualité nationale et internationale de ce mardi 21 février 2017

    Est disponible dans la section Revue de presse de Crashdebug.fr
    https://www.crashdebug.fr/revue-de-presse

    Et toujours des documentaires exclusif en intégralité :

    François Fillon et la « stratégie du choc »
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/13102-francois-fillon-et-la-strategie-du-choc

    Merci Lupus,

    Amicalement,

    f.

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