1984

Marxisme Culturel – Tolérance à sens unique chez les étudiants américains : pour les musulmans mais pas pour la famille Trump

Tolérance à sens unique chez les étudiants américains : pour les musulmans mais pas pour la famille Trump

Tolérance étudiants américains musulmans Trump

La couturière de luxe Sophie Theallet a refusé d’habiller Melania Trump, l’épouse du président américain opposé à la submersion islamique. Rien qui puisse choquer les étudiants de l’Université de Wisconsin-Madison, sondés par l’association ADL (Alliance Defending Freedom, Alliance pour la défense de la liberté) : les jeunes cerveaux sont bien dressés à la tolérance à sens unique. Personne n’est vraiment surpris. Mais là où ça se corse, c’est quand les mêmes étudiants, répondant au même sondage, estiment qu’un chanteur musulman a parfaitement le droit de refuser de chanter dans une église chrétienne. Et un photographe chrétien devrait-il être autorisé à refuser de photographier un mariage homosexuel quand au Wisconsin, Amy Lawson, bloggeuse et propriétaire du site Amy Lynn Photography, conteste une loi de l’Etat obligeant tout photographe à réaliser des clichés d’un mariage homosexuel ? Sur ce sujet, les avis sont plus partagés mais une bonne partie soutient la loi. Commentaire de l’ADL : « Il semble que la liberté de vivre et de travailler selon vos convictions dépende de ce en quoi vous croyez. »

Le musulman peut refuser l’église, Trump ne peut refuser la mosquée

Rappelons que Sophie Theallet fait partie d’un groupe de couturiers qui refusent pour des raisons obstinément idéologiques d’habiller la famille de l’homme élu par ce peuple que désormais l’oligarchie juge inapte à partager la souveraineté. On compte parmi ces censeurs Zac Posen, Joseph Altuzarra, Derek Lam, Humberto Leon, Tom Ford, Christian Siriano. A l’inverse, Calvin Klein, Thom Browne, Tommy Hilfiger ou Marcus Wainwright acceptent d’habiller les infréquentables.
 
Concernant le droit du mahométan de refuser de chanter dans une église, un étudiant de Wisconsin-Madison résume l’esprit ambiant : « Ouais, si c’est contraire à ses convictions religieuses, je pense qu’il a le droit de refuser ». Globalement, ces jeunes gens refusent toute loi obligeant un chanteur – musulman en l’occurrence – à se produire dans une église. Mais les mêmes soutiennent la loi obligeant à photographier un mariage gay ou le boycott d’un président défenseur de la culture d’origine, qui refuse la soumission à la mosquée.

La tolérance des étudiants américains, concept à géométrie variable

Bref, le vaste mouvement d’individualisation forcenée, de désocialisation et de relativisme se poursuit et s’amplifie. Les universités sont les matrices historiques de la subversion et de l’application méthodiques sur les jeunes consciences des utopies de la toute-puissance de l’ego, antichambre du totalitarisme. L’année dernière, une vidéo tournée à l’Université de Washington montrait des étudiants enthousiastes à l’idée que les transgenres puissent utiliser les toilettes de leur choix : « Il faut respecter les droits de ceux qui ne se sentent pas en phase avec leur sexe biologique ». Ni doute, ni questionnement. Interrogés par Joseph Backholm, du Family Policies Institute, nos étudiants lui répondaient, avec un sens confondant de la discipline, que si ce dernier se sentait femme, « c’était très bien ainsi ». Même réponse s’il disait se sentir chinois ou n’être qu’un enfant âgé de 7 ans.
 
La nature n’existe plus, le relativisme est tout-puissant. Pas plus que la volonté populaire (on refuse d’habiller Mme Trump) ou la prééminence d’une culture et d’une foi (le christianisme en Amérique). Pire, si un élu se réclame d’une culture chrétienne et s’oppose à l’envahissement par une culture farouchement hostile et suprémaciste, le boycotter est hautement recommandable. La haine de soi prépare la soumission. 

http://reinformation.tv/tolerance-etudiants-americains-musulmans-trump-lenoir-67339-2/

La fin de l’identité : des étudiants de faculté n’osent plus affirmer la vérité

Fin identité étudiants vérité

Etudiante interrogée lors de la vidéo micro-trottoir. 

Une vidéo tournée par le Family Policy Institute (FPI) à l’université de Washington montre à quel point les étudiants américains sont atteints par le politiquement correct et le discours de l’idéologie du genre. C’est véritablement la fin de l’identité : confrontés à des affirmations manifestement fausses, ils n’osent plus répondre en vérité, craignant de porter atteinte à la liberté de leur interlocuteur ou de paraître « racistes ». « Ce serait drôle si ce n’était pas si triste », observe Claire Chrétien de LifeSiteNews.
 
La vidéo présente un micro-trottoir réalisé par Joseph Backholm, directeur du FPI, sur le campus de l’université de Washington. Il interroge successivement ses interlocuteurs sur son propre « genre », sa race, son âge et sa taille. Il plante le décor en se référant à la controverse qui fait rage actuellement aux Etats-Unis : des hommes transgenre ont-ils le droit d’utiliser les toilettes et les vestiaires des femmes ? Et vice versa ? La réponse politiquement correcte a déjà été largement dictée par les médias. Excellente mise en condition.

 
 

 L’idéologie du genre abaisse la perception de la vérité

 
De fait, la plupart des étudiants interrogés affirment trouver « très bien » que les transgenre puissent utiliser les toilettes publiques de leur choix. Prévoir des vestiaires uniques permettrait même à chacun de se sentir bien partout, répond en substance un des étudiants. Il faut respecter les droits de ceux qui ne se sentent pas en phase avec leur sexe biologique : la leçon a été parfaitement apprise et retenue et les étudiants la restituent pour la plupart sans poser de questions – ni même s’en poser.
 
Joseph Backholm leur dit alors qu’il s’identifie comme femme. La plupart lui répondent que c’est très bien, que c’est son droit le plus strict et que s’il se sent bien ainsi il n’y a plus rien à dire.
 
Le jeune homme pousse ensuite la logique un peu plus loin, en affirmant qu’il est chinois. Les réactions sont un peu plus dubitatives, mais pour finir tout le monde tombe d’accord sur le fait qu’il a le droit de se sentir chinois.
 
Qu’il puisse s’imaginer dans sa tête avoir sept ans, et demander à être traité en conséquence, ne leur pose finalement pas non plus de problème. Certains affirment même son droit de s’inscrire au CP. « Qu’il en soit ainsi, oui, tant mieux pour toi » répond une étudiante en riant. Elle imagine qu’il y a certainement des « communautés » ou il serait bien accepté en fonction de son identité subjective.
 

Des étudiants prêts à accepter n’importe quelle relativisme

 
Le seul moment où la plupart des interlocuteurs calent, c’est lorsqu’il annonce qu’il fait 1,95 m alors qu’il mesure en réalité 1,80 m. Cela montre en creux à quel point la perception que peuvent avoir ces étudiants de la réalité est totalement polluée par le discours ambiant. Il ne saute pas moins à la figure que Joseph Backholm est un homme blanc mais c’est sur sa taille que les étudiants peinent à reconnaître qu’ils puisse être trompés par ce qu’il voit. L’incohérence est totale.
 
Claire Chrétien donne de nombreux exemples de personnes qui à divers degrés, ont nié leur propre identité parce qu’ils se sentent membres du sexe opposé, ou qu’ils s’identifient avec un animal, voire avec un dragon — allant jusqu’à subir ablation de nez et oreilles pour y ressembler — ou encore, parce qu’ils ont le sentiment d’avoir un autre âge que le leur. C’est le cas de Stefonknee Wolscht, ce père de famille canadien de sept enfants qui s’identifie comme une fillette de six ans.
 

La fin de l’identité – et donc de la pensée occidentale

 
A force de prendre connaissance de tels faits divers, de subir la propagande incessante des négateurs de réalité, il n’est pas si surprenant que des jeunes qui font pourtant des études supérieures soient à ce point contaminés.
 
Tout y concourt, puisque l’enseignement de la grammaire, qui en anglais comme en français fait aujourd’hui l’impasse sur le véritable sens du verbe être, et qui sème la confusion aussi bien sur les réalités auxquelles renvoient les pronoms que sur la différence entre sujet et objet, fait tout aujourd’hui pour noyer le principe d’identité et même la conscience de soi. Il est plus que jamais urgent de lire L’école des illusionnistes d’Élisabeth Nuyts. Les pauvres jeunes qui sont prêts à accepter qu’un jeune homme blanc puisse se percevoir comme une femme chinoise adulte avec un âge mental de sept ans ne sont probablement pas des idéologues mais des victimes.
 
Victimes de quoi ? De la haine de l’être.
 
Le seul remède est à l’évidence de revenir aux choses les plus concrètes, pour qu’ils cessent enfin de ne plus croire ce qu’ils voient de leurs yeux.
 

http://reinformation.tv/fin-identite-etudiants-verite-dolhein-54059-2/

1 réponse »

  1. Bonjour, en complément des informations de Lupus, nous vous proposons avec son autorisation notre Revue de presse quotidienne :

    Revue de presse du jour comprenant l’actualité nationale et internationale de ce mercredi 15 mars 2017

    Est disponible dans la section Revue de presse de Crashdebug.fr
    https://www.crashdebug.fr/revue-de-presse

    Et toujours des documentaires exclusif en intégralité :

    François Fillon et la « stratégie du choc »
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/13102-francois-fillon-et-la-strategie-du-choc

    Merci Lupus,

    Amicalement,

    f.

Laisser un commentaire