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Etats-Unis, Trump, c’est fini ? : la presse, alimentée par les fonctionnaires nommés par Obama, veut l’« impeachment » de Trump

C’est ce que pense de plus en plus de monde.

Rappel : le site Politico titrait, le 14 novembre 2016 : « Soros bands with donors to resist Trump, “take back power”. » Il y était question d’un séminaire de trois jours, tenu à l’hôtel Mandarin de Washington, rassemblant argent et cerveaux afin de mettre en place un plan de reprise du pouvoir. Au menu, un ensemble de techniques de déstabilisation (politiques, médiatiques, métapolitiques).

Le clan Clinton devait se faire pardonner d’avoir brûlé (deux fondations Clinton incluses) près de 4 milliards de dollars dans un échec électoral retentissant, de surcroît face à un histrion qui avait misé tout au plus 400 millions. Ceux du « plan Mandarin » ont ainsi saboté les « cent premiers jours » de Trump, l’embourbant dans de faux scandales à répétition, et surtout terrorisant les élus de la courageuse droite républicaine, toujours prête à détaler en cas de crise. Le virus Trump a été mis en quarantaine…

C’est, maintenant, le temps de son incinération, tâche du « deep state ». Car cette arrogante nomenklatura a une obsession : terminer la guerre froide par la capitulation de la Russie, avant qu’elle ne puisse s’intégrer économiquement avec l’Europe, et avant que la Chine ne devienne dominante. On a pu croire, un moment, que Trump s’était soumis. Il lui avait, en effet, suffi de bombarder la Syrie et l’Afghanistan, puis de menacer la Corée du Nord, pour devenir un héros.

Mais il n’a pas été sage.

Au lieu de laisser Mattis, Tillerson et Pence diriger, il a osé recevoir Sergueï Lavrov à la Maison-Blanche pour discuter de coordination contre le djihadisme. Les fuites médiatiques sont tombées illico.

Elles illustrent la détermination et le sens d’invulnérabilité des fuiteurs, issus du monde du renseignement, qui seraient en temps normal en danger d’inculpation. La dernière fuite, grave, vient des cercles proches de Jim Comey, le directeur limogé du FBI. Elle représente la clé de voûte d’un possible impeachment.Pourquoi ? Parce que l’on passe de la théorie du « complot russe » (impossible à prouver) à celle d’entrave à la justice, qui « nixonise » Trump. Après 10 mois d’instruction, les parlementaires impliqués dans les enquêtes sur la Russie ont, en effet, admis à plusieurs reprises qu’il n’y avait aucune collusion entre la campagne de Trump et Poutine. Or, Comey (qui va être interrogé par le Sénat la semaine prochaine) semble dire maintenant que Trump l’aurait incité, en janvier, à ne pas harceler Flynn, qui venait de démissionner. Entrave ? C’est ce que pense le sénateur McCain…

Le ministère de la Justice vient de nommer, mercredi, un procureur indépendant, Robert Mueller (ancien directeur du FBI de George W. Bush), afin de reprendre en main l’affaire russe comme ses annexes. C’est un choix subtil, qui peut calmer l’hystérie ambiante et laisser Trump revenir à son programme économique, que le public attend. Les démocrates (traditionnels) et républicains (traditionnels) ont bien reçu l’information. Le soir même, la réaction de Trump a été mesurée, exprimant sa confiance dans les conclusions à venir, et souhaitant tourner la page afin de servir le peuple américain. Mais il a tweeté le lendemain pour s’insurger contre ce nouveau harcèlement. Risqué…

L’ancien gouverneur de l’Arkansas Mike Huckabee, lui, conseille à Trump (sur Fox News, le 18 mai) de lancer une sommation à ses adversaires : « Chiche ! Allez-y, lancez la procédure d’impeachment ! Sortez les preuves ! On va bien voir… » Il en serait capable…

http://www.bvoltaire.fr/trump-cest-fini/

Trump-Lavrov, Flynn-Lavrov : la presse, alimentée par les fonctionnaires nommés par Obama, veut l’« impeachment » de Trump

Nouvel épisode dans l’hystérie anti-Trump aux Etats-Unis. Le Washington Post, fer de lance de l’idéologie globaliste et libertaire et qui souhaiterait l’« impeachment » de Trump, accuse le président des Etats-Unis d’avoir livré au ministre russe Serguei Lavrov, lors d’une réunion la semaine dernière à la Maison Blanche, des informations classées sur le terrorisme islamique. Ces éléments « sensibles » auraient pour source « un allié proche-oriental » – on pense à Israël – et concerneraient en particulier les projets de l’Etat islamique en matière d’introduction, dans des avions civils, de bombes dissimulées dans des ordinateurs portables. « Trump a révélé des informations de la plus haute confidentialité au ministre des Affaires étrangères et à l’ambassadeur russe », glapit le Washington Post, qui parle de « mise en danger » d’une « source essentielle » d’informations sur l’Etat islamique. Sans attendre, Vladimir Poutine en personne a démenti ces « révélations », suscitant un autre type d’accusations contre Trump : celui d’être soumis au président russe. La fuite souligne les capacités de nuisance des hauts-fonctionnaires démocrates du Conseil national de sécurité (NSC) tandis que prospère l’accusation de blocage de l’enquête sur l’ancien conseiller de Trump, Michael Flynn, destitué pour avoir « trop parlé » à Lavrov il y a six mois. Le ministère de la Justice vient de nommer un procureur spécial sur cette dernière affaire.

Il a fallu l’intervention de Poutine pour que Trump trouve un appui de poids

Concernant la réunion Trump-Lavrov, la mise au point trop prudente du conseiller à la Sécurité H.R. McMaster, qui a démenti ces informations « telles qu’elles ont été rapportées », a fait les choux gras du Post. Il a fallu attendre l’intervention du président russe Vladimir Poutine pour que Trump trouve un appui de poids. « Si le gouvernement américain le juge possible, nous sommes prêts à fournir au Sénat et au Congrès la transcription de la conversation entre (Serguei) Lavrov (le ministre russe, NDLR) et Trump », a déclaré Poutine mercredi. Iouri Ouchakov, un conseiller, a précisé que la transcription est manuscrite.

Donald Trump maintient pour sa part que les données qu’il a partagées avec Lavrov concernaient la sécurité des vols et le terrorisme, et qu’il a « absolument le droit » de fournir des informations lors d’une rencontre portée à l’agenda. La porte-parole du ministre russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a ironisé quant à elle sur Facebook : « Les gars, avez-vous déjà lu les journaux américains ce matin ? Sinon, ne les lisez pas. On peut les utiliser de plusieurs façon, mais évitez de les lire – depuis quelques temps, c’est devenu non seulement nocif mais dangereux ». Poutine a lâché : « Nous voyons qu’aux Etats-Unis se développe une vraie schizophrénie politique ». Reste que Trump, depuis longtemps accusé par la presse oligarchique d’être une « marionnette de Poutine », doit gérer une offre de services venue de l’homme précisément suspecté d’être son manipulateur.

« Affaires » Trump-Lavrov, Comey-Flynn-Lavrov : les félons républicains McCain et Amash favorables à l’« impeachment » de Trump

Et déjà à Washington – comme en France à droite lors de la campagne anti-Fillon cet hiver -, les félons se découvrent. Plusieurs élus républicains ont voulu se distinguer parmi les procureurs de « leur » président, en n’hésitant pas à sonner à la porte des médias de gauche pour évoquer un possible « impeachment ». Leur fureur a été attisée par un précédent article du New York Times, paru mardi, qui reprend une note de l’ex-directeur du FBI James Comey, destitué par Trump, affirmant que ce dernier lui avait demandé de bloquer l’enquête sur l’ancien conseiller à la sécurité nationale Michael Flynn. Ce dernier – encore une histoire russe – avait été soupçonné d’avoir fourni un rapport incomplet sur ses conversations avec l’ambassadeur russe Lavrov durant la période de transition. « C’est un gars bien, vous pouvez laisser tomber », aurait dit le président à Comey. Alors que d’autres républicains mettent en doute la note de Comey, le sénateur John McCain, vieil opposant à Trump, a claironné sur CBS qu’on « atteint le niveau de scandale de la taille et de l’échelle du Watergate ». Le représentant républicain Justin Amash a clamé que si les détails de la note de Comey sont vrais, ils justifient un « impeachment », affirmant au passage qu’il avait « plus confiance en Comey » qu’en Trump. Ambiance. A la Maison Blanche, on dénonce une transcription « ni véridique, ni fidèle » de la conversation Comey-Trump et on dément que ce dernier ait exigé la levée de l’enquête sur Flynn. Le directeur du FBI, Andrew G. McCabe, va dans le même sens.

Les munitions sont fournies par les hauts fonctionnaires du NSC, nommés par Obama

Flynn et Lavrov, Trump et Lavrov… : les orgues de Staline anti-Trump donnent à plein débit dans la presse oligarchique et globaliste. Ses munitions ? Elles sont fournies par les hauts fonctionnaires du Conseil national de sécurité, qui pour 60% d’entre eux n’ont pas été nommés par le gouvernement Trump mais sous la présidence Obama. « Il existe des services entiers du NSC qui ne comprennent qu’un seul fonctionnaire nommé par Trump », explique une source informée à la journaliste Kristina Wong, du site Breitbart. Pour Fred Fleitz, ancien cadre de la CIA et de l’administration Bush, « ça continuera jusqu’à ce que la Maison Blanche opère une sérieux nettoyage ». Et, précise-t-il, si le statut de la fonction publique protège ces fonctionnaires d’un licenciement – « et je suis sûr qu’ils devraient être licenciés », précise-t-il – « on peut toujours les muter ». D’ici là, le New York Times et le Washington Post pourront continuer de pilonner Donald Trump avec l’espoir de faire enfin annuler cette élection que les médiacrates ne digèreront jamais.

Matthieu Lenoir

http://reinformation.tv/trump-lavrov-impeachment-flynn-comey-lenoir-70127-2/

Retenez votre souffle. Rien de ce que vous allez lire dans ce court article n’est publié dans les médias francophones, car ils veulent absolument vous donner à croire que Donald Trump mérite la destitution et la prison. Et pourtant, tout ce que je m’apprête à vous dire est largement documenté dans les médias américains.

Le député de l’Etat de New-York Peter King a déclaré ce dimanche : « il y a probablement plus de connexions entre Clinton et la Russie qu’entre Moscou et le Président Trump ».

« Je ne suis pas au courant qu’il existe la moindre preuve de collusion entre la campagne Trump et la Russie, ou entre la Russie et les membres de la campagne de Trump, » a déclaré le député dans une interview sur la chaîne new-yorkaise AM 970 pour John Catsimatidis.

« Il y a probablement plus de preuves de liens entre la Russie et la campagne Clinton que tous les liens qu’on peut imaginer entre la Russie les gens impliqués dans la campagne électorale de Trump, » a ajouté King.

King a également rejeté les critiques autour des motifs pour lesquels Trump aurait limogé le directeur du FBI James Comey, expliquant que l’enquête concernant la Russie est menée par des hauts responsables du FBI, et pas par Comey.

« Si vous avez dans l’idée d’accuser le président des Etats-Unis de trahison, vous feriez bien de savoir de quoi vous parlez », a expliqué King, car « pour le moment, aucune des personnes qui accusent [Trump] ne savent de quoi elles parlent. »

Faisant remarquer que Trump a adopté une position très ferme vis-à-vis de Poutine, il a ajouté que le Président va prendre des décisions géopolitiques très anti-Poutine dans le futur.

« Poutine, que ce soit concernant l’Ukraine, que ce soit la Syrie, que ce soit le vol de ses avions de combat trop près des Etats-Unis… Poutine doit comprendre qu’il ne s’en tirera pas comme ça, et que Donald Trump est très sérieusement décidé à s’opposer à la Russie. »

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  • De récentes révélations montrent que Tony Podesta, un proche d’Hillary Clinton et frère de John Podesta, directeur de campagne d’Hillary Clinton, a des liens étroits avec la Russie. L’année dernière, Tony Podesta a reçu 170 000 dollars de la Sberbank, la plus importante banque russe, afin qu’il mette fin aux sanctions contre la Russie.
  • Le Podesta Group, un puissant lobby démocrate de Washington créé en 1998 par John et Tony Podesta, a reçu plus de 24 millions de dollars d’honoraires en 2016, dont plus de la moitié de pays étrangers, selon le groupe de surveillance indépendant Responsive Politics.
  • Alors qu’elle était au gouvernement, expliquait le New York Times, Hillary Clinton a vendu un cinquième de l’uranium américain à la Russie. En retour, affirme l’auteur du livre Clinton Cash, la Fondation Clinton a reçu 145 millions de dollars de la Russie, chiffres confirmés par The Weekly Standard.
  • Bill Clinton a reçu un demi-million de dollars en 2010 pour une seule conférence, à Moscou, payée par une société russe, Renaissance Capital, qui a des liens avec les services d’espionnage russes, selon le New York Times.
  • Selon un article du Daily Caller publié en mars, soit bien après l’élection, John Podesta a « oublié » de révéler qu’il a reçu 75 000 actions d’une société financière russe — Joule Unlimited — pour laquelle il a servi au poste de directeur entre 2010 et 2014, quand il est entré à la Maison-Blanche au service d’Obama en 2014.
  • D’après Forbes, l’ex-sénateur de Louisiane John Breaux, qui a participé à la campagne électorale d’Hillary Clinton en 2008, est le représentant de Gazprombank GPB, une branche de la troisième plus grosse banque russe pour des dossiers des « droit bancaire et réglementation, y compris les sanctions applicables. »
  • En mars, un porte-parole du président Poutine a déclaré que l’ambassadeur de Russie en Amérique Sergey Kislyak a plusieurs fois rencontré des membres de la campagne Clinton durant l’élection 2016. La campagne Clinton n’a jamais révélé la nature et le nombre de ces réunions secrètes.

Lorsque l’équipe de campagne d’Hillary Clinton a déclaré au FBI que ses serveurs ont été piratés par la Russie, elle a refusé que les enquêteurs examinent les ordinateurs piratés.

 © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

http://www.dreuz.info/2017/05/14/hillary-clinton-rattrapee-par-ses-liens-avec-la-russie-il-y-en-a-bien-plus-quentre-trump-et-les-russes-temoigne-un-depute-americain/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29

EN BANDE SON :

4 réponses »

  1. Bonjour, en complément des informations de Lupus, nous vous proposons avec son autorisation notre Revue de presse quotidienne :

    Revue de presse du jour comprenant l’actualité nationale et internationale de ce samedi 20 mai 2017

    Est disponible dans la section Revue de presse de Crashdebug.fr

    https://www.crashdebug.fr/revue-de-presse

    Et toujours des moments détentes mémorables :

    Moment détente. L’imposture « Emmanuel Macron » démasquée sur Canal Plus

    https://www.crashdebug.fr/diversifion/13205-moment-detente-l-imposture-emmanuel-macron-demasquee-sur-canal-plus

    Merci Lupus,

    Amicalement,

    f.

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