Etats-Unis

Etats-Unis : Nouvelle agression armée commise par un Démocrate « pacifiste et anti-armes »

Nouvelle agression armée commise par un Démocrate pacifiste et anti-armes

Le socialiste Bernie Sanders a condamné l’« acte abject » commis par un de ses partisans qui a tiré sur Steve Scalise, un élu Républicain, et quatre autres personnes. L’auteur, un militant pro-Sanders, s’est fait préciser si les personnes présentes étaient du parti Démocrate ou Républicain, puis, apprenant qu’ils étaient Républicains, a tiré.

L’agresseur, James Hodgkinson, 66 ans, a été rapidement abattu par la police et il est mort de ses blessures. On le voit ci-dessous faisant campagne pour le candidat socialiste, à Belleville, Illinois.

Des membres du Parti républicains s’étaient réunis à 7 heures du matin sur un terrain de Baseball pour un match annuel, une tradition instauré par les députés et qui remonte au début du 20e siècle, et permet de récolter, les bonnes années, jusqu’à 600 000 dollars pour des œuvres caritatives.

Tôt ce matin, un homme armé a ouvert le feu et « tiré 50 cartouches » selon la police, dans un acte délibéré, sur les joueurs républicains du match qui était organisé à Alexandria, Virginie. Le politicien Républicain Steve Scalise, Zach Barth, un employé du Congrès, un lobbyiste et deux membres de la sécurité ont également été blessés.

L’agresseur est mort de ses blessures, sous les balles de la police du Capitole qui protégeait M Scalise. De nombreux témoins ont indiqué que si Scalise n’avait pas été là, donc que la police affectée à sa protection n’avait pas été présente, le carnage aurait pu être terrible.

Il y a trois semaines, un militant Démocrate a insulté deux femmes musulmanes dans un train de Portland. Deux hommes se sont interposés, et l’agresseur a sorti un couteau et les a tués alors qu’ils venaient au secours de la femme.

Les médias ont décrit l’agresseur, Jeremy Joseph Christian, 35 ans, comme un « suprémaciste blanc raciste d’extrême droite ». L’affaire était trop belle : ils ont vite accusé Christian d’être un pro-Trump. Problème : il soutenait Bernie Sanders et l’écologiste Jill Stein, et c’était un activiste de gauche très engagé.

Jeremy Joseph Christian

© Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

8 réponses »

  1. Par Dmitry Orlov – Le 6 juin 2017
    Dans la plupart des endroits que nous nous donnons la peine de regarder, nous pouvons observer un modèle récurrent : un phénomène atteint son maximum peu de temps avant de déclencher un déclin rapide ou régulier. Les drogués atteignent leur dosage maximum juste avant de faire une overdose. Les patients atteints d’obésité morbide atteignent leur poids maximal juste avant que leurs organes internes ne lâchent. La fièvre atteint son apogée avant qu’elle ne chute et que le patient récupère ou décède. L’eau monte à son plus haut niveau juste avant que le barrage ne cède. Les montages financier pyramidaux atteignent leur pinacle avant de s’écrouler.
    http://lesakerfrancophone.fr/le-peak-america-est-passe

  2. Voila un signe supplémentaire qu’un palier vient d’être franchis dans une guerre civile -en gestation- qui couve depuis la montée inexorable de Trump aux élections et la victoire compromise et pourtant promise du cartel Clinton. L’hystérie médiatique a enfanté des pousses réactionnelles chez les plus sensibles aux discours passionnels menés tambours battant par les socio-démopathes et appuyés de simili-républicains comme Mc Cain. La tentative avortée de l’assassinat d’un républicain médiatisé, comme représentant politique classé trumpiste, doit se concevoir comme la manifestation d’un transfert par procuration. Si je ne peux tuer Trump, je peux le faire sur ses représentants. Le symbole possède ses incarnations et il est alors aisé de passer de l’un à l’autre.

    Le pire ennemi du Système c’est biensur tous ses avortons nés (entre-soi) et nourris en son sein. Trump en fait partie et tout le deep-state avec lui. Cette guerre fratricide ne peut alors que s’amplifier et (pour)suivre sa propre tendance naturelle… celle de l’entropie. Cette marche au pas de l’oie et dont le rythme s’accélère, c’est un petit pas pour l’Histoire et un pas de géant vers l’abîme de la guerre intestine.

    Ce qui est nouveau finalement, c’est que l’ère de la folie contagieuse des psychologies sous psychotropes médiatiques, épousant le regard effaré d’une Russie désabusée et heureusement éloignée de l’épicentre de la folie, engendre toute une série à rebondissement faite de violences aveugles contre un Trump qui échappe aux attaques ad-hominem de l’establishment. Même quand celui-ci semble plier, aussitôt, à la séquence suivante, il empile des réactions qui mettent les acteurs du deep-state hors d’eux-même… hors-jeu.

    Le boomerang est ici toujours en défaveur de celui qui le lance.

    Trump leur échappe, et plus il leur échappe plus ils jettent dans cette chasse à l’homme leur haine partagée traduite en hargne collective. Ils cherchent le sacrifice de leur bouc-émissaire, que cela soit dans un tribunal pour destitution sans preuves ou encore par une balle « perfect » mortellement bien placée au milieu de son crane. Ils sauront se réjouir de n’importe quel résultat obtenu car finalement peu importe les moyens tant que la finalité réalisatrice de leur désir se voit enfin concrétisée et qu’elle puisse, cerise sur le gâteau, être en plus filmée et montrée à la face du « rest of the world ».
    La communication à l’ère de l’information-spectacle ne connait aucune entorse à sa propre logique prosélyte.

    Pourtant, si Trump devait mourir physiquement ou politiquement, la course à l’entropie prendrait assurément des accents d’accélération chaotique sous les apparences sanguinaires d’une barbarie collective retournée contre lui-même: le Système.
    La guerre civile montrerait son visage le plus hideux et sordide… celle-ci ne se voilant plus pudiquement et laissant libre cours à toutes les passions, elle se répandrait par les canaux mondialisés du spectacle globalisé comme on sait scientifiquement, avec une perfection voyeuriste du type « big brother » inversé, nous tenir en haleine dans ce genre de cirque à écrans ouverts au sein desquels les story-telling se fabriquent en un temps irréel.

    C’est à la face du monde, au sein de l’Empire, que nous assisterions alors aux dernières convulsions de « l’american dream » et à sa suite, tout ce que ce pays fracturé, par de si nombreux séismes avant-coureurs, aurait de révélateur comme désenchantement du simulacre de notre modèle démocratique et civilisationnel d’un occident divinement triomphant.

    Comme solde de tous comptes, voilà ce qui nous fut dispensé pendant des décennies à coups d’obus humanitaires contre des pays tiers –récalcitrant à la soumission-, de bobines hollywoodiennes pour l’endoctrinement fécond des masses et de modes post-modernes LGBTiques pour ce qui est de la distraction instinctuelle et culturelle invertueuse.

    Eros et Thanatos s’accouplent puis louent des ventres… Compagnons infortunés de Dante, le 9ème cercle s’ouvre à nous.

    tout ce pandémonium s’égaye de discours mirifiques et magiques sur la nation indispensable et choisie par Dieu… on parle en son nom et cela autorise tous les efforts inconscients pour nous faire chuter… que de réussites!..

    Le simulacre de Dieu révèle les turpitudes du Diable et nous oblige entre le choix d’une liberté à conquérir ou d’une servitude passée dans un anti « temps des rêves » fait de miroirs labyrinthiques(1) ou les Ames errent sans but, cherchant chez l’autre la raison d’aimer sa propre image.
    Le confort dans la matrice ne dure jamais vraiment suffisamment et la frustration saura, comme Némésis déesse de la vengeance divine, toujours le remplacer le moment venu… à coups de déceptions, de désillusions et de miroirs brisés. Entre la folie et la lumière salvatrice nous devons choisir.

    Le grotesque de notre civilisation agonisante ne prend même pas la peine d’emprunter le chemin honorable et déjà balisé par « les siècles des siècles » d’une tragédie grecque -Humaine, si Humaine!- transmise par nos pères homériques. Cette civilisation là lui préfère la plus évidente des idioties comme expression sincère d’une foi aveugle en elle-même… Hybris toujours, quand tu nous tiens et nous retiens dans ta toile!

    Foi dans le vide sidéral, froid et infinie du nihilisme ontologique, c’est d’une apologie de l’abject comme inversion formelle de la loi universelle auquel répond, par obligation naturelle, en écho la gravitation de la pensée capharnaüm de notre siècle thanatho-logique et qui s’en trouve être accrochée au mythique bâtisseur d’un Newton fondateur d’une science exégétique, circulaire dans son adoration comme le mouvement de l’Ourobouros, et apologétique pour tout ce qui touche à l’attraction universelle des corps sans âmes. Science sans conscience n’est que ruine de l’Ame; science politicienne sans conscience morale n’est que ruine sociale.

    Mourir collectivement et se voir mourir à petites lampées dans son propre vomis ne mérite aucune épitaphe, juste l’empreinte de l’oubli comme signe ultime du vide laissé là. Les Ages passent, ne restent que les impressions latentes, sans formule.
    Logos de l’informe, celui de l’étant avant Chronos (2), l’Age de Kali traîne à mourir et avec lui la folie post-moderne du troupeau post-humain.

    Ici gît l’Occident. Ici gisait une civilisation… ici est l’éternel gisant de « l’homme nouveau ».

    (1) »Le temps du rêve désigne l’ère qui précède la création de la Terre, une période où tout n’était que spirituel et immatériel. Selon les aborigènes le temps du rêve existe toujours et peut être atteint pour des besoins spirituels. Au travers du temps du rêve, il serait possible de communiquer avec les esprits et de déchiffrer le sens des mauvais présages, maladies et autres infortunes. » wikipédia

    (2) « Dans la mythologie grecque, Chronos (en grec ancien Χρόνος / Khrónos) est un dieu primordial personnifiant le Temps et la Destinée. Il apparaît essentiellement dans les traditions orphiques, et est souvent associé à tort au dieu Cronos, roi des Titans et père de Zeus. » wikipédia

  3. On s’attachera donc au temps du rêve (sur nos deux jambes). Merci Master T.

    • Il vaut mieux rester connecté, effectivement, au temps des rêves et devoir assumer sa vie -ici-bas- en la quittant le devoir accomplis. Nous sommes dans une immense Tragédie et nous possédons les clés pour nous en affranchir… le cœur aussi léger qu’une plume (référence à la plume posée sur la balance de la vie égyptienne).

  4. Puisque vous faites référence a l’Egypte:
    Vous avez remarqué que le petit homme a entamé sa longue marche au Louvre …avant de rejoindre le devant de la petite pyramide….
    .Sous le Louvre se trouvent
    les grandes galeries ou reposent les sarcophages arrachés au vrais pyramides..
    la profanation de sépultures particulièrement égyptiennes peut engendrer de très graves problèmes …
    Ça va valser!!!

    . …

  5. : » Ceux qui par leurs opinions et les mauvais conseils ont divisé les hommes, les semeurs de trouble : La fosse est remplie de damnés mutilés, ils sont coupés en deux à la verticale « de la gorge à la ceinture », leurs boyaux pendent et tombent à terre, et lorsque leurs blessures sont cicatrisées, tour à tour les damnés se font rouvrir le corps avec un glaive. »
    8eme cercle 9 fosse
    j’en voit bien quelque uns la …c’est pourquoi sans doute ceux la meurent très très vieux
    l’éternité c’est long.

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