Le Graphique du Jour

Le Graphique du Jour : Ceci explique Cela !

Le Graphique du Jour : Ceci explique Cela !

Le G-20 est peut-être le groupe des 20 plus grandes économies du monde, mais seules deux d’entre elles parviennent à maintenir leur budget en ordre. En effet, il n’y a guère que l’Allemagne et la Corée du Sud qui dépensent moins d’argent qu’elles n’en reçoivent.

La fuite des capitaux de l’Espagne et de l’Italie vers l’Allemagnes’intensifie toujours, et en Italie, elle dépasse même désormais les niveaux mesurés au cours de la crise de l’euro de 2012.

3 réponses »

  1. Et nos supposés capitaux « Franco-Français » où vont -ils …???
    Car bien sur, concernant les capitaux « Multi-Nationaux » on s’en doute un peu …..
    il aurait été intéressant de voir aussi les fuites de capitaux vers les zones
    dites « Off-Shore » et les Paradis Fiscaux…….


    https://polldaddy.com/js/rating/rating.js

  2. En France, quelle est la politique suivie ?

    Réponse :

    En France, la politique suivie est une politique de classe : les classes populaires et les classes moyennes s’appauvrissent, afin que la classe des riches puisse continuer à s’enrichir.

    Les ménages les plus riches, grands gagnants des réformes annoncées par l’exécutif.

    Selon les chiffres de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), les réformes prévues par l’exécutif d’ici à 2022 seront extrêmement favorables aux ménages les plus aisés. Au coeur des mesures qui favoriseront les 10 % les plus riches, on trouve notamment la réforme de l’ISF ou encore la « flat tax » sur l’épargne, un statut et une pratique qui concernent principalement le dernier décile.

    https://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/030443375341-les-menages-les-plus-riches-grands-gagnants-des-reformes-annoncees-par-lexecutif-2101663.php

    Dans l’Union européenne, quelle est la politique suivie ?

    Réponse :

    Dans l’Union européenne, la politique suivie est une politique de classe : les pays pauvres s’appauvrissent, afin que les pays riches puissent continuer à s’enrichir.

    L’Allemagne a engrangé 1,34 milliard d’euros de profits sur la Grèce.

    C’est un sujet qui sème la zizanie en Allemagne. En effet, la posture du gouvernement d’Angela Merkel sur le dossier grec soulève des critiques. Notamment de la part des Verts, qui regrettent un manque de solidarité avec Athènes. C’est à leur demande que le ministère des Finances a dû dévoiler les profits réalisés sur les prêts accordés à la Grèce. Selon le quotidien Süddeutsche Zeitung, les bénéfices s’élèvent à 1,34 milliard d’euros au total.

    https://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/030443643863-lallemagne-a-engrange-plus-dun-milliard-de-profits-sur-la-grece-2101705.php

    Conclusion :

    Le 26 novembre 2006, Warren Buffett, troisième fortune mondiale, déclare au journal New-York Times :

    « There’s class warfare, all right, Mr. Buffett said, but it’s my class, the rich class, that’s making war, and we’re winning. »

    Traduction :

    « La guerre des classes existe, c’est d’accord, mais c’est ma classe, la classe des riches, qui mène cette guerre, et nous sommes en train de la gagner. »

    http://www.nytimes.com/2006/11/26/business/yourmoney/26every.html

    Bon.

    D’accord.

    Mais la guerre des classes n’est pas finie.

    La guerre continue.

  3. Relais à la suite d’une annonce de colloque qui peut paraître déplacé sur cette page mais qui, à sa lecture en dit long sur le complexe de supériorité qui habitent son ou ses rédacteurs, et pas que cela (une réalité de domination active) :
    http://www.architectes.org/actualites/colloque-international-etre-metropole-dans-un-monde-incertain
    Selon ma logique, c’est à mettre en relation avec le dernier article de Blogalupus sur Macron (ado, écolo, tyrano), mais aussi les analyses de Christophe Guilluy (et d’autres).
    Ayant participé (en remplissage – information reçue en dernière heure) à des assises en vue de l’élaboration du SRADDET (?! / va falloir se renseigner encore sur le joli jargon – instructif évidemment), autant la salle d’élus ou acteurs « locaux » de marque principalement soutenait des projets de véritables équilibres territoriaux, en appui sur le patrimoine et l’histoire, et une certaine économie, le mouvement supérieur et insidieux (je ne préciserai pas davantage, âme complotiste évidente de ma part, mais surtout parce que de l’ordre du sensible et du complexe, et pour l’instant indéterminé) indiquait une métropolisation intensive et accélérée, arquée sur la…fluidité (Rennes, Nantes, voire Brest en pôles exclusifs). Un urbaniste invité – sur la scène, lui, parisien (sorry pour ceux qui n’en font pas une caste) avec un autre nombre de spécialités à afficher, gueule à la mode Mick Jagger, ne s’est d’ailleurs pas gêné pour nous traiter d’ânes (un peu moins métaphoriquement / dommage, l’âne breton braie bien), de ringards, se croyant singuliers en plus (identité ou simple réalité breiz, tu parles). Sa conclusion jouissait impudiquement de l’homme bio-connecté, etc, etc… Temps de se réveiller, les ploucs.
    Vrai bonus : la salle en question le détestait cordialement, s’en moquait franchement (avec un dessinateur invité à l’animation) et élue donc (tant que la macronite n’a pas tout expulsé) se cherchera sans doute des filons alternatifs.
    Ceci dit, sans identitarisme régional, ni de régionalisme autonomiste, la simple tentative de voir ce qui est, voire de jauger des issues viables.
    Amicalement.

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