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Union européenne : les masques tombent, pas touche à Georges Soros ! La Hongrie sanctionnée

La Commission européenne a annoncé le 13 juillet avoir ouvert une procédure d’infraction contre la Hongrie concernant une nouvelle loi imposant de nouvelles obligations à certaines catégories d’ONG bénéficiant de capitaux étrangers.«Après avoir examiné attentivement la nouvelle loi sur les ONG, nous en sommes arrivés à la conclusion qu’elle n’était pas conforme au droit de l’UE», a déclaré Frans Timmermans, vice-président de la Commission européenne, le 13 juillet.

Frans Timmermans a estimé que cette loi porterait atteinte à la liberté d’association, la libre-circulation des capitaux et la protection de la vie privée. La Commission européenne a donc adressé une lettre de mise en demeure à la Hongrie, qui dispose d’un mois pour y répondre. Il s’agit de la première étape de la procédure d’infraction.

Cette loi, portée par le Premier ministre souverainiste Viktor Orban, visant notamment George Soros, a été adoptée par 130 voix contre 44 et 24 abstentions au Parlement hongrois le 13 juin.

Le texte prévoit que les ONG bénéficiant annuellement de plus de 24 000 euros de fonds étrangers se présentent explicitement comme «organisation bénéficiant de financements étrangers» dans tous les ouvrages et produits de presse qu’elles publient, ainsi que sur leur site internet. A défaut, elles seront sanctionnées.

Selon la Commission, cette loi porte atteinte à la liberté d’association car elle «pourrait empêcher les ONG de récolter des fonds et limiterait leur capacité à mener à bien leurs activités».

Des experts du Conseil de l’Europe avaient appelé la Hongrie à modifier son projet, estimant notamment «disproportionnées» les sanctions encourues par les ONG, notamment leur possible dissolution, en cas d’infraction.

Cette procédure d’infraction est lancée quelques jours à peine après la polémique causée par une campagne nationale d’affichage visant le milliardaire juif d’origine hongroise, accusé par Budapest de s’ingérer dans les affaires du pays en encourageant notamment l’immigration par le biais de financements d’ONG.

Source : https://francais.rt.com/international/40897-ue-lance-procedure-dinfraction-hongrie-soros-ong

L’opinion de civilwarineurope

Le laquais de Washington vient de tomber le masque. Il est interdit de troubler les activités de déstabilisation de Georges Soros. Voilà, il n’y a rien de plus à ajouter… Ceux qui ne veulent pas comprendre après cela désirent rester aveugle.

– https://civilwarineurope.com/2017/06/14/hongrie-les-deputes-votent-la-loi-visant-les-ong-financees-notamment-par-soros/

– https://civilwarineurope.com/2017/04/02/hongrie-victor-orban-sattaque-a-luniversite-soros/

– https://civilwarineurope.com/2017/04/13/lunion-europeenne-protege-lingerence-de-georges-soros-en-hongrie-et-encourage-les-manifestations-contre-le-pouvoir-hongrois/

Hongrie – La loi « anti-Soros » contraignant les ONG à divulguer leurs financements étrangers adoptée par le parlement

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Le parlement hongrois a adopté mardi dernier la nouvelle loi, souvent qualifiée de loi « anti-Soros », qui obligera les ONG bénéficiant de financements étrangers (hors fonds européens) annuels supérieurs à 7,2 millions de forints (24.000 euros) à déclarer ce fait et à l’indiquer sur leurs sites Internet et documents imprimés. Les ONG TASZ (Union pour les libertés civiques) et Comité Helsinki, toutes deux financées entre autres par le milliardaire américain d’origine juive hongroise George Soros, ont déjà annoncé qu’elles ne s’y plieraient pas, parlant de désobéissance civique. Cette loi dont le but est de contraindre les ONG à une plus grande transparence a même été critiquée par Transparency International, une organisation dont la mission est pourtant de favoriser la transparence de la vie publique, y compris en Hongrie, mais qui bénéficie elle aussi de financements de… Soros.
 

En Hongrie, les ONG financées par Soros refusent la transparence qu’elles prétendent imposer aux autres

 
Avant d’adopter cette loi à une très large majorité (130 voix pour, 44 contre et 24 abstentions), les députés du Fidesz et de son allié démocrate-chrétien avaient pris en compte certaines remarques de la Commission de Venise, organe consultatif du Conseil de l’Europe. C’est ainsi que les données personnelles du donateur ne devront être divulguées par les ONG que pour les dons supérieurs à 500.000 forints (1.630 euros) et que les peines encourues par les ONG qui désobéiront à la nouvelle loi seront conformes au Code civil hongrois. Dans la version initiale de la loi, le parquet aurait pu faire dissoudre les ONG qui refuseraient d’appliquer la nouvelle exigence de transparence, ce qui avait été critiqué par la Commission de Venise. Celle-ci avait cependant reconnu le caractère légitime des objectifs de transparence visés par la loi, s’attaquant uniquement aux sanctions « disproportionnées » prévues par le texte.
 

La loi « anti-Soros » impose uniquement aux ONG d’informer les autorités et le public de leurs financements étrangers

 
Ce projet de loi avait été un des motifs de la demande de sanctions contre la Hongrie au titre de l’article 7 du Traité sur l’UE formulée par le Parlement européen le 17 mai dernier. Dimanche soir, les ONG ont voulu organiser une manifestation contre la politique du gouvernement de Viktor Orbán mais n’ont réussi à réunir qu’environ 300 personnes. Ceci alors que la gauche, les Verts et les libéraux parlent tous d’atteinte aux libertés et comparent la nouvelle loi hongroise à la loi adoptée en Russie contre les ONG financées de l’étranger. Des accusations qui ne semblent donc pas avoir convaincu une majorité de Hongrois et qui sont récusées par le Fidesz, puisque la seule contrainte nouvelle imposée aux ONG fonctionnant en Hongrie, malgré la promesse faite par certains dirigeants du Fidesz de nettoyer le pays de la nébuleuse Soros, concerne leur obligation d’informer les autorités et le public sur leurs financements étrangers. Cette nouvelle contrainte ne s’appliquera toutefois pas aux organisations sportives ou religieuses ni à celles représentant des minorités nationales.

La critique de Soros par Orbán antisémite ? La Hongrie demande la démission du vice-président de la Commission européenne !

La Hongrie a demandé le vendredi 5 mai la démission du premier vice-président de la Commission européenne chargé de l’Amélioration de la législation, des Relations interinstitutionnelles, de l’Etat de droit et de la Charte des droits fondamentaux. Qualifié de « lâche » par le ministre hongrois des Affaires étrangères Péter Szijjártó, le travailliste hollandais Frans Timmermans avait, dans une interview publiée par le quotidien allemand Die Zeit le 3 mai, qualifié d’antisémites les critiques du milliardaire américain d’origine juive hongroise George Soros par le premier ministre hongrois Viktor Orbán. Acquiesçant à la suggestion qui lui était faite par les journalistes allemands, Timmermans a en effet indiqué avoir été outré par l’antisémitisme de l’intervention d’Orbán devant le Parlement européen fin avril, quand le premier ministre hongrois avait reproché aux leaders européens de recevoir le spéculateur Soros dont les agissements ont « ruiné la vie de millions d’Européens ».
 

N’en déplaise au vice-président de la Commission européenne, Soros est bien un spéculateur !

 
Il est de notoriété publique que George Soros a bâti sa fortune sur la spéculation, et notamment en spéculant lourdement contre la livre sterling en 1992, ce qui lui a valu la réputation de « l’homme qui fit sauter la Banque d’Angleterre ». En conférence de presse le 5 mai, Péter Szijjártó a rappelé tout ce que le gouvernement du Fidesz, qui gouverne depuis 2010, avait fait pour lutter contre l’antisémitisme, citant l’instauration d’une Journée nationale de la Mémoire pour les victimes de l’Holocauste, la restauration des synagogues en Hongrie et dans les pays voisins, l’instauration d’un délit de négationnisme et la nouvelle constitution hongroise qui mentionne spécifiquement la communauté juive de Hongrie comme partie intégrante de la nation hongroise dont la sécurité doit être garantie. Dans un communiqué de presse du ministère des Affaires étrangères hongrois, Budapest qualifie donc les accusations du premier vice-président de la Commission européenne « d’extrêmement insultantes à l’égard de la Hongrie ». Pour le ministre Szijjártó, si un haut fonctionnaire de l’UE « insulte gravement un Etat membre sur une telle question, il ne doit pas avoir d’autre choix que de se démettre de ses fonctions ».
 

La Hongrie de Viktor Orbán exige la démission de Timmermans

 
George Soros est devenu la cible du gouvernement hongrois du fait de son financement d’ONG gauchistes cherchant à imposer en Hongrie son idéologie libérale-libertaire, mais aussi pour son rôle avéré dans le tsunami migratoire qui a submergé la Hongrie en 2015. Le milliardaire américain a été reçu en avril par Jean-Claude Juncker et Frans Timmermans pour discuter de la nouvelle loi hongroise sur les universités. Une loi qui impose aux universités étrangères ayant un établissement en Hongrie d’avoir aussi une activité d’enseignement dans leur propre pays, ce qui paraît aux yeux des critiques taillé sur mesure pour gêner l’Université d’Europe centrale fondée à Budapest en 1991 à l’initiative de George Soros. Cette loi fait suite à une autre qui imposera désormais aux ONG bénéficiant de financements étrangers de signaler ce fait aux autorités compétentes pour leur immatriculation et dans toutes leurs communications écrites. Pour les critiques de Viktor Orbán, cela vise aussi au premier plan les organisations financées par Soros, comme Transparency International ou le Comité Helsinki, mais pour le Fidesz, c’est justement une question de transparence.
 

Olivier Bault

http://reinformation.tv/hongrie-loi-anti-soros-ong-financements-etrangers-bault-71587-2/

http://reinformation.tv/hongrie-demission-timmermans-soros-orban-commission-europeenne-bault-69761-2/

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