1984

Islamo-Mondialisme : Aung San Suu Kyi, les bouddhistes et les Rohingyas – Quand les gentils deviennent méchants

Aung San Suu Kyi, les bouddhistes et les Rohingyas : quand les gentils deviennent méchants

L’histoire est une guerre mondiale de communication, une succession de propagandes qui s’inversent en fonction des besoins politiques. Selon le récit mondialiste dominant, la Birmane Aung San Suu Kyi et les bouddhistes étaient gentils, mais depuis l’affaire des Rohingyas, ils entrent dans le camp des méchants.
 
En 1990, Aung San Suu Kyi remportait les élections générales birmanes avec son parti, la ligue nationale pour la démocratie (LND), mais les militaires annulaient l’élection et la plaçaient en résidence surveillée. En 1991, celle qu’on appelait alors « l’opposante birmane », obtenait le prix Nobel de la Paix. Il couronnait un long combat contre la junte militaire au pouvoir au Myanmar, et pour l’instauration d’une démocratie à l’anglo-saxonne, croyait-on. Les mondialistes n’avaient pas de mots trop flatteurs pour célébrer cette militante courageuse des droits humains. L’ONU, les ONG, l’Angleterre et les Etats-Unis se mettaient au diapason des jurés du prix Nobel.
 

Pétition pour retirer le prix Nobel à Aung San Suu Kyi

 
Libérée en 2010, députée en 2012, ne pouvant être choisie pour présidente en raison d’une disposition constitutionnelle, elle est ministre des affaires étrangère et porte-parole de la présidence depuis 2016. Chef du gouvernement de facto, elle a entamé une transition démocratique qui l’oblige à transiger tant avec les militaires qu’avec la réalité. Et c’est là que tout se gâte. L’Occident, dont elle était l’égérie tant qu’elle se restait l’image sans tache de l’idéologie des droits de l’homme, la critique maintenant à cause de l’affaire des Rohingyas, cette minorité musulmane qu’on accuse la Birmanie de persécuter. Une pétition circule sur le net pour qu’on lui retire son prix Nobel, elle a déjà recueilli trois cent cinquante mille signatures. Dans The Guardian, l’universitaire journaliste George Monbiot la condamne sans nuance : « Je crois que le Comité Nobel devrait pouvoir déchoir les lauréats de leur récompense quand ils trahissent les principes qui les ont fait récompenser ».
 

Aung San Suu Kyi méchante comme Milosevic

 
C’est un vœu pieu, puisque, le directeur de l’Institut Nobel le rappelle, « il est impossible de révoquer un prix Nobel de la Paix ». Mais la démarche est significative : Aung San Suu Kyi a quitté le camp des gentils pour rejoindre celui des méchants. On lui reproche exactement ce qu’on reprochait à Slobodan Milosevic en Yougoslavie dans les années 90, de procéder au « nettoyage ethnique » de son pays.
 
Sans doute l’ancienne icône déboulonnée dénonce-t-elle un « immense iceberg de désinformation » visant à opposer les communautés présentes en Birmanie et « promouvoir les intérêts des terroristes ». Sans doute rappelle-t-elle que le 25 août des commandos Rohingyas ont attaqué une vingtaine de postes frontières, causant près de cent morts. Peine perdue : la conscience occidentale retient surtout la répression en cours et les dizaines de milliers de Rohingyas fuyant vers le Bangladesh, qui a dû fermer sa frontière.
 

L’Asie en a soupé des méchants Rohingyas

 
Paradoxe mondialiste : l’ONU ne recommande pas au Bangladesh d’accueillir ces apatrides venus d’un pays où ils sont persécutés par la majorité bouddhiste à qui ils font la guerre (Ils forment une minorité musulmane guerrière, comme leurs coreligionnaires de Thaïlande et de Malaisie). Le paradoxe est d’autant plus fort que les Rohingyas sont originaires du Bangladesh, pays musulman où ils devraient se sentir en conformité ethnique et religieuse, mais qu’ils quittent en masse pour cause de pauvreté. Ils le quittent souvent par bateau pour l’Indonésie, autre pays musulman, mais qui n’a pas signé la convention de Genève sur les réfugiés et envisage de les parquer sur une île déserte de son territoire. Bref, les Rohingyas forment une communauté remuante, agressive, qui ne souhaite pas rester dans son pays d’origine et dont personne en Asie ne veut.
 

Gentils Rohingyas contre méchants bouddhistes : justifier l’invasion de l’Europe

 
Mais en Europe et en Occident, c’est un objet politique précieux pour une propagande ciblée : il s’agit de montrer aux populations de souche que l’islam peut ne pas être l’envahisseur conquérant et terroriste, mis au contraire l’apatride persécuté. Les Rohingyas entrent dans la manipulation de l’affect occidental qui vise à « lutter contre l’islamophobie », entendez, à justifier aux yeux des masses l’invasion de l’Europe par les migrants islamistes. C’est pourquoi, la « grande dame birmane », Aung San Suu Kyi, subit-elle une inversion de signe et quitte les gentils pour les méchants. Elle n’est pas la seule. La majorité bouddhiste de Birmanie, qui en a soupé de Rohingyas, devient « nauséabonde », alors que les bouddhistes étaient les gentils traditionnels de l’histoire tiers-mondiste, communiste et mondialiste, depuis les bonzes qui se faisaient brûler durant la guerre du Viet Nam, jusqu’au Dalaï Lama militant des droits de l’homme contre la Chine et au bonze Mathieu Ricard, représentant d’une philosophie adogmatique écologique, éclairée. En somme les gentils bouddhistes, véhicules de la pensée maçonnique chez les amateurs de yoga et de quinoa, se transforment-ils en fauteurs de haine et en méchants islamophobes. Sic transit gloria mundi.


 

Pauline Mille

http://reinformation.tv/aung-san-suu-kyi-bouddhistes-rohingyas-gentils-mechants-mille-74298-2/

2013 : Un an de violences dans l’État de Rakhine entre bouddhistes et musulmans. Des émeutes de bouddistes excédés, armés de machettes, ont fait des centaines de morts et fait fuir plus de 100 000 musulmans.

Les demandes des musulmans – est-il besoin de développer ? – ont provoqué un rejet massif de la population, et des campagnes contre les communautés musulmanes dans tout le pays.

«La croissance de la population des musulmans Rohingyas est de dix fois supérieure à celle des bouddhistes Rakhines. La surpopulation est l’une des causes des tensions actuelles», a dit Win Myaing.

En réponse, une décision politique a été prise qui prévoit :

La limite de deux enfants par famille musulmane dans les villages de Buthidaung et de Maundaw, peuplés à 95% de musulmans,

L’interdiction de la polygamie,

Le doublement du nombre d’agents de sécurité dans la région.

La mesure ne sera pas implantée pour l’instant dans les autres régions de l’État de Rakhine, car le nombre de musulmans est plus faible.

On ne connait pas encore quelle méthode sera adoptée pour appliquer cette politique familiale.

© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

http://www.nytimes.com/2013/05/26/world/asia/a-region-in-myanmar-limits-births-of-muslims.html

https://www.dreuz.info/2013/05/26/pour-limiter-les-tensions-avec-les-musulmans-comme-cest-etrange-myanmar-leur-impose-un-maximum-de-deux-enfants-par-famille/

C’est exactement, ce à quoi se référait Viktor Orban, quand il déclara : « Les pays, qui abritent de grandes communautés musulmanes, subissent des conséquences, que nous voulons éviter à nos pays… »

Ces « autres » pays, dont parlent V. Orban ne se limitent pas seulement à l’Europe. Par exemple, au Myanmar (Birmanie), des minorités musulmanes non-indigènes créent le chaos et sont responsables de violences envers les infidèles et du viol des non musulmanes.

Conséquence, le sentiment antimusulman s’est accru parmi la majorité bouddhiste, ainsi que les critiques habituelles des médias occidentaux à l’égard des … Bouddhistes, les musulmans étant toujours les pauvres victimes.

Wirathu, le moine bouddhiste accusé d’inciter à la haine des musulmans Rohingyas
Wirathu, le moine bouddhiste accusé d’inciter à la haine des musulmans Rohingyas

Un chef bouddhiste très populaire, Ashin Wirathu, qualifié par les médias de “Ben Laden birman” s’oppose violemment à la présence musulmane dans son pays :

“Vous pouvez être plein de gentillesse et d’amour, mais vous ne pouvez dormir à côté d’un chien furieux »

Se référant aux musulmans, il a déclaré :

« Je les appelle fauteurs de troubles, car ce sont des fauteurs de trouble. »

Tout comme V. Orban, Wirathu met en garde: « Si nous sommes faibles, notre pays deviendra musulman.”

Le chant de son parti parle de gens, qui « vivent dans notre pays, boivent notre eau, mais ne sont pas reconnaissants » – une référence aux musulmans – et explique comment ils construiront une clôture avec leurs os, si nécessaire, pour les empêcher d’entrer.

Et en écho avec V. Orban, Wiranthu déclare : «Myanmar fait actuellement face à un poison des plus dangereux et effrayants, suffisamment impitoyable pour éradiquer toute civilisation. »

A cela, les scribouillards du NYT répondent: “le bouddhisme semble être en sécurité au Myanmar. Neuf personnes sur dix sont bouddhistes.. La minorité musulmane varie entre 4 et 8 %. »

https://www.dreuz.info/2015/09/24/les-musulmans-vivent-dans-notre-pays-boivent-notre-eau-mais-ne-sont-pas-reconnaissants/


Face aux exactions musulmanes, la Birmanie donne l’exemple au monde entier

Le monde entier part en croisade pour sauver les Rohingyas, minorité musulmane de Birmanie qui fuit les représailles de l’armée birmane vers le Bangladesh.

C’est l’hystérie collective, l’émotion à sens unique, avec ses accusations délirantes et son déluge de désinformation où les fake news sont légion.

Nettoyage ethnique, crime contre l’humanité, extermination, génocide, c’est la surenchère dans le vocabulaire de la presse mondiale.

Le Pape, l’ONU, le HCR, Human Rights Watch, les pays musulmans, les imams de tout poil, chacun y va de son couplet accusateur pour dénoncer une épuration ethnique et accabler l’emblématique leader du pays, Aung San Suu Kyi, prix Nobel de la paix 1991 et arrivée au pouvoir en 2016.

Même Erdogan, qui décidément ose tout, s’est fendu d’un appel à la “Dame de Rangoon” pour s’indigner du sort fait aux Rohingyas.

Le sultan d’Ankara n’oublie qu’un détail : le génocide de plus d’un million d’Arméniens perpétré par les Turcs en 1915  et qu’il refuse de reconnaître !

En matière d’atrocités et de scènes d’épouvante, les Turcs n’ont rien à envier à personne ! Ce qu’ont vécu les Arméniens dépasse l’entendement.

Mais dans ce conflit birman qui dure depuis des décennies, la minorité musulmane serait dans son droit et la majorité bouddhiste serait coupable. Tel est le postulat incontournable décrété par la communauté internationale.

Aucune mission de l’ONU n’a pu se rendre sur place pour écouter les différents sons de cloche, mais peu importe. Il suffit d’affirmer et de faire taire tout contradicteur, en l’occurrence les autorités birmanes et les bouddhistes.

Celle qui fut l’idole des médias occidentaux quand elle luttait contre la dictature de la junte militaire birmane, et qui fut emprisonnée pendant 20 ans, est accusée aujourd’hui de rester passive devant les évènements, voire d’être complice des brutalités de l’armée.

Une foule d’aboyeurs exige le retrait de son prix Nobel de la paix. Demande aussi farfelue qu’impossible, puisque la révocation d’un prix attribué à un candidat n’est pas prévue par les textes de l’Institut Nobel norvégien.

On notera que ce déchaînement de passion pour sauver la minorité musulmane des Rohingyas, tranche cruellement avec la passivité de l’Occident chrétien, Pape en tête, quand il s’agit de sauver les chrétiens d’Orient.

Pourtant, ces derniers subissent un génocide qui dépasse en horreur et en ampleur, tout ce que peuvent subir les Rohingyas.

En un siècle la population chrétienne du Moyen-Orient est passée de 20% à 3%.

“Villages rasés, massacres collectifs, meurtres de religieux et de civils (femmes, enfants, vieillards), viols, enlèvements, persécutions à grande échelle, conversions forcées, églises incendiées, monastères et écoles détruites, les Chrétiens d’Orient vivent aujourd’hui dans l’angoisse du lendemain, dans la peur et la souffrance quotidiennes.”

La première religion du monde est chassée de son berceau historique.

Et que fait l’Europe ? Elle détourne le regard, abandonnant les chrétiens à la barbarie islamique et à l’esclavage.

Même le Pape n’a rien trouvé de mieux, lors de son voyage à Lesbos, que de ramener dans son avion personnel trois familles de réfugiés musulmanes, en laissant les chrétiens sur le tarmac !

Et pour se justifier, face à l’incompréhension des Européens, le Vatican a prétexté que les familles chrétiennes n’avaient pas de papiers en règle !

Il faut oser. Des centaines de clandestins débarquent en Italie chaque jour, mais le Pape, qui nous demande par ailleurs d’accueillir toute la misère du monde, n’accueille quant à lui que des migrants en règle !! Il se fout de nous !

Oui, les Rohingyas fuient vers le Bangladesh voisin. Mais pourquoi ?

Parce que cette minorité, originaire majoritairement du Bangladesh, n’a jamais été acceptée par les bouddhistes birmans. A la fois pour des raisons culturelles mais aussi historiques.

Car les Rohingyas furent, pendant des décennies, les supplétifs du colonisateur anglais contre les Birmans qui luttaient pour leur indépendance. Ils ont donc toujours été considérés comme des traîtres et traités comme tels.

Ils sont les harkis de Birmanie en quelque sorte. Indésirables à jamais.

Depuis le viol et le meurtre d’une jeune birmane par un musulman en 2012, les violences n’ont jamais cessé.

En octobre 2016 et en août 2017 , l’Arsa, “l’armée rohingya” en rébellion contre le pouvoir birman, a lancé plusieurs attaques contre des postes de police et de l’armée birmane, avec de très nombreux tués de part et d’autre.

Il ne faut donc pas s’étonner que les représailles soient sanglantes et que les Rohingyas soient rejetés dans le camp des rebelles et des terroristes.

C’est exactement ce qu’ont fait les Russes avec les Tchétchènes. A cette époque, les Occidentaux, qui n’avaient rien compris à la situation, accablaient Poutine et se mobilisaient pour sauver Grozny.

La réalité est que Poutine combattait déjà le terrorisme islamique qui n’avait pas encore frappé l’Europe. Il le disait et il avait raison.

Quant à Aung San Suu Kyi, on voit mal en quoi elle pourrait s’opposer aux généraux birmans qui sont les véritables maîtres du pays.

Elle nie tout nettoyage ethnique et accuse les Rohingyas d’utiliser des enfants soldats dans les assauts contre l’armée birmane.

Propagande de l’armée ? Possible. Mais il est clair que son pouvoir est limité et qu’il ne tient qu’au bon vouloir de l’armée. S’aliéner l’armée, c’est un suicide politique.

Par conséquent, défendre la cause des Rohingyas, c’est défendre ceux qui ont toujours trahi le pays en combattant avec les Anglais contre les indépendantistes birmans, c’est s’opposer au nationalisme bouddhiste de plus en plus affirmé.

Et on oublie que les 85% de bouddhistes se foutent éperdument du sort des Rohingyas, communauté méprisée depuis la nuit des temps.

Dans cette hystérie collective, seule la Chine reste mesurée et s’abstient de toute critique. Pendant les 50 années de pouvoir de la junte militaire, la Chine fut le seul interlocuteur de la Birmanie.

Il est vrai qu’avec ses 10 millions de musulmans Ouïghours du Xinjiang, province en perpétuelle rébellion, Pékin connaît la musique !

Tout cela prouve une fois de plus la difficile cohabitation entre l’islam et les autres religions.

Ce n’est pas pour rien que les Indes anglaises furent divisées en deux Etats distincts en 1947. Le Pakistan musulman et l’Inde hindouiste, deux pays qui n’ont jamais connu la paix depuis.

Le multiculturalisme est un leurre. Il serait temps de l’admettre, avant de connaître en Europe des violences interconfessionnelles comme au Moyen-Orient ou en Asie.

Depuis le nuit des temps, le meilleur gage de paix, c’est le chacun chez soi.

Jacques Guillemain

http://ripostelaique.com/face-aux-exactions-musulmanes-la-birmanie-donne-lexemple-au-monde-entier.html

———————————————————————————————————————————————————

C’est fou comme il se passe, avec les Rohingyas, exactement la même chose qu’avec le conflit israélo-palestinien : mêmes outrances, mêmes données jamais sourcées, mêmes photos d’enfants ensanglantés, mêmes cris d’orfraie affirmant que « quand c’est des musulmans, tout le monde s’en fout », et surtout, SURTOUT : mêmes vecteurs de la propagande. Tariq Ramadan, Marwan Muhammad, Syria Charity, Islam&Info. Ah, et puis aussi BarakaCity : vous vous rappelez, l’association dont le gentil président refusait de condamner Daech et justifiait son refus de serrer la main aux femmes, sous l’œil indifférent de NVB ? C’est fou, non ?

Et de grands et beaux esprits comme Eric Naulleau ou Claude Askolovitch pour relayer cette propagande sans aucune mesure, aucune rigueur, aucune vérification quelconque. Alors que, comme au moment de la libération d’Alep, les quelques observateurs raisonnables s’accordent sur un point : il est quasi-impossible d’obtenir des informations dignes de foi quant à la situation sur place. Enfin, juste assez pour savoir que les chiffres délirants donnés par les vecteurs susnommés sont délirants. Hier, Mélenchon lui-même y est allé de sa petite allusion chez Bourdin, dans une démarche électoraliste qui le déshonore.

C’est assez hallucinant. Quand la propagande acquiert force d’information en seulement quelques jours de matraquage. Triste.

4 réponses »

  1. La Birmanie est une union.
    Union d’une cinquantaine de peuples et de religions.
    Depuis l’indépendance l’armée birman veillait avec sévérité a l’équilibre entre les cinquante
    égoïsmes . La formule était bon et fonctionnait a merveille. Immédiatement a l’apparition
    d’un « trouble » occupation militaire, ralentissement de la vie économique du coin, négociation avec des notables, donnant-donnant, levé progressive des barrages.
    Avec la démocratisation, l’armée ne peut plus intervenir comme il faudrait, c’est dans la capitale
    que les politiciens négocient avec d’autre politiciens.
    Encore un peu de démocratisme occidentale et le pays éclate en morceaux, tout l’est en moslim
    façon Daesh, avec arrivé de 15-20 million de très primitifs bangladeshi, des « communes »
    musulmanes dans tout les villes birmans etc. En un mot un terrain pour le veille-au-gangrène
    Bernard Henry Levi.
    Cocoricoo !!
    Français, soyez fiers!
    Telle mère tel fils de pute.


    https://polldaddy.com/js/rating/rating.js

    • De la propagande marxiste-léniniste violemment anti US approuvée par les communistes russes et chinois et dont se régale en France Front de gauche et consorts…Aussi pathétique que risible si ce n’était la triste réalité qui se cache derrière tout cela… Moon of Alabama nous avait habitué à meilleure caricature et forceps idéologique !

Laisser un commentaire