1984

Emails de Clinton, faux dossier sur Trump, nucléaire russe : ces dossiers qui révèlent la corruption de l’administration Obama

Il y a à peine 10 mois, Barack Obama se vantait de l’absence de scandales dans son administration. Et beaucoup le croyaient … jusqu’à maintenant.

Les révélations arrivent « Fast et Furious » – comme le nom de l’opération scandaleuse qui a marqué le début de la président Obama et a coûté son poste au ministre de la Justice de l’époque, Eric Holder, ami intime d’Obama. Tout pointe maintenant vers la corruption politique du ministère de la Justice alors qu’Obama était à la Maison-Blanche.

En l’espace de quelques semaines seulement, cinq grands dossiers ont éclaté dont aucun de vos médias ne parle sauf Dreuz, et qui impliquent que le ministère de la Justice et le FBI ont utilisé leur autorité pour aider le parti Démocrate.

Premier dossier : L’exonération de Clinton avant d’avoir tous les faits dans l’affaire des emails.

L’ancien directeur du FBI James Comey avait, contrairement à ce qu’il avait dit au Congrès, rédigé une lettre d’acquittement pour Hillary Clinton plusieurs mois avant de l’interroger au sujet de son serveur email privé et non sécurisé.

  • Comey a interviewé Clinton le 2 juillet 2016, et trois jours plus tard, il a annoncé qu’il clôturait l’affaire parce que «aucun procureur raisonnable» ne la poursuivrait.
  • Lors de son témoignage sous serment devant le Congrès à la fin du mois de septembre 2016, Comey a affirmé que «ma décision [de ne pas recommander de poursuites contre Clinton] a été prise après [l’avoir interviewée], parce que je ne savais pas ce qui allait se passer durant cette interview. Elle a peut-être menti dans l’interview d’une manière que nous pourrions prouver.»
  • Mais les emails montrent maintenant que Comey a rédigé sa déclaration au début du mois de mai – deux mois avant d’interviewer Hillary et bien avant que le FBI ait terminé son enquête.

Lorsque ce fait a été révélé, l’ancien directeur adjoint du FBI, Chris Swecker, a déclaré au magazine Newsweek: «Ce n’est pas comme ça que les choses fonctionnent… Notre ADN ne contient pas d’apriori sur qui est coupable et qui est innocent dans nos enquêtes, en particulier en haut de la pyramide.»

Alors pourquoi Comey a-t-il fait le contraire ? Parce que l’administration Obama était corrompue.

La mise en place d’une caisse noire

Nous avons appris que le département de la Justice utilisait l’argent des règlements à l’amiable d’affaires criminelles comme caisse noire pour soutenir des groupes de la gauche progressive, à l’exclusion explicite de ceux qui ne le sont pas. Bob Goodlatte, le président du Comité judiciaire de la Chambre des représentants, a publié ce qu’il a appelé les emails des «preuves irréfutables» à cet effet.

Sous Obama, le département de la Justice a commencé à envoyer de l’argent de règlements légaux à des tiers non impliqués directement dans les litiges. À l’époque, il y avait beaucoup de plaintes que l’argent était versé à des groupes de gauche. Trump a mis fin à cette pratique quand il a pris ses fonctions.

Goodlatte, cependant, a obtenu des emails qui montrent que le ministère de la Justice a veillé à exclure les groupes conservateurs des milliards de dollars qu’il distribuait.

En juillet 2014, un haut fonctionnaire du ministère de la Justice a même averti ses collègues pour qu’ils évitent de donner de l’argent provenant d’un règlement de Citigroup à des «services juridiques conservateurs en matière de droits de propriété».

«Aider leurs alliés politiques était seulement la moitié de la corruption», a déclaré Goodlatte. Sous la direction d’Obama, la Justice «s’est mise en quatre pour exclure les groupes conservateurs».

Le fisc a bien ciblé les associations du Tea Party

Après des années de procès, l’administration fiscale a indemnisé le Tea Party et d’autres groupes conservateurs qui ont été injustement pris pour cible par l’IRS (le fisc américain) sous l’administration Obama. Le procureur général Jeff Sessions a annoncé jeudi que le ministère de la Justice avait conclu des accords avec des groupes du Tea Party dont le statut d’exonération fiscale avait été bloqué par l’IRS depuis 2013, « basé uniquement sur leurs idées politiques ou leur idéologie ».

Les demandeurs ont reçu les excuses de l’IRS.

Le scandale de ce ciblage avait attiré l’attention en 2013 lorsque l’IRS avait admis avoir appliqué un « contrôle supplémentaire » aux groupes conservateurs demandant le statut d’organisme sans but lucratif. Loïs Lerner, alors responsable de l’unité des Organismes sans but lucratifs, est devenue le visage public du scandale et a dû démissionner, bien que d’autres fonctionnaires de l’IRS aient également été impliqués et qu’ils sont toujours en place.

Le «replâtrage» du scandale Uranium One

Nous avons maintenant appris, grâce à des journalistes intrépides du Hill, de Circa.com et de Sean Hannity, que le FBI avait une quantité substantielle de preuves montrant que les responsables nucléaires russes ont été impliqués dans un certain nombre de plans illégaux destinés à développer l’activité nucléaire de Poutine aux Etats-Unis – corruption, extorsion et racket inclus.

Pire qui cela, ils avaient tout cela en main avant que les hauts responsables de l’administration Obama – y compris Hillary Clinton et le procureur général Eric Holder – signent un accord autorisant la Russie à contrôler 20% de l’uranium aux États-Unis en approuvant l’achat d’Uranium One par la Russie.

Pire encore, l’administration Obama a interdit à l’agent infiltré du FBI de faire part au Congrès de ce qu’il avait appris.

Pourquoi le FBI n’a-t-il pas émis un signal d’alerte avant que l’administration signe son accord ? Cela aurait été extrêmement embarrassant pour Obama et Clinton, qui étaient très occupés à l’époque à être très gentils avec les Russes avec leur «reset».

Le FBI a-t-il fait passer la politique avant la sécurité de la Nation?

L’utilisation du faux dossier russe sur Trump, payé par les démocrates

Maintenant que nous savons que la campagne de Clinton et le Comité national démocrate – en dépit des dénégations répétées – ont financé le soi-disant dossier sur Trump, une plus grande question se pose.

Qu’est-ce que le FBI savait et quand le savait-il ?

Bien qu’il ait été qualifié de «salace et non vérifié» par l’ancien directeur du FBI, James Comey, le dossier a servi de feuille de route pour les journalistes et les enquêteurs fédéraux qui avancent l’histoire d’ingérence de la Russie dans l’élection de Trump.

Dans le Washington Examiner, Byron York a clairement énoncé la question soulevée par la révélation que le dossier a été commandé et payé par les Démocrates et Clinton :

«En octobre 2016 – c’est-à-dire au plus fort de la campagne présidentielle – Christopher Steele, l’agent étranger [et qui était en charge des rapports avec la Russie quand il était en activité] engagé par Fusion GPS pour fabriquer le dossier Trump, a communiqué au FBI les informations qu’il avait glanées au cours du projet. Selon un rapport de février du Washington Post, Steele « est arrivé à un accord avec le FBI quelques semaines avant l’élection pour que le bureau le paye pour continuer son travail. »

C’était un virage étonnant: le principal organisme fédéral d’application de la loi acceptant de financer un projet de recherche politique sur le candidat de l’opposition, mené par l’un des candidats, au milieu d’une élection présidentielle.

En fin de compte, le FBI n’a pas payé Steele [selon certaines sources, le FBI aurait versé 60 000 dollars à Steele], mais comme le note York, la question demeure : «Le FBI ou d’autres agences utilisaient-ils des informations du dossier comme base pour leurs demandes de mandat devant la Cour de surveillance des rapports avec l’étranger ? »

Et le dossier a-t-il servi de base pour faire nommer l’enquêteur spécial du FBI Mueller contre Trump et les membres de sa campagne ?

Les Républicains de la Chambre des représentants ont annoncé cette semaine qu’ils avaient lancé une enquête sur la façon dont le FBI avait traité l’affaire des emails de Clinton et l’affaire Uranium One.

Maintenant, ils ont un nouvel angle sur le dossier à poursuivre.

C’est un bon début. Le ministère de la Justice est censé être au-dessus de la politique. Obama a essayé de le transformer en un outil politique. Le public doit savoir jusqu’où il est allé dans cette direction.

traduction © Marina Linardi pour Dreuz.info.

https://www.dreuz.info/2017/10/28/emails-de-clinton-faux-dossier-sur-trump-nucleaire-russe-ces-dossiers-qui-revelent-la-corruption-de-ladministration-obama/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29

Le procureur Mueller a laissé fuité vendredi qu’il allait inculper une ou deux personnes, une fuite d’information pénalement répréhensible. De fait, on suppose qu’il s’agit de l’arrestation de Paul Manafort.

On a beaucoup écrit sur les prouesses de l’équipe de Robert Mueller en matière de poursuites sur les allégations de participation de la Russie à la campagne Trump pour laquelle il n’arrive à trouver aucune preuve. On a peu parlé du danger des abus de pouvoir, des poursuites arbitraires et de la véritable histoire du procureur principal de Mueller.

Ce qui était supposé être une recherche des intrusions de la Russie dans notre politique électorale s’est transformé en une mission malveillante visant les amis, la famille et les collègues du président Trump. L’enquête de Mueller est devenue un assaut total pour trouver des crimes à leur épingler dessus – et peu importe s’il n’y a aucun crime à trouver, cette équipe est capable d’en fabriquer.

Beaucoup d’Américains méprisent le président Trump et toute personne qui lui est associée. Mais transformer à la soviétique notre système de justice en arme politique est un danger dont nous devons nous prémunir.

Rappelez-vous le 1er avril 1940. Le procureur général Robert H. Jackson réunissait les avocats des États-Unis. Il déclarait :

«La sécurité du citoyen réside dans les procureurs qui tempèrent leur zèle avec de la bonté humaine, qui cherchent la vérité et non les victimes, qui servent la loi et non les intérêts des factions, et qui abordent leur tâche avec humilité. »

Le procureur responsable des inculpations

Mueller a choisi comme procureur pour mener son enquête son ami de longue date et ancien avocat, Andrew Weissmann. Weissmann n’est pas seulement un procureur «dur». À maintes reprises, les tribunaux ont annulé les «victoires» les plus vantées de Weissmann en raison de ses pratiques douteuses. Il est loin d’être un héros dans la loi.

  • EN 2002, Weissmann, en tant qu’adjoint et plus tard directeur du groupe de travail de l’enquête sur Enron, a détruit le vénérable cabinet comptable d’Arthur Andersen, l’a forcé à la faillite, mettant au chômage ses 85 000 employés dans le monde, accusation renversée quelques années plus tard par une Cour suprême unanime parce que le jury qui avait jugé Anderson coupable avait reçu de fausses instructions. Pas une seule personne du cabinet Arthur Andersen ne fut finalement jugé coupable.
  • Ensuite, Weissmann a criminalisé de manière excessive une transaction commerciale entre Merrill Lynch et Enron. Quatre cadres de Merrill sont allés en prison pendant un an. L’équipe de Weissmann a veillé qu’ils ne soient même pas libérés sous caution en attendant leur appel, même si les accusations concoctées par Weissmann, comme celles contre Andersen, étaient littéralement sans preuve.
  • Les inculpations de Weissmann ont dévasté les vies et les familles des cadres de Merrill, leur causant d’énormes coûts pour assurer leur défense, un stress inimaginable, et des durées d’emprisonnement. Et à l’issue de tout cela, la Cour d’appel du 5ème circuit a inversé l’affaire et innocenté les cadres de Merrill.
  • Weissmann a alors discrètement démissionné du groupe de travail du dossier Enron alors que le juge commençait à dénoncer l’équipe de Weissmann, et que la presse commençait à suivre de près son étrange mode opératoire.

Mueller connaît parfaitement cette histoire. C’est sans doute la raison pour laquelle il a utilisé Weissmann pour cibler Paul Manafort.

Comme l’a prédit le procureur général Jackson: «Là est le pouvoir le plus dangereux du procureur: il va choisir les gens qu’il pense qu’il devrait attraper, plutôt que choisir les cas qui doivent être poursuivis.»

Manafort, un associé de Trump, n’est qu’un petit pas dans la quête de Weissmann pour faire tomber la présidence ou pour renverser les résultats des élections de 2016.

Weissmann, est-il besoin de le préciser, est proche de Loretta Lynch, l’ancienne ministre de la Justice d’Obama qui a justement tenté de faire obstruction dans le dossier des emails de Clinton.

« Sans la bonne volonté de ses amis Loretta Lynch et Bob Mueller, il est inconcevable que la carrière de Weissmann au département de la Justice ou au FBI ait été ressuscitée après la débâcle d’Andersen », a déclaré un ancien procureur.

Peu importe que des mois d’enquête par plusieurs organismes n’aient produit aucune preuve de «collusion». Le rare et violent raid armé, au petit matin, de l’équipe de Mueller dans la maison de Manafort – un traitement habituellement réservé aux gangsters et aux trafiquants de drogue – sort directement du manuel terrorisant de Weissmann. Et bien sûr, tous les détails de l’affaire ont été fuités – une autre tactique de Weissmann, illégale de surcroît.

Weissmann voulait inculper Manafort.

  • Peu importe que Manafort sache que la campagne Trump n’a pas eu de connivence avec les Russes.
  • Weissman fera pression sur Manafort pour qu’il dise ce qui satisfait la perspective de Weissmann. Le parjure n’est que la différence entre la «vision» de Weissmann et les «preuves» – il n’est pas intéressé par la vérité réelle.

Nous citoyens américains perdons beaucoup de la participation de Weissmann.

  • D’abord, la vérité ne joue aucun rôle dans la quête de Weissmann.
  • Deuxièmement, le respect de la règle de droit, la simple décence et le respect des faits n’apparaissent pas dans la stratégie de Weissmann.
  • Troisièmement, et c’est le plus important, chaque fois que notre système judiciaire devient une arme pour récompenser les amis politiques et punir les ennemis politiques, tous les Américains y perdent.

Il est grand temps que Mueller nettoie son équipe – ou que Weissmann démissionne – afin de montrer que les États-Unis sont un Etat de droit, et que les lois sont beaucoup plus importantes qu’un Weissmann.

Deux derniers détails :

  1. Weissmann est Démocrate. Il a financièrement contribué à la campagne électorale de Barack Obama de 2008 et au Comité national Démocrate en 2006.
  2. Weissmann dirigeait la section Fraude du département de la Justice pendant l’enquête du FBI sur le dossier de corruption russe pour prendre possession d’une partie de l’uranium américain, et les résultats de l’enquête ont été cachée au Congrès ce qui a permis à l’administration Obama de donner son feu vert à la vente de 20% de l’uranium américain aux Russes.

 © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

https://www.dreuz.info/2017/10/30/le-procureur-special-robert-mueller-implique-aussi-dans-le-dossier-russe-inculpe-un-proche-de-trump/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29

Ils voyaient déjà l’impeachment du Président Trump. Certains, comme le Washington Post, disaient qu’il est fini. En prison.

Pour Ladepeche.fr, «L’ex-directeur de campagne de Trump [est] inculpé de complot contre les Etats-Unis». La Tribune de Genève, prenant ses désirs pour des réalités, écrit que «L’étau russe se resserre autour de Trump», et Le Monde, jamais le dernier dans la course à la désinformation, affirme que «Trois conseillers de Donald Trump [sont] visés par l’enquête “ russe ”»

RTL va encore plus loin dans le mensonge en affirmant que «plusieurs proches de Donald Trump [sont] poursuivis [dans le dossier] d’ingérences russes».

Je pense que je ne surprends personne en affirmant que tout ceci est faux, et que les inculpations ont zéro rapport avec le Président Trump, n’est-ce pas ?

Il est exact que les inculpations ont été faites dans le cadre de l’enquête de Mueller sur une éventuelle collusion entre Trump et la Russie. Mais aucun des motifs d’inculpation ne concernent l’affaire russe.

Paul Manafort

  • Paul Manafort est inculpé, mais pour des faits qui remontent à 2012, soit 4 ans avant l’élection, et essentiellement pour évasion fiscale.

⇒ En revanche, fait grave, il est bien étrange que faisant l’objet d’une enquête du FBI depuis 2009, étant sur écoutes, et soupçonné de faire du lobbying pour le Président ukrainien pro-russe sans avoir déclaré cette fonction, le FBI n’ait pas mis en garde ou alerté le candidat Trump de l’enquête en cours lorsqu’il a recruté Manafort pour diriger sa campagne électorale. Les dirigeants du FBI de l’administration Obama devront s’expliquer sur ce manquement suspect.

Rick Gates

  • Rick Gates, un des associés de Paul Manafort, a également été inculpé par Mueller. Le New-York Times (1) pourtant archi-politisé et archi anti-Trump, indique que l’inculpation concerne le blanchiment d’argent, l’évasion fiscale et du lobbying pour les Russes entre 2006 et 2015 -10 ans avant l’élection.

George Papadopoulos

  • Le troisième homme inculpé s’appelle George Papadopoulos. Son histoire est encore plus excentrique !

Agé de 29 ans, totalement inconnu jusqu’à hier, il a travaillé comme obscur conseiller aux Affaires étrangères– et en tant que bénévole– pour la campagne Trump.

Quand, pendant la campagne, il a déclaré à l’équipe de Trump qu’il avait des contacts en Russie proche de Poutine, l’équipe de Trump a refusé ses propositions d’entrer en contact avec les Russes, ce que précise l’acte d’accusation publié sur le site du département de la Justice et que vous pouvez lire ici : justice.gov.

En réalité, Papadopoulos est un arriviste qui tentait de se frayer un chemin au sommet.

Recruté à Londres comme conseiller de premier échelon pour la campagne de Trump, il a rencontré en Italie un professeur russe, qui selon nos informations pourrait se nommer Joseph Mifsud, et s’est vanté d’avoir des connexions avec Trump. Puis il s’est vanté auprès de l’équipe de Trump d’avoir des connexions avec Poutine !

Le dossier Papadopoulos tombe à l’eau

  • A la page 8 de l’acte d’accusation de Mueller, ce dernier écrit en note en bas de page que Trump ne rencontrera pas les Russes : «nous avons besoin que quelqu’un dise [aux Russes] que DT [Donald Trump], ne fera pas ces voyages [en Russie] », cite la note.
  • Et le 15 août, l’acte d’accusation, page 9, précise « la rencontre proposée par Papadopoulos [entre un membre de l’équipe de Trump et les Russes] n’a jamais eu lieu».

Pourtant George Papadopoulos a plaidé coupable d’avoir menti au FBI. Menti pour quoi ? Sur la date où il a rencontré le professeur russe à Londres, dit l’acte d’accusation. Grosse affaire !

Conclusion

Je disais en introduction que les journalistes et les Démocrates se sont réveillés avec la gueule de bois, lundi, car l’inculpation qui devait éclabousser Trump et le faire destituer a fait pschitt.

Très honnêtement– je me dois de le dire– même si enfoui au second paragraphe de leur article, Le Point (2) écrit ce matin : le «volet de l’enquête désormais menée par le procureur spécial Robert Mueller… sur une possible collusion entre l’équipe de campagne du président Trump et les Russes reste très incertain.»

Le Point dit vrai. Depuis un an que le dossier de collusion entre Trump et la Russie a été inventé par les Démocrates, personne – j’insiste – personne n’ai pu produire le moindre début de preuve de collusion. Les Démocrates, en réalité, et une partie des Républicains, n’arrivent simplement pas à accepter que leur candidate a perdu l’élection, elle qui était donnée gagnante à 96%, ni que le vainqueur soit celui dont tous les experts disaient qu’il « n’a aucune voie ouverte vers une victoire électorale ».

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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Sources :

(2) http://www.lepoint.fr/monde/affaire-russe-ce-que-l-on-sait-31-10-2017-2168751_24.php

https://www.justice.gov/file/1007346/download

http://www.nationalreview.com/article/453264/donald-trump-george-papadopoulos-indictment-exculpatory-trump

https://www.dreuz.info/2017/10/31/pschitt-les-democrates-ont-la-gueule-de-bois-linculpation-de-manafort-ne-concerne-pas-trump/

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