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Goldman Sachs s’interroge sur la viabilité économique de la guérison (trop ?) rapide des maladies. Un réel problème financier…

Goldman Sachs s’interroge sur la viabilité économique de la guérison (trop ?) rapide des maladies. Un réel problème financier…

reinformation.tv mai 2, 2018

Thérapie complémentaire : Nous avons la solution à tous vos problèmes de longévité…..

Sans oublier bien sur le complément alimentaire indispensable à tout bien-portant

Avis aux laboratoires pharmaceutique : il serait temps de réfléchir à la viabilité économique de remèdes obtenant trop rapidement la guérison des maladies. C’est en tout cas ce qu’a voulu faire Goldman Sachs en adressant en avril un rapport à ses clients à propos de ce casse-tête éthique : les solutions thérapeutiques reposant sur l’intervention sur les gènes posent un réel problème financier. Les « soins one shot », consistant à réparer des gènes défectueux, pourraient représenter une difficulté pour certains « développeurs de médicaments à la recherche d’un cash-flow continu ». Le docteur Knock y avait certes réfléchi avant le monde de la haute finance : il avait même poussé le raffinement plus loin en créant des malades de toutes pièces, clientèle captive pour ses consultations à répétition et ses onéreuses potions. Mais le principe, tout fabricant de statines, d’antidépresseurs et autres petites pilules à avaler à vie le connaît et l’applique… Comme l’abonnement de téléphonie mobile, la cure de longue durée est une rente de situation.

Goldman Sachs se penche sans états d’âme sur les thérapies qui guérissent

Le rapport de Goldman Sachs, sous le titre The Genome Revolution, pose la question sous la de son analyste Salveen Richter : « Guérir les patients constitue-t-il un modèle économique durable ? » « La possibilité de proposer des traitements one shot est l’un des aspects les plus attirants de la thérapie génique, de la thérapie cellulaire par ingénierie génétique et de l’édition des gènes. Cependant, de tels traitements offrent une perspective très différente au regard du revenu récurrent, par rapport aux thérapies chroniques », écrivait-elle dans sa note aux clients, le 10 avril dernier : « Alors que cette proposition est porteuse d’une valeur immense pour les patients et pour la société, elle pourrait représenter un défi pour les développeurs de médecine génomique à la recherche d’un cash-flow durable. » Ainsi, Gilead Sciences a développé un traitement de l’hépatite C dont le taux de réussite dépasse les 90 %. Une réussite qui a « peu à peu épuisé le vivier disponible de patients à soigner ». Mlle Richter poursuit : « Dans le cas de maladies infectieuses comme l’hépatite C, la guérison de patients existants fait également diminuer le nombre de porteurs capables de transmettre le virus à de nouveaux patients, et ainsi, le vivier d’incidence décline lui aussi… Lorsqu’un vivier d’incidence reste stable (par exemple, pour le cancer) le potentiel de la guérison pose moins de risques pour la durabilité d’une franchise », a-t-elle expliqué.

La viabilité économique des traitements assurant une guérison rapide en question

Ainsi, en 2015, selon CNBC, les ventes américaines de traitements pour l’hépatite C a connu un pic à 12,5 milliards de dollars mais n’ont cessé de baisser depuis lors. En 2018, selon Goldman Sachs, les ventes tomberont sous la barre des 4 milliards. Que devraient donc faire les grandes sociétés de biotechnologie ? Goldman Sachs propose trois pistes possibles. « 1. Solution 1 : viser de gros marchés. L’hémophilie est un marché de neuf à 10 milliards de dollars à l’échelle mondiale (hémophilie A, B), qui connaît une croissance de 6 à 7 % annuels. « 2. Solution 2 : Viser des troubles à forte incidence : l’atrophie musculaire spinale affecte les cellules (neurones) dans la moelle épinière, avec des répercussions sur la capacité à marcher, manger ou respirer. « 3. Solution 3 : L’innovation constante et l’élargissement du portefeuille : il y a des centaines de maladies héréditaires de la rétine (des formes génétiques de cécité)… Le rythme de l’innovation jouera également un rôle à mesure que les programmes futurs seront capables de compenser la trajectoire descendante des revenus d’actifs antérieurs. »

La question de Goldman Sachs n’est pas totalement cynique

Tout cela n’est pas totalement cynique, puisque la recherche de traitements pour des maladies plus rares, à raison d’au moins 1 milliard de dollars pour la recherche et les essais cliniques pour chaque nouveau traitement, ne saurait rester viable en raison de la chute prévisible des revenus qui lui seront liés, et à ce titre, il faut bien poser la question.

Anne Dolhein

https://reinformation.tv/goldman-sachs-viabilite-economique-guerison-rapide-maladies-smits-83824-2/

SANTÉ | Le vaccin anticancer à l’origine de… cancers?

By Slobodan Despot, Antipresse.net, log.antipresse.net mai 5, 2018

Un article de Lars Andersson paru (pourquoi aussi loin?) dans l’Indian Journal of Medical Ethics étudie la possibilité que la vaccination anti-HPV (Gardasil ou «vaccin contre le cancer du col de l’utérus») joue un rôle dans l’augmentation d’incidence de cancers du col de l’utérus au lieu de les combattre! L’auteur part de la relation temporelle entre le début de la vaccination en Suède (2012-2013) et l’augmentation de ces types de cancers. Il laisse l’interrogation ouverte, mais réclame de manière pressante un supplément d’études.

Pour mémoire, l’ouvrage de Jean-Pierre Spinosa et Catherine Riva La Piqûre de trop?, paru en 2010, mettait sérieusement en question le processus d’adoption de ces vaccins, mais également leur degré de protection revendiqué (ceci sur la base des rapports de tests publiés par les fabriquants eux-mêmes). Les autorités publiques sont restées sourdes à toutes les mises en garde relatives à ce vaccin, qui est entre autres l’un des plus coûteux jamais élaborés. Selon les auteurs, le vaccin anti-HPV était «un cas d’école de pharma-business».

Source: Andersson L. Increased incidence of cervical cancer in Sweden: Possible link with HPV vaccination. Indian J Med Ethics. Published online on April 30, 2018 DOI:10.20529/IJME.2018.037.

http://log.antipresse.net/post/sante-le-vaccin-anticancer-a-lorigine-de-cancers

ok+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

EN BANDE SON : 

2 réponses »

  1. Business juteux pour « Big-Pharma », mais aussi pour les médecins,
    qui augure que les choses ne vont pas s’arranger, puisque pour ces gens là, la population civile n’est que « du bétail »…
    il y avait déjà eu le Business du vaccin contre l’hépatite B, avec le fameux « French-Doctor »,
    VRP des labos, qui disait au JT de 20h, je cite : « Formidable …!!! » …
    (surtout avec toutes les scléroses en plaques qui ont suivi à la pelleteuse comme effets collatéraux de ce vaccin …)
    il y a eu bien sur, celui de la grippe d’abord « aviaire » puis « porcine »,
    la fameuse grippe du « co-nard » (cochon+canard) qui a été tellement « juteuse » que mème
    la ministre de la santé de l’époque, plaidait pour les labos empoisonneurs,
    il y a désormais grâce à la « sinistre » de la santé, les 11 vaccins obligatoires sur les nourrissons dès l’age de 2 mois, dont le trop fameux vaccin « hépatite B », vaccin inutile chez les bébés,
    et qui en plus avec tous les adjuvants présents « inside » dans le cocktail de vaccins pour la plupart inutiles, induiront des séquelles et des morts subites chez les tout petits…
    Coté médicaments, ce qui est remarquable c’est que lorsque un médicament fonctionne bien, comme par hasard il est « supprimé », et ensuite « remplacé » par une version beaucoup moins efficace….
    il faut bien comprendre qu’aux commandes des industries pharmaceutiques, ce sont des managers qui gèrent tout celà avec les mêmes outils intellectuels d’évaluation que ceux des vendeurs de lessives.
    Et si on considère lucidement, qu’en plus derrière tous ces grandes firmes pharmaceutiques,
    ce sont souvent les grands groupes pétroliers qui en sont les véritables propriétaires,
    alors on comprend alors déjà mieux …..


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