Après migrants, réfugiés et accueil : Détresse, le nouveau mot qui justifie l’invasion de l’Europe
18 juin 2018 Reinfo TV
L’opéra-ballet que nous donne l’Europe avec l’Aquarius montre son inventivité dans « l’accueil des migrants ». En invoquant le droit maritime sur la détresse, Macron offre une nouvelle déclinaison du mensonge qui justifie l’invasion, mensonge déjà illustré par le mot réfugié.
Macron aime jongler avec les mots, témoin le pognon de dingue et les dingues de pognon. Mais les mots sont plus fragiles qu’une porcelaine et la politique les abîme. Aussi le premier soin de Confucius, s’il avait été appelé aux affaires publiques, aurait-il été de « rendre aux choses leur véritable nom », faute de quoi, il l’expliquait à son disciple Tzeu Lou, tant le gouvernement que la vie sociale se trouvent irrémédiablement pervertis. Aujourd’hui, les institutions et les forces qui dirigent l’Europe sont irrémédiablement perverties et gouvernent les peuples pour leur perte, parce qu’ils ont volontairement falsifié le nom des choses, en matière d’immigration par exemple. Les mots migrants, réfugiés, accueil, et maintenant détresse décrivent abusivement des réalités qu’ils ont pour mission de cacher afin de permettre et justifier l’invasion.
Migrants ? Non, immigrés. Réfugiés ? Non, prédateurs. Accueil ? Non, invasion.
Ça a commencé par le mot migrant. Un migrant passe, c’est un nomade, il ne va ni ici ni là, il ne sort ni d’ici ni de là, il va. Un immigré entre quelque part. Aujourd’hui, l’Europe est la destination des « migrants », qui sont donc des immigrés. Des immigrés officiellement et massivement clandestins, ce qui est une nouveauté.
Ca a continué par le mot réfugié. Un réfugié fuit quelque chose. Le plus souvent la guerre. Nous savons ce que c’est. La France a connu l’exode en 40. On emmène tout le monde, le chien, le grand-père, la marmaille, pour les soustraire à l’horreur. Aujourd’hui, les statistiques du HCR le disent, ce qu’on nomme réfugiés sont en majorité des mâles jeunes. On peut les nommer soit fuyards, soit immigrés économiques, soit prédateurs, soit envahisseurs. Quel que soit le mot que l’on préfère, les hommes, eux, participent objectivement à une invasion. Mais ce mot est interdit : on lui substitue le mot accueil, qui a été longuement rodé par le catholicisme de gauche, et qui rappelle à dessein, pour tromper, les relations familiales et amicales. On accueille son frère, or tout homme est frère en Jésus-Christ : par une simple confusion entre spirituel et temporel, des prélats politiques transforment l’invasion en accueil et trompent des millions d’ouailles médusées. Or Jésus-Christ n’a supprimé nulle frontière et il recommandait de rendre à César ce qui est à César, mais Rome aujourd’hui n’est pas de cet avis.
Les juges, joker de la Révolution en Europe
Pendant la guerre de Syrie, on a vu arriver des migrants-réfugiés de tous les pays du tiers monde, au point que certains joyeux drilles se sont demandé s’il existait des tribus noires en Syrie. C’est là que le mot réfugié s’est révélé précieux : les réfugiés ne fuient pas seulement la guerre, on peut mal les traiter parce qu’ils sont LGBT, ou bien il fait trop chaud chez eux, et c’est ainsi que s’est forgé le concept de « migrants climatiques ».
L’autre utilité du mot réfugié, c’est qu’il ouvre un droit, il actionne des juges, il donne un moyen de manœuvre. Les juges sont de puissants agents de la Révolution, notamment de son volet migrations-invasion. Si par hasard, un gouvernement, contraint par son opinion publique, décide de limiter tant soit peu l’immigration, et si un préfet applique courageusement la consigne, le juge fera droit aux requêtes des migrants, ou plutôt des associations révolutionnaires qui les instrumentalisent. Le juge est le joker du système contre la volonté populaire.
La perversion du droit d’asile, moteur de l’invasion de l’Europe
De pair avec cette avancée concrète s’impose une avancée de principe : l’immigré clandestin qui, par le fait même qu’il est immigré clandestin, est un délinquant et se trouve hors la loi, acquiert aux yeux du public un droit. On affirme le droit des clandestins, ce qui est une contradiction dans les termes, sauf si l’on reste dans les strictes limites du droit des gens, mais précisément, l’on n’y reste pas, et l’on donne à croire que le migrant a des droits sur le pays qui l’accueille et, parce qu’il est réfugié, il en acquiert un supplémentaire, le droit d’asile.
Le droit d’asile n’est pas n’importe quel droit, c’est un très vieux droit religieux, bien antérieur au christianisme, il remonte aux origines sacrées de l’humanité. Les révolutionnaires, qui violent sans trop de remords le droit moderne, jouent sur le respect superstitieux que le public garde pour le caractère sacré d’institutions antiques qu’il connaît mal. Il ne connaît pas les conditions du droit d’asile, mais il s’indignera, avec les agitateurs professionnels des associations qui profitent de sa naïveté, si l’on vide une église des « migrants réfugiés » qui l’occupent et la souillent. A l’échelon national, il trouvera barbare qu’on expulse les clandestins.
L’ONU a initié un travail pharaonique de perversion des mots
Or, bien sûr, le droit d’asile est un droit individuel, qui rend sacrée une personne poursuivie par ses ennemis. C’est par un abus criminel, un oubli de toute l’histoire de la civilisation, qu’on prétend l’appliquer aux cohortes qui se pressent aux portes de l’Europe. Un formidable mensonge a dû s’exercer d’abord sur les mots migrants et réfugiés pour qu’un autre formidable mensonge rende possible la profanation monstrueuse du droit d’asile. Ce travail pharaonique de perversion des mots n’est pas tombé du ciel. Il procède d’un long processus visant à l’invasion de l’Europe. C’est dans les années quatre-vingt-dix que la division population de l’ONU a préconisé dans deux rapports l’importation par l’Europe de dizaines de millions de « migrants », pour remplacer des populations vieillissantes. Il n’y avait pas de guerre en Syrie. Autrement dit l’obligation d’accueil a précédé les prétendues causes de la migration que l’Europe a le devoir d’accueillir. Conséquemment, la guerre, le réchauffement climatique et les considérations LGBT ne sont que les prétextes d’une invasion décidée ailleurs et avant.
La détresse, mère des larmes de croco et ouvreuse des portefeuilles
Et la détresse dans tout cela ? La détresse est partout présente depuis 2015 dans le processus d’invasion de l’Europe. C’est elle qu’illustrait la photo du petit noyé sur une plage turque. Elle que suggèrent tant de photomontages de « réfugiés » sur leurs radeaux gonflables. Elle est nécessaire à faire pleurer Margot pour ouvrir cœurs et portefeuilles. Elle justifie les homélies sentencieuses du pape François. Mais elle n’est devenue vraiment opérationnelle que depuis l’Aquarius. Et c’est au président Macron qu’on le doit. Grâce à la coopération de Matteo Salvini, corruscant ministre de l’intérieur italien et patron de la Ligue. Celui-ci ayant prié les intrus de l’Aquarius d’aller voir ailleurs, Sanchez les accueillant en Espagne, Macron a ramené sa fraise. Cela déclencha chez Salvini des bordées d’amabilités dignes d’un maquereau calabrais, ce qui a permis en retour à Macron de jouer au schtroumpf pédant, rôle qu’il affectionne. Le droit de la mer, « en cas de détresse », oblige le pays dont les côtes sont les plus proches d’accueillir les rescapés. C’est tout juste s’il n’a pas cité la convention de Montego Bay, 1982. Tout le monde s’est mis gravement à disserter.
La détresse des migrants réfugiés fait un devoir de les accueillir
L’astuce géniale, dans l’affaire, c’est d’avoir amené sur le tapis le droit de la mer, droit très ancien lui aussi, quoique constamment mis à jour par de doctes juristes, très mal connu du public, et par définition international et mondial. Si le droit de la mer le dit, ce soit être vrai, équitable, applicable à tout le monde… Et chacun de se demander presque de bonne foi à qui revient l’accueil des malheureux « migrants en détresse ».
Or le droit de la mer parle de choses précises que la fortune (ou l’infortune) de mer a provoquées, et qui rend une personne ou son esquif incapable de se gouverner tout seul et qu’il est un devoir de sauver. De sauver mais non d’accueillir sur son sol durablement ni de naturaliser à terme. Il ne dit rien de milliers de gens qui, non seulement, ne sont pas en état de détresse juridique et technique, mais sont arrivées là à dessein, avec l’aide de complices, dans le dessein revendiqué d’abuser d’un droit qui ne les concerne pas. Nouvelle confusion, nouvelle imposture, mais ô combien féconde. Au nom du droit de la mer, on accueille en malheureux suppliants des prédateurs : c’est une inversion mirobolante que même Jean Raspail n’avait pas imaginée. Alors, Macron peut bien dire deux ou trois choses (un peu) incorrectes sur le pognon et les dingues, il aura quand même bien mérité du socialisme mondial.
Pauline Mille
La Suède en Chute Libre
fr.gatestoneinstitute.org mai 30, 2018
En 2017, un rapport de la police suédoise, « Utsatta områden 2017 » (« Zones sensibles 2017 »,) a recensé 61 « no-go zones » en Suède. Près de 200 réseaux criminels composés d’environ 5 000 criminels opèrent dans ces zones. Vingt-trois de ces no-go-zones présentent une situation critique : des enfants de 10 ans sont impliqués dans des trafics graves, y compris les armes et la drogue. La plupart des habitants sont des immigrants non occidentaux, principalement musulmans.
Un nouveau rapport du BRÅ (Brottsförebyggande Rådet), le Conseil suédois pour la prévention du crime, montre que plus de la moitié des habitants de ces quartiers – environ 500 000 personnes – estiment que les criminels terrorisent la population, les empêchent de comparaître en tant que témoins, d’appeler la police, de se déplacer librement, et d’intervenir quand ils sont témoins de vandalisme. Les habitants craignent les représailles des criminels locaux, contre eux-mêmes mais aussi contre leur famille.
Des voitures ont été incendiées à l’occasion d’une émeute dans la banlieue de Stockholm, le 20 février 2017. (Source de l’image : Capture d’écran vidéo de YouTube / gladbecker82)
Selon BRÅ, « le silence est devenu une norme établie du comportement des habitants » de ces quartiers. Le nouveau rapport fait également état de l’existence d’un système judiciaire parallèle. 12% des personnes vivant dans ces zones de non droit ont déclaré que leur famille et les communautés religieuses poussent à éviter tout contact avec les autorités et à avoir recours à des systèmes alternatifs locaux, comme la mosquée. Parfois, les gangs criminels locaux recommandent aux résidents de faire appel à eux plutôt que la police, pour minimiser la présence des forces de l’ordre sur la zone. Ces justices alternatives traitent des crimes liés à la « réputation » et à « l’honneur », mais s’occupent aussi de chantage et de vol. Les problèmes relationnels, comme le divorce et la garde des enfants, relèvent plutôt du domaine de compétence de la mosquée locale.
Depuis 2005, date à laquelle la dernière étude a été publié, BRÅ, à qui incombe la publication des statistiques relatives à la criminalité en Suède, refuse de rendre publiques les données sur l’identité ethnique des criminels. Néanmoins, un article récent d’Expressen a indiqué que sur 32 cas de viol collectifs jugés en 2016 et 2017, 42 des 43 violeurs étaient des migrants ou des descendants de migrants; 32 étaient nés à l’étranger ; 10 étaient nés en Suède de un ou deux parents eux-mêmes nés à l’étranger. Les hommes avaient en moyenne 21 ans au moment du crime et 13 d’entre eux avaient moins de 18 ans.
Stina Holmberg, enquêtrice et conseillère de recherche à BRÅ, ne voit pas d’urgence à mener une nouvelle étude sur la criminalité des migrants, même si la dernière étude remonte à 2005. Holmberg estime que l’important est « l’intégration » des migrants, qui, seule, à l’en croire mettra un terme aux crimes. Les 42 migrants coupables de viols collectifs ne représenteraient à l’en croire qu’un pourcentage négligeable de l’ensemble des migrants, rapportés aux 163 000 personnes ayant demandé l’asile en 2015.
En février, Peter Springare, un policier suédois, a déclaré que les viols collectifs étaient un phénomène culturel nouveau en Suède – et aussi la conséquence de 10 à 15 ans de politique d’immigration.
« Des Suédois de souche aussi sont impliqués dans des viols collectifs, mais pas dans les mêmes proportions que les délinquants nés à l’étranger », a expliqué M. Springare. Les propos de Springare lui ont valu un signalement et la police a annoncé qu’une enquête interne allait avoir lieu. La secrétaire générale du Barreau suédois, Anne Ramberg, a déclaréque les commentaires de Springare étaient « presque racistes ». S’il est généralement considéré comme « répréhensible » en Occident d’avoir un regard critique sur les migrants, en Suède, de tels propos sont criminalisés.
Le gouvernement suédois de son côté, ne s’émeut guère des risques accrus de viols collectifs et autres crimes potentiels commis par les migrants. Un projet de loi est en cours de discussion pour doter d’un permis de séjour temporaire les 9000 mineurs non accompagnés dont les demandes d’asile ont été rejetées. Ces personnes qui auraient dû être expulsés – presque tous sont de sexe masculin et il est avéré que 7 000 d’ entre eux ont plus de 18 ans et ne peuvent pas être considérés comme mineurs -, pourront donc demeurer en Suède à condition de s’inscrire dans un établissement d’enseignement du secondaire s’ils n’y sont pas déjà inscrits. Point important, seront également autorisés à résider en Suède tous les mineurs dont l’identité n’a pu être vérifiée – faute de papiers sans doute -.
La police et les services d’immigration ont vivement critiqué ce projet de loi qui viole la loi suédoise, laquelle exige que tous les candidats au séjour aient une identité avérée. La baisse du niveau d’exigence réduit la capacité des autorités suédoises à connaître les habitants du pays.
Le gouvernement a répondu que la proposition visait à autoriser 9 000 migrants à terminer ou à entamer un cycle d’études secondaires et non à obtenir l’asile. Brusquement, il est dit que les 9 000 migrants de sexe masculin ne sont pas venus demander asile, mais acquérir une éducation secondaire suédoise. Qui le savait ? La question de savoir pourquoi des adultes nés à l’étranger et à l’identité invérifiable seraient autorisés à s’inscrire dans une école du secondaire demeure sans réponse. Permettre à 9.000 mineurs de rester coûterait aux finances publiques près de deux milliards de couronnes [près de 200 millions d’euros] en 2019 seulement.
Fredrik Modeus, évêque de Växjö a lancé l’idée « d’un permis séjour pour circonstances spéciales et particulièrement dévastatrices » ; il a ajouté que la Suède devrait être considérée comme une « superpuissance humanitaire » : « il faut permettre aux jeunes non accompagnés de rester. Pas de manière temporaire, mais définitive », a-t-il dit.
La mosquée de la ville de Mgr Modeus a récemment demandé la permission d’appeler à la prière par haut-parleur pendant deux fois trois minutes, chaque vendredi. Deux mosquées suédoises, une à Botkyrkadepuis 2013 – et une à Karlskrona, sont déjà autorisées à sonoriser leurs appels à la prière le vendredi. L’imam local, Ismail Abu Helal, a déclaré que l’appel public à la prière permettrait aux musulmans de mieux s’intégrer dans la société suédoise. « Je me réjouis de cette requête et j’ai hâte d’entendre à la fois les cloches des églises et les annonces de prières dans notre ville », a déclaré Mgr Modeus .
Le Premier ministre Stefan Löfven a refusé de se prononcer sur la question de l’appel islamique public à la prière. Cela « dépend de l’emplacement de la mosquée » et la décision en incombe à la municipalité a-t-il dit. En mai, la police de Växjö a autorisé les appels publics à la prière tous les vendredis pendant trois minutes. La police a expliqué que son évaluation était fondée sur des considérations de circulation, d’ordre public et de sécurité. Le contenu de l’appel à la prière ne semble pas avoir été pris en considération. Mgr Modeus a déclaré que « la décision de la police était judicieuse et serait bénéfique pour l’intégration ».
Le genre « d’intégration » que la mosquée de Växjö conseille aux musulmans passe par le refus de participer à la célébration de Noël des « kouffars » [un terme péjoratif pour « incroyants »] ; quant aux juifs, ils sont mentionné comme les ennemis d’Allah. L’école de la mosquée utilise des programmes scolaires saoudiens. Elle encourage les femmes à ne pas s’habiller « à l’occidentale » et affirme que les filles doivent apprendre à « s’habiller décemment dès l’enfance ».
A l’évidence, c’est la Suède qui s’intègre dans la culture islamique. Récemment, un tribunal suédois a rendu un jugement conforme aux principes de la charia. Le jury – qui comprenait deux musulmans – a estimé qu’il n’était pas possible de faire confiance à une plaignante victime de mauvais traitements conjugaux dans la mesure où elle venait d’une famille « d’un niveau social inférieur » à celui du mari et qu’il était « courant » que les femmes mentent sur les violences dont elles prétendent être victimes. Le jury a également réprimandé la plaignante pour avoir impliqué la police, au lieu d’avoir recours à la la famille du mari violent pour régler l’affaire. L’affaire a provoqué un tel scandale en Suède que les deux jurés ont été révoqués.
Dans une autre affaire récente, une jeune suédoise musulmane âgée de 12 ans avait été emmenée de force en Irak dans le but d’épouser son cousin de 22 ans, qui l’aurait violée ; de retour en Suède, elle a donné naissance à des jumeaux. Sa famille l’a obligée à retourner en Irak pour vivre avec son « mari ». Cette même famille a ensuite accepté que la jeune femme divorce à condition qu’elle renonce à la garde de ses enfants. Ces derniers sont toujours en Irak. Le tribunal suédois a confié au père, citoyen irakien, la garde de jumeaux âgés de 10 ans.
Judith Bergman est chroniqueuse, avocate et analyste politique.
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Le projet mortifère de Jacques Attali et de ses complices qui se met en place….
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3 hypothèses, ou bien :
– certains politiques* aux commandes sont l’objet de très légères menaces
– d’autres ou les mêmes reçoivent de toutes petites enveloppes pour leurs bonnes œuvres
– les derniers, très largement les plus nombreux, ont l’aide aux migrants chevillée au corps
* ainsi que quelques magistrats, préfets ou similaires peut-être . (Ô ministres intègres ! Conseillers vertueux ! (Ruy Blas, V. Hugo [qui savait de quoi il parlait],)
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