L’onde de choc de la crise turque s’est propagée jusque sur les bourses européennes. Les places ont nettement reculé vendredi, entraînées par la baisse des valeurs bancaires exposées à la Turquie. L’indice des banques européennes a cédé 4 %. Toutes les valeurs étaient en baisse. Parmi les plus fortes baisses on trouve UniCredit (-5,52 %), BBVA (5,43 %) et BNP Paribas (-4,15 %), très présents en Turquie, et qui sont des poids lourds de la cote dans leurs pays respectifs.
La défiance des investisseurs à l’égard des banques s’est accélérée vendredi après que le Financial Times a révélé les inquiétudes de la Banque centrale européenne sur l’exposition de certains établissements à la Turquie. Parmi les noms cités figurent la française BNP Paribas, l’italienne UniCredit et l’espagnole BBVA.
Manque de couverture pour les emprunts en devise
Le régulateur ne juge pas la situation critique, mais s’inquiète du risque que certains emprunteurs turcs ne soient pas couverts contre la baisse de la livre turque et commencent à faire défaut sur des emprunts en devises. Ces crédits, comparables à des emprunts toxiques en franc suisse, représentent jusqu’à 40 % des actifs du secteur bancaire turc, relève le quotidien britannique.
Selon les données de la Banque des règlements internationaux, le montant total des emprunts turcs dus à des banques espagnoles s’élève à plus de 80 milliards de dollars. BBVA n’a pas souhaité commenter la situation. Sur les six premiers mois de l’année, la Turquie représente 373 millions d’euros de bénéfice, soit 14 % de son résultat net total.
2 % des revenus d’UniCredit
La filiale turque d’UniCredit, Yapi Kredi, est jugée par les analystes de Goldman Sachs comme la plus fragile du secteur au regard de ses fonds propres. Mais l’établissement italien a relativisé son exposition en expliquant que la Turquie ne représente que 2 % de ses revenus et qu’une chute de 10 % de la livre entraînerait une baisse de seulement 2 points de base de son ratio de fonds propres « durs ».
La banque française BNP Paribas a également relativisé son exposition via la banque TEB. Comme pour UniCredit, le pays ne représenterait que 2 % de ses engagements.
Et comme toutes les banques européennes sont imbriquées les unes dans les autres chacune détenant une part des autres et réciproquement, cherchez l’erreur …
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Ouais c’est en attendant Godot depuis 2008
L’attente comprend deux phases, l’ennui et l’angoisse
Vladimir et Estragon
Vladimir et Donald
Beckett et Walt Dysney Au pays de rintintin ou joue les rantanplans
Lucky luke attend la cavalerie
Bon on attend..!
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En ce moment, tout le monde tient dans sa main gauche les couilles de son voisin et dans sa main droite un flingue. Personne n’ose lâcher, personne n’ose bouger.
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A reblogué ceci sur josephhokayem.
une petite question.
Je commence tout juste à m’interresser à ce monde de la finance et des banques suite à la lecture des ouvrages de Paul hellyer » Soyons conscients des manipulations de l’élite mondiale… » et de Simone wapler » pourquoi le France va faire faillite » et » Pouvez vous faire confiance à votre banque ». Ce sont des ouvrages très intéressant mais technique tout comme vos postes.
Avez vous un article permettant de comprendre les termes et leurs conséquences?
On va dire dans un langage de Mr tout le monde. « Exemple: L’indice des banques européennes a cédé 4 %. Concrètement c’est quoi l’indice? sur quelle base est il définit et comment le calculer… ce genre de chose. Fiscalité pour les nuls?
Je suis manager de transition et directeur de programme. Si je parle avec mon langage peut de personne me suivront.
Merci pour vos articles en attendant et indiquez moi un lien pour mieux comprendre vos propos. (Ou les lecteurs du site). Merci à tous.