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FaKebook s’associe au très globaliste Atlantic Council pour interférer dans les élections à travers le monde

Facebook s’associe au très globaliste Atlantic Council pour interférer dans les élections à travers le monde

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Échaudé par les nombreux scandales et critiques dont il a été l’objet depuis plusieurs mois, Facebook a décidé de tout faire « protéger des élections libres et justes dans le monde » – on s’inquiète déjà.
Et on peut puisqu’il compte s’allier avec le think tank spécialisé dans les relations internationales, l’Atlantic Council, qui compte quelques magnifiques personnalités mondialistes telles Henry Kissinger et Dina Powell, ancienne présidente de la Goldman Sachs Foundation…
 
A Facebook, l’Atlantic Council fournirait « des informations en temps réel et des mises à jour sur les menaces émergentes et les campagnes de désinformation à travers le monde ». Autrement dit les « fake news », les informations non conformes à son corpus idéologique. Le réseau social pourra ainsi veiller de manière très localisée, à la désinformation et aux tentatives d’interférence étrangère.
 
Quant à la propre influence potentielle du think thank sur le processus, Facebook n’a pas semblé s’en inquiéter.
 
Pour ne citer qu’un exemple, dit Breitbart, l’Atlantic Council a considéré la récente victoire écrasante d’Orbán aux élections hongroises comme un « appel à l’action » des « démocraties occidentales » pour « protéger et défendre … les valeurs démocratiques ». Orbán pas conforme… Erdoğan en revanche conforme, qui a été récemment accueilli par le think thank, lors de son sommet international à Istanbul…
 
Franchement, il est où le problème… il est où ? !

https://reinformation.tv/facebook-globaliste-atlantic-council-elections-monde-vite-84466-2/

Personne n’en parle au Québec et, pourtant, ce mouvement de troupes n’augure rien de bon pour les forces conservatrices qui s’opposent aux visées des mondialistes. La classe politique américaine, proche du clan Clinton, n’a toujours pas digéré le succès des stratégies déployées au moyen des médias sociaux pour appuyer la campagne présidentielle de Donald Trump.

Chez nous, au Canada, il semblerait que l’ancienne ministre de Patrimoine Canada, Mélanie Joly, ait pris les devants pour mandater Facebook afin d’instaurer des processus de vérification de contenus, lesquels permettront de filtrer l’influence de certains groupes de pression face aux élections qui se préparent.

Facebook se transforme en police électorale

L’entreprise de Mark Zuckerberg rejoint un public mondial de près de 2 milliards d’usagers et ce média social constitue l’unique plateforme capable de fédérer autant d’électeurs potentiels parlant une infinité de langues. Voilà pourquoi certaines officines viennent de conclure une série de partenariats avec Facebook dans le but avoué de « protéger le processus électoral d’interférences qui pourraient nuire à la démocratie ».

Ainsi, Facebook a pris la décision de mandater l’Agence France-Presse afin d’instaurer un dispositif d’évaluation et de contrôle des informations mises en ligne, tout cela dans l’objectif d’instaurer une chasse aux « fausses nouvelles ». Par ailleurs, le géant californien vient de conclure un partenariat avec l’Atlantic Council, un groupe de réflexion proche de l’OTAN, afin de repérer les campagnes de « désinformation » sur sa plateforme et de prendre les mesures qui s’imposent.

De nouveaux partenariats controversés

Plusieurs sources d’influence reprochent au géant des médias sociaux de ne pas avoir été à la hauteur pour modérer le partage de contenus susceptibles d’avoir influencé le déroulement des dernières élections américaines. Toute cette pression aurait motivé l’entreprise à conclure ce partenariat d’un genre inusité avec l’Atlantic Council.

Rappelons que l’Atlantic Council a été fondé en 1961 et qu’il s’agit d’un groupe de réflexion géostratégique proche des milieux atlantistes qui peut compter sur des analystes de la trempe d’un Zbigniew Brzezinski. Ce dernier dispose, d’ailleurs, d’une tribune permanente au sein de l’organisme et ne se gêne pas pour inciter les Américains et les forces de l’OTAN à financer l’armement du gouvernement de composition de l’Ukraine.

Certains observateurs froncent les sourcils face aux visées d’un Atlantic Council qui ambitionne de « réguler » les processus électoraux à travers la planète. Ainsi, la journaliste indépendante Rania Khalek rappelait, dans un récent tweet, que « [l]’Atlantic Council, qui est financé par les monarchies du Golfe, les gouvernements occidentaux, l’OTAN, les compagnies pétrolières et les compagnies d’armement, etc., va désormais aider Facebook à supprimer ce qu’ils estiment être de la désinformation ».

Une synergie entre les acteurs impliqués

Poursuivant sur sa lancée, Rania Khalek estime que Facebook mettra à contribution les « missions de surveillance de l’unité de recherche numérique de l’Atlantic Council pendant les élections et d’autres périodes très sensibles ». Il est facile de vérifier les dires de Mme Khalek en faisant un bond du côté de la communication officielle de Facebook.

Ainsi, Katie Harbath, directrice des politiques mondiales et des relations avec les gouvernements, admet ouvertement que Facebook investit beaucoup d’énergie pour faire en sorte que ses services ne soient pas utilisés à des « fins abusives » durant le déroulement d’un processus électoral. Les effectifs qui s’occupent de la sécurité du réseau, en utilisant l’intelligence artificielle afin de bloquer les comptes récalcitrants, ont été récemment doublés.

Contrôler l’information numérique

La directrice des politiques mondiales révèle que l’entreprise collabore de manière intensive avec toute une pléiade d’experts, de gouvernements et d’entreprises parce qu’elle est incapable de répondre à tous ces défis de son propre chef.

À titre d’exemple, Mme Harbath souligne, qu’en mai dernier, son entreprise « a annoncé la mise sur pied d’une commission indépendante destinée à aider à l’organisation et au financement d’une vaste recherche qui portera sur l’impact des médias sociaux sur la société, avec un accent plus particulier sur les élections ».

Katie Harbath ne cache pas son enthousiasme en révélant que « Facebook est ravie d’inaugurer un nouveau partenariat avec l’Atlantic Council, un organisme qui jouit qu’une incroyable réputation grâce à son approche innovante pour résoudre des problématiques difficiles. […] Tout cela permettra à Facebook d’obtenir des mises à jour et des révélations concernant les nouvelles menaces et les campagnes de désinformation qui pullulent à travers le monde ».

Un dossier à suivre.

Voici la ou les sources de cet article : TwitterBreitbartFacebookRussian TVAnticons et New York Times

http://le-peuple.ca/enquetes/article-3037-1533832373

OK+++++++++++++++++++++++++

EN BANDE SON : 

5 réponses »

  1. Je viens d’avoir un avertissement par FakeBook parce que dans un commentaire, j’avais traité de raciste une personne qui était lui raciste envers les québécois. Je ne comprends juste pas. :-/

  2. Le zuck est sous pression , les méchants n’ont pas apprécier que l’outil profite à l’ennemi . Les moutons s’éveilleraient en plus , un comble . Il faut défendre fbook , le but des mondialistes est vraiment d’en réduire l’influence et briser son image . Ceux qui ont fermer leur page ou qui en parle , sont déjà mort mais ils ne le savent pas .


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    • en quoi fermer sa page tuerait-il ?
      La désaffection de ses mentors pour Zuckerberg est peut-être liée au fait que, comme Macron après lui, il a cru que son succès lui permettait d’avoir des idées personnelles sur certains points.
      Zuckerberg, c’est sur les « négationnistes » qu’il n’a pas assez barrés sur FB quant à Macron, c’est son enthousiasme modéré à accueillir les bateaux de migrants privés de ports d’accueil.


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