Allemagne

Pangermanisme : Le nouvel accord d’Angela Merkel avec ses alliés annonce l’arrivée de davantage d’immigrés en Allemagne et donc en Europe

Le nouvel accord d’Angela Merkel avec ses alliés annonce l’arrivée de davantage d’immigrés en Allemagne

Angela Merkel prépare l’arrivée de davantage d’immigrés Allemagne

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En difficulté politique dans son propre pays, Angela Merkel persiste et signe : elle continue de favoriser l’arrivée massive d’immigrés en Allemagne, fût-ce au moyen de quelques concessions au nombre croissant de ses compatriotes pour qui l’afflux a déjà largement dépassé les capacités d’assimilation du pays. Le chancelier allemand vient de mettre sur pied un nouvel accord avec les alliés de son parti, le CDA, afin de permettre l’arrivée d’étrangers supplémentaires.
 
Raison avancée : l’Allemagne manque de main-d’œuvre – 300.000 postes à pourvoir n’avaient toujours pas trouvé preneur en septembre, selon l’Institut économique allemand de Cologne – et la tendance ne saurait que s’accentuer, vu la natalité en berne depuis des années et l’hiver démographique qui s’installe. Les prévisionnistes gouvernementaux omettent évidemment l’arrivée massive des robots.
 

Angela Merkel prépare l’arrivée de davantage d’immigrés Allemagne

 
Cette raison repose sur un postulat simple : importer des travailleurs, ou du moins des migrants depuis l’étranger, permet d’alléger la tension sur le marché de l’emploi et de remplir les postes vacants. L’expérience prouve, hélas, que l’équation est tout sauf simple : le migrant, spécialement s’il ne maîtrise pas la langue du pays et n’est pas doté de la formation adéquate, a bien plus de chances d’assurer sa propre subsistance grâce aux programmes d’allocations qui l’attendent, tout en pesant sur le financement autochtones de ces aides, que de trouver un travail en bonne et due forme.
 
De fait, depuis 2014 – avec le véritable tsunami déclenché en 2015 par la décision de Merkel de faire entrer tous les réfugiés qui affluaient depuis l’Afrique noire et le Proche-Orient – l’Allemagne a accueilli plus d’un million et demi de migrants. Sans que la situation de l’embauche n’en soit améliorée…
 
C’est l’arrivée massive de migrants qui a d’ailleurs donné des ailes aux mouvements politiques allemands anti-immigration, comme l’AfD (Alternative für Deutschland) qui est aujourd’hui le deuxième parti au parlement fédéral en termes de sièges : il en possède plus de 90 depuis les dernières élections.
 

L’accord d’Angela Merkel avec ses alliés cherche à enfumer les Allemands

 
Son leader, Alexander Gauland, accuse le gouvernement d’Angela Merkel d’avoir aggravé la situation en confondant politique migratoire et accueil des demandeurs d’asile : en pratique, ceux-ci voient selon lui « démultipliée » leur capacité à éviter l’expulsion.
 
Aux termes des derniers accords de gouvernement entre le CDU et ses alliés, en effet, les étrangers sans titre de séjour, demandeurs d’asile, ont désormais le droit de rester en Allemagne s’ils ont un emploi et peuvent démontrer qu’ils ont réussi leur « assimilation » dans la société allemande.
 
Par ailleurs, les candidats à l’immigration en provenance de pays hors-UE peuvent entrer en Allemagne en vue d’y travailler s’ils savent parler l’allemand. Un petit bémol : ces travailleurs n’auraient pas la possibilité de profiter des généreuses prestations prévues dans le cadre de la protection sociale allemande.
 
Commentaire d’Hubertus Heil, ministre allemand de l’emploi : il s’agit selon lui d’une « solution pragmatique qui réfléchit la réalité », et qui correspond à sa crainte de « renvoyer les mauvaises personnes » par rapport aux besoins actuels de l’Allemagne.
 

Davantage d’immigrés Allemagne ne régleront pas ses problèmes existentiels

 
Admettons l’hypothèse selon laquelle les nouvelles mesures soient capables de fournir des bras dans les secteurs économiques qui en ont besoin (et nous soulignons que cela reste à démontrer) et que les dispositions objectivement discriminantes à l’égard des travailleurs étrangers ne soient pas réduites à néant par quelques procédures rondement menées devant des juridictions internationales. Admettons…
 
Cela ne modifierait en rien la question numéro un : l’Allemagne en serait poussée à changer encore davantage de visage, de culture, dans un mouvement qui ne saurait que s’accentuer, parce que son problème n’est pas d’abord le manque de main d’œuvre dans tel ou tel secteur – qui peut survenir même dans les pays démographiquement florissants et capables d’accueillir une certaine proportion de migrants – mais celui du manque de naissances, et d’une islamisation croissante.
 
Angela Merkel elle-même, en d’autres temps – c’était alors à la mode au sein de l’UE qui avait besoin d’être bien vue – a dénoncé l’échec du multiculturalisme. Aujourd’hui, ces constats ont été oubliés, et le chancelier vient d’expliquer à son parlement que la solution de la crise migratoire est indispensable à la survie de l’UE. Et ce dans un sens qu’on devine, puisqu’elle favorise elle-même les nouvelles entrées.
 
L’Allemagne et les autres nations de l’UE devraient « se laisser guider par les valeurs en croyant au multilatéralisme, non en l’unilatéralisme », a-t-elle insisté.
 
En clair : c’est à tous les pays de l’UE de s’ouvrir de concert.
 

Anne Dolhein

https://reinformation.tv/accord-angela-merkel-allies-davantage-immigres-allemagne-dolhein-88737-2/

Bien que l’Allemagne ait accueilli plus d’un million de réfugiés depuis 2015, les postes vacants d’un nombre croissant de secteurs ne sont toujours pas pourvus.
L’Allemagne assouplit les réglementations existantes en matière d’immigration en raison d’une pénurie aiguë de main-d’œuvre dans différents secteurs économiques. Selon les médias allemands, la coalition CDU-CSU et SPD a conclu un accord lundi soir.En vertu des nouvelles règles, les immigrés qui résident déjà en Allemagne mais qui sont en attente de l’examen de leur demande de résidence auront plus de chances d’obtenir un permis de séjour s’ils peuvent prouver qu’ils ont un emploi et s’intègrent à la société allemande.

Un goulet d’étranglement pour les « travailleurs des pays du tiers monde »

Ceux qui ne sont pas encore en Allemagne, mais qui exercent l’une des professions concernées par ces pénuries – chefs, métallurgistes et informaticiens – seront autorisés à se rendre en Allemagne et à y séjourner pendant six mois pour chercher du travail, à condition de parler allemand.

Le gouvernement Merkel est bien conscient du fait qu’il devra chercher la main-d’œuvre nécessaire pour absorber les pénuries de travailleurs allemands hors de l’UE. Selon le ministre de l’Intérieur Horst Seehofer, « des travailleurs des pays du tiers monde » seront en effet nécessaires pour cela. Une partie du problème vient du vieillissement rapide de l’Allemagne.

En Allemagne, le «plein emploi» a presque été atteint et le nombre de chômeurs n’a jamais été aussi faible depuis la réunification allemande en 1991. Avec un taux de chômage de 3,5 %, nos voisins orientaux de la zone euro ne sont dépassés que par la République tchèque, où l’on ne recense que 2,5 % de chômeurs, selon les derniers chiffres de l’agence statistique de l’UE, Eurostat.Toutefois, dans plusieurs secteurs en Allemagne, la croissance économique est menacée par une pénurie de personnel qualifié. Dans le secteur des technologies de l’information, le déficit de main d’oeuvre a atteint près de 340 000 postes vacants le mois dernier.

Des travailleurs migrants, pas des demandeurs d’asile

La coalition gouvernementale souligne que les règles assouplies ne s’appliquent qu’aux travailleurs migrants et non aux demandeurs d’asile. Depuis qu’Angela Merkel a annoncé son intention d’accueillir tous les réfugiés syriens en 2015, l’Allemagne a accueilli plus d’un million de demandeurs d’asile. Mais ces derniers mois, la « politique de bienvenue » de Merkel a mis son gouvernement en difficulté plus d’une fois. Le parti populiste d’extrême droite anti-immigration Alternative für Deutschland (AfD) en a profité.

« Des salaires appropriés résoudraient beaucoup »

Beaucoup d’experts se montrent sceptiques à l’égard de cette nouvelle réglementation assouplie. À la fin du mois d’août, Eric Seils, auteur du Wirtschafts und Sozialwissenschaftliche Institut, a affirmé que « le problème n’est pas tant qu’il n’y a pas pas assez de personnel disponible, mais qu’il faut dire que les entreprises ne sont pas prêtes à offrir les salaires appropriés ».

« Les plaintes des dirigeants d’entreprises concernant la pénurie de travailleurs qualifiés ne sont qu’une tactique pour ralentir la hausse des niveaux de rémunération dans le secteur allemand des bas salaires. Non seulement la législation sur l’immigration prévue pour attirer autant d’employés potentiels que possible est inutile, mais elle est même nuisible. »

OK++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

3 réponses »

  1. Rappel de la propagande-chantage d’état :
    https://nsa39.casimages.com/img/2018/10/07/181007063906905859.jpg

    Rappel des faits :
    QI le plus bas au monde :
    https://iq-research.info/en/average-iq-by-country

    Le continent le plus analphabète au monde :
    https://www.indexmundi.com/map/?%20t=0&v=39&r=af&l=fr

    Le continent où on se cultive le moins au monde
    https://www.oclc.org/fr/global-library-statistics.html
    Algérie une librairie pour un millions d’habitants, mais ils ne sont pas les pires d’Afrique, très loin de là
    https://www.vinyculture.com/40-librairies-actives-en-2017-en-algerie/

    https://nsa39.casimages.com/img/2018/10/09/181009011606958273.jpg

    https://nsa39.casimages.com/img/2018/10/09/18100901160642941.jpg

    Humoriste et double maléfique, chat perché, jurisprudence Meklat et chantage Belattar Yassine « guerre civile ». (Belattar sur LCI)

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