Art de la guerre monétaire et économique

Trump prépare la défense de la frontière des Etats-Unis à l’approche d’une caravane de 4.000 « migrants »

Trump prépare la défense de la frontière des Etats-Unis à l’approche d’une caravane de 4.000 « migrants »

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Autrefois, on aurait parlé de colons. Aujourd’hui, il faut dire « migrants », comme s’ils ne faisaient que passer, alors qu’ils viennent en réalité pour s’installer définitivement sans y avoir été invités ni autorisés. C’est pourquoi Donald Trump entend faire son travail de président pour lequel ses concitoyens l’ont élu. Face à l’approche d’une caravane de plusieurs milliers de « migrants » arrivant du Honduras, décision a été prise de déployer 5.200 soldats à la frontière avec le Mexique ainsi que du matériel pour installer des clôtures et des barbelés supplémentaires. Les militaires déployés ont en effet pour mission de mieux sécuriser la frontière entre le Mexique et le Texas, l’Arizona et la Californie. Des hélicoptères équipés pour la vision nocturne sont aussi de la partie, de même que des avions de transport de l’armée et des unités de police militaire. Ces soldats de l’armée fédérale viendront renforcer les 2.092 gardes nationaux déjà déployés par les Etats limitrophes du Mexique.
 

Une méga-caravane de colons guidée vers les Etats-Unis par une ONG financée par Soros et consorts

 
Une fois de plus, cette colonne de migrants-colons est organisée et conduite par une ONG gauchiste, Pueblo Sin Fronteras (Peuple sans frontières). Sa revendication ? Que le gouvernement des États-Unis mette fin aux expulsions d’immigrants illégaux et qu’il traite au contraire ceux qui traversent illégalement sa frontière comme des citoyens à part entière. Il y a aussi chez cette ONG gauchiste comme chez la plupart de ses consœurs d’extrême gauche convergence des luttes immigrationnistes et homosexualistes – deux aspects de la subversion visant à transformer en profondeur les sociétés occidentales. « Nous sommes un groupe de gens de différentes nations, religions, sexes, expressions de genre et orientations sexuelles en migration et à la recherche d’un refuge », écrivait ainsi l’ONG alors qu’elle tentait de faire venir une colonne d’immigrants illégaux en mars. D’après le site Influence Watch, cette ONG est financée par la crème des milieux gaucho-mondialistes américains : l’Open Society Foundations, la MacArthur Foundation, la Ford Foundation, et la Carnegie Corporation of New York.
 

Les médias gaucho-mondialistes occidentaux et la chaîne russe RT de tout cœur avec les « migrants » contre Donald Trump et contre l’existence de frontières nationales

 
Ces quelque 4.000 immigrants illégaux (3.000 auraient déjà renoncé en route) bénéficient en outre de la complaisance des médias dominants, de gauche, en Amérique et en Europe, et aussi, n’en déplaise aux fans du « conservateur » Vladimir Poutine au sein d’une partie de la droite française, de RT, le média international de l’Etat russe, dans sa version espagnole. Celui-ci, pour le coup, est complètement aligné sur les médias mondialistes et immigrationnistes occidentaux, et il emploie les mêmes méthodes de propagande par l’émotion. Face au grand méchant « locataire de la Maison Blanche » qui « menace d’envoyer les militaires pour sceller la frontière entre les États-Unis et le Mexique », le « président élu du Mexique » a de son côté « affirmé que son gouvernement offrirait des emplois et des visas de travail aux migrants centre-américains », explique RT à son publichispanophone. On croirait entendre CNN ou France Télévisions !
 

Olivier Bault

https://reinformation.tv/migrants-caravane-etats-unis-trump-bault-89756-2/

Ces immigrés clandestins qui s’installent aux Etats-Unis grâce à leur bébé : Trump veut supprimer le droit du sol

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Le droit du sol connaît peut-être ses dernières heures aux Etats-Unis. Cette disposition juridique, qui existe en France suivant des modalités plus contraignantes, permet à un bébé né d’immigrés clandestins d’acquérir de plein droit la nationalité du pays de sa naissance. Donald Trump vient d’abattre une carte maîtresse en annonçant qu’il entendait abolir par décret présidentiel cette disposition « ridicule » qui permet en outre aux parents de l’enfant ainsi automatiquement né états-unien d’obtenir un titre de séjour, rendant de ce fait leur expulsion impossible. D’où l’expression anglophone d’» anchor babies » ou « bébés ancres » qui ont donné naissance, si l’on peut écrire, à une véritable industrie de l’immigration par accouchement.
 

Donald Trump dénonce ce bébé qui devient citoyen par son seul lieu de naissance

 
Pour Donald Trump, le droit du sol est « ridicule et doit cesser ». Dans un entretien publié par le site Axios, il déclare : « Nous sommes le seul pays au monde dans lequel une personne qui entre puis fait un bébé voit ce bébé devenir de plein droit un citoyen des Etats-Unis, avec tout ce que cela signifie d’avantages. C’est ridicule, c’est ridicule, il faut que ça cesse ! » Cette disposition date de l’adoption du 14e amendement de la Constitution des Etats-Unis d’Amérique, ratifié en 1868 par les trois-quarts des Etats fédérés, qui avait pour but premier d’annuler une décision de la Cour suprême prise en 1857 (Dred Scott vs. Sandford) qui stipulait que les descendants d’esclaves ne pouvaient pas obtenir la citoyenneté. Ce 14e amendement énonce que « toute personne née ou naturalisée aux Etats-Unis, et sujette à sa juridiction, est citoyenne des Etats-Unis et de l’Etat dans lequel elle réside ». Appliqué à la situation actuelle, qui voit grossir les vagues de migrants économiques depuis l’Amérique centrale voire l’outre-mer, ce texte n’a plus grand sens.
 
Donald Trump a estimé qu’il pourrait modifier par un simple décret présidentiel la façon dont l’administration fédérale interprète cet amendement sans avoir à modifier la constitution elle-même. Notons que plusieurs candidats qui avaient concouru aux primaires républicaines de 2016, outre Trump, Jeb Bush et quelques autres, avaient déjà affirmé, sur ce sujet qui enflamme les débats aux Etats-Unis depuis longtemps, que l’expression « sujette à sa juridiction » limite le propos de l’amendement aux personnes résidant légalement dans le pays. Dans un documentaire diffusé par Home Box Office dimanche, Trump lance qu’on lui a « toujours expliqué qu’il faudrait un amendement constitutionnel » pour modifier l’interprétation du texte en question, avant d’enchaîner : « Mais que croyez-vous ? On n’en a pas besoin ! (…) On peut certes parfaitement agir par une loi votée au Congrès, mais maintenant on m’affirme que je peux le faire par un décret présidentiel. »
 

Le débat sur le droit du sol rouvert deux semaines avant les élections de mi-mandat

 
Ce débat sur le droit du sol est rouvert deux semaines avant le scrutin des élections de mi-mandat, qui vont renouveler la totalité des 435 représentants dotés d’un droit de vote et le tiers des 100 sénateurs. De plus, il survient alors qu’une deuxième caravane de migrants issus d’Amérique centrale chemine avec l’aide des organisations immigrationnistes à travers le Mexique vers les Etats-Unis, entraînant des affrontements avec la police fédérale mexicaine. De quoi inquiéter l’opposition démocrate.
 
Le franc-parler et la détermination de Donald Trump sur ce sujet hautement sensible sont susceptibles de raffermir la mobilisation de ses partisans. Pourtant, sa position sur le droit de la nationalité est loin d’être opportuniste. Déjà, en août 2015, sur Fox News, il dénonçait la manœuvre des migrants clandestins : « Ils sont au Mexique, ils savent qu’ils vont avoir un enfant, ils viennent ici pour quelques jours pendant lesquels ils ont le bébé. Or je ne pense pas qu’ils puissent prétendre à la citoyenneté américaine. (…) La plupart des avocats seront d’accord avec moi. »
 

Un tourisme de l’accouchement pour régulariser les immigrés clandestins

 
L’interprétation laxiste du 14e amendement et de son « droit du sol » ont entraîné la constitution d’une véritable industrie de l’immigration dénommée « tourisme de l’accouchement » pour immigrés clandestins. Le Washington Post rapporte que des femmes asiatiques paient entre 40.000 et 80.000 dollars US pour venir par avion à New York ou en Californie, résider dans des « hôtels » spécialisés équipés de salles d’accouchement. Le jeu en vaut la chandelle, estiment-elles, sachant que leur propre demande de statut de résident recevra un avis favorable par le seul fait que leur bébé aura dès sa naissance la nationalité américaine.
 
Les femmes plus pauvres, elles, se contentent de franchir la frontière terrestre méridionale. De quoi attiser un peu plus, aux Etats-Unis, l’affolement général causé par les caravanes de migrants délibérément organisées par le lobby immigrationniste depuis le Sud. Les déclarations de Donald Trump sur le droit du sol se justifient d’autant mieux.
 

Matthieu Lenoir

https://reinformation.tv/droit-sol-donald-trump-immigres-clandestins-bebe-lenoir-89741-2/

OK++++++++++++++++++++++++++++++

4 réponses »

  1. et puis pour faire face au déploiement de l’armée,envers l’armada de migrants et ses infiltrés c’est une habitude « normale » pour les terroristes de se servir des boucliers humains, particulièrement femmes, enfants et même bébés . . . avec quelques vieillards pour faire bonne mesure en les soutenant avec un air de dévouement sacrificiel absolu jusqu’à la frontière, après froidement on le laisse littéralement tomber pour pouvoir vaquer aux opérations sérieuses de préparations d’attentats.

    • « Mais que fait Poutine dans cette galère? » Poutine est le jumeau de Trump en Russie et tout comme lui a à gérer des forces contradictoires ce que nous appelons ici la gestion paradoxale des affaires, ainsi certaines forces en Russie, en particulier les anciens communistes, dont se fait souvent le relais le media russe RT aimeraient bien une confrontation directe avec les Américains et un retour pur et dur à la guerre froide.

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