Art de la guerre monétaire et économique

Le Billet du LUPUS : Montagnards contre Jaco(bam)bins – C’est la lutte finale !

Montagnards contre Jaco(bam)bins – C’est la lutte finale !

Montagnards contre Jacobins, localisme contre mercantilisme, villes moyennes contre mégalopoles,  régionalisme contre mondialisme…En se réappropriant la technologie comme le font les islamistes du terrorisme, pas d’amalgame, les 50% qui payent pour la consommation de tous les autres prouvent que face à la machine à broyer hollando macronienne il était temps de réagir…No pasaran ! Et un grand bravo à Jean Lassalle le seul à l’assemblée qui est des corones face à des transgenres politicotocards sans foi ni lois qui trouvent en plus le moyen de le mettre le Lassalle à l’amende…Quand on veut tuer son peuple on l’accuse d’avoir la haine, quand on veut tuer son chien on l’accuse d’avoir la rage ! Retour vers le futur !

Il y a ceux qui crèvent d’avoir trop, il y a ceux qui crèvent de ne pas avoir assez. Le problème c’est que ceux qui en ont déjà trop rêvent du mode de vie des pas assez qu’ils voudraient voir transféré et édulcoré dans le monde parfait de ceux qui en ont déjà beaucoup. Les pas assez se voient ainsi privés et de leur identité qu’on s’acharne à brider au nom de la solidarité, et de leur gagne pain que l’on cherche à s’accaparer au nom du partage, de la sueur et des larmes. Étrange monde ou les sourds et malentendants rivalisent de bruit avec les borgnes et aveugles dans l’objectif de se bien faire voir. Ainsi est né le gilet jaune, du mépris affiché par certains il a voulu attiré l’attention du plus grand nombre sur sa phosphorescence, sur le coté cocu de sa situation il a voulu sortir de sa triangulaire telle une femme battue coincé entre son mari jaloux-l’Etat qui le mal-gouverne et son amant volage-ce Bourgeois qui le maltraite.

Jean-Claude Michéa : « J’ai même un voisin, qui vit avec 600 € par mois et qui doit calculer le jour du mois où il peut encore aller faire ses courses à Mont-de-Marsan, sans tomber en panne, en fonction de la quantité de diesel – cette essence des pauvres – qu’il a encore les moyens de s’acheter !). »

L’histoire se répète et pour la Madame Bovary qui s’ennuie dans sa campagne loin de tout et très encline au rien, l’élection d’un Julien Sorel à la tète du Léviathan étatique n’y aura décidément rien changé. Passé les premiers émois  d’un désir énamouré s’est installé un désamour fort passionné, transformant les 50 nuances de gris du départ  en 15% d’opinions favorables.

Emma Bovary et les people : « Ils étaient, ceux-là, prodigues comme des rois, pleins d’ambitions idéales et de délires fantastiques. C’était une existence au-dessus des autres, entre ciel et terre, dans les orages, quelque chose de sublime. Quant au reste du monde, il était perdu, sans place précise, et comme n’existant pas. »

Alors que faire pour tuer le temps qui n’a de cesse que de vous regarder mourir, qui n’a de cesse que de vous laisser dépérir telle un vieux clou rouillé sur le coin d’un établi. Avec le temps va tout s’en va, chantait le poète déchu, je l’avais connu pourtant plus combatif le vieux Léo, et basta !

Alors lève toi et Marche ! Trop tard Lassalle et Kerviel ont déjà tracé la route mais Macron en marche rapide les a tous grillé à l’époque…par les feux de la Saint Jean-Jacques—de Compostelle.  Ne restait plus alors comme concept que les ronds points vêtus de gilets jaunes pour espérez bouger encore…quitte à tournez en rond…autant que cela soit pour le bien réel de ce bordel à ciel ouvert nommé Planète.

Génie initiatique du peuple ? « Le gilet de haute visibilité ou gilet de sécurité est un vêtement à haute visibilité considéré comme un équipement de protection individuelle (EPI), destiné à améliorer la visibilité d’une personne évoluant en bordure de chaussée en situation dangereuse ou sur un chantier… »

Elle est pas bonne l’idée : Battre le pavé en attendant la plage ! En guise de bonus ethnologique : enfumer le gouvernement  sous un torrent de vapeur diesel avec en prime de reconversion pour tous ces énarques maoïstes du « politriquement  incorrect » la culture des champs de mais OGM ! C’est ce que l’on appelle payer par ou l’on a péché, c’est-à-dire par le bambou de la délocalisation de rizière de Chine…

Bref comme les feuilles mortes les gilets jaunes sont là pour durer parce que les lucioles et les petits lutins feu follet de la foret ont la vie dure et la peau tannée… Mais n’allez pas croire qu’à l’image de leur parents ou des bobos des villes décérébrés à coup de fumettes et de kebabs,  ce qui les fait rêver les gilets jaunes c’est la ruralité de leurs ancêtres, non, ils voudraient juste à défaut de monnaie pleine avoir le respect et la reconnaissance qu’ils méritent !  Et qu’on arrête de les enfumer à coup de pousse-pousse électriques, de migrants ingénieurs et d’islamistes plein de paix et d’amour, le tout au nom de la fausse transition « économicologique » et des « fosses réfugiés climato-septiques ».

Une confidence pour la route qui sera pleine d’embûches de noël  : Je ne savais pas qu’en France ceux qui épargnent et travaillent, bref ceux qui tiennent par les corones, pardon par les cordons des bourses, tous les autres, avaient entre les mains en fait juste une corde  pour se pendre et allez se faire pendre à la prochaine échéance du crédit qu’ils n’auraient jamais du prendre. Etre pris quand on croyait pouvoir prétendre c’est là toute l’ironie de l’histoire, et c’est l’histoire des deux Frances ! L’une qui sonne l’heure de la retraite au flanc pas beau et l’autre le grand remplacement !

LE LUPUS

OK++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

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3 réponses »

  1. Le cœur et l’esprit des petits lutins feu -follet me semblent trempés dans l’acier de la plus belle des épées:Excalibur

    .

  2.  » Être gouverné, c’est être gardé à vue, inspecté, espionné, dirigé, légiféré, réglementé, parqué, endoctriné, prêché, contrôlé, estimé, apprécié, censuré, commandé, par des êtres qui n’ont ni le titre, ni la science, ni la vertu… Être gouverné, c’est être, à chaque opération, à chaque transaction, à chaque mouvement, noté, enregistré, recensé, tarifé, timbré, toisé, coté, cotisé, patenté, licencié, autorisé, apostillé, admonesté, empêché, réformé, redressé, corrigé. C’est, sous prétexte d’utilité publique, et au nom de l’intérêt général, être mis à contribution, exercé, rançonné, exploité, monopolisé, concussionné, pressuré, mystifié, volé ; puis, à la moindre résistance, au premier mot de plainte, réprimé, amendé, vilipendé, vexé, traqué, houspillé, assommé, désarmé, garrotté, emprisonné, fusillé, mitraillé, jugé, condamné, déporté, sacrifié, vendu, trahi, et pour comble, joué, berné, outragé, déshonoré. Voilà le gouvernement!
    extrait de Proudhon de circonstance.

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