Art de la guerre monétaire et économique

Douce France : Les Fossiles et le Marteau – La vieillesse, âge de toutes les inégalités ?

La vieillesse, âge de toutes les inégalités ?

Le monde occidental a choisi les cordes pour être pendu. L’une s’appelle « immigration », l’autre « changement climatique ». Les deux sont liées, l’une justifiant l’autre et les deux utilisées comme prétexte à toutes les politiques impopulaires. On ne vous écoute pas et on vous rend la vie difficile mais c’est au nom de « nobles causes », la fin justifiant les moyens. Les spécimens les plus assidus de cette politique se trouvent en France, en Allemagne et au Canada mais aussi à Bruxelles. Comme ils ont choisi la manière forte cela ne pourra pas bien finir: ou ils imposent leurs points de vue et c’est la fin des nations et de la civilisation occidentale ou ils perdent et cela ne se fera que par des tensions de plus en plus fortes qui engendreront une violence de plus en plus fréquente.

Éber Haddad

J’ai lu que le mouvement gilet jaune était puant. 70% des Français seraient donc des puants, on le sait le pauvre pue et nous incommode de sa pauvreté, de ses dents manquantes, de ses mains abîmées par le travail, de sa vieille voiture qui pollue et de ses vêtements bon marché. Le salaud de pauvre qui n’a pas le réflexe de prendre le métro pour aller de Parthenay à Poitiers ou de Liévin à Hénin-Beaumont en trottinette ou en velib ! Cette cochonne d’auxiliaire de vie qui gagne 1200 euros par mois et qui a 300 euros de budget carburant, elle qui n’a que 30 minutes par patient le matin, 30 minutes pour lui faire la toilette, lui préparer son petit déjeuner et laver sa vaisselle. Qu’elle arrive à l’heure au lieu de se plaindre. Et ce petit retraité qui vivote dans une petite ville où les commerces du centre ville ont disparu, qui doit faire 12 km pour aller au centre commercial, on lui a rogné sa retraite pour plus de services publics, mais le bureau de poste a fermé et l’hôpital est à une heure de voiture! Cette France pue et elle doit restée à l’ombre, être invisibilisée, elle nous incommode avec son gilet jaune criard.

NOAM MARIANNE

By Editoriauxwww.bvoltaire.fr novembre 28, 2018

Au 1er janvier 2018, la France comptait 16.874 personnes de 100 ans ou plus (dont 13.945 femmes !), 796.407 dans la tranche entre 90 et 100 ans et 3.191.035 âgées de 80 à 90 ans. Soit près de 4,5 millions de personnes susceptibles d’entrer dans la dépendance, voire la grande dépendance, et donc de recourir à un placement en maison de retraite.

Or, si l’on en croit le rapport publiée ce mardi par la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) du ministère de la Santé, le souci de la prise en charge de leurs dernières années de vie est un grand sujet d’angoisse pour une majorité de Français.

Avec des études toujours plus longues, une entrée sur le marché du travail (quand elle se fait…) toujours plus tardive, une retraite que « la socialie » a ramenée à 60 ans quand l’espérance de vie grimpait en flèche et un chômage endémique, nous n’allons pas, quoi qu’on en dise, vers une vieillesse radieuse. Plutôt vers un âge où les inégalités seront presque plus criantes encore.

Selon cette étude de la DREES, le prix moyen d’un séjour en maison de retraite, fortement variable selon les établissements et leur situation géographique, est de « 2.420 euros en moyenne dans le privé lucratif à 1.730 euros dans les établissements publics non hospitaliers ».

Les aides publiques (État, département, Sécurité sociale…) couvrent une part du séjour, mais « le reste à charge d’un séjour en maison de retraite est supérieur ou égal à 1.850 euros par mois pour la moitié des pensionnaires, alors que la pension médiane n’est que de 1.500 euros ». Le reste à charge – essentiellement les frais d’hébergement – s’entend donc après le versement des allocations diverses et la contribution des « obligés alimentaires » (les enfants).

Beaucoup de gens l’ignorent en effet, ou balaient cela d’un revers de main, mais on peut se retrouver contraint de devoir amputer son budget familial pour contribuer à la pension d’un ascendant et cela peut être lourd, sachant que la durée moyenne du séjour jusqu’au décès est de trois ans et quatre mois.

On est là dans le concret, bien loin des fumisteries radieuses du transhumanisme, et c’est une question qu’il faut affronter avec lucidité.

Selon l’étude de la DREES, 27 % des pensionnaires en maison de retraite piochent dans leur épargne, 11 % mettent à contribution leur entourage et 16 % estiment qu’ils vont devoir le faire prochainement. Enfin, 5 % sont contraints de vendre une partie de leur patrimoine.

Aujourd’hui, la prise en charge des personnes âgées en perte d’autonomie coûte trente milliards d’euros par an à la collectivité, soit 1,4 point de PIB. Compte tenu du vieillissement de la population, on l’estime à 2,78 points de PIB en 2060 (chiffres du ministère de la Santé). Il devient donc urgent de trouver de nouvelles solutions de financement. C’est l’objectif de la « Concertation grand âge et autonomie » qui a été lancée à l’automne et devrait déboucher sur un projet de loi en 2019.

Le mot, je le sais bien, est imprononçable par les temps qui courent : responsabilisation. Dans un temps où le pays est au bord de la faillite et une partie de ses citoyens également, il va falloir – comme la Grèce ? Comme l’Espagne ? – sortir des chimères de « la répartition » par l’État et repenser les solidarités familiales. Malheureusement, en ce domaine aussi, les inégalités se creusent…

Première urgence : aligner enfin les différents régimes de retraite. Et bonne chance à celui qui s’y colle…

http://www.bvoltaire.fr/la-vieillesse-age-de-toutes-les-inegalites/?mc_cid=179e32c728&mc_eid=b338f8bb5e

Des demandeurs d’asile attendent devant les locaux de France Terre d’Asile à Paris pour accéder à la plateforme d’accueil des réfugiés. — GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP

Une augmentation conséquente pour les réfugiés. Selon les documents du gouvernement publiés cette semaine, le budget, consacré à la mission «  immigration, asile et intégration », atteindra 1,58 milliard d’euros en 2019, soit 200 millions d’euros de plus qu’en 2018.

Une hausse de 14 %, alors que le budget général, lui, reste quasiment le même (+0,6 % en 2019). Selon le ministère de l’Intérieur, « il y a un redimensionnement de la politique d’intégration ». Une hausse qui devrait financer le doublement des cours de langue et les mesures d’insertion professionnelle. Le budget prévoit ainsi une hausse de plus de 40 % l’an prochain des crédits de l’intégration, à 395 millions d’euros, dont 52 millions exclusivement pour la formation linguistique.

Le gouvernement table sur « une stabilité de la demande d’asile »

A l’horizon 2020, l’Etat prévoit d’héberger 86 % des demandeurs d’asile, contre 50 % actuellement, selon ces documents. Pour cela, l’objectif « ambitieux » du gouvernement est d’augmenter le parc d’hébergement, qui devrait atteindre « plus de 97.000 places en 2019 », grâce, notamment, à la création de 1.000 places en centres d’accueil pour demandeurs d’asile (Cada) et de 3.500 en hébergement d’urgence.

Pour équilibrer ces prévisions, le gouvernement table, en 2019 mais aussi en 2020, sur « une stabilité de la demande d’asile » et « une baisse de 10 % des demandeurs Dublin », les réfugiés déjà enregistrés dans un autre pays européen.

Près de 100.000 personnes ont demandé l’asile en France en 2017

Le gouvernement entend également réduire les délais de demande d’asile à « soixante jours » à l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides). Au total, 25 postes supplémentaires à l’Ofii (Office français d’immigration et d’intégration), 10 à l’Ofpra et 122 à la CNDA devraient être créés.

Concernant la lutte contre l’immigration irrégulière, les centres de rétention administrative bénéficieront d’un plan d’investissement de 50 millions d’euros avec « plus de 450 places » supplémentaires prévues en 2018 et 2019. L’ancien ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, avait annoncé 400 places supplémentaires mais « on a étendu le plan en cours d’année », indique-t-on à l’Intérieur. Environ 100.000 personnes ont demandé l’asile en France l’an dernier.

https://www.20minutes.fr/societe/2348975-20181005-refugies-budget-etat-integration-augmente-200-millions-euros

OK++++++++++++++++++++++++++++++++++++

4 réponses »

  1. il y a aussi les pastilles « soleil rouge » . . . pour varier un peu* !
    Soleil vert de Harry Harrison – Editions J’ai Lu

  2. Et n’oublions pas Jacques Attali, « Le Mentor » de « Micron 1er », qui a écrit et clairement dit
    qu’il veut euthanasier automatiquement les gens à l’age de 62 ans « par soucis d’humanité »,
    Le pire est que tous ces dirigeants malsains et maléfiques sont capables d’aller jusqu’au bout de leurs dogmes si nous les laissons faire…

  3. « Et n’oublions pas Jacques Attali, « Le Mentor » de « Micron 1er », qui a écrit et clairement dit
    qu’il veut euthanasier automatiquement les gens à l’age de 62 ans « par soucis d’humanité »
    La logique du système: un retraité ne peut plus servir la machine économique.
    Les images lissées de cet im-monde univers publicitaire occultent soigneusement,la vieillesse,la maladie,et la mort.
    Je remarque qu’auparavant on disait les « anciens » qui étaient respectés pour la connaissance acquise au cour de leur vie.
    En projet aussi:disparition progressive des cimetières:effacer le souvenir .récupérer du .terrain pour bâtir.Essayer d’acquérir une concession aujourd’hui relève du parcours du combattant.
    Pousser les personnes a se faire incinérer (coût soi disant moins cher)
    et créer un lopin de terre,nommé « jardin du souvenir » aahaahah!!!!!!!
    ou les gens dispersent les cendres de leurs parents.
    Et hop ..le tour est joué encore une fois.
    Des tours comme ça ils en ont a revendre et ce n’est pas de la poudre de perlimpinpin.
    .
    ,

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