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(Etat)Euthanazie – Une honnête proposition du parlement européen : le camp de concentration pour les 464 millions d’européens anti-migrants. On est rassurés pour la relance des travaux publics…

Une honnête proposition du parlement européen : le camp de concentration pour les 464 millions d’européens anti-migrants. On est rassurés pour la relance des travaux publics…

En Europe, la « critique de la migration » en passe de devenir une infraction pénale

Européens préoccupés par les frontières, la langue et la culture peuvent se retrouver bientôt dans le siège chaud après politicien néerlandais et membre du Parlement européen Marcel de Graaff a émis un sérieux avertissement sur la « définition du discours de haine » qui  criminalisent la parole opposition à la migration de masse , comme la première fois par Joe Schaeffer de  LibertyNation . 

Lors d’une conférence de presse, M. de Graaff a sonné l’alarme lors d’une conférence internationale à Marrakech, au Maroc, les 11 et 12 décembre, au cours de laquelle le Pacte mondial des Nations Unies pour une migration sûre, ordonnée et régulière doit être signé. Bien que le pacte soit censé être non contraignant, il est censé jeter les bases d’une campagne orwellienne visant à cimenter la migration de masse en tant que droit de l’homme légalement au-dessus de toute critique.

« L’un des éléments fondamentaux de ce nouvel accord est l’extension de la définition du discours de haine» , déclare de Graaff  . «L’accord veut criminaliser le discours sur la migration. La critique de la migration deviendra une infraction pénale. Les médias qui laissent place à des critiques sur les migrations peuvent être fermés. ”- LibertyNation

Dans le même temps, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme a publié la transcription du discours prononcé le 20 novembre  par Andrew Gilmour, Sous-Secrétaire général aux droits de l’homme, intitulé: «La parole est importante. réfugiés et la promotion de sociétés inclusives « .

Gilmour appelle « les crimes de haine contre les migrants » une « manifestation particulièrement désagréable de ce que je considère comme une réaction quasi mondiale contre les droits de l’homme ». 

Gilmour explique comment son bureau aidera les États à « distinguer la liberté d’expression du discours de haine » qui, bien entendu, n’a pas le droit d’exister. Il souligne que les reportages médiatiques qui ne sont pas suffisamment favorables à la migration ne peuvent être tolérés . «Il est clair pour nous tous que de nombreux médias échouent délibérément à promouvoir le concept d’humanité commune», dit Gilmour, définissant à nouveau la migration de masse comme un droit humain fondamental. «Les mots importent évidemment: la rhétorique raciste déshumanisante est souvent source de haine, de tensions, de violences et de conflits. La communauté internationale doit redoubler d’ efforts pour confronter ceux qui, dans les médias, cherchent à attiser la haine . »- LibertyNation

https://www.zerohedge.com/news/2018-11-30/criticism-migration-will-become-criminal-offense-says-european-parliamentary-leader

https://nicolasbonnal.wordpress.com/2018/12/01/une-honnete-proposition-du-parlement-europeen-le-camp-de-concentration-pour-les-464-millions-deuropeens-anti-migrants-on-est-rassures-pour-la-relance-des-travaux-publics/

« Quelle part les immigrés ont-ils prise au rétablissement de la France après 1945 ?

Dès lors qu’on veut nous persuader que les «Kabyles ont reconstruit la France», il n’est pas malvenu d’apprécier la pertinence de cette allégation à l’aune de quelques données chiffrées. Tous les historiens de l’économie française s’accordent pour estimer qu’en 1950-1951, la France s’est relevée des destructions de la guerre. Cinq à six ans d’efforts et de sacrifices considérables ont été nécessaires pour parvenir à ce résultat.

En 1951, 150 000 Algériens et moins d’une dizaine de milliers de Marocains et de Tunisiens sont en France : ces 160 000 coloniaux à supposer que tous soient des actifs – comptent alors pour moins de 1% de la population active totale. Difficile d’admettre qu’une si faible proportion ait pu parvenir à un tel résultat ! Mais, objectera-t-on, si les ouvriers algériens sont encore peu nombreux, on ne peut nier qu’ils occupent dans l’industrie les tâches les plus difficiles, les plus dangereuses, les plus rebutantes et les moins bien rémunérées. Ils font ce que les Français ne veulent plus faire. De ce point de vue, leur apport est donc bien indispensable, comme le directeur des établissements Francolor le reconnaît, en février 1947 : « Nous avons beaucoup de mal à trouver des ouvriers français. Cette année, les travailleurs nord-africains nous ont bien dépannés. » Cette certitude, désormais gravée dans les Évangiles de la bien-pensance, repose pourtant sur une lecture partielle – et donc partiale – d’une réalité autrement plus complexe.

La lecture partielle se fonde sur un constat statistique : en 1952, 71% des Nord-Africains travaillant en métropole sont des manœuvres, 24% des OS et seulement 5% des ouvriers qualifiés (Rapport général de la commission de la main-d’œuvre du Commissariat général du Plan, «Revue française du travail», n° 3, 1954, p. 29). À Renault-Billancourt, en 1954, 95% des ouvriers algériens sont manœuvres ou OS. Incontestablement, la plupart des ouvriers algériens se situent donc bien aux échelons les plus bas de la hiérarchie ouvrière. Mais, de partielle, la lecture devient partiale, dès lors que, de ce constat, on glisse vers l’idée qu’ils se substitueraient systématiquement aux Français désormais absents de ces postes, c’est-à-dire que le monde des manœuvres et des OS serait essentiellement peuplé de travailleurs coloniaux. Or, si l’on observe l’origine des ouvriers qui occupent ces emplois, on trouve d’abord des ouvriers français, puis des ouvriers italiens, belges, espagnols, polonais, etc., qui, sur ce plan, partagent le sort de leurs camarades nord-africains. Renault-Billancourt, premier employeur d’Algériens, occupe 19 000 manœuvres et OS au début des années 1950. Sur ce total, 3 200 sont nord-africains, soit moins de 17% (cf. thèse de Laure Pitti, «Ouvriers algériens à Boulogne-Billancourt», 2002). Autrement dit, les quatre cinquièmes des ouvriers les plus humbles de Billancourt ne viennent pas d’Afrique, mais des régions de France et des pays voisins d’Europe.

Sans mésestimer l’apport de la main d’œuvre coloniale à l’entreprise de reconstruction, affirmer qu’elle a joué un rôle décisif à cette occasion n’est pas seulement excessif. À ce niveau d’exagération, c’est de fable – ou de mensonge – qu’il faut parler ! Après la Seconde Guerre mondiale comme à l’issue de la Grande Guerre, la main-d’œuvre coloniale n’a pas eu l’importance numérique et donc économique qu’on lui accorde généralement. Son rôle dans le relèvement national est même marginal – ce qui ne veut pas dire inutile – et une autre politique migratoire aurait pu, sans difficulté, pallier son absence. »

Daniel Lefeuvre, «Pour en finir avec la repentance coloniale», Flammarion, 2006, p.

OK++++++++++++++++++++++++++++++++++++

EN BANDE SON : 

3 réponses »

  1. Avec ce Diktat de l’ONU alias « Pacte mondial des Nations Unies pour une migration sûre, ordonnée et régulière », et la répression de la « critique de la migration »,
    que « Micron 1er » va signer, sans jamais avoir demandé leur avis aux Français,
    nous sommes désormais dans « un Système Orwellien » pur jus.

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