Douce France

Douce France – Attentat de Strasbourg : L’art de se moquer de l’ignorance des journalistes…(Avec Vidéo d’Aldo Stérone)

L’art de se moquer de l’ignorance des journalistes…

Le port du hénné dans la barbe est, selon la tradition prophétique, préconisée pour que les hommes âgés qui partaient au djihad, ne trahissent pas leur age avancé face aux koufars… Et c’est la seule raison pour laquelle les hommes peuvent se maquiller, avec le port du kohol sous les yeux, toujours pour impressionner l’ennemi au djihad…

Mais promis juré, cet homme aurait dénoncé son fils aux koufars que nous sommes, pour l’empêcher de perpétrer l’acte le plus valorisant en islam, à savoir mourir en martyr pour que le verbe de Dieu soit le plus haut…

Il faudra m’expliquer pourquoi le service public offre ce type de tribunes médiatiques, ne servant qu’à l’exercice de la taqiya. Exercice qui est démenti par la pratique du dress code cosmétique…

Notre service public, se faisant, devient l’allié objectif de cette mouvance islamiste. C’est la même posture que celle qui nous aura valu de voir une salafiste, présentée comme la fille de la première victime de l’attentat de Nice, à peine trois jours après. Et dans quel but ? Dédouaner complètement l’idéologie sectaire du salafisme, pourtant l’antichambre du djihad, et justifiant les attentats suicides, comme le confirme leur maître à « penser », le cheikh Al Albani…
Nous sommes encore dans le « padamalgam », qui, à force de déni, finira par provoquer l’amalgame entre les musulmans et les islamistes.
Merci au service public pour maintenir une confusion qui nous fait perdre un temps précieux que nos adversaires savent mettre à profit.

David Vallat

Le père du djihadiste de Strasbourg

Un homme fiché S qui admet que son fils admirait DAESH.

Quiconque connaît les codes de l’islamisme sait que la barbe teinte au henné signifie un très haut degré de radicalisation, l’objectif est d’imiter le prophète qui faisait la même chose.
Cette coquetterie islamiste se retrouve beaucoup au Pakistan ou en Tchétchénie.

La marque sur le front que portent aussi bien le père que le fils s’appelle la zabiba (de l’arabe « raisin ») ou encore tabaâ (de l’arabe « tampon »), est une marque de certains musulmans, les plus religieux et les plus pratiquants, due à la friction générée par le contact régulier du front avec le tapis de prière. Un musulman pratiquant fait cinq prières quotidiennes et donc se prosternera et mettra son front en contact avec le sol au moins 35 fois par jour. Cete marque au front indique une grande assiduité religieuse, est considérée comme prestigieuse et symbole d’une grande piété.

Une mère présente en France depuis 30 ans et qui baragouine une langue qu’elle utilise seulement par nécessité.

Ces parents ne sont pas venus en France pour l’amour de la France, de la liberté, de la fraternité républicaine et de ses principes d’égalité.

Chérif Chekatt ne s’est pas radicalisé sur internet, en prison ou en Syrie, il s’est radicalisé à la maison, tout simplement, on l’a éduqué à détester les Français.
Cette détestation a en premier lieu produit de la violence envers le cadre scolaire, puis envers le cadre républicain avec la délinquance comme mode de refus de ce que la France est.
Ensuite il a investi les fondamentaux de sa religion, celle qui a produit son éducation.

Ce qui est une honte c’est que le service public utilise ce salafiste pour le dédouaner et expliquer aux Français que le problème n’est pas le salafisme puisque ce brave père de famille le dit le cœur sur la main, s’il avait su que son fils passerait à l’acte, il l’aurait invité à se tenir tranquille.

Noam Marianne

« Attentat de Strasbourg : la garde à vue des quatre membres de la famille de Cherif Chekatt levée » https://www.lemonde.fr/police-justice…
« Attentat de Strasbourg: Les parents de Cherif Chekatt, auteur présumé de l’attaque, se confient » https://www.20minutes.fr/arts-stars/t…

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