Behaviorisme et Finance Comportementale

Le Billet du LUPUS : Dans la poursuite impitoyable d’un tramway nommé désir, ainsi file le train de notre vie (Mise à jour le 28 avril 2019)

Dans la poursuite impitoyable d’un tramway nommé désir, ainsi file le train de notre vie

En croyant libérer l’Homme du travail par la consommation , le Marché l’a davantage aliéné que libéré !

En quelques siècles nous sommes passés d’une valeur intrinsèque à tout bien attachée à la valeur or référent inconscient collectif à une valeur travail référent marxiste rapport producteur et prétexte à une suraccumulation de type capitaliste des moyens de production pour aujourd’hui toucher à une valeur désir référent marketing du rêve américain prétexte à une surconsommation de type névrotique. L’important n’étant plus d’avoir ce qui est utile et nécessaire ni même par la suite ce qui est futile et accessoire mais d’avoir ce que les autres sont susceptibles de ne pas pouvoir s’offrir mais dont ils désirent par-dessus tout la consommation et la jouissance. Le marché de l’art étant très représentatif et très symptomatique  de ce type de comportement quasi névrotique. Le bitcoin et les monnaies virtuelles en général auquelles j’avais consacré dans le passé plusieurs articles me semble aussi typique de cette logique post moderniste.

https://leblogalupus.com/2017/12/10/billet-le-bitcoin-nouvel-artefact-de-la-psyche-humaine-par-le-lupus/

La réalité du noeud geordien gardienne du comportement devenue aujourd’hui empêcheuse de tourner rond : la névrose comme facteur d’adaptation

Ou comment la réalité autrefois objet de connaissance et de toutes les attentions a cédé sa place à la névrose comme obscur objet de tous les désirs et de toutes les convoitises. La névrose nouveau modèle comportemental adapté au postmodernisme. 

S’appuyant sur ce dernier schéma psychologique d’une névrose passée au rang de star, la Société du spectacle fonctionne donc à plein régime produisant, et ses fausses narratives, et ses fausses représentations d’une réalité vécue autrefois comme un surmoi sublimé, démarche scientifique et affects contrôlés, pour se travestir aujourd’hui en un inconscient collectif sans cesse refoulé et qui réapparaît par bribes dans la praxis de tout à chacun tout en étant désigné péjorativement par la vulgate comme troubles cognitifs ! En résumé vous avez le droit d’être en transe sans genre prédéterminé labellisé LGBT mais malheur à celui qui souffrira de troubles de sommeil suite à une exposition prolongée dans son travail à des psychopathes à peine sociabilisés mais approuvés par leur conseil d’administration.

Dans un temps non plus linéarisé mais revenue à sa pleine circularité : le temps qui passe c’est le temps que l’on perd à ne pas le gagner.

Ainsi le mythe prométhéen d’une éternelle jeunesse est venue se substituer à la sagesse des anciens liés à une sacralisation de l’expérience jugée aujourd’hui comme obsolète ou en obsolescence avancée et cela aux yeux de nos contemporains pourtant désormais gavés de réseaux sociaux, d’internet et de conso d’infos immédiates. Immédiateté qui en l’absence des filtres des pédagogues et de journalistes passés tous à la propagande sous ministère nationale entraîne souvent davantage de bruit que de fureur conférant au final à l’assourdissement de nos concitoyens. Des Citoyens qui en recherche permanente de notoriété et de valorisation au travers du seul regard de l’autre marqué du seul sceau du désir, se trouvent vite à cours d’expédients expédié à la vitesse du tramway et que l’on nomme séduction.

Dans le temple de la masculinité perdu, repos du guerrier absolu, auparavant il fallait tuer pour séduire, dans celui de l’amante religieuse à la féminité rayonnante il faut désormais séduire pour espérer tuer. Le meurtre ainsi évoqué ne devant se ramener dans une société dite civilisée et policée qu’à sa seule dimension symbolique et acceptable c’est à dire sociale. Aujourd’hui le désir hymne à la vie se trouve détournée de sa fonction première dionysiaque pour s’assouvir comme requiem pulsion de mort sous l’égide et avec la bénédiction des oukases du marché.    

Désir le « maître maux » est lancé !

Phagocyté, phagocytaire, sois désirable ou ne sois pas !

En croyant libérer l’homme du travail par la consommation – dis mois ce tu consommes je te dirais qui tu es ? – le marché aliène davantage qu’il ne construit l’individu. Faut-il pour autant affirmer comme naguère les Nazis socialistes et les Soviétiques communistes que seul le travail rend libre ou comme l’affirme les libéraux qu’une théorie de l’offre sera toujours supérieure à une théorie de la demande d’inspiration keynésienne, le consommateur en dernier recours ayant toujours la liberté de choisir ?

Deux présupposés jamais réalisés à ces deux dernières affirmations :

  • -Que le producteur-consommateur puisse disposer et négocier librement le fruit de son travail sur le marché

Conditions non réunies, l’état et le Corporatisme des entreprises  empêchant  tout confrontation réelle entre l’offre et la demande, les mécanismes de la libre concurrence étant faussés en permanence.  

  • -Que le producteur-consommateur soit un animal authentiquement rationnel agissant en permanence en fonction de choix mûrement réfléchis.

Conditions non réunies puisque comme l’a démontré Nietzsche et à sa suite Freud l’homme est le produit de ses névroses et ne se construit que par la connaissance, le contrôle et la discipline de ses affects. Le connais tu toi même socratique prenant le pas de manière progressive sur la sociabilité par les autres rousseauiste.

L’Art du Deal et le Pacte faustien : le Diable se cache dans les détails du contrat

Le marché par sa sur stimulation permanente du désir au travers de la propagande et de la publicité et la frustration engendrée par une promesse non réalisée de satisfaction entraîne une quête effrénée et jamais atteinte d’un Graal illusoire !   Le marché que cela soit dans sa version socialisme de marché (Mondialisme Fabien) ou dans sa version marché libre (Néoconservatisme libéral) apparaît donc pour ce qu’il est : une idéologie de la réification de l’homme réduit à sa seule fonction économique ! (Homo Œconomicus), sans oublier que l’autre grande théologie du marché dans une société protestante qui se veut exceptionnelle et élue c’est sa fonction mystico-religieuse de rédemption, la grande lessiveuse ayant pris le pas sur la grande faucheuse : rendre à l’argent sale sa virginité première ! Fini la prohibition, terminé Eliott Ness et ses incorruptibles, Donald Trump peut en témoigner lui qui est passé d’héritier de l’immobilier made in reality show à Entrepreneur en Casino façon Soprano transformant ainsi en bon alchimiste boursier le plomb en or pour passer ainsi du désir d’avoir l’air à l’espoir du désir d’Être Président. 

LE LUPUS

EN BANDE SON :

16 réponses »

  1. La réalité est beaucoup plus simple, nous sommes passés d’une économie de subsistance à une économie d’échanges qui a démultiplié la richesse.
    Avant la richesse étaient limitée par le territoire est la quantité d’or, d’où des guerres incessantes pour piller ses voisins dans le seul but d’augmenter la puissance des dirigeants.
    La machine libère de tâches répétitives et tue l’esclavage, pensez à nos arrières grand-mères qui passaient leur journée au lavoir avant de jeter votre machine à laver.
    Le 1er problème est notre dépendance énergétique sous toutes ses formes, pétrole, gaz, uranium, mais aussi lithium, terres rares, cobalt, cuivre, etc, premières causes de déséquilibre de notre balance des paiements…
    Le 2e problème est que nous autorisons les échanges avec des pays qui fonctionnent encore en mode esclavagiste et qui détruisent notre tissu économique, social et identitaire.
    Nous avons laissé nos dirigeants écrouler des pans entiers de notre économie, exemple, le textile indispensable à nos vies, dont le chiffre d’affaire est supérieur à l’aéronautique et l’automobile réunis.
    Cette politique à contribué à créer un chômage de masse et les prestations sociales qui vont avec, financées à crédits, elles génèrent en retour une fiscalité qui finit de nous asphyxier!
    3eme problème, l’immobilier mondialisé qui fait exploser les prix et la demande de crédits, paupérisant encore plus notre population déjà en compétition sur le marché du travail avec les nouveaux venus, elle doit aussi payer des m2 de plus en plus rares et donc chers!
    4e problème, l’emballement des coûts sociaux du fait même de ces populations, car en plus des prestations, viennent s’ajouter les coûts des HLM, maternités, crèches, écoles, universités, hôpitaux, justice, prisons, etc, et ceux de leurs personnels, et toujours à crédits.
    En revanche, l’immatériel crée richesses et emplois sous formes de loisirs, arts, data, échanges financiers et tourisme, car bien-sûr, cette production immatérielle, à son pendant matériel!.
    Exemple, l’Autriche! Huit millions d’habitants, 17 millions de tourismes et 30% de PIB industriel sans centrales nucléaires, et avec 4% de chômage…
    Nous sommes à moins de 15% de PIB industriel avec un chômage de masse!
    Il faut donc donc simplement séparer les bons grains de l’ivraie plutôt que de tout jeter!
    Faire notre indépendance énergétique, produire ici ce qui nous est indispensable au quotidien, stopper l’immigration, et nous ouvrir à l’économie de l’immatériel avec des pays rigoureusement sélectionnés, pour pouvoir équilibrer notre balance des paiements et cesser de vivre à crédit!
    Mais d’abord il faut chasser les keynésiens spartakistes qui planifient les superstructures et la centralisation spéculatives, à crédit grâce à nos impôts, et pour la plus grande joie de leurs amis banquiers.
    Maintenant celle qui du haut de sa piscine dit « vive le petit commerce et à mort le consumérisme », en s’adressant à des gens qui gagnent 1200 euros par mois ou moins, tout en défendant un étatisme gargantuesque et en jouant les soubrettes d’un tsar milliardaire…
    Là je dis « danger »!
    Et en ce qui concerne la lessiveuse:
    https://www.lesechos.fr/monde/chine/suisse-et-chine-les-raisons-dune-entente-plus-que-cordiale-1013882
    https://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/la-chine-utilise-les-routes-de-la-soie-pour-affaiblir-leurope-996431
    https://www.lemonde.fr/europe/article/2017/03/21/the-russian-laundromat-revelations-sur-le-blanchiment-de-milliards-d-euros-de-fonds-russes_5098466_3214.html
    https://reseauinternational.net/la-russie-opere-un-retour-spectaculaire-en-afrique-subsaharienne/
    Hégémonie américaine, realy?
    https://reseauinternational.net/la-russie-opere-un-retour-spectaculaire-en-afrique-subsaharienne/
    Il nous faut absolument limiter notre consommation de terres rares (éolien, nucléaire, voitures électriques, etc) et démarrer l’exploitation minière des abysses avec nos alliés!
    https://www.lesechos.fr/2018/04/terres-rares-le-japon-veut-rivaliser-avec-la-chine-grace-a-une-decouverte-majeure-971251
    https://www.ouest-france.fr/mer/oceans-champs-de-nodules-des-millions-de-km2-doublement-precieux-4313369
    Alors bien-sûr, il faut préserver la biodiversité, des drones abeilles butinant entre deux eaux seraient la solution…

  2. Je me souviens très précisément que Sarkozy et Macron sont allés tout les deux a Las -Vegas avant de se faire élire!
    Chercher donc l’adoubement des capos-mafiosi
    L’Amérique donne le LA… via la mafia!

    Enjoy!

    • L’on sait depuis les meurtres des frères Kennedys dans les années 60 que mafia et état ne font qu’un aux US. La mafia c’est dailleurs l’un des protagonistes rarement évoqué de ce que l’on appelle l’Etat profond. Trump élu Président n’échappe pas à la règle et la pègre fait parti de ses soutiens à qui il doit bien entendu sa réussite dans le « milieu des casinos ». Toute action d’envergure de l’État américain ne peut dailleurs pas se faire sans l’aval de la mafia. Ainsi la guerre en Afghanistan sert aussi de plaque tournante au lucratif commerce des opiacés, tout comme l’Asie du Sud servait pour les américains de base arrière pour le commerce de l’héroïne dont la french connection marseillaise fut la célèbre antenne. L’Europe protectorat américain n’échappe donc pas à la règle que l’on gouverne avec la mafia et jamais contre. Pour preuve évidente ce n’est pas sans raison que passeurs et ONG travaillent main dans la main en ce qui concerne le trafic des migrants et que les principales voies d’accès se font par l’Italie.
      Quant au point que vous évoquiez concernant certains financements occultes de politiques via Las Vegas, cela rentre tout à fait dans la logique interne évoquée du système.

    • C’est la Mecque technologique, incontournable, dommage qu’elle ne se fasse pas chez nous!

  3. Kennedy n’a pas tenu ses engagements négociés avec les syndicats pour se faire élire et effectivement, Las Vegas est tenue par les mafias!

    Les mafias qui m’inquiètent le plus sont tchétchènes, iraniennes, afghanes, pakistanaises, turques, égyptiennes, biélorusses, russes, celles d’Asie centrale et chinoises!

    https://visegradpost.com/fr/2017/01/19/nouvelles-routes-migratoires-en-europe-centrale-et-orientale/

    La misère provoque les migrations, et les mafias participent activement à cette misère!

    http://www.opex360.com/2019/04/26/lequateur-mobilise-ses-forces-navales-contre-une-imposante-flotte-chinoise-de-navires-de-peche-pres-des-galapagos/

  4. @Bruno Lalouette
    Le cœur du réacteur est Las Vegas les autres en découlent Ce sont les US qui mènent la danse
    du diable.Admettre mais vite regarder ailleurs pour exonérer….!!!

    .
    ..

  5. @Bruno lalouette
    Ce n’est pas Kennedy c’est Joe Kennedy qui a passé le deal pour faire élire son fils …
    Ce ne sont pas des syndicats joli nom pour désigner et édulcorer la MAFIA
    Je trouve que c’est bien de nommer les choses par le nom.
    Mafia ok?
    Notre inconsçient est infecté par les narratives hollywoodienne vous avez pris il y a peu l’exemple de la route 66 et d’Easy Rider pour décrire une situation Donc vous l’avez fait par rapport a une narrative Hollywoodienne!
    Pas par rapport a la réalité.
    Leur fiction est devenue notre réalité
    Et les US écrivent l’histoire
    Les autres suivent ..
    Point barre.
    Urgence se décoloniser l’esprit..
    Gaulois et fier de l’être dites vous ..
    Retour aux Racines du Ciel
    Salutations.

  6. Mafia et syndicats
    La mafia a toujours tiré d’immenses profits et pouvoirs du contrôle de plusieurs syndicats. Le contrôle d’un syndicat est généralement obtenu par l’intimidation et la violence. Ils permettent ainsi de contrôler des pans de l’économie et d’en détourner des bénéfices, de maîtriser dans certains cas la gestion des caisses de retraite, et de posséder un moyen de pression par l’organisation ou la répression de grèves.

    La figure la plus célèbre de cette collusion fut Jimmy Hoffa. Il présida le syndicat des Teamsters (syndicat des camionneurs) en 1957-1967 et fut l’une des principales cibles de l’Attorney general Robert Kennedy. Il accrut son influence par le racket et le chantage des entreprises, pour le bénéfice exclusif des membres du syndicat. Il permit à ceux-ci de détourner d’importantes sommes de la caisse des retraites des camionneurs. Les circonstances de la disparition en 1975 de Jimmy Hoffa restent inconnues et son corps n’a jamais été retrouvé.

    Nous pouvons néanmoins nuancer le rôle négatif de la mafia dans les années 1930 (sans pour autant cautionner ses agissements) dans la mesure où elle a permis le développement des syndicats dans les entreprises américaines. Elle défendait leurs intérêts contre les milices patronales privées qui intimidaient les employés (allant jusqu’à la mort) pour enrayer leur développement.

    Mafia et élections
    La mafia américaine a aidé plusieurs hommes politiques, soit en faisant pression sur une partie de la population (immigrés italiens, syndicalistes) pour l’obliger à voter selon son souhait, soit en octroyant des sommes d’argent élevées pour leurs campagnes.

    Don Balsamo fut l’un des premiers à aider un homme politique, Antonio Marinella. Plus tard, Luciano aida Roosevelt pour la présidence américaine en 1932 et Giancana, en contact avec Joe Kennedy, aida son fils John pour les primaires démocrates de l’élection présidentielle américaine en 1960.

    • Ou est le réel, ou est le virtuel ? Obama ancien homme de spectacle devenu producteur ne s’y trompe pas et finance un Trump plus reality chaud que jamais ! Le reste c’est de la mise en scène et comme dirait un célèbre lapin : that’s all !

  7. https://www.ouest-france.fr/societe/gilets-jaunes/1-400-personnalites-du-monde-culturel-dont-juliette-binoche-apportent-leur-soutien-aux-gilets-jaunes-6335845?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR33wPPDuIO7qWOz9_XgOMTBa4FMIHX192yKyO84dtt8ntZdDwWpYFkLtrI#Echobox=1556971124
    Lorsque les têtes de gondoles du « :plus- bien- pensant- que moi- tu meurs »on peut dire que l Etat
    envoie son armée de réserve…pour enterrer définitivement le mouvement.
    A la suite du mensonge D’Etat révélé de la Salpêtrière, ce qui est la moindre des choses dans le lieux de la naissance de la psychanalyse …il fallait créer une narrative de plus..
    Les acteurs sponsorisés contribuent a « légitimer » le mouvement …
    pour par leurs « caution » lui imposer la marque au fer rouge du mondialisme section: » tous unit et comment on s’aime dans un monde d’amour de progrès et d’espérance.. »..
    Les gilets jaunes auront droits a des nounours et a des bougies.
    Requiem.

    • Z’ont mis du temps.
      Pour énoncer « démocratie PLUS directe » ? « PLUS de justice sociale » ? Etc..
      Et la justice tout court ? Incongru ?
      Trop réalistes, nos stars. Bine dosés en conscience de la réalité !
      Tip top. Si sensibles, le coeur sur la main. Le cerveau sublime. La philosophie de la maturation.
      Et beaux-belles ?
      Beaucoup appréciée aussi : la sortie groupée…
      Vont-ils venir collectivement au prochain samedi parisien ?
      (En guise de défouloir au matin.)

  8. Binoche bear et consorts se mobilisent pour les gilets jaunes.
    Lorsque les têtes de gondoles du « :plus- bien- pensant- que moi- tu meurs »on peut dire que l Etat
    envoie son armée de réserve…pour enterrer définitivement le mouvement.
    A la suite du mensonge D’Etat révélé de la Salpêtrière conséquence logique puisque dans le lieux de la naissance de la psychanalyse …il fallait créer une narrative de plus..
    Les acteurs sponsorisés contribuent a « légitimer » le mouvement.
    pour par leurs « caution » lui imposer la marque au fer rouge du mondialisme section tous unit et comment on s’aime dans un monde d’amour de progrès et d’espérance….
    Les gilets jaunes auront droits a des nounours et a des bougies.
    Requiem

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