Art de la guerre monétaire et économique

Green is the new red ou la dictature au nom de la planète

Green is the new red ou la dictature au nom de la planète

L’écologisme est la nouvelle religion à la mode, et sa prêtresse est Greta Thunberg, une jeune suédoise autiste de 15 ans qui a le pouvoir de voir le CO2 à l’œil nu d’après sa mère.

C’est toujours avec les meilleures intentions qu’on arrive aux pires régimes, la lutte communiste n’était-elle pas noble ? Vouloir sauver le prolétariat de la main des méchants patrons ? Elle se conclut pourtant par la mort de 100 millions de personnes à travers le monde entier, patrons comme prolétaires.

N’ayez aucun doute que l’écologisme aura la même conclusion si elle arrive à son objectif, prendre le pouvoir.

Loin de moi l’idée de minimiser les questions écologiques à venir, le problème est bien l’interdiction de pouvoir en discuter sereinement. Combien de degrés en plus, dans combien d’années, dû à qui, réchauffement naturel ou dû à l’activité humaine, quelles solutions ? 

Par exemple la question du nucléaire, énergie la moins polluante, a été interdite par les membres de la secte. Pourtant c’est la production électrique qui produit le moins de CO2, qui est très facilement modulable aux besoins et qui est extrêmement bien maîtrisée. A cela ils préfèrent l’éolienne et le photovoltaïque, le premier dépendant du bon vouloir du vent et le deuxième dont la production est très polluante, avec des rendements ridicules et une durée de vie très faible. Sans compter tous les autres désavantages liés à ces modes de productions « verts », recyclage extrêmement complexe, impossibilité de stocker l’électricité et donc de la moduler en fonction des besoins de consommation etc. Et c’est à cause de cette idéologie qu’aujourd’hui, l’Allemagne produit dix fois plus de CO2 par kilowatt-heure que la France.

Effectivement, ayant décidé de tourner le dos au nucléaire à cause de la pression des Verts, l’Allemagne est aujourd’hui obligée de produire de l’électricité par le biais d’usine au charbon ou au gaz pour compenser l’arrêt de ses centrales nucléaires. Energies dites renouvelables, mais ne pouvant bien sûr pas répondre aux besoins du pays.

Ecologisme qui fait polluer plus au nom de l’idéologie. 

Comment peut-on être pour l’écologie et pour l’immigration de masse ?

Un autre sujet interdit par ces zélotes est l’arrêt de l’immigration venant du tiers-monde.

Et oui, si on est écologiste on ne peut pas vouloir faire venir des millions de personnes de pays dont l’empreinte écologique est quasiment nulle, pour les faire vivre comme de riches occidentaux (tout en demandant à ces derniers de ne plus se reproduire pour éviter de polluer).

Un somalien produit 0.07 tonnes de CO2 par an. En le faisant venir en Allemagne il produira 9,40 tonnes. Une augmentation de sa pollution de plus de 13 000% ! Comment peut-on être pour l’écologie et pour l’immigration de masse ? Aucun vert ne propose l’arrêt des flux migratoires qui empêcherait pourtant la production de millions de tonnes de CO2 par an. Pire, quiconque propose ce genre de solutions se fera immédiatement traiter de raciste.

La pastèque est bien rouge à l’intérieur.

Non, l’Eglise a parlé : Fred Vargas explique que quatre milliards de terriens vont mourir de chaleur dans les prochaines années, et Jean Michel Apathie affirme qu’il fera 50°C en France dans trente ans.

Aucune contestation ne sera acceptée sous peine d’être condamné à l’hérésie de « climatoscepticisme », ce qui vaut lieu d’excommunication du monde public.

Le premier proscrit fut Philippe Verdier en 2015, à la tête de la direction du service météo de France 2, qui eut le malheur d’écrire Climat Investigation, dénonçant les liens « entre scientifiques, politiques, lobbies économiques, ONG environnementales » .

De plus, les mesures « écologiques » ont tendance à défavoriser les plus pauvres et à ne rien régler aux problèmes de pollution.

Oser dire que tout ce beau monde n’était pas animé par les meilleures intentions lui valut son renvoi, sans appel, de la télévision publique. Les collapsologues, comme les appelle le docteur Laurent Alexandre, n’acceptent pas la critique.

De plus, les mesures « écologiques » ont tendance à défavoriser les plus pauvres et à ne rien régler aux problèmes de pollution.

Le système de vignette Crit’air, censé interdire certaines villes comme Paris aux véhicules les plus polluant en cas de pic de pollution, est totalement biaisé.

Un 4×4 de 2018 rejetant énormément de CO2 au km, sera Crit’air 2. Alors qu’un petit véhicule diesel pourtant moins polluant, équipe de catalyseur de 2005, sera Crit’air 4. Il sera par conséquent interdit de circulation dans Paris en cas de pollution et ne vous inquiétez pas, les forces de l’ordre veillent au grain. Des milliers d’amendes ont été rédigées à l’encontre des contrevenants (en général beaucoup plus pauvres que le conducteur de Porsche 4×4) qui osent venir dans la Ville Lumière pendant les pics de pollution depuis la mise en place de ce système en 2017.

Crti’air n’est donc pas contre la pollution mais contre les pauvres. Mais avec les meilleures intentions du monde bien sûr.

Dans un document datant de décembre 2018 Novethic propose, entre autres, l’interdiction de vendre des véhicules pour un usage particulier dès maintenant.

Pour bien se rendre compte des dérives totalitaires, voyons quelques propositions de Novethic, qui se définit comme un « accélérateur de transformation durable » (comprenne qui pourra) filiale du Groupe Caisse des Dépôts, donc en grande partie financée par les fonds publics.

Dans un document datant de décembre 2018, Novethic propose, entre autres, l’interdiction de vendre des véhicules pour un usage particulier dès maintenant. Les habitats neufs devront forcément être collectifs et avec une surface maximum par habitant de 30m² en 2025. Il faudra imposer un couvre-feu thermique entre 22h et 6h pour atteindre une température moyenne de 17°C dans les logements. Diviser le flux vidéo sur internet par trois d’ici 2030. Limiter à 1kg de vêtements neufs par an et par personne dès 2022, l’instauration de quotas sur les produits importés tel que le café, le chocolat ou le thé. Doubler le nombre d’agriculteurs d’ici 2030 (qui devront probablement travailler dans les kolkhozes bio de l’état ?) ou encore l’interdiction de tout vol hors Europe « non justifié » dès 2020.

Ces propositions vous rappellent quelque chose ? Il ne manque que les tickets de pains et de lait et on a ce à quoi ont ressemblé toutes les expériences communistes du XXème et du XXIème siècle.

A la fin, la planète ne sera pas sauvée mais vous, vous serez dans un goulag.

Le communisme voulait sauver le prolétaire, l’écologisme veut sauver la planète.

Ne doutez pas que les conséquences seront les mêmes.

A la fin, la planète ne sera pas sauvée, mais vous, vous serez dans un goulag.

Énergie nucléaire et changement climatique: l’ignorance est le facteur le plus inquiétant

Cette semaine, l’institut de sondages français BVA publie une série de résultats épouvantables d’un sondage sur l’énergie nucléaire commandé par le géant français de l’énergie Orano.

Selon une large majorité de Français (69%), le nucléaire est le principal responsable du réchauffement de la planète et de ses émissions de CO2.

Le International Panel on Climate Change (‘Groupe international d’experts sur l’évolution du climat’) (Nations Unies) a calculé les émissions de CO2 (en grammes par kilowattheure) de différentes sources d’énergie.La comparaison est présentée ci-dessous.

Comme les centrales nucléaires émettent très peu de CO2, elles contribuent précisément à la lutte contre le changement climatique.

Parcs éoliens: 11 g / kWh

Centrales nucléaires: 12 g / kWh

Panneaux solaires: 27 g / kWh

Centrales au gaz : 490 g / kWh

Centrales au charbon : 820 g / kWh

Les émissions de CO2 de l’énergie nucléaire se situent donc pratiquement au niveau de celles des éoliennes et sont inférieures de moitié à celles des panneaux solaires.

On peut donc parler de désinformation inquiétante, car ce que la plupart des Français pensent n’a rien à voir avec la réalité scientifique. (Quel résultat aurions-nous obtenu chez nous ?)

Lorsque les politiciens interviennent dans le débat sur le climat, les dangers de l’énergie nucléaire sont souvent mentionnés. La catastrophe de Fukushima est encore dans les mémoires. Mais ce discours est clairement source de confusion.

Pire encore, parmi les 18 à 34 ans, 86 % sont même convaincus que l’énergie nucléaire est la principale responsable du réchauffement de la planète.

Vous trouverez le rapport complet ici

https://staticswww.bva-group.com/wp-content/uploads/2019/06/Les-Fran%C3%A7ais-et-le-nucl%C3%A9aire-Un-sondage-BVA-pour-Orano-1.pdf

EN BANDE SON :

2 réponses »

  1.  » A la fin la planète ne sera pas sauvée mais vous , vous serez au goulag »
    Bien sûr,c’est le propre de l’idéologie, lorsqu’ils seront confrontés à leur échec,ce ne sera pas de leur faute, mais à celle de ceux qui n’ont rien compris;

  2. Je te conseille de te renseigner sur le coût en co² de l’énergie nucléaire, en intégrant tous les paramètres, dont l’extraction du plutonium et celui du traitement des déchets, jamais calculé dans les bilans, ça t’éviterai de tomber dans le lobby du nucléaire qui défend sa chapelle…

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