1984

Douce (F)rance : Au tour de la liberté d’expression syndicale…Par Anne Sophie Chazaud

Douce (F)rance : Au tour de la liberté d’expression syndicale…

Alexandre Langlois, secrétaire général du syndicat de police VIGI, qui a été remarquable pendant la crise des Gilets Jaunes, et probablement le seul à critiquer l’action de l’exécutif dans le traitement de cette crise, qui ne mâche pas ses mots, bref, qui fait un vrai travail de syndicaliste et non pas un partage complaisant du gâteau avec le pouvoir contrairement à ce que sont désormais devenus la plupart des autres syndicats notamment de policiers, -lesquels se sont notamment distingués par leur veulerie et leur lâcheté à l’encontre des gilets jaunes qu’ils n’ont jamais soutenus (trop effrayés sans doute à l’idée de perdre leurs prébendes et avantages sous les dorures de la République)-, Alexandre Langlois donc est suspendu de ses fonctions dans la police.

À noter que cet agent de police du renseignement territorial dispose par ailleurs de très bons états de services. Il n’est donc pas possible de lui reprocher la moindre faute professionnelle.

Cette suspension inique, contre laquelle sera bien sûr interjeté appel (à commencer par un référé), traduit bien, une nouvelle fois, le grand cas que cet exécutif fait de la liberté d’expression en s’attaquant cette fois à son volet syndical, étant entendu que la fameuse obligation de réserve rituellement invoquée l’est désormais à des fins purement politiciennes, partisanes et idéologiques, ce que l’on avait déjà identifié depuis un moment.

Mais comme on a sauvé la République, tout va bien…

🙂 Anne Sophie CHAZAUD

EN BANDE SON : 

1 réponse »

  1. macronisme , nazisme
    gens qui ne sont rien , sous-homme
    lanceur d’allerte , traitre
    gilet jaune , juif

    chaque époque son tortionnaire et les victimes
    les complices sont toujours les mêmes
    la bourgeoisie et les intérêts financiers

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